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De folles relations en famille…!

Chapitre 7

Inceste
Pendant ce temps, Véronique, la mère de Bernard et donc la sœur de Monique arrive dans le salon et aperçoit, sa sœur en train de sucer son fils.
— « Mais, qu’est-ce que tu fais là Monique, qu’est-ce que tu fais avec mon fils ? Mais c’est que vous avez fait l’amour ici ; mais vous êtes fous ou quoi ? Tu te crois où Monique », lui dit Véronique en la faisant se relever.— « Mais on n’a rien fait de mal, Véro, tu sais, ton fils a commencé à me peloter les seins et moi j’ai succombé en lui branlant sa queue ! », répond la tante nue comme Ève.— « Oui, mais alors, c’est vraiment impossible, tu ne peux pas continuer, laisse-m’en un peu, me permets-tu de profiter du sexe de mon fils ? », dit Véronique à sa sœur.— « Oh, je t’en prie, ma sœur, fais comme bon te semble ! », dit Monique, qui s’assit à la droite de Bernard.
— « Alors, mon fils comme cela tu pelotes ta tante et tu délaisses ta mère, cela ne va pas cela, je vais te faire voir moi, ma façon à moi de corriger cet égarement sexuel familial. », dit Véronique en se penchant vers le phallus de son fils.Véronique suça et branla la queue de son fils pendant au moins une trentaine de minutes. Monique se leva et dit à Bernard :— « Moi, j’ai envie que tu me suces ma chatte », dit-elle en se caressant le minou.— « D’accord ! », répondit Bernard, en train de subir les assauts de sa pipeuse de mère.Monique se mit debout sur le canapé, l’arc de ses jambes entourait le dessus de la tête de Bernard, qui se mit à léchouiller de sa jeune langue le sexe de sa tante, tout en titillant le clitoris.Après cette demi-heure de fellation hyper sensuelle et de cunnilingus acrobatique, Véronique dit à son fils :— « Ah, j’aime de plus en plus ta queue mon fils ah qu’elle a un bon goût ta bite, Bernard, ah qu’est-ce qu’elle est grosse et toute chaude, ah je sens que tu vas jouir, allez fais-moi plaisir asperge-moi le visage de ton jus ! », dit Véronique tout en arrêtant de branler son fils.Bernard se branla, tout en restant assis, en direction du visage de sa mère toujours penchée vers le phallus prêt à évacuer sa semence et Monique est toujours debout sur le canapé en train de se caresser.— « Ah, ça vient, je sens que je vais vider mes couilles sur toi, maman, oh je peux pas me retenir, oh ! », dit Bernard et aussitôt une grosse giclée de sperme vient inonder le visage de sa mère, toute en extase et qui est restée toute habillée, mais qui commence à avoir un peu chaud.
— « Oh, qu’il est bon ton sperme, mon chéri, oh que c’est bon de sucer son fils, oh quel pied, je commence à mouiller », dit Véronique qui glisse sa main droite sous sa jupe panthère. « Oh, Bernard, j’ai encore envie de te sucer, j’en veux encore de la bite ! », dit-elle en se remettant de plus belle à sucer son fils.Et en même temps, Brice, le mari de Véronique, arrive (la porte d’entrée du salon se trouve juste derrière Véronique) et découvre sa femme en train de sucer un homme, il avance dans le salon et dit :— « Mais que se passe-t-il ici, que fais-tu Véro en train de sucer ton fils, qui lui de son côté fait un cunnilingus à ma belle-sœur.Ah, au fait, bonjour Monique », dit Brice, qui fait une bise sur la joue gauche de la tante, plus occupée à se faire lécher la motte par son neveu. « Et bien, si c’est ça, moi je vais te prendre en levrette Véro, tu veux ? », demande Brice, qui commence à défaire son pantalon et à enlever son slip.Véronique esquisse un oui affirmatif de la tête, occupée qu’elle est à refaire partir la mèche de son fils.Brice est déjà en très grande forme, il bande déjà comme un âne et soulève la jupe panthère de son épouse, lui échancre la culotte et enfile son braquemart dans le sexe béant de sa femme.— « Allez, ma chérie, écarte bien les jambes, pour que je puisse bien t’enfiler, allez Monique, vous n’en avez pas marre de vous faire sucer la chatte par mon fils ? Descendez sur la queue de Bernard et faites-vous prendre ! Chérie, toi tu lui suces les couilles à Bernard, allez stimule-le ! », dit Brice en train d’enfoncer de plus en plus profond sa verge dans le vagin de sa femme.Donc, Monique passa devant Bernard, s’abaissa jusqu’à la verge tendue du neveu et se fit prendre le sexe tout en lui tournant le dos. Véronique se mit à mordiller les couilles de son fils et à les sucer, quant à Brice, il regardait tout cela d’un regard vicieux, tout en enfournant sa grosse queue dans l’orifice vaginal de sa femme.
