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Formation d’une novice par Mère

Chapitre 1

Trash
Je suis mère supérieure du couvent de St Nicodème. Mon nom Mère Christiane.J’ai 62 ans, grande, solide, brune aux yeux marron. Beau cul et petits seins.Nous sommes voisins de Colette, Charles et Jean Claude. Les propriétés sont mitoyennes par l’arrière ce qui permet quelques allées et venues discrètes.J’en profite moi-même souvent pour aller rejoindre ma voisine avec qui nous partageons du bon temps et le même gout du vice crade et surtout de pervertir des nouvelles, nouveaux à ces jeux malsains.
Elle s’est occupée, il y longtemps de son neveu Yves et plus récemment de Charles et Jean Claude.
De mon côté, j’ai formé mes nones et mes deux nièces : Sylvie et Marie.Je les ai toutes initiées aux plaisirs hétéro et lesbiens, à l’exhibitionnisme, au voyeurisme. Puis j’ai poussé plus loin leurs vices naturels vers l’ondinisme, le scato. Elles ont découvert et pris gout aux jeux de pipi et caca. Je dois avouer que mes deux nièces adorent maintenant venir devant notre assemblée de sœurs afin de goûter à des fentes odorantes et accueillantes. Pour chauffer tout le monde, dans le réfectoire, sur la table commune, elles se gouinent l’entrejambe puant de pisse et la raie collante de merde devant nous toutes. C’est toujours un prélude fabuleux avant une partouze lesbienne bien hard crade.
La communauté du couvent n’est plus aussi nombreuse que ce qu’il était et nous ne sommes plus que 5 avec la nouvelle novice Clémentine qui vient d’arriver.
Celle-ci est, en ce moment, l’objet de toutes mes attentions et celle de mes sœurs.A priori, elle est encore « no vice ». Mais cela va changer.Mon objectif est ce que Clémentine devienne comme nous, vicieuse, salope, sans tabou. J’adore former les nouvelles, leur faire découvrir leur vraie nature, les emmener sur la découverte de la sexualité et de toutes ses extrêmes.Sœur Christine, Sœur Laurence, Sœur Claudia, selon leur spécialité, ont toutes un rôle à jouer dans cette formation. Je les ai éduquées moi-même en conjuguant ma perversion et leurs penchants naturels.
J’avais bien préparé sa venue. Je suis folle d’internet et fréquente assidûment tous types de sites pornos.
Grace aux sites de voyeur j’ai découvert les nouvelles mini caméras et j’ai décidé profiter de ces nouveautés.Si les images sont réussies, je pense faire un petit film que je mettrai en vente sur le Net. Je suis sûre qu’il s’arrachera dans la communauté étroite qui a nos goûts.
Quand Clémentine est venue pour un premier contact avec sa mère, je me suis dit qu’il y aurait du travail19 ans, famille catholique et coincée, regard baissé, timideJolie fille au demeurant : blonde, 1 m 65, jolie croupe, seins lourds, bouche parfaite, yeux bleus cristallins
Jour 1 matin : découverte de son corpsElle est arrivée ce matin. Elle est habillée très sage, jupe plissée bleu marine, chemisier blanc le reste à l’avenant. Je suis passée à la buanderie pour prendre des affaires pour elle ainsi qu’un mètre de couturièrePour son premier habillage je veux m’en occuper moi-même, pour mieux découvrir son corps et ses réactions
Nous sommes encore habillées à l’ancienne. J’y tiens. Au quotidien, cela donne du crédit et pour nos jeux, cela apporte du piment.Aube noire ample serrée à la ceinture par une corde, collerette blanche où pend une croix imposante en buis, foulard noir bordé de blanc, chaussettes et sandales noiresL’habit d’une novice est identique aux notre, à l’exception de l’absence de blanc sur le foulard
Je la mène à sa cellule et ferme la porteJ’ordonne — Déshabillez-vous entièrement, vos habits seront rendus à la famille — Tout ? me demande-t-elle en rougissant— Oui, je veux vérifier que vous ne gardez rein de votre vie d’avant et prendre vos mesures Elle se tourne et commence à se déshabiller. Chaussures, chaussettes, cardigan, chemisier, jupeÇa commence à devenir intéressant. Ses sous-vêtements sont tout simples, blancs, classiques comme il sied à une jeune fille de bonne familleElle rougit en ôtant son soutient gorge. Elle masque ses siens— Ne soyez pas ridicule, baisser les bras je vous prie, nous sommes entre femmes de Dieu, j’en ai vu d’autres (ce qui est bien le cas et de très près…) M’exclamais-je en haussant le tonClémentine obéit. Ses appâts sont superbes, pleins, ronds, les aréoles sont grandes et foncées, le téton important, au moins 1 cm. On a envie d’y mettre la main. Ça ne saurait tarder— La culotte aussi !Elle devient écarlate et baisse son slipJe détaille ce dernier, auréole humide et jaune devant, traces plus foncées à l’entrejambe. Je comprends son embarras qui, moi, me réjouit. Je sens mon minou s’humidifierJolie chatte, poils blonds un peu frisés, fournis sur le pubis, plus clairsemés au niveau de la moulePetites lèvres proéminentes, qui saillent des grandes. Fesses fermes et rondes. — Je dois prendre vos mesures pour les sous-vêtementsJe prends le mètre ruban et mesure sa poitrine par devant, refermant le galon au niveau du téton droitJe suis volontairement maladroite et m’y reprends à plusieurs fois, agaçant la tétine à chaque passageLe téton réagit bien, il bande, devenant tout dur sous mes doigts— 100 cm — Je dois aussi estimer la taille des bonnetsJe pose le mètre sur son lit et prend chaque sein dans la main, les pressant légèrement pour continuer de l’exciter mais sans l’air d’y toucherLa consistance est agréable, souple et ferme à la foisJe la relâche puis y revient en disant — Bonnet C ou D j’hésite Je recommence mes palpations, de moins en moins discrètement. Elle répond bien se laissant faire, la tête toujours baissée mais le buste en avant
Je reprends le mètre et mesure sa taille puis son tour de cul, profitant, là aussi pour le caresser furtivement. La texture est agréable, pas de cellulite — Je dois aussi mesurer votre entre jambe, c’est une mesure importante pour le confort. Mettez vos mains autour de la taille pour avoir un point de repère et écartez un peu vos jambes Elle obéit sans réagir, peut-être même avec un soupçon d’engagementJe glisse le mètre ruban entre ses fesses. Je fais volontairement un petit aller un retour pour que le ruban ouvre les lèvres intimes de son abricot fendu et lui caresse le clito.Elle réagit. Sans s’en rendre compte, elle ouvre d’elle-même ses cuisses un peu plus pour mieux profiter de la caresse— La mesure correcte est celle de votre vrai entrejambe J’annonceJe lui écarte donc le globe fessier en la pelotant afin d’y plaquer le cordon de mesure jusqu’à l’anusJe fais semblant de m’assurer que le mètre ruban est bien en place et glisse mes doigts jusqu’à son œillet et découvre, comme espéré, que sa cyprine a coulé jusque-là, Je fais semblant de cafouiller et continue mes vas et viens vicieuxElle se mord la lèvre, preuve que l’envie monteJe la chauffe encre un peu et stoppe. Je veux la laisser pleine de désir
Je lui tends ses nouveaux habite et la prévient— C’est normal s’il n’y a pas encore de sous-vêtements, le temps que je les commande Je veux lui laisser les seins ballants et la moule à l’air pour que chaque mouvement et chaque courant d’air renforce sa libidoElle rougit de nouveau et s’habille rapidementJe fais semblant de vérifier sa mise, me met derrière elle et glisse mes main dans les poches de sa robe tout en plaquant ses fesses contre mon pubisLes goussets n’ont pas de fond et je glisse mes paluches à chatte, glissant un doigt entre ses lèvres pour vérifier qu’elle mouille toujours autant. C’est le cas et mon index est trempéElle sait désormais que l’accès à son entrejambe est toujours possible sans que quiconque puisse le remarquer
Je lui demande de sortir en rêvant au moment où je pourrais revoir toute la scène sur l’enregistrement, grâce à mes caméras bien cachées. Je sens mon index fureteur. Belle odeur de moule : cyprine fraîche et chaude, urine foxée plus vieille. Je lèche avec gourmandise cet échantillon intime de ClémentineJe récupère sa culotte déjà sale. J’en renifle enfin l’entre jambe. Fortes effluves de sexe négligé : beaucoup de pipi, pas mal de mouille, un peu de caca. Quelle plaisir de découvrir qu’elle a déjà des tendances de salope que l’on va ne faire que renforcer. Je le met dans ma poche, en souvenir
