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Fou amoureux ma soeur et moi

Chapitre 1

Inceste
Je ne pourrais vous dire si je me sens coupable ou si je suis fier de ce que j’ai fait. C’est à chacun d’en juger selon sa morale ou sa logique. Je suis un être humain comme vous qui me lisez sans doute. J’ai mes erreurs et mes bons côtés aussi. En toute franchise, je n’ai rien contre les personnes prudes et morales. Je ne suis donc pas contre toute critique ou conseil venant de qui que ce soit. J’en suis même au contraire très ouvert. Mais avant il faudrait que vous sachiez de quoi il s’agit.En Afrique, presque tout est tabou. Certaines choses restent tellement secrètes que même quand elles sont mal, elles perdurent. Je suis né d’une famille congolaise de cinq enfants de par mon père. Assez jeune, autour de l’âge de huit ans et demi, j’ai appris que cette femme qui m’élevait, qui était la mère de mes frères et sœurs, et qui m’a élevé comme le fruit de ses entrailles, n’était pas ma mère biologique. Seulement père n’a jamais rien entrepris pour me faire rencontrer avec celle qui m’avait mis au monde. J’ai donc grandi ainsi, sans trop manquer de rien et dans le respect des valeurs humaines... Ainsi à l’âge de dix-huit ans, après l’obtention de mon baccalauréat, il était question que je quitte ma famille pour me rendre à la capitale Brazzaville, ville où se trouve la seule université du pays. C’est là que j’ai rencontré Céline BATATOUKA, et c’est là que commence véritablement mon histoire.Céline était une fille très belle à mes yeux. Elle était grande de taille, ni grosse et ni mince je dirais... On avait pratiquement le même âge. J’avais quelques mois de plus qu’elle et était plus grand qu’elle de quelques centimètres. Elle arborait toujours un sourire chaque fois que nos regards se croisaient. Elle avait du caractère, et ne parlait pas à n’importe qui. Je ne sais toujours pas ce qui l’attirait réellement chez moi, j’ai toujours pensé que c’était à cause de ma timidité. Je n’ai jamais vraiment su parler aux femmes. Surtout quand elles me plaisent.Céline et moi suivions la même filière, celle des langues vivantes étrangères. Nous avions pour matière de base l’anglais. Et pour être sincère, Céline s’en sortait mieux que moi. Elle a été la première de nous deux à m’adresser la parole cette après-midi-là. Je m’en souviens encore.
— Can you help me please ? I wasn’t here this morning and I need to look out what you have learned.
J’avais compris la question, mais ne savais pas trop comment répondre. Surtout, j’avais peur de me ridiculiser. Je lui ai simplement tendu mes notes en disant,
— C’est ce qu’on a fait ce matin...— Thanks, you’re so kind.
Après ça, nous avons passé au moins trois jours sans nous parler, juste à se regarder de loin. Une fois, nous nous sommes rencontrés dans la cour de l’établissement. J’aurais juré qu’elle me cherchait. Puisque dès que nos regards se sont croisés, on aurait cru qu’elle venait de trouver quelque chose qu’elles avaient perdu.
— Salut... je voudrais te remercier pour ton aide de la fois dernière. Je te paye le petit-déj. Tu veux ?— Okay. Mais t’es pas obligé. Et puis j’ai déjà mangé. Tu vois !?— J’insiste... et puis je m’ennuie un tout petit peu. Un peu de compagnie ça détend.— D’accord !
Voilà comment elle et moi nous sommes rapprochés. Depuis ce jour on a plus passé du temps loin l’un de l’autre. On se cherchait, se taquinait, se disputait parfois... On s’écrivait et s’appelait tout le temps, même à des heures tardives. Je me souviens qu’une fois pendant qu’on se parlait au téléphone, j’ai entendu sa mère lui dire:
— Qui est cette personne avec qui tu passes tous ces siècles au téléphone ?
Elle lui avait répondu:
— c’est mon homme et puis quoi ?
Sa mère avait dû lui ravir le téléphone. Parce après j’ai entendu
— garçon si tu veux de ma fille épouse là et rembourse-moi tout ce que je dépense pour elle tous les jours.
Céline l’a ensuite repris, et en ricanant un peu a continué à me parler
— T’en fais pas chou. C’est ma mère. Comme elle a pas de mec, elle me jalouse...