À un moment, Monique dit à Bernard :— « Je voudrais que tu me sodomises, allez maltraite mon trou du cul Bernard ! », dit-elle en prenant la queue de son neveu dans la main droite et en la dirigeant vers son beau cul.Bernard sodomisa sa tante et Brice dit à sa femme :— « Quelle belle salope tu fais, t’aime quand je te prends en levrette, putain tu mouilles tu m’inondes le sexe, je vais te prendre le cul, maintenant, qu’est-ce que t’en dis », dit Brice qui visite l’orifice anal de sa femme.— « Oh oui, j’aime ça, ça me met en transe, qu’est-ce qu’elle me fait du bien ta queue, mon chéri, continue, oh oui, continue, oh oui, par le cul ! », dit Véronique en se caressant le clitoris tout dégoulinant.Bernard sodomisa Monique et Brice s’occupa du trou du cul de sa femme, tous deux les firent crier de joie pendant au moins une vingtaine de minutes et à un moment Brice dit à Monique :— « Tu veux savoir quelque chose, Monique, tes seins me font bander, j’ai envie de me taper la queue contre tes nibards, allez viens me voir ! », dit-il tout en enlevant délicatement sa verge de l’anus de sa femme.— « Oh oui, c’est vrai qu’elle est belle ma poitrine ! », dit Monique, en malaxant de ses deux mains ses deux gros lolos.Monique descendit du canapé et s’assit à la gauche de Bernard, qui lui se refit sucer par sa mère. Brice prit sa queue dans sa main droite et commença à la frapper contre les deux seins de Monique, toute émoustillée et qui sortait sa langue en humectant ses lèvres.Brice tapait de plus en plus fort sa bite contre les seins de Monique et Véronique continuait à branler et sucer son fils et dit à Bernard :— « Je vais te branler le plus fort et le plus rapidement possible et tu vas jouir mon fils, tu vas me gicler en pleine figure, allez ne te retiens pas », dit-elle en se remettant à sa fellation.— « Monique, allez aider votre sœur à faire jouir Bernard, moi pendant ce temps je vous attends ! », dit Brice en se mettant à se masturber pour maintenir l’érection.Monique se mit à toucher les couilles de son neveu tout en aidant sa sœur, Véronique, à sucer la verge de Bernard. Celui-ci dit :— « Maman et tatie, arrêtez, je vais éjaculer ! » s’exclama Bernard.Bernard se leva, se fit encore pomper et éjacula sur les deux visages, qui ne demandaient que cela.— « Oh, que c’est bon du sperme en pleine gueule », dirent en chœur les deux sœurs.Brice, quant à lui, continuait de se branler et dit aux femmes :— « Allez, c’est mon tour, maintenant, venez me sucer toutes les deux », dit Brice, en se mettant derrière Véronique etMonique, qui venaient juste de faire éjaculer Bernard. « Allez, retournez-vous, prenez-ça » et tout d’un coup une grosse giclée de sperme envahit les deux visages.Véronique décida de sucer jusqu’à la dernière goutte la queue de son fils et Monique décida d’en faire autant avec la verge de Brice.
Tout le monde se rhabilla et Monique dit :— « Bon, c’était très agréable tout cela, mais il faudrait que je m’en aille ! On se téléphone, hein ! », dit Monique en embrassantBrice, sa sœur Véronique et Monique s’en vont en faisant un pointu à Bernard, qui est en train de se rhabiller.
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