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Le fol anniversaire d'Antonia

Chapitre 15

Avec plusieurs femmes
Ce qui suit est onirique, fabuleux et inimaginable. Les trois femmes tournent autour de moi, chuchotent entre elles. Je ne sais pas qui je caresse, qui me caresse, qui je lèche, qui me suce, qui je doigte, qui m’embrasse. Fréquemment, une autre femme glisse sur mon sexe. J’entends des gémissements, je sens des orgasmes. On me redresse, on me fait prendre l’une des trois, puis une autre. Une pause. On m’allonge sur le côté. Je ne peux pas toucher ma partenaire. On me dirige dans son cul. Viviane ? Je ne sais pas. C’est étroit et long avant d’arriver à une bonne pénétration. Quand je parviens à faire quelques allers-retours réguliers, on me retire le bandeau : Samuela. Je suis en train d’enculer Samuela ! Je rapproche mon buste du sien. Elle souffle :— Finis ! Vite !Mon excitation est de toute manière à son zénith et j’explose entre ses fesses. Elle s’effondre :— Mon Dieu, je mourrais moins bête ce soir !Tout le monde éclate de rire. Le dernier jacuzzi en quatuor est particulièrement apprécié.
Nous en sortons tous les quatre quelques minutes plus tard et nous repassons enfin des vêtements. Pas en avance, Samuela est la première à partir. Elle salue sa sœur et Viviane, puis je l’accompagne à la porte. Elle m’enlace :— Merci, merci, merci à vous deux de m’avoir invitée cet après-midi et merci à toi de t’être si bien occupé de moi.Je souris, nous nous embrassons. — Quand est-ce que je peux t’inviter à dîner ?Elle éclate de rire, je lui fais un clin d’œil.— Je t’avais prévenue que je te redemanderai très vite. — Je vois ça. Écoute, ça me gêne, je n’ai pas de envie de mentir à mon mari et…— J’aimerais te changer les idées. On peut y aller à midi si cela te convient mieux.— Oui, c’est plus facile pour moi.Nous nous embrassons tendrement. Je lui murmure à l’oreille :— J’ai envie de coucher avec toi.Elle ne répond pas tout de suite puis :— Je ne devrais pas dire ça, mais j’en ai très envie aussi. Ça me manque tellement.Nous nous enlaçons longuement. Un dernier smack et Samuela passe la porte.
Je reviens vers Antonia et Viviane qui sont en train de se faire la bise. Retour à la porte avec Viviane. Je soulève sa jupe :— Tu as aussi remis ton string à ce que je vois.Elle sourit.— Un après-midi inoubliable, je vous remercierai jamais assez tous les trois.
— Tu n’es plus en colère alors ?— T’es con. Nous nous embrassons. Je lui dis :— Alors, ce restaurant ?— Un samedi. Comme ça, tu peux venir plus tôt pour choisir mes vêtements.— Je peux déjà venir le vendredi soir.Elle comprend tout de suite mon allusion.— Tu veux dire, juste après le boulot ?— Par exemple.— Une de ces journées où je porterais un tailleur un peu strict, le gris par exemple.— Une intéressante éventualité.— Ou je pense à cette petite jupe en cuir que je viens d’acheter aux soldes. Je peux aussi la porter avec le joli chemisier blanc que tu avais bien apprécié.— Qui dessine si bien tes seins ?Notre baiser est parfaitement obscène, un mélange de langue hors bouche.— Je crois effectivement que tu vas venir le vendredi soir.Ma main passe rapidement sous sa jupe et dans son string. Viviane est toute mouillée.— Arrête, sinon on le le refaire ici. Va rejoindre Antonia.Viviane me repousse avec douceur. Je m’écarte, elle s’en va.
Antonia a refait un tant soit peu le lit. Elle a vidé le jacuzzi et entrouvert la fenêtre. Ça sent le sexe et la sueur, pas très agréable. Plutôt que de rester dans la pièce, nous allons nous allonger dans l’immense canapé. Antonia, en soutien-gorge et string noirs, se love contre moi.— C’est peut-être méchant ce que je vais dire, mais je ne suis pas fâchée qu’elles soient parties.Je ne réponds rien. Elle poursuit :— Trop sexuel pour moi, même si c’était très excitant, je l’avoue. Je suis heureuse d’avoir passé cet après-midi, un expérience dont je me souviendrai toujours. Mais c’était vraiment hard.Je l’embrasse tendrement. Elle sourit :— Je te préviens, on ne fait pas l’amour avant de descendre souper. Elle caresse mon torse :— Par contre, je veux pleins de câlins. Des baisers, des caresses, de la douceur, Antonia et moi parlons tout en nous câlinant. Nous rions souvent. Nous sommes parfois plus sérieux. A un moment, elle dira :— Après ce week-end, on arrête. Vraiment. Il faut que tu me le promettes car je suis en train de tomber amoureuse et je sais qu’il va déjà être difficile de revenir à la réalité.
Un peu après, malgré son avertissement et après m’avoir masturbée, Antonia vient à cheval sur moi, écarte son string et me fait pénétrer en elle. Lentement, très lentement, elle me chevauche, comme si elle voulait sentir chaque centimètre de mon sexe. Elle jouit par trois fois. Je la laisse faire jusqu’au bout. Habile, elle me fait jouir sans accélérer le rythme. Divin.
Nous nous préparons ensuite chacun de notre côté pour aller manger. Apprêté, je l’attends dans l’entrée. Je m’attendais à une belle tenue mais Antonia me laisse sans voix : en haut, sous un châle de mousseline blanche, elle porte ce que je pense être tout d’abord un bustier blanc hyper sexy. En bas, elle porte juste jupe crayon noire, taille haute, des bas blancs opaques et des talons noirs vertigineux. Elle s’approche. Je remarque les détails de son "bustier" et me rend compte qu’il s’agit en fait d’une guêpière en satin au décolleté lacé. Il ne s’agit pas d’un pièce de lingerie qui pourrait passer pour un top : non, c’est là le genre de guêpière portée uniquement dans l’intimité, trop sexy pour être passées sous des vêtements. Mais le comble de mon excitation provient des bonnets qui sont manifestement une à deux taille trop petits pour elle et qui pourraient être "découpés" horizontalement en trois parties : en bas, une découpe en satin couvrant le dessous du sein jusqu’à une couture passant sous l’aréole; au milieu un bande de dentelle transparente qui ne couvre que la largeur de l’aréole; en haut, rien. Autrement dit, on voit tout.
Ma mine certainement décomposée amuse Antonia qui passe devant moi sans s’arrêter. Elle pose la main sur la poignée de la porte :— On y va ?— Tu es une fille surprenante, vraiment.Elle me fait un clin d’œil et sort. Je lui emboite le pas. Nous marchons dans le couloir sans un mot. Elle m’a pris le bras et je suis particulièrement ému d’avoir une femme aussi torride à mes côtés. Dans l’ascenseur cependant, un léger doute s’empare d’Antonia dont le châle couvre élégamment la poitrine. On devine plus qu’on ne voit :— Tu crois qu’ils vont me mettre dehors ?— Au pire, ils ne te laisseront pas entrer et nous remonterons chercher un vêtement. Mais bon, un dimanche soir, le restaurant ne doit pas être bondé.Les portes s’ouvrent. Je lis un peu d’inquiétude dans les yeux d’Antonia qui me prend la main et la serre. Sourires. Nous ne croisons personne jusqu’à l’entrée du restaurant. Le serveur ne tique pas et nous emmène à notre table le long d’un mur orangé. Antonia s’assied dos au bar et à la cuisine.
Autour de nous, seules trois tables sont occupées : vers le bar, un couple de retraités finissent un plat de poisson. A ma gauche, nous sommes séparés d’un table d’un homme seul d’une trentaine d’années. J’imagine volontiers qu’il est là pour des raisons professionnelles. Il jette un coup d’œil intrigué à Antonia quand nous prenons place. Ensuite, il lui est plus difficile de regarder car il est assis du même côté qu’elle. Enfin, derrière moi, mais légèrement décalé, un couple semble s’être installé juste avant nous. Lui, 45-50 ans, a dévisagé Antonia dès que nous sommes entrés dans la pièce. A telle point que sa partenaire s’est retournée. Bien plus jeune, c’est une fille magnifique aux longs cheveux noirs très bouclés. Maquillée de manière un peu outrancière ce qui la vieillit un peu, elle ne doit guère avoir plus de 20 ans.
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