Je me souviens qu’à un de ses anniversaires, elle m’avait présenté comme son petit ami, devant ses amis et quelques-uns de nos collègues de la fac. Comme elle riait en même temps, j’avais mis ça sous le coup de l’alcool. Et comme j’étais un peu trop peureux pour lui avouer mes sentiments, j’avais préféré oublier ce fait. Puis un autre jour, devant tout le monde, en se moquant des hommes, elle m’avait délibérément serré les parties intimes dans sa main. Ça m’avait fait un mal de chien, mais aussi un bien fou. J’en ai eu la trique toute la journée. Nous devenions de plus en plus intimes. Elle n’hésitait plus à se blottir contre moi, à me chuchoter à l’oreille des mots tendres ou à me faire des caresses. Elle disait que son meilleur ami devrait avoir droit aux mêmes privilèges que son mec. Je faisais semblant de rire en l’écoutant.Je n’étais jamais allé chez elle. Il est arrivé une fois où elle m’a appelé autour de 22 heures, pour me dire que sa mère passerait la nuit à une veiller, et qu’elle avait trop peur de dormir seule. J’ai donc pris un taxi pour la rejoindre. Des pensées me traversaient la tête durant tout le trajet, je m’imaginais tous les scénarios possibles et tout ce qui pourrait arriver. Quand elle m’a ouvert la porte c’était une femme en peignoir qui se tenait devant moi. Cette Céline sortait droit d’un Manga japonais. J’ai dû faire de très gros efforts pour cacher mon érection. C’est à peine si je pouvais bouger.Elle m’a dit:
— entre... ne fais pas ton puceau. On n’est pas à la fac.
Nous avons parlé jusqu’au petit matin devant la télé en grignotant des corn flex et des arachides. Puis elle s’est endormie dans mes bras sur le canapé. En se tortillant un peu trop, sa ceinture s’était défaite. Son peignoir entrouvert m’avait offert à ce moment une vue éblouissante d’elle: elle était nue. Elle avait un corps et un teint qu’on ne voit que rarement. J’étais tellement excité que si je bougeais d’un pouce, j’éjaculais. Je me suis montré sage, ou idiot peut-être, je ne sais pas. Vers quatre heures, voire cinq heures, elle s’est levée et m’a proposé en bâillant, d’aller dormir dans sa chambre. Me taquinant, elle me dit:
— t’en fais pas je ne viole pas mes amis...
Nous nous sommes endormis jusqu’à 10 heures ou moins dans son lit. En se réveillant elle m’a aussi réveillé. Et elle l’avait fait expressément. Elle a collé et frotter ses fesses charnues contre mon pauvre entrejambe endolorie. J’étais calme et un peu tétanisé. Elle a pris un bain sans doute. Puisqu’ après qu’elle ait quitté la chambre, j’entendais un bruit d’eau au fond du couloir, puis plus rien. Et après une quarantaine de minutes environ, elle est réapparue avec une serviette sur la tête, m’invitant à la rejoindre dans la cuisine.
— Maman est à l’ambassade, elle ne rentrera peut-être que le soir. Si tu veux on sèche le cours de cette aprèm. Je veux qu’on passe un peu de temps ensemble. Je te promets qu’après ça je t’embêterai plus...
La vérité c’est que je l’espérai de tout mon cœur, c’était comme un rêve qui se réalisait. Nous avons mangé, ri, nous nous sommes amusés puis après un long moment sans se dire, elle a rompu le silence en me posant une question qui amène le silence:
— Je te fais peur ?— (long silence songeur...)— Pourquoi tu baisses les yeux quand on se regarde ?— De quoi tu parles ?— Lève les yeux ! T’es un homme ou merde !? Je te fais peur ? Tu me trouves moche ou t’es gay ?? On dirait que tu ne me vois pas. T’es pas aveugle que je sache ?— (... avec un regard soutenu et un ton plus ou moins autoritaire) qu’est ce que tu attends de moi ? — pardon... excuse-moi Dany. Je suis juste un peu fatigué. Je me sens lourde.
Puis au moment où elle se levait pour aller je ne sais où, je l’ai tiré par le bras, elle s’est affaissée sur mes genoux en ayant le souffle coupé. Je l’ai regardé dans les yeux, puis l’ai embrassé d’un long baisé. Elle me l’a rendu. Je sentais qu’elle l’attendait depuis et qu’elle s’offrait à moi. C’est elle qui s’est retirée la première. On s’est regardé un court instant puis elle m’a souri et a pris la direction de sa chambre.
— Je m’habille vite fait. Je t’arrive choux...
