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Le fol anniversaire d'Antonia

Chapitre 16

Avec plusieurs femmes
Le serveur arrive très vite. Il y en aura quatre différents et ils seront tous aux petits soins avec nous. Ou plutôt avec Antonia. Celle-ci me dit que l’homme derrière moi la regarde fréquemment et cela semble agacer sa partenaire. A gauche, l’homme seul jette parfois des rapides coups d’œil mais ne regarde pas vraiment, concentré qu’il est sur son smartphone.
Après le plat principal, j’ai soudainement envie d’aller aux toilettes. En me levant, je fais involontairement mais bruyamment tomber mon couteau. Je descends un escalier en colimaçon étroit et raide, puis fais ce que j’ai à faire. En sortant, je tombe nez à nez avec la jeune partenaire du quinquagénaire. Elle attend visiblement quelqu’un et ce quelqu’un, c’est moi :— Je peux vous demander d’inverser vos places avec votre femme ? Mon mec ne cesse de la reluquer et je sens que je vais faire un scandale s’il continue.— Pardon ? Primo, vous n’avez qu’à inverser vos places vous-même. Et deuxio, pourquoi reluquerait-il ma femme alors qu’il est accompagné d’une partenaire aussi éblouissante que vous ?
Le bâton et la carotte. La jeune fille sourit largement et rougit. Elle porte un étroit top noir manches longues à paillettes, dont le décolleté descend sous la ceinture d’un short court rose pâle moulant. Du nylon noir sur ses jambes et des bottines à talons. La demoiselle bafouille un remerciement avant de se reprendre :— Je peux compter sur vous ?— Non, je viens de vous le dire. Mais permettez-moi d’ajouter que cet homme semble être un rustre grossier, un goujat primitif. Car une femme telle que vous mérite toute la sollicitude d’un homme. Votre délicate beauté, votre élégance ravissante, votre charme ensorceleur ne peuvent que captiver totalement l’attention d’un homme galant.
Elle me regarde, bouche béé. Je me rends compte que ma tirade tomberait à plat s’il s’agissait de son père par exemple. Elle fronce les sourcils :— Et vous ? Votre femme est en haut et vous me draguez. Ce n’est pas mieux.— Ce n’est pas ma femme, mais une amie avec qui je passe une soirée et une nuit.Elle ne dit rien. Je poursuis :— Tandis que vous sortez avec lui.Elle baisse les yeux et me balance tout :— Il est marié, il a des enfants de mon âge. Je cède chaque fois qu’il m’appelle et chaque fois, je suis déçue, comme ce soir. Pourtant, je vais monter avec lui et moi aussi, passer la nuit ici.
Quand elle relève les yeux sur moi, je n’hésite pas une seconde. Je m’approche vite de son visage et l’embrasse. Surprise, elle sursaute avant de céder au plaisir. Notre baiser dure, nos langues jouent. Son regard est de braise lorsque nous nous séparons.— Demain matin, mon amie part au travail à 8h00. Viens après. Suite 2, au 5e étage.— J’ai l’école demain. Il doit m’y déposer.— Fais comme tu veux.
Un smack et elle remonte précipitamment l’escalier. Sans être le plus incroyable du monde, son joli cul me met en appétit. Je remonte quelques secondes plus tard et profite du fait qu’Antonia descende ensuite aux toilettes pour changer de place avec elle, non sans un hochement de tête ironique et poli au quinquagénaire qui ne dissimule guère sa déception.
Son amertume doit être d’autant plus grande quand, au dessert, Antonia retire son châle. Le défilé des serveurs reprend, jusqu’à notre départ. Je me lève et viens retirer la chaise d’Antonia en lui donnant la main pour se lever. Cela n’a échappé ni au quinqua, ni à sa jolie partenaire. Ils se lèvent juste après nous, sans qu’il n’ait les mêmes égards pour elle.
Les serveurs nous saluent et nous nous dirigeons tranquillement jusqu’aux ascenseurs, suivi par l’autre couple. Nous nous saluons devant les portes fermées. Je fais en sorte de dissimuler Antonia à la vue du quinqua, y compris dans l’ascenseur. Ils sortent au 2e en nous souhaitant bonne nuit. Ce que je me retiens de faire. Quand les portes se referment, j’embrasse Antonia avec passion et baisse les bonnets sous ses seins, les dévoilant ainsi entièrement. Je les lèches, elle rit et je lui interdis de remettre les bonnets en place à l’arrivée de l’ascenseur. Elle replace le châle sur sa poitrine. Le couloir est vide. Nous faisons quelques mètres avant de nous embrasser, contre un mur. Caresses et excitation. J’embrasse à nouveau sa poitrine. J’entends son cœur qui bat la chamade. Je déboutonne mon pantalon et glisse la main d’Antonia dans mon boxer. Elle sourit et commence à me masturber.— Suce-moi…Elle me regarde, incrédule.— Ici ?!?— Oui. Là. Tout de suite.— J’ose pas. T’es malade !Nos baisers n’en finissent pas. Antonia n’ose pas, mais elle a sorti ma queue et me masturbe frénétiquement. Elle se penche sur mon sexe et le suce quelques secondes avant de se redresser. A son regard, je suis qu’elle est très excitée et qu’elle a envie. Qu’elle va le faire.
Moins de vingt secondes plus tard, Antonia est à genoux et me pompe allègrement. Enhardie, elle fait tourner mon gland contre ses tétons avec une vulgarité que je ne lui connaissais pas. Elle me surexcite. Je pose une main derrière sa tête et pousse doucement contre mon sexe. Gorges profondes. Une. Deux. Trois. Je la relève et l’embrasse.
Reprenant notre chemin, nous passons devant une porte quand il me passe une idée par la tête. J’arrête Antonia, l’embrasse et j’en profite pour descendre la fermeture Eclair de sa jupe. — Qu’est-ce que tu fais ?— J’enlève ta jupe.Je la pousse vers le bas. Antonia sourit, regarde vers la porte de notre chambre encore à une bonne vingtaine de mètres. Les hanches passées, la robe tombe à terre. Antonia se penche pour la ramasser et fait quelques pas en direction de notre chambre. Je découvre un string ficelle adorable. — Attends. Je la rejoins et l’embrasse.— Ça me gêne. Allons-y !Nous atteignons notre porte. Je n’ouvre pas tout de suite. Je glisse la carte à moitié dans l’ouverture et viens embrasser Antonia. Je m’agenouille rapidement et lèche son minou à travers le string très humide. Je l’écarte et excite le clitoris d’Antonia qui gémit avant de jouir. Je me redresse, Antonia se tourne spontanément et je la pénètre dans le couloir de l’hôtel. Pas longtemps, certes, mais suffisamment pour rendre la situation incroyablement excitante. Antonia pousse la carte et nous entrons dans la chambre.
Ce qu’il s’y passe n’a pas besoin de description. Tendre et coquin, émouvant et sexe, câlin et hard, notre rapport est fabuleux. Vannés, nous nous endormons peu après en omettant de fermer les stores. Pour la seconde fois, nous sommes réveillés par le soleil, à 6h du matin cette fois-ci, et cet oubli se transforme alors en aubaine, tant le spectacle proposé par la nature est époustouflant. L’impression de découvrir sa propre ville.
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