Je retourne à mon bureau pour lancer mon petit programme d’espionnage sur mes deux écransTout marche : 4 cameras dans la cellule de notre novice, 1 dans les autres cellules, 2 dans la salle de bain commune, 2 dans les toilettes, 1 à l’écurie. Je n’ai pas lésiné, qualité HD, tous les détails sont visibles
Sœur Christine frappe et je la fait entrerC’est notre cuisinière, elle a tous justes 50 ans. Gros seins (bonnet F), gros cul, ronde et potelée de partout. Châtain clair. Les yeux bleus qui pétillent de vie. De fait, elle en aime toutes ses joies possiblesElle me demande— Ça c’est bien passé cette séance, ma mère ? Comme vous le souhaitiez ? — Venez donc visionner les images avec moi, ce sera plus parlant et sentez moi cela Je lui réponds en lui tendant la culotte de la noviceElle se positionne derrière moi, ouvre le slip et positionne l’entrejambe odorant sous le nez. Je lance l’enregistrement. Je garde sur l’autre moniteur le suivi des latrinesElle prend plusieurs inspirations et se déplace pour et se mettre à côté de moi, jambes écartéesJ’ai compris l’invite et plonge ma main dans sa poche sans fondJe la glisse dans sa culotte et sent sous mes doigts son pubis glabre à l’exception d’un ticket de métro vertical aux poils drus et courtsJe descends encore et ouvre sa fente. Elle est déjà trempée. Je lui pince le clito. Il est gros comme un cornichon et je le décapuchonne pour mieux le masturber. Elle vibre sous mes attouchements. J’abandonne son bouton d’amour et enfonce quatre doigts dans sa chatte. Nul besoin de préparation pour elle. Sœur Christine aime le gros, le très gros. J’alterne du clito à sa chatteA la vision de la scène de la mesure de l’antre jambe de notre novice et sous mes caresses, elle gémit et branle avec énergie ses grosses loches sur mon épaule droite
Soudain dans l’autre monitor, nous voyons notre novice entrer dans les WC J’arrête illico mes attouchements et dit— Sœur Christine, à vous de jouer, je compte sur vous — Aucun problème, surtout chaude comme je suis avec vos caresses et cette odeur somptueuse
Jour 1 après midi : voyeurisme aux toilettesJe règle mes instruments, un écran pour chaque WC. Je la vois donc pénétrer dans l’autre cabine. Elle est vis-à-vis des premières et il y a un trou très visible de la taille d’un euro dans la cloison à 50 cm de hauteur pour que l’on puisse mater parfaitement ce qui se passe en face. Comme ce sont des toilettes à la Turque, mes sœurs sont obligées de s’accroupir et d’ouvrir leurs cuisses exhibant ainsi de façon impudique l’intimité de leurs entrejambes. Les caméras sont, elles, au ras du sol, réglables dans toutes les directions, avec zoom possible
Clémentine entre dans les toilettes et commence par tout regarder de près. Tout de suite, elle découvre la perforation dans la cloison. Elle jette un regard à travers pour découvrir la vue qu’elle offreVisiblement c’est une voyeuse qui a déjà du métierPour l’instant il n’y a personne et elle commence sa miction
Sœur Christine entre de l’autre côté, fermant la porte un peu brutalementNovice Clémentine, qui avait commencé son pipi s’interrompt et se rue sur le trou de la cloison et observe sa consœur
Cette dernière remonte sa chasuble et l’enroule dans sa ceinture, dévoilant ainsi tout son bas ventre Elle fourre une main dans son slip et commence à se branler en poussant des gémissements
Cette vue impudique renforce l’envie de Clémentine qui n’a pas encore osé : une grosse branlette. Je l’ai chauffée à fond tout à l’heure et le besoin de masturbation ne l’a pas quittée, surtout sans culotteSes doigts finissent par glisser sur sa moule et elle commence aussi à se caresser
Sœur Christine continue son travail, adossée au mur. On voit sa main s’agiter de façon perverse dans son slip orné d’une auréole jaunâtre sur le devantPuis elle se dénude, baissant son dessous, ôtant une jambe pour pouvoir écarter vicieusement ses cuisses.La nouvelle peut maintenant parfaitement mater sa moule partiellement glabre, gonflée et juteuse, deux doigts ouvrant la fente pendant qu’un troisième travaille le clitoSon œil est maintenant vissé à la séparation. Sœur Christine s’est saisie du balai chiotte. J’ai fait remplacer les manches par quelque chose de plus sérieux. Diamètre de 6 cm ; longueur 25, forme arrondie. On se demande bien pourquoi….Elle se le fourre sans chichi dans la chatte se tringlant avec motivationEn deux minutes elle jouit en hurlant son bonheur. Elle prend sa mouille qui coule et l’étale consciencieusement sur son pubis et entre ses fessesEnsuite elle s’accroupit, les jambes ouvertes au maximum pour que notre petite voyeuse et moi-même ne rations rien du spectacle. Ses lèvres intimes sont encore gonflées et baillent. Ainsi on peut voir le méat d’où commence à couler sa pisse. Sa main joue avec l’urine et elle s’en barbouille le bas ventre, portant souvent ses doigts à sa bouche, goûtant sa miction en souriantElle ne s’essuie pas et remonte sa culotte, ses jus intimes faisant une grande auréole sur le devant déjà tachéElle se réajuste et sort
Notre novice a été profondément excitée par son premier acte de voyeurisme et le spectacle en direct de la none dépravée. Je zoom sur son minou ou ses doigts s’activent fiévreusement. Je suis contente de découvrir qu’elle a un vrai savoir-faire pour la branlette à la façon dont elle se doigte. Cela ne dure pas et je la vois jouir, les spasmes de son œillet ne trompent sur la qualité de son orgasmeElle reprend son souffle et ses esprits
Clémentine doit finir son pipi. Elle se repositionne en arrière sur les toilettes à la turque. Tentée par ce qu’elle vient de voir, elle glisse son index sous le jet et le porte à sa bouche. Aucune grimace. Au contraire, elle recommence. Elle semble avoir du bonheur à goûter sa pisse. Je comprends, c’est chaud, salé, amer, c’est une pratique licencieuse qui emballe l’imagination et dont je raffoleSœur Christine a bien travaillé et éveillé sa curiosité lubrique… Ça m’étonnerait que dans sa famille on pratique ce genre de jeux. Encore que, des fois, les plus coincés en apparence sont les plus pervers, c’était en tout cas vrai chez moiUne fois sa miction et sa dégustation finie, elle cherche le papier toilette. Il n’y en pas…Elle n’en revient pas de devoir rejoindre les autres la chatte et les cuisses trempées, situation à la fois dégradante et excitante. Mais elle s’y fera, je ne suis pas inquiète…
Nous avons prévue, mes sœurs et moi de ne pas laisser sa libido refroidir et de lui donner toutes les occasions de mater des scènes de sexe dévoyé afin qu’elle ait envie, elle aussi, de succomber à ces joies perverses

Jour 2 matin : surprise à la chapelleComme prévu, Père Henry est arrivé tout à l’heure et sœur Claudia a disparutMes petits outils d’espion me montre qu’ils ne sont pas bien loin et déjà très occupésJe fais les couloirs rapidement pour trouver la nouvelleEnfin la voilà. Je lui demande— Novice Clémentine, allez à la chapelle retirer les fleurs fanées s’il vous plait
Je file aussitôt à mon bureau pour surveiller sur les moniteurs les trois caméras qui surveillent et filment le lieu SaintJ’en rajoute aussi une qui capte de mes seins à mes jambes. C’est celle qui me sert pour des plans cam très cul. Je me dis qu’au montage cela pourrait être judicieux de monter les effets de la scène principale sur ma libido. Je dénude le haut et remonte ma chasuble au-dessus du nombril, exposant ainsi de façon impudique mon intimité
Pour finaliser ma perversité, je décide de m’équiper pour prendre mon pied au mieux.J’ôte mon slip déjà humide et ’ouvre mon tiroir du bas. J’y range quelques objets de plaisir. Je n’hésite pas longtemps et choisit mon dernier achat sur internet que je veux étrenner moi-même avant, éventuellement, d’en diffuser l’utilisation. C’est une culotte en latex noire avec un double godemiché gonflable à l’intérieur. J’ai vu sur le net deux gouines équipées de la sorte se donner beaucoup de plaisir et cela m’avais vraiment tentée. De plus ma voisine Sylvie me l’a conseillée avec beaucoup d’insistanceHeureusement que mon foutre mouille mon entrejambe car c’est un peu long à s’enfiler.Mais une fois fait, les deux godemichés en place, un dans la chatte, un dans le cul, je me sens bien, déjà comblée.Je glisse les deux seins au-dessus de mon soutient gorge, pince les tétons déjà gorgés de sang pour finaliser la bandaisonJe me trémousse sur ma chaise pour enfoncer mes deux bites factices bien à fond. Je me saisis des deux poires de gonflement. Je suis prête à faire la voyeuse
Clémentine pousse la porte de la petite sacristie qui donne sur le cœurA peine entrée elle entend une voix mâle— C’est bien Claudia, suce moi le gland, branle moi la queue Mon DIEU c’est divin. Revient sur le frein, le trou à pisse maintenantLa jeune none se dirige alors sans bruit vers le rideau en partie entrouvert qui donne sur la chapelleLa scène la saisieLe curé, le père Henry est allongé sur l’autel, le cul nu et sœur Claudia lui suce sa grosse biteC’est la première fois qu’elle découvre le sexe d’un homme et quel sexeLe curé bande comme un étalon, très grosse bite, bien longue mais surtout très épaisse avec au bout, un énorme gland violacé en forme de champignon. La hampe aux veines noueuses doit bien faire 6 à 7 cm de diamètre et c’est pire ou encore mieux au bout…Le fait que son bas ventre soit entièrement rasé renforce l’impression de virilité La bouche de Claudia est distendue par l’énormité de la chose et pourtant elle s’applique aspirant le gland, tournant autour avec sa langue, s’attardant comme demandé sur le méat avant de glisser sur les bourses glabresIl gémit sous la douceur de la caresse buccale.Soudain il repousse la tête de la none et lui dit— Arrête, je vais jouir A mon tour de te faire du bien
Il se met debout et couche la sœur Claudia sur l’autelClémentine ne l’avais pas encore croiséeC’est une jeune brésilienne d’une vingtaine d’année à la peau mateLe curé lui fait ôter les manches de sa robe, dévoilant une poitrine gracieuse, aux seins ronds, aux aréoles noiresPuis il remonte le bas de l’aube qui ne fait plus qu’un amas de tissus sur son ventre et baisse la culotte qu’il met dans sa poche
Clémentine n’en croit pas ses yeux et retient un criElle découvre l’entrejambe de sa consœur. Il y a à la fois une bite bandée et une fente juste en dessous, à la place des couilles. Le tout est totalement imberbe, mettant en évidence cette curiosité de la natureEffectivement Claudia est hermaphrodite. C’est la raison pour laquelle nous l’avons récupéré au couvent, sa famille n’arrivant pas assumer cette particularitéNous lui avons fait tout de suite une place. Nous l’avons formé à accepter cette dualité que maintenant elle revendique, ne manquant jamais une occasion de satisfaire sa libido double
Le curé est toujours fasciné par ce qu’il connait déjà trop bien. Il regarde longuement ce sexe dual : le sexe noir au gland rose, les lèvres foncées qui s’ouvrent sur des chairs intimes suintantes, couleurs pêche. Il se jette sur la bite, la suçant longuement avant de descendre vers la fente. Celle-ci est comme celle des autres femmes. Elle est trempée de mouille. Il manque juste le méat urinaire et le clito qui se trouvent sur la verge.Henry lape le jus qui coule puis sa langue titille le trou du cul si sensible qui s’entrouvre sous la caresse. Il y glisse la pointe rose qui s’enfonce dans l’œillet
Claudia veut sa grosse pine il le sait. La question est par quel trou commencer ?Il décide : ce sera son cul, à sec. Il point son gourdin et commence à pousser en embrassant la jeune none à pleine bouche pour la faire taireCette dernière écarte ses fesses à deux mains pour faciliter l’introduction et ouvre le compas de ses jambes au maximumLe gland énorme force l’œillet et s’enfonce dans le boyau culier de la sœur qui gémit sous le diamètre du monstreLe Père Henry la prend par les hanches et l’empale à fond, restant quelques moments immobiles pour profiter de la pression du sphincter outragé sur son sexe bandéPuis il se retire doucement, entraînant de par le diamètre de l’engin, les chairs avec lui. Je vois l’anus se retourner comme un gant tandis qu’il sort lentement l’énorme matraque de ses fessesSans s’occuper de rien, le curé continue doucement son retrait.Un long arrêt pour admirer le trou béant qu’il vient de créer puis d’abandonner. Il le réinvestit tout aussi doucement, savourant sa progression Mais il veut plus. Plus pour Claudia, plus pour lui.Il se saisit d’un cierge presque totalement consumé sur le chandelier de l’autel. C’est du gros. Il se cambre en arrière, dégageant leurs bas ventres et l’enfonce sans ménagement dans la fente de la none, appuyant avec son pubis pour que le godemiché consacré pénètre le plus profondément possible De sa main droite il branle la queue dressée. Il se sent bien, sa hampe est compressée par la bougie, la nonnette est pénétrée par tous les trous et il la masturbe. Que demander de plus ?
De mon côté, pour accompagner la double pénétration, à chaque aller-retour, je gonfle une poire. Un coup la chatte, un coup le cul. J’ai le ventre tout dur. Mes trous sont plus que comblés par les ballons qui grossissent encore. J’ai l’impression d’avoir deux pines de cheval en moi, une devant, une derrière. L’une me massant l’entrée de l’utérus, l’autre mon ampoule anale. J’ai beau jouer des sphincters, rien ne bouge, la culotte empêche tout mouvement. Dieu que c’est bon d’être dilatée de la sorte
De son côté, novice Clémentine a depuis longtemps perdu toute retenue. Elle a coincé son aube dans la ceinture et se paluche la cramouille à pleine main, doublement excitée par la vision de la scène et l’odeur qui monte de son bas ventre. De temps à autre elle hume et lèche ses doigts avant de beurrer de son jus son sexe et de reprendre sa masturbation
Le curé a accéléré sa fornication. Il est au bord de la jouissance. Claudia en est au même point. Mais l’homme d’église veut se faire prendre, il veut se faire enculer comme une demoiselle. Il stoppe tout, retire sa pine, laissant le cierge en place dans la moule. Une idée salace lui vient. Il va au tabernacle et se saisit du calice qu’il pose à côté de luiIl revient, s’appuie sur l’autel et tend impudiquement ses fesses à Claudia. Cette dernière le prend alors direct, sa queue pénétrant sans difficulté l’œillet en étoile du prélat qu’elle martyrise de violents coups de rein. Le contraste de la bite noire profanant le cul blanc est saisissant.D’une main elle se saisit de la coupe et de l’autre elle branle le curé pour qu’il éjacule dans l’objet sacré.Sa main ne fait pas le tour de la bête mais l’excitation est telle qu’en quelques minutes l’homme de Dieu jute de longs jets de foutre crème. Claudia, imaginant le gout de la communion du lendemain, l’accompagne fourrant de son sperme les entrailles du gros enculé
Mon Dieu, quelle scène. Je pompe encore deux coups et la compression dans mon ventre fait lâcher ma vessie pleine. Mon urine chaude se repend dans la culotte en latex qui fait couche. Cette dernière dépravation couplée à la pression folle de mes godemichésgonflés à mort et la perversité de l’action me fait jouir moi aussi sans même toucher à mon bouton d’amour. Je pense que je vais généraliser l’usage de cette culotte doublement vicieuse…
Mes caméras ont tout enregistré. Même si quelques détails doivent être imaginés l’essentiel est là. Un homme de Dieu en plein sacrilège se faisant prendre par un hermaphrodite sous l’œil vicieux d’une novice qui se dévergonde à vue d’œil et d’une vieille salope par caméras interposés

Jour 2 midi : le savoir-faire de LaurenceNovice Clémentine traîne de plus en plus longuement aux toilettesElle veut continuer à découvrir la face intime de ses consœurs, tant physiquement que dans leurs pratiquesElle a pris gout au voyeurisme. Elle veut les voir, cuisses écartées, découvrir leur fente intime, leurs pratiquesJe surveille activement tout cela sur les moniteurs dans mon bureauSauf Laurence, nous y sommes toutes passés, moi y comprise. Chacune a fait sa sale afin de renforcer Clémentine dans les orientations sexuelles où nous voulons l’amenerIl faut maintenant qu’elle aille plus loin et qu’elle se mette à nos pratiques
C’est Laurence qui vient. Elle a des consignes claires, qu’elle se fait une joie de mettre en œuvre : poussez notre novice plus loin dans la perversion et la guider dans la concrétisation. Elle sait que le WC voisin est occupé car elle a essayé de l’ouvrir avant de s’introduire dans celui de gauche.
Laurence commence par enlever son aube, son slip et son soutien-gorge, dévoilant ainsi sa morphologie. Elle veut que Clémentine puisse la mater tout à loisirLaurence a la quarantaine, pas très grande, menue, châtain, les yeux marron avec des lunettes d’intellectuel. Elle a été comptable dans une autre vie. Ses seins sont petits en forme de poire, taille bonnet B, avec des aréoles peu marquées et le téton discret mais terriblement érectile. Sa chatte est bombée, ses petites lèvres sont invisibles, masquées par les grandes. Cela fait une fente droite, comme une adolescente pré pubère. Sa toison est peu fournie, surtout sur les côtés de son trou sexuel, son anus est imberbe
Elle prend son temps, restant debout, face à la perforation dans la cloison, un peu en contre bas de sa moulePuis elle ouvre ses jambes, écarte ses lèvres intimes exhibant à Clémentine son intimité rose et suintantePuis elle se saisit du balai chiotte. Elle se tourne sur elle-même, jambes droites, brossant les toilettes à la turque, exposant ainsi son cul ferme. La novice peut découvrir la fente de l’abricot et l’anus couvert d’une pate brune, entouré d’une trace marron de 5 cm de diamètreLaurence se redresse, se retourne et renfile sa culotteLa novice doit surement se demander ce qu’elle fait
Soudain on entend le chuintement caractéristique du pipi. Sa culotte en devient transparente, moulant son intimité. Le pipi s’écoule à travers son dessous. Comme convenu, elle se pisse dessus !Elle glisse une main dans son slip et commence à se masturber dans son pipi chaud qui coule sous elle, maculant ses cuisses. Fréquemment, elle la retire et suce goulûment ses doigts trempés
Ensuite elle s’accroupi, gardant sa culotte trempée, mais la tirant sur un côté, exposant ainsi son anus souilléElle se saisit du balai chiotteElle pousse, pousse. On voit surgir la tête d’un énorme étron qui ouvre l’œillet anal Avant que la pointe de sa merde soit complètement sortie, Laurence enfonce d’un geste déterminé la poignée du balai dans cette matière, la repoussant dans son sphincter et commence à ramoner son trou Je zoome pour immortaliser cette scène qui maximisera mon plaisir malsain au visionnage
Le manche est maintenant couvert d’excréments, la lubrification doit être parfaite car les vas et viens sont parfaitement fluides Laurence retire le balai chiotte, laissant la merde réapparaître avant de la repousser illico dans sa boite à caca et recommenceSes jambes tremblent, sa moule baille et sa jute coule au sol. Elle est juste au bord de l’orgasme
Pour se finir, elle porte une main à sa chatte, se décule, laissant les excréments enfin s’échapper et porte à sa bouche le bâton merdeux qu’elle entreprend de nettoyer.Ses doigts s’activent à toute allure sur son clito, ses lèvres sont désormais barbouillées de caca et elle jouit en hurlant son plaisirLaurence reprend doucement ses espritsElle se rhabille sans autre forme de procès, sans essuyer aucun de ses trous, sa culotte épousant son pubis trempé et son entrejambe collante de merde
Elle sort et se dirige vers la porte voisine. Elle frappe à petits coup et annonce— Clémentine, ouvre-moi, je sais que c’est toi. Je sais que tu as tout maté, petite voyeuse. J’espère que tu as aimé Je devine que tu t’es branlée comme une folle Laisse- moi rentrer que tu puisses sentir, goutter et toucher, que je puisse te faire découvrir d’autres plaisirs
Quelques secondes et la poignée tourne, laissant apparaître le visage écarlate de la noviceLaurence met son pied dans la porte au cas où. Mais non, Clémentine l’ouvre en grand, la laissant entrerLaurence la plaque sur le mur du fond, lui pétrissant les loches et lui roulant un patin d’acierIl doit avoir un gout d’enfer celui-là, avec tout ce qu’elle vient de goûterClémentine ne fuit pas cette bouche malgré sa couleur infecte et l’odeur fétide qu’elle dégage. Bien au contraire, c’est elle qui insiste avec sa langue, qui la fouille en prenant son temps
— Je vois que tu aimes mon gout. Il est pourtant fort et bien dégueulasse Comme tu apprécies, vient sous mon aube, petite cochonne. Tu vas adorer mon un bas ventre qui pue la none lubrique annonce Laurence.Clémentine se met à genou et se glisse illico sous la robe que rabat prestement sa sœur aînée— Tu vas adorer cette situation, petite perverse. Cela concentre les parfums et avec le noir, l’odorat est exacerbé Vient mettre ton nez sur le devant de mon slip trempé, sur la tache jaune et odorante Enfonce tes narines dans ce linge souillé. Respire cette bonne odeur de pisse et cyprine fraîches et faisandées, le parfum plus lourd et un peu écœurant du sperme ordonne Laurence, excitée par cette formation qu’elle donneElle se baisse un peu pour ouvrir ses cuisses et pour accentuer l’odeur merdeuse qui vient du fond de sa culotte souillée de ses pratiques dégueulassesElle commente :— Vient goûter ma merde fraîche C’est bien, je sens ton nez dans ma raie. Appuie, tu sentiras le moelleux de la chose Je me baisse encore pour que ta bouche puisse mâchouiller mon slip Mouille le, tu m’embrasseras après pour que je vérifie que tu as bien obéit Écarte l’entrejambe de mon slip avec ta langue. Vient fouiller ma fente qui pue la femelle en rut et mon anus beurré d’excréments Je devine la tête qui s’agite sans retenue, Clémentine applique les ordres sans regimber, avec plaisir surement.Ces dernières heures, elle tend à découvrir sa vraie nature de femme perverse, découvrant son attirance pour les pratiques les plus extrêmes
La jeune none ressort de dessous la robe, le nez, les lèvres salis et se relèveLes yeux dans les yeux, Laurence lui explique— Je vais t’apprendre à te préparer le bas ventre comme il se doit, à sentir le monastère du vice Il faut que chaque personne que tu croises sente l’odeur de ton sexe sale, que ton parfum puissant de salope lubrique lui monte à la tête. Il faut que ce remugle dégueulasse lui donne une envie irrésistible de bite, de moule, de foutre, faisant tomber tous ses tabous, ses retenues, ses interdits, son éducation. Si c’est un homme, sa queue doit bander en deux secondes et être dure comme l’acier. Si c’est une femelle, ses tétons doivent saillir, sa chatte gonfler et la mouille dégouliner.Elle ordonne — Déshabille-toi complètement, écarte tes jambes Fait pipi, sans tout vider d’un coup
Clémentine s’exécute, Laurence a mis ses mains en coupe sous l’intimité de la consœurLaurence continue de sa voix d’institutrice lubrique— A chaque pipi, tu en prends plein la main. Puis, comme je te le fais en ce moment, tu l’appliques sur tes lèvres, ton pubis poilu, ton bas ventre, dans ta raie, sur tes fesses et sur tes seins. Si tu te branle, tu fais la même chose avec ta cyprine Met tes doigts dans ta moule, caresse-toi !! Montre-moi !! Utilise ta mouille !!! Excellent, continue comme cela
Je vois sur mon écran la novice prendre son jus à la source sexuelle pour s’en barbouiller les parties déjà dégoulinantes de pisse
Laurence commente— C’est très bien Clémentine Tourne-toi, que je doigte ton cul Parfait, parfait ! Tu es bien pleine, je sens ta merde sous mon index. Elle a la bonne consistance, juste souple comme il faut Je vais pouvoir te montrer la procédure complète tant que tu es encore trempée d’urine et de mouille Je vais te crocheter l’anus pour ressortir une noisette de ton caca puant
Je la regarde faire, beurrant de la pâte excrémentielle chaque côté de ses lèvres, son bas ventre au-dessus des poils pubiens, plus un toute petite touche sur chaque téton— Refait pipi, maintenant, que l’on fasse fondre tout ce bon Nutella en un liquide maronnasse qui va parfumer ton intimité, mélangeant savamment le gout et l’odeur d’urine et d’excrément Ta touffe va être puissamment parfumée, comme il le faut Je les vois faire faire fondre à l’urine chaude la merde encore collante, laissant une couleur juste un peu trop brune pour être honnête
Doctement Laurence explique — Tu dois laisser un peu sécher avant de sortir, histoire que la culotte n’essuie pas tout. Pour l’instant cela ne pose pas de problème puisque tu n’en a pas Clémentine, tu me plais. Tu aimes la dépravation : tu mates, tu te branle, tu m’embrasses la bouche au gout de merde, tu te laisses faire Tu m’as donnée envie de te violer le cul. Je vais te faire découvrir le plaisir indescriptible d’être enculée le cul plein, c’est à mon avis la meilleure des pénétrations. Je vais prendre le balai chiotte modifié par mère Christiane et, comme je l’ai fait pour moi-même tout à l’heure, je vais te forniquer l’anusEcarte tes fesses à deux mains que je te reprenne un peu de merde pour graisser le manche» Je la vois s’affairer et commencer une branlette au caca sur le bout de bois
Clémentine s’est tournée face à la cloison.Je vois un sourire illuminer sa tête ébahie quand Laurence commence à œuvrer entre ses fesses— Pousse de toi même pour faciliter l’introduction, comme pour chier ordonne Laurence Elle n’est pas vierge du cul, j’en mettrais ma main à couperLaurence la travaille doucement, enfonçant petit à petit le gode artisanal à fondElle explique— Tu vas voir, si tu as mal, la douleur va s’estomper et le plaisir monter. Tu vas avoir l’impression que ta boite à caca va exploser sous la pression du manche et des excréments que tu retiens. Tes sensations vont devenir démentes : tu vas te sentir fouillé, humiliée, une envie de chier monstrueuse qui grandit. Même si tu pousses, la pression dans mon ventre ne descendra pas et c’est jouissif, je te jure
Je vois ses beaux yeux bleus qui commencent à tourner. Sa bouche est entrouverte et elle halète comme un petit chienSoudain sa jouissance l’emporte et elle se laisse aller, utilisant des mots orduriers qu’elle n’avait encore jamais employés— Encule moi grosse gouine, grosse salope !! Défonce-moi la rondelle Fait exploser ma boite à merde !! Je suis une truie, c’est trop bon de faire prendre le cul plein !! Et elle s’effondre à genoux
Laurence ressort l’instrument du plaisir et le nettoie grossièrement entre les fesses de la novice, la laissant la raie culière luisante de merde grasseElle le tend ensuite à Clémentine et ordonne d’une voix qui ne laisse aucune place à la désobéissance— Suce, lèche salope C’est ta merde chaude Tu dois me le rendre nickel
Clémentine obéit Le contraste de sa langue rose sur le bois merdeux est excitant de débaucheBientôt les couleurs s’inversent et après quelques minutes d’efforts consciencieux, c’est sa bouche qui est toute souillée et le manche du balai propre
Pour conclure, Laurence lui roule une pelle baveuse, leurs langues échangeant leurs salives chargées au gout âpre et dégueulasse. Leur baiser dure longtemps, les deux nones y trouvant un plaisir malsain.Elle lui dit — Rhabille-toi jeune truie, sans rien essuyer, enfile ton aube noire sur son cul merdeux et sa chatte pisseuse Tu vas voir, à chaque pas, quand l’air se glissera entre tes jambes, tes effluves de fange remonteront vers ton nez et celui de tous ceux que tu croiseras Tu ne pourras faire oublier que toute ta personne sent le vice, le stupre, le sale. Un véritable appel à te violer au coin d’un bois ou sur une table Je sais que tu vas adorer
Clémentine secoue délicatement son aube pour découvrir cette odeur. Ses yeux se ferment de plaisir sous la force du parfum et l’idée de savoir que tous vont découvrir grâce à leur odorat que c’est une sale, une grosse dégueulasse.
Je suis ravie, la qualité des images est superbe.Encore quelques scènes comme celle-ci, un montage sympa et les finances du couvent seront renflouées. La vente sur les sites spécialisés va faire un malheur, j’en suis sure.Les amateurs de hard crade vont en être fous. Ça va faire couler des litres de sperme et de foutre

Jour 2 après-midi : la confessionSi le père Henry est venu ce jour, c’est aussi officiellement pour confesser la novice qui commence sa nouvelle vieAvec notre bon curé qui est aussi dans la « combine » nous avons préparé un petit scénario
Notre confessionnal est dans la chapelle. Il a classiquement 3 portes. Mails il est en forme de L et les loges latérales sont plus grandes que les modèles que l’on voit habituellement.La séparation entre les compartiments en grillage, complétée d’un rideau est toute à faite classique. Par contre, sous cette dernière, la cloison coulissante entre pénitent et le confesseur l’est beaucoup moins. Cela permet à ce dernier l’accès direct au con et aux fesses du pécheur, le bien nommé confessé, et réciproquement
J’ai annoncé à Clémentine que le Père Henry va la recevoir à confesse pour son admission dans notre communauté et lui demande donc de se présenter à 15 hQuand elle arrive, je suis moi-même dans l’autre loge. Le rideau du côté de notre novice est volontairement entrebâillé pour que notre petite curieuse puisse mater tout à loisirLe père Henry est assis bien au fond de sa chaise, de face pour moi, profil pour elleAu lieu de murmurer, nous parlons à voix suffisamment haute pour que Clémentine entendent tout— Ma mère avez-vous péché ?— Oui mon Père en pensée et en action— Dites m’en plus ma Mère. Toujours vos pensées et vos actes lubriques ?— Mon père la nouvelle m’excite— Quand sa mère l’avait présentée, j’avais pris cette dernière à l’écart dans mon bureauJe voulais connaitre son sentiment sur la « pureté » de sa filleElle m’avait avoué sans difficulté que, comme elle, elle était très attirée par tout ce qui touche au sexe et elle l’avait surprise de nombreuses fois la main dans la culotte à se branler le minouA ces mots, le père Henry se débraguette, sort son sexe et commence à le branler entre deux doigts. Je vois son pouce et son index masser son gland qui devient turgide sous la caresse. Je sais que Clémentine profite aussi du spectacle, surtout qu’elle est de profilJ’avais fait la surprise et avais demandé de détaillerSa maman c’était alors vautrée dans un luxe de détail très excitantJ’avais alors commencé à écarter mes cuisses et à relever mon aube jusque sur mes hanches, dévoilant ma culotte souilléeSa mère est en réalité une grosse salope à jupe plisséeElle n’a pu résister à cette vision et surtout à l’irrésistible odeur de ma moule faisandéeElle s’est jetée entre mes cuissesJ’ai alors rabattu sur sa tête la robe pour emprisonner les odeursElle m’a bouffée la moule comme une reineJe lui ai même pissé un peu à la gueule et elle a tout buJ’ai pu lui doigter les deux trous qu’elle avait fort délicieuxAu-delà de sa langue, je sais que c’est ce qui a déclenché mon plaisirElle m’a fait la promesse de revenir pour une découverte plus « approfondie »— Dites-moi tout ma Mère et à Clémentine, qu’avez-vous fait ?— Dès le premier jour j’ai profité de la séance nécessaire d’habillage ou je l’avais mise nue pour pouvoir la mater et la peloter J’ai même caressé sa fente, goûté sa mouille et senti sa culotte Je veux faire comme avec mes autres sœurs, la pervertir dans le sexe, dans le sale. Je veux que sa moule pue le vice, la pisse et la merde mélangés, ce divin parfum auquel personne ne peux résister Un peu comme la mienne en ce moment— Puis-je aussi profiter de cette préparation enivrante ?— Bien sur mon pèreNotre curé à fait glisser la cloison mobile et commence à me caresser les cuisses et à remonter mon aube. J’ouvre le compas de mes jambes. Une bonne bouffée d’odeurs animales remonte instantanément dans le confessionnalCela fini de l’exciter et Henry ôte son pantalon et son slip kangourou. Sa superbe queue rasée avec son énorme gland bande comme jamaisIl s’occupe aussi de moi et glisse un doigt fureteur dans l’entrebâillement de mon slip odorant et le me caresse doucement la chatte, écartant mes lèvres intimes, effleurant à peine notre clito bandé. J’ouvre au maximum les cuisses pour lui donner plein accès à mon entrejambeSon majeur glisse entièrement dans ma fente ouverte et détrempée de cyprine. Une fois bien lubrifié, il vient masser ma rondelle anale puis la perfore.Il l’enfonce dans l’anus en le massant jusqu’au moment où il rencontre un obstacle mou et chaud. Il retire son doigt et le suce. Puis il le remet et tout doucement, touille-le tout. Je devine son sourire dans la pénombre. Je continue à lui parler sous la caresse anale— On progresse, un peu comme votre doigt en ce moment… Elle adore regarder par le trou de la cloison des toilettes ses sœurs faire les petits et grosses commissions. C’est une voyeuse et une exhibitionniste Laurence s’est exhibée comme une dégueulasse qu’elle est devant elle et elle l’a laissé entrer dans ses WC. Elle s’est fait sucer à fond la moule et la raie. Elle a tout nettoyé et d’après ce qu’elle m’a dit c’était plein de pisse et de merde. Laurence m’a aussi avoué l’avoir initié à préparer son bas ventre et notre novice s’est laissé faire. C’est en tout cas réussi car je l’ai croisée tout à l’heure et j’ai failli la convoquer dans mon bureau pour pouvoir lui bouffer la fente et le cul tellement elle sentait fort et bon— Je vois ma Mère que le vice vous tient toujours à cœur. Ma mère tendez moi votre cul que je vous punisse par où vous voulez pécher— Mais il est sale mon père, comme celui de notre novice et je n’ai pas été aux toilettes— Raison de plus mon Mère et dites des Notre Père pour votre pardon pendant que je m’occupe de votre gros cul bien pleinJe me tourne, toujours à genoux et introduit mon postérieur dans la loge centraleNotre curé commence par frotter son gland dans ma raie. Il écarte le fond du slip sur le côté. Je le sens appuyer sur mon anus alors je m’ouvre avec délectation. C’est ce que je voulais depuis le début : une grosse enculade merdeuse bien dégueulasse pour que notre novice voit ça en directHenry s’enfonces dans mon rectum serré qui retient mes intestins depuis hier. Je soupire volontairement très fort sous le plaisir de la profanation anale. Je me dilate au maximum, écartant mes fesses à deux mains, pour qu’il puisse me mettre plus profond. Je sais que je souille de mon caca gras et collant son vit. Je sens que mon étron moule amoureusement son membre bandéHenry rentre et ressort doucement, me prend de toute ta longueur de sa queue maintenant bien brune et bien graissée qui s’enfonce en moi en souplesse. Je sens son gland énorme passer et repasser mon œillet Je sais que Clémentine peut, de côté, voir le membre disparaître en moiMe faire mettre au petit sale dans un confessionnal sous les yeux de la nouvelle me fait jouir en peu de temps. Notre bon père n’a même pas eu le temps de dégorger sa bête
Je me retire et Henry ferme la cloison de séparation. Le sexe toujours en érection il ouvre le rideau de notre novice. Comme convenu, il laisse le rideau entrouvert pour que je puisse, à mon tour, faire la voyeuse sachant que mes caméras ont tout enregistré. — Bonjour mon enfant— Bonjour mon père— Ceci est votre première confession. Pour connaitre votre degré de turpitude, avouez-moi, selon vous, le péché le plus sale que vous avez commis. Cela me permettra de les étalonner — Mais mon père c’est si particulier, je n’ose…— Vous devez me le dire, j’en ai vu et entendu beaucoup et je ne serai être choqué— Bien, comment commencer… A l’école les toilettes à la turques se faisait face, deux rangées de 6 WC Les élèves et les professeurs les partageaient Je passais mes récréations à regarder sous les portes d’en face qui ne descendaient pas jusqu’au sol. Je me mettais au milieu de la rangée de droite et je pouvais surveiller les 3 cabines d’en face Je crois que c’est là que je suis devenue une vraie voyeuse J’ai pu voir les moules de toutes les autres écolières et des professeurs. J’ai vu tout type de chattes, des poilues, des imberbes, des taillées, des rasées. Les lèvres sexuelles sont toujours fascinantes : celles qui dépassent, celle qui sont cachées, les grandes, les toutes droites, les plissées comme un pétale de rose, les fentes serrées, celles qui baillent J’ai des images fortes qui me reviennent Claudine la femme de ménage de l’école était divorcée la cinquantaine bien sonnée Tous les vendredis elle portait une culotte chair totalement transparente qui lui moulait la chatte comme une seconde peau A la dernière récrée elle pissait sur un gros Plug métallique puis se le mettait dans le cul La rumeur courrait que le weekend elle se faisait démonter par une bande de noirs aux grosses queues J’ai découvert que la prof de français, Sandrine, un petit bout de bonne femme se mettait un god énorme mais très court dans la chatte avant de remonter son jean serré et de le reboutonner Cela explique pourquoi, à certains cours, elle se dandinait d’un pied sur l’autre, toute rose et l’air ailleurs A une porte ouverte, j’ai découvert que Nathalie, la mère d’une amie, sous sa jupe, portait des culottes fendues en dentelle sur une touffe blondes aux poils soigneusement taillés Elle a la réputation d’être chaude, alors équipée comme cela… Mais mon meilleur souvenir c’est indéniablement Madame Josette, la prof de mathématiques Elle a une cinquantaine, elle est pourtant très BCBG, ronde, pas très grande, habillée chic Elle commençait par ôter complètement sa culotte. Elle s’accroupissait, cuisses grandes ouvertes puis commençait à uriner. Elle se branlait le clito dans sa pisse. Quand ses doigts étaient bien trempés, elle s’en mettait un ou plusieurs dans le cul. Je les voyais ressortir tout marron puis il disparaissait de ma vue. Quand je les revoyais de nouveau ils étaient tout propres Je suis sure qu’elle les léchait, ce qui expliquait bien son haleine de chacal. Avant de sortir elle remettait son slip. Elle ne s’essuyait jamais et sa culotte blanche était toujours auréolée d’humidité devant et de traces marron au fond Cela m’a donné l’envie de l’imiter et j’ai moi-même commencé à jouer avec mes humeurs intimes. Ce sont des goûts que j’ai tout de suite aimés. Ce que je découvre au couvent me convient parfaitement— Je vois que vous allez prendrez du plaisir ici. Vous avez regardé par l’entrebâillement du rideau et vous m’avez vu enculez dans le gras votre Mère supérieure n’est-ce pas ?— Oui mon Père c’était fascinant et je me suis branlée en vous regardant la profaner. J’ai envie que vous me preniez ainsi— Cela viendra en son temps, après une cérémonie qui vous sera consacrée— En attendant et pour la rémission de vos péchés, venez sucer ma pine toute sale. Je suis sure que cela vous comblera. Je vais réciter des Je vous salue Marie jusqu’au moment où je vais juter dans votre jolie bouche— Je ne l’ai jamais fait mon pèreHenry fait coulisser la paroi de séparation, ouvre le rideau de sa loge pour éclairer la scène— Il faut bien commencer Clémentine et mon sexe est parfait pour une découverte de la fellation. Regardez ma pine, elle est toute tachée. C’est ce qu’on appelle un éclair au chocolat. Christiane a laissé une longue trace noire de merde sur mon vit, exactement comme la garniture sur la pâtisserie. Il y en a aussi une large corolle merdeuse sous mon gland. Venez donc goûter jeune novice
Je vois alors la tête couverte du foulard mais d’où quelques mèches blondes s’échappent se pencher sans hésitation vers le sexe merdeux. Clémentine ose une remarque— Mon Père, votre membre sent si fort. c’est si tentant, ma fente en est trempée de mouille— C’est de l’excitation normale et saine ma sœur Je ne me lave jamais moi-même la bite Je laisse à mes partenaires le soin de le faire avec leur bouche Le gout et l’odeur des culs et des chattes que j’ai défoncé est toujours apprécié, comme vous en ce moment Prenez ce vit La bouche s’empare avec difficulté de l’énorme gland. Sa bouche en est pleine, pleine aussi du gout de ma merdeHenry conseille. — Salivez, sucez, avalez Faites tout le tour du gland avec ta langue, insistez bien en dessous pour ne rien laisser Allez y tétez, rendez la bien propre Si vous travaillez bien vous aurez droit au fourrage au chocolat blancClémentine s’active. On se rend bien compte qu’elle prend du plaisir à obéir à notre prêtre dévoyDe fait, elle abandonne le gland pour s’occuper de la trace noire sur la hampe. Elle la lèche à grand coup de langue. Une fois celle-ci propre elle se remet à pomper HenryCelui-ci la prend par la tête et la force à engloutir plus profond son braquemartQuelques allée et retour et il jouit en beuglant, lâchant une purée épaisse dans la bouche noviceClémentine avale tout et se redresse pour lui glisser— Mon Père, je préfère ces éclairs à ceux du boulanger Le mélange chocolat noir et chocolat blanc est divin— Je comprends ma fille, tes goûts sont naturels Si tu as soif, je peux t’offrir un peu de champagne chaud— Oui mon Père, avec plaisir— Alors tête ma queue Je vais pisser à petit coup pour que tu puisses tout boireJe vois alors Clémentine prendre le sexe en bouche puis déglutir, déglutir, déglutir. Pas une goutte ne s’échappeLa scène dure bien trois minutes. Clémentine se redresse et commente— Mon père, votre pipi est bon et fort comme un alcool J’ai adoré vous sentir vous vider en moi — Ma fille, tu as un talent que Dieu ne saurait laisser inexploité Nous allons finir de te former avant de baptiser dans le vice avec nos amis dans une belle cérémonie
Cette dernière scène et mes mains actives dans les poches de ma chasuble m’ont aussi amené au septième ciel Je quitte alors le confessionnal en faisant suffisamment de bruit pour Clémentine soit assurée de ma présence pendant cette « con fesse »
Jour 2 après-midi : un amour de chevalClémentine est revenue troublée de la chapelle et pour cause…Christine l’a prise en main et m’a prévenue qu’elle est partie avec Clémentine pour lui faire faire le tour du potager, des remises de l’étable, pour finir par l’écurieLà aussi j’ai implanté quelques camérasIl faut dire que rien n’est vraiment fait au hasard. Le plan de formation de notre novice a été élaboré toutes ensemble lors de longues veillées qui ont toujours finies en partouzes généralisées. Il faut dire que chercher des idées perverses excitait tout le monde comme des folles. Chacune a donc décidé très volontairement de prendre une ou plusieurs parties de l’initiationC’est à ce moment, et grâce à mes achats sur le net de mes discrets espions, que l’idée a germée de filmer la découverte par Clémentine de la sexualité très débridée du couvent avec l’objectif final d’en faire un film propre à faire fantasmer les amateurs de crade, nones, zoo…
Je visualise bien les deux sœurs dans l’étable, le son est bonChristine s’approche de notre étalon. C’est un double poney entier alezan de 5 ans d’âgeLeur dialogue est prometteur— Tu aimes les chevaux— Oui je les adore. Et ça sent si bon dans les écuries— Voici Alban, le seul mâle de notre communauté, enfin presque— Que veux-tu dire par enfin presque ?— Claudia est, comment pourrait-on dire, un peu spéciale, à la fois mâle et femelle. Elle a une bite et une fente. C’est un hermaphrodite. Elle peut fourrer et se faire fourrer !! Quelle chance elle a !! J’aimerai tellement avoir une bite pour défoncer les culs et les chattes !!— Je sais, je l’ai vue sur l’autel de la chapelle se faire pénétrer par M le Curé, avant qu’elle ne lui rendre la pareille. Je ne savais pas que ce genre de chose existait, à la fois fille et garçon— Tu veux dire que tu les as vus s’enculer mutuellement ?— Exactement si c’est comme ça que l’on dit. Le prête à un sexe énorme !! Je me suis fait jouir en les regardant— Oui il a une grosse bite, mais il y a mieux     Je vais te montrer. Viens caresser les boules d’Alban. Sent comme elles sont toutes douces et chaudesJe visionne sur mon écran mes deux sœurs en train de peloter les burnes poilues.En complément, Christine commence à masser la gaine pénienne du cheval. Les lois de la nature étant universelles, Alban se met à banderSuperbe matraque sortie de 35 cm de long et d’un diamètre de 10 cm Christine se met à emboucher la pine et à la pomperLe sexe grandit encore et l’animal tape du sabot pour manifester son appréciation — Vient gourer ! Tu vas voir c’est bon. Toi qui aimes les odeurs équines cela va te plaire !Christine se pousse et laisse sa place à Clémentine qui prend la queue à deux mains et commence par passer sa langue sur le méat puis sur toute la pointe. Visiblement elle y prend gout. Pour que l’association plaisir, odeur, action se mette en place, Christine a passé une main sous l’aube de la novice et la caresse de tout son savoir-faire. Clémentine a ouvert le compas de ses cuisses en grand pour que sa consœur puisse avoir un plein accès à sa moule et à son trou analRégulièrement Christine ôte ses doigts, les sent, les goûte avant de les glisser de nouveau dans l’entrejambe. Elle commente— Ma chérie, tu es trempée. Ta mouille coule sur tes cuisses. Je sais pourquoi Alban bande tant : tu sens la femelle en rut A moi aussi ton parfum me monte à la tête Tu es là depuis moins de deux jours et tu sembles avoir appris à la perfection l’art de se faire un bas ventre à faire bander un mort et ruisseler la moule d’une pieuse sainte Qui t’as formée ? Laurence j’imagine ? C’est l’experte de la maison Si tu tombes sur la mère supérieure, elle ne va tomber raide dingue et elle te lâchera pas tant qu’elle n’aura pas elle-même fais ta toilette intime de ton sexe avec sa langue jusqu’au dernier cm² de peau souillée. Elle est folle de ça Alors elle est bonne cette pine ? Elle a le gout de pisse et de sperme de cheval comme tu avais envie ?Clémentine est clairement excitée par les mains habiles qui la fouillent, les propos malsains susurrés dans son oreille et l’acte bestial qu’elle comment. Elle a réussi à engloutir tout le gland. Elle a la bouche déformée, ouverte à fond et pompe à mortLe cheval n’y ai pas insensible et soudain la queue à un spasme. Clémentine déglutit deux fois mais c’est insuffisant et un flot de sperme équin coule sur son menton. Surprise, elle reculeChristine se jette sur ses lèvres et l’embrasse goulûment. Elle veut elle aussi du jus d’Alban. Elle lui roule une pelle vicieuse. On devine les langues qui s’agitent, échangeant leurs salives chargées— Ma jeune salope, tu m’as donné une envie folle de me faire monter par l’étalon. J’ai pris l’habitude de faire la jument. Il me prend par tous les trous. Il adore ça et moi qui me délecte de pines énormes, je suis comblée. Je n’arrive plus à m’en passer Mais avant, tu vas me fister pour me préparer. C’est un nouveau jeu que tu vas adorer
Je vois Christine se dénuder complètementElle prend un large fauteuil et le traîne dans la stalle et le positionne au bon endroit pour une de mes caméras. Elle s’y assoit, glisse ses fesses au bord et cale ses genoux de chaque côté des accoudoirs, ouverte en grandSes lèvres sexuelles sont toutes gonflées, gorgées de sang et roses d’excitation, son clito dardeElle prend la main droite de la novice et lui explique— Mets-moi trois doigts dans la chatte et branle bien en écartant de droite et de gauche C’est bien….Continue Tu sens que tu m’ouvre ? Met le quatrième et enfonce la paume jusqu’au pouce et travaille moi encore Parfait. Maintenant, met ton pouce avec tes autres doigts, bien en long et recommence VAS-Y - POUSSE FORT - JE SUIS PRÊTEJe vois la main complète s’engloutir dans le con dilaté jusqu’au poignetLes lèvres intimes de Christine forment une corolle amoureuse autour de l’avant-bras de la noviceClémentine à compris la leçon et travaille la moule distendue sans discontinuerChristine lui donne ses derniers conseils— Ferme ton poing en moi Fait le plus gros possible Sort le pour écarteler l’entrée de mon sexe Rentre-le de nouveau, toujours en boule, en forçant RENTRE SORT RENTRE !!! POUSSE A FOND  !!! Viens me sucer le clito en même temps