Nous nous sommes quittés ce jour-là après une petite balade en ville. Elle a pris son taxi et moi je suis rentré à pied, en ruminant sur tout ce qui s’était passé. J’étais sûr qu’elle m’aimait, mais je ne comprenais pas trop le fait qu’elle ait cessé de m’embrasser, ni pourquoi elle ne s’est pas laissée aller plus loin. C’est proche de chez moi que j’ai reçu son message. Mon cœur battait fort en voyant la notification. C’était un long texto: 《Pardon. Je sens qu’on peut construire quelque chose de grand toi et moi. J’étais tellement excitée... je n’ai pas voulu tout gâcher. Je suis tout à toi. Je ne pourrais jamais me refuser à toi. J’ignore probablement ce que ça signifie, mais tu es l’amour de ma vie. Laisse-moi juste un peu de temps. Je comblerai tes désirs les plus fous. Juste attend moi choux》. J’étais aux anges.Je n’ai plus eu d’occasion d’aller chez elle après ça. Mais on se voyait tout le temps. Des fois elle passait chez moi avec de petits plats. J’avais un appartement d’étudiant, c’est-à-dire un quatre mètres carré. On ne se gênait pas d’être ensemble partout, même à l’université on s’aimait. Ç’a été ainsi pendant plus d’une année. Et puis un jour, on a passé toute une journée sans se contacter. Elle ne répondait pas à mes textos et mes appels. Ç’a duré pendant les trois mois de congé. Et quand on a repris, tout le premier mois je ne l’ai pas vu en classe. Elle est arrivée après. C’est à peine si on se saluait. Elle me fuyait du regard. Elle m’évitait. Elle était silencieuse avec tout le monde. Elle me rendait fou. Je n’en pouvais plus...Alors un jour, un après - midi, j’étais tellement en manque et je me sentais tellement mal que je lui ai fait appel, évoquant un problème de santé dans un texto avant. Elle s’est dépêchée d’arriver. Comprenant mon manège, elle a menacé de rentrer. Je l’ai supplié de rester, lui disant que j’avais besoin de compagnie.
— Je te donne une heure... alors tu veux parler de quoi ?
Elle s’était assise de profil sur le lit, une jambe pliée et me regardant à peine. En causant, je me suis rapproché d’elle par le dos et l’ai prise dans mes bras, en faisant passer mes mains en dessous de ses bras. J’avais maintenant les doigts croisés sur son ventre. Elle a penché sa tête en arrière, presque sur mon épaule, ses yeux étaient fermés. Elle m’a susurré un:
— Où est-ce que tu veux en venir ?— jusqu’où tu veux que j’arrive ? — je te connais trop pour savoir que tu ne feras rien (... petit sourire...)
Je bandais très fort et je n’hésitais pas à le lui faire ressentir en me pressant contre son dos.
— Il faut que je parte choux...
Je l’avais serré fort contre moi. Puis l’allongeant sur le lit, je me suis mis sur elle, pesant de tout mon poids, de peur qu’elle ne m’échappe et ne s’en aille. On s’est regardés pendant quelques secondes, qui paraissaient être une éternité. Je pouvais sentir sa peur, j’essayais de cacher ma gêne. Puis je l’ai embrassé sur le coin de la bouche. Elle n’a pas réagi. J’ai à peine effleuré ses lèvres que j’ai remarqué la larme coulant de son œil gauche. J’ai pris peur. Je lui dis, en me retractant...
— Dis quelque chose ! Fais n’importe quel signe pour que j’arrête. S’il te plaît. Je veux pas te perdre. Je veux qu’on reste amis si tu veux. Je ne te ferai plus d’avance, je te le promets.
Je me suis retiré, elle s’est assise la tête baissée en me donnant le dos, ses mains posées délicatement sur le bord du lit. Elle semblait pleurer. Je ne savais pas quoi dire. J’ai dit:
— pardonne-moi Céline. Je m’imaginais des choses. Je t’aime trop. Ton amitié me suffit. Je sais que j’ai déconné comme tous les hommes. Mais je ne suis pas un monstre, je peux changer. Ne t’éloigne pas de moi. Je t’en prie.
Elle était toujours immobile. Et puis elle a porté sa main à sa bouche, comme pour s’empêcher d’éclater en sanglots je l’ai aussitôt prise dans mes bras en la serrant très fort. Elle pleurait en parlait en même temps. Elle pleurait à non plus s’arrêter.
— Maman a repris contact avec le père de son premier enfant... un fils... Je ne t’ai jamais parlé de lui, au fil des ans ça m’importait peu de le connaître. Elle, elle me suffisait. Maman n’avait que des photos de lui encore bébé, et ne me parlait presque plus de lui. Ce monsieur lui a envoyé une photo de toi et ton numéro de téléphone... ils ont volé ma vie Dan. Ils m’ont tout pris.
Je comprenais de quoi elle parlait, mais ne réalisait pas la gravité de la chose sur le coup. Elle ne s’arrêtait pas de pleurer. Et là entre deux sniffs elle m’a dit:
— Fais-moi l’amour— Pardon ?— (... d’un temps plus ferme...) je veux que tu me fasses l’amour.
Elle a commencé à retirer mon t-shirt. Et a retiré son pantalon. Je ne voulais plus tellement de ça sur le coup, mais j’avais peur de la blesser en la repoussant. J’ai donc joué le jeu. C’était vraiment mécanique pour moi. Elle s’y prenait avec un tel acharnement, on dirait une lionne affamée. Elle s’est mise sur le dos, m’a attiré vers elle, a ouvert le zip et le bouton de mon jean, a sorti mon sexe de ses mains et m’a attiré vers elle. Je me suis contracté juste avant d’être en elle.
— C’est vraiment ce que tu veux ?
Lui dis-je. Elle a acquiescé de la tête. Puis aussi tendrement que possible je l’ai pénétré. Elle s’est raidie à son tour, en grimaçant et en se tortillant de douleur. Elle était vierge. Je ne savais pas. Après quelques secondes sans mouvement, j’ai commencé le tendrement possible à faire des vas et viens. Elle était étrangement calme, le visage de côté, je pouvais parfois entendre des petits gémissements étouffés. Dans ce même mouvement je lui dis je t’aime petite sœur. Elle s’est machinalement relevée, elle m’a serré fort. Elle, assise sur mes genoux les pieds de part et d’autre de moi, et moi à genou, prenant appui sur mes mains pour ne pas tomber. Elle ne pleurait plus, elle respirait tantôt fort, tantôt calmement. Je me suis retiré d’elle, on s’est allongé. J’étais juste derrière elle, elle était blottie dans mes bras. Nous nous sommes endormis. C’est à 22 heures que son portable nous a réveillés. Elle s’est vite rhabillée avant de répondre. Elle m’a juste lâché un regard, m’a caressé la joue et est partie sans rien dire.
Après ça, nos rapports avaient totalement changé. Elle me présentait désormais devant tout le monde comme son frère. Il y a eu des murmures autour bien sûr. Mais les gens ont vite oublié. C’est plusieurs mois après que sa mère, ma génitrice a pris contact avec moi. Elle m’a invité chez elle.Madame Thérèse BATATOUKA né AYOLO est la mère de Céline et ma génitrice. Elle avait gardé le nom du père de Céline. Elle travaillait à l’ambassade des États au Congo comme interprète et traductrice. Elles et sa fille avaient déménagé de là où j’avais passé la nuit avec Céline, et ne vivaient toujours que toutes les deux. En arrivant ça m’a redonné des idées de revoir Céline. Je l’aimais toujours. Elle avait dit à sa mère qu’on était amis et collègues, que le monde était petit et qu’elle avait toujours pressenti qu’elle avait quelque chose à avoir avec moi, et qu’on avait eu beaucoup de chance de pas avoir eu à sortir ensemble. On a beaucoup ri et mangé. J’ai appris que le père de Céline était à l’étranger et avait une autre famille là-bas, qu’il les avait abandonnés quand elle n’avait que dix ans. J’ai aussi appris que ce sont les parents de la mère de Céline qui m’avait rendu à mon père après ma naissance, car ils voulaient que leur fille parte à l’étranger et excelle dans ses études; que l’histoire avec mon père n’était qu’une amourette de quartier et de voisinage qui avait mal tourné.
Je ne le lui ai jamais en voulu, ni avant et ni après notre rencontre. Elle m’a fait beaucoup de promesses et c’est malheureusement ce jour-là qu’elle avait brisé mon cœur. Elle venait de m’annoncer qu’elle envoyait Céline continuer ses études universitaires aux États - Unis, dans l’Etat de Washington près du Canada. J’en voulais à Céline de me l’avoir caché.Avant que je parte, Céline m’a amené dans sa chambre. Elle avait gardé le même lit. On s’y est assis. Elle se tenait loin de moi. On ne se parlait presque pas.
— Tu sais c’est une bonne chose que je parte loin de toi ?
Elle l’avait lancé un peu comme ça.
— Pourquoi tu me traites comme un moins que rien ! Un coup tu dis m’aimer, après tu m’évites comme la peste. J’ai l’impression d’être ton jouet laisse-moi tranