Les invités plus âgés sont désormais presque tous partis. Il y a là surtout des gens entre 18 et 30 ans. Durant la soirée, j’ai appris qu’Anne-Marie, 28 ans, serait en vacances dans le même hôtel que moi la semaine suivante. Je la retrouve autour d’une table haute en compagnie de Vanessa, Stéphanie et Prisca. Les quatre filles sont bien éméchées et m’accueillent avec un plaisir non-dissimulé. Stéphanie me fait illico du rentre-dedans en me disant qu’elle aimerait bien "visiter l’’intérieur de la maison qui est très joli, parait-il". Je fais celui qui ne comprend pas et interpelle Anne-Marie :— Tu sais qu’on sera en vacances dans le même hôtel durant quelques jours la semaine prochaine ?— Mais non ?!? Tu pars avec qui ?— Laurent et Ricardo. Et toi ?— Gaëlle et ma tante Suzanne.— Je pensais que tu partais avec ton homme.— Tu n’es pas au courant ? On s’est séparé le mois dernier.— Je ne suis jamais au courant de rien ! Elle rit :— Nous partons entre célibataires. Gaëlle est sans mec depuis six mois et ma tante vient de signer les papiers de son divorce. — Pareil pour nous. Laurent s’est fait plaqué il y a deux mois et Ricardo considère qu’il est seul.Elle rit encore. Je la cherche :— Donc, ça veut dire que je peux te draguer ? Éclats de rire autour de la table… sauf de la part de Stéphanie. Je invite alors Anne-Marie à prendre un verre ce qui nous permet de nous éloigner des trois filles. Stéphanie lance un regard noir. Prisca et Vanessa rient. Une fois que nous nous sommes éloignés, Anne-Marie dit :— Tu ne vas tout de même pas de taper Stéphanie, tout le monde lui est passé dessus.— Mais écoutez cette mauvais langue !— Allez, pas toi. Je te connais suffisamment pour savoir qu’il y en a un sacré nombre qui ont succombé. Des moches, mais pas de connes !Nous éclatons de rire. Nous trinquons. Anne-Marie me regarde avec mélancolie :— Alors tu vas me draguer ? En ce moment, ça me ferait du bien.Son regard s’est éteint. Je lui prends la main.— Tu veux en parler ?— Viens…Nous partons en balade dans le parc. Anne-Marie me raconte ses déboires avec son ex. Elle verse quelques larmes. Je ne la questionne pas, je ne dis rien. J’écoute. Peut-être trop.— Hé ! Tu peux réagir si tu veux.
Anne-Marie a le sourire malgré les larmes qui s’accrochent à ses joues.— Je préférais te laisser parler. Nous nous arrêtons et nous étreignons. Elle dit :— Merci de m’avoir écouté. Ça m’a fait du bien de me confier sans être interrompue. Après avoir séché ses larmes, nous reprenons notre balade. Anne-Marie me prend par le bras et me dit :— Bon alors, avant que je te raconte tout ça, tu disais que tu allais me draguer.— Peut-être bien, peut-être bien. Anne-Marie rit. Je lui dis combien elle est belle, la complimente avec délicatesse, lui dis qu’elle est très attirante. Anne-Marie roucoule :— Mmmmh, c’est très agréable d’entendre tout ça. Tu es adorable. Nous revenons doucement vers le lieu de la fête. Anne-Marie me tire par le bras, derrière un bosquet. Elle passe ses mains à ma nuque et m’embrasse. Je réponds. Baiser court mais très agréable. Sa volumineuse poitrine appuie contre mon ventre. Je provoque :— Il m’est arrivé de me masturber en pensant à tes seins.— Je mentirais si je disais que je n’ai jamais pensé à toi avant de m’endormir.Nouveau baiser, plus long. Anne-Marie a un sourire malicieux :— Si tu me séduis, peut-être que je te les montrerai, mes seins.— Juste mes les montrer. Je veux les goûter et mettre ma bite là.Je glisse un doigt dans l’étroit espace entre ses seins "pushés". Elle relance :— J’espère qu’il n’y a pas que là que tu aies envie de la mettre…— Il y a pleins d’autres endroits où j’aimerais la mettre. Anne-Marie rit et me fait un smack :— Je me réjouis déjà des vacances. Vous êtes à l’hôtel toute la semaine ?— Nous faisons un circuit et nous y serons durant deux jours.— Oh ! Seulement deux jours ? C’est court…— C’est mieux que rien, non ?— Oui, mais j’aurais préféré pouvoir profiter de toi toute la semaine. Et vue que Gaëlle a un peu le feu aux fesses depuis quelques semaines, je pense qu’elle aurait apprécié votre présence.Elle éclate de rire. Je la cherche :— Et ta tante ?Anne-Marie ironise :— Ma tante ? Elle est un peu vieille pour toi, non ? Elle aura 52 ans dans un mois.Je rentre dans son jeu :— Je l’ai vue il y a trois semaines, elle est encore très belle. Elle portait une jupe un peu moulante, elle a des fesses magnifiques.— Je ne vais pas dire le contraire.Songeuse, elle dit :— S’il y avait une ouverture, tu coucherais avec elle ?— Non. Parce que je serais avec toi.— Eh ! Arrête ! On ne va pas se marier. D’ailleurs, si tu veux sauter Gaëlle, ne te gêne surtout pas. Selon deux copains, elle suce super bien.Elle éclate de rire. Je réponds :— Je t’avouerais que son joli cul me m’a jamais laissé indifférent.— Surtout qu’elle…Anne-Marie s’interrompt soudainement, gênée. Je ris :— Surtout qu’elle, quoi ?— Non rien, rien. C’est bon.— Surtout qu’elle, quoi ?Anne-Marie semble désolée. Elle me regarde dans les yeux :— Bon, ok, tu promets de le garder pour toi ?— Juré.— Gaëlle a été initiée à la sodomie par son dernier mec et elle m’a avoué qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir. Bon, hé, tu as promis, ok ? Si elle sait que je t’ai dit ça, elle va me tuer.— Promis, je ne dirais rien.— Mais bon, on parlais de ma tante, là. Alors, tu coucherais avec elle ?— Oui. Sans hésiter.Elle sourit et prend son temps pour réponde :— Je vais te dire le fond de ma pensée. Je pense que ça lui ferait du bien de se faire sauter vu qu’elle a couché durant trente ans avec le même. Avec toi, ça serait encore mieux. Mais…— Mais quoi ?— Mais je dois t’avouer que ça m’exciterait énormément d’assister à votre ébat.— Quoi ??!!?Elle éclate de rire, je ne sais pas si elle plaisante ou non. Et je n’ai pas le temps de lui demander car elle s’en retourne vers la fête.