Clémentine s’exécute, la fistant à fond tout en la gouinant à mort. Cela dure bien deux minutes. A un moment Christine se saisit du poignet, l’immobilise et lui dit— Je suis sur le bord de jouir Mais je veux que ce soit Alban qui me finisse Vient me préparer le cul comme tu l’as parfaitement fait avec ma chatte C’est la même méthode. C’est juste un peu plus serré Garde la même main, elle est déjà lubrifiée par mon jus Je pisserai en même temps à petits jets pour faciliter le travail En plus c’est qui excite les chevaux
Notre novice obéit et retire sa mainChristine se repositionne, calant un coussin sous ses fesses pour mieux exposer son trou du cul aux bords sombresSa moule est toute ouverte. On voit les chairs roses palpiter encoreClémentine met ses doigts en place et Christine commence à faire pipi par petit coupsL’urine claire coule dans la fente jusqu’à l’œilletJe zoome en grand sur cet entrejambe, cadrant les deux trous, l’un d’où s’écoule l’urine, l’autre travaillé par les doigts habiles et fureteurs. Visiblement Clémentine prend beaucoup de plaisir à forcer l’anus En peu de temps le travail est réalisé et la sœur à le cul rempli d’une pogne étrangèreA chaque fois que notre novice retire sa main, elle admire son travail qui fait béer l’orifice anal avant de le combler de nouveauChristine est ravie et gémis de bonheur à chaque introductionElle annonce pourtant— Clémentine arrête s’il te plait Il faut passer aux choses sérieuses Je suis prête maintenant Viens m’aider à me mettre en place
Comme sœur Christine est folle de bite d’étalon, j’ai cédé à son caprice et acheté dans un haras un mannequin que nous avons fait modifier. Elle peut se glisser sous l’appareil, les jambes bien ouvertes, la vulve ou l’anus à la bonne hauteur sans risquer de se faire mordre ou écraser. Le matériel est dans la stalle contiguëJe vois mes deux coquines prendre le double poney par le licol pour le déplacer Alban connait la manœuvre et est tout excité, connaissant le plaisir qu’il va prendreIl renifle l’entrejambe de sa jument préférée et sa bite sort de son fourreau, bien droite, toute belleChristine s’enfile sous la machine et conseille Clémentine— Quand il sera sur le mannequin, tu guides sa pine dans ma chatte Tu le laisse me défoncer à fond Il va juter une première fois Il devrait se retirer avant de me remonter A ce moment tu me la mettras au cul Il va me ramoner et éjaculer de nouveau Je vais jouir comme une folle Profite du spectacle !!! — J’y compte bien Ne t’inquiètes pas j’ai fait du canasson pendant des années Alban ne me fait pas peur même si c’est une première pour moi de voir un cheval prendre une femme
Dès qu’elle est bien en place, l’étalon grimpe le mannequinSon vit turgide bute sur les fesses de la noneClémentine s’en saisit et le guide fermement dans la fente béante de sa consœurDès qu’il sent son sexe dans la fente chaude, Alban donne un grand coup pour s’enfoncer au plus profond du bonheurChristine pousse un cri de douleur et de plaisir mélangés. Il faut dire que sa chatte a bien mangé 30 cm du phallus animal et que 10 cm de diamètre ce n’est pas innocent…Clémentine en profite pour caresser le clito. Il faut dire que l’on ne voit que lui tellement la moule est ouverte en grandLe cheval la pine avec une frénésie toute bestiale. Cela ne dure pas longtemps et soudain le sexe à deux soubresauts et du sperme liquide se met à couler de chaque côté du sexe martyrisé de la sœur, coulant vers l’anus encore entrouvertClémentine n‘a pas oublié la consigne et aide la pine à ressortir avant de la présenter devant l’œillet analC’est Christine qui recule elle-même sur la tige encore dure car elle la veut au fond de son culAlban sentant la pression sur son gland pousse et pénètre sans hésitations le cul offert. Pour lui un trou est un trou. Du moment que cela lui branle la queue, il est aux anges. Il a recommencé son puissant va et vient. La none geint, non crie son bonheur sous l’assautLe cheval ayant déjà jouit, Il poursuit sa manœuvre plusieurs minutes avant de juter dans l’intestin de la none. C’est le flot généreux de foutre dans ses entrailles qui déclenche la jouissance de ChristineCelle-ci est si forte qu’elle se met à pisser spasmodiquement, son côté femme fontaine se réveillant sous le plaisir extrême qu’elle vient d’avoir
De lui-même le cheval se retire laissant l’entrejambe couverte de pisse et surtout d’une couche épaisse de sperme équinChristine qui s’est juste remise de ses émotions demande à Clémentine— Vite donne-moi ma culotte !!! Je veux qu’elle soit trempée de ce mélange qui séchera sur moi Tous les samedi soir, donc ce soir, notre mère supérieure va goûter à tous les dessous du couvent. Elle va les humer, les lécher, les sucer et je ne veux pas la décevoir Tu découvriras surement comment les odeurs intimes la rendent folle de bonheur Tu sais ta cellule actuelle était la mienne auparavant. J’ai fait quelques découvertes Dans le fond de ton placard, il y une grille d’aération qui donne sur la chambre de mère supérieure Tu peux mater à travers Je suis sûre que tu seras intéressé par les pratiques dégueulasse de cette vieille salope..

Jour 2 soir : les culottes sales de la semaineJ’ai récupéré, comme chaque samedi soir, le linge sale hebdomadaire.Les culottes de mes sœurs sont toutes là ainsi que celle du père Henry pour qui nous assurons le lavageComme chaque semaine, je vais renifler, lécher, goûter les fonds tachés et poisseux de mes ouailles en me branlant la chatte qui est déjà trempée à l’idée de ces odeurs de cul et de mouleIl faut dire qu’avec qu’un seul slip par semaine, je suis sure d’avoir ma ration d’odeurs fortes, d’autant plus que c’est notre pont faible à toutes et que nous devons maintenir à l’extérieur la réputation de notre couventJe sais que nos paroissiens et paroissiennes qui nous invitent dans la semaine attentent ce parfum bestialCertains et certaines payent même cher le privilège d’avoir le droit de mettre leur nez, voir leur langue dans nos entrejambes souillés
J’ai pris gout à ces pratiques, dès mon plus jeune âge, La première fois c’est un jour ma mère faisait les étagères très hautes dans le garage.Elle m’avait demandé de l’aider en tenant l’escabeau sur lequel elle était juchéeJe me suis retrouvé sous ses jupes et à chaque fois qu’elle baissait les bras une bouffée d’odeur forte, animale et enivrante venait jusqu’à moiAu bout de 10 minutes mon petit minou était trempé de mouilleAprès ces efforts de rangement ma mère avait été aux toilettes puis prendre sa doucheJe l’avais suivi dans la salle de bain ou se trouvait le panier à linge de la famille. Là sur le dessus, en évidence comme une offrande, sa culotte blanche ouverte avec une tache jaune pisseuse encore humide sur le devant et sur le fond une longue tache de merde noireDe ce gousset souillé exhalait l’odeur qui m’avait fait tant mouiller une demi-heure plus tôtAussitôt, malgré le tabou et la honte, ma main tremblante avait porté ce tissu chargé à mon nez pendant que l’autre s’était glissée dans mon slip pour me caresser la fente encore imberbeJ’avais respiré longuement passant du côté mouillé d’urine au côté chaud et boisé de la merde de mamanL’excitation était terrible et j’avais ralenti ma masturbation pour en profiter plus longuementMais malgré cet effort j’avais joui en moins de 5 minutesJ’ai donc commencé à rechercher chaque jour dans le panier à linge de la famille des sous-vêtements odorants. J’avais une préférence pour la culotte de ma mère jamais nickel. Comme la première fois, elles étaient toujours souillées, plus ou moins sèches et surtout toujours très parfuméesSouvent il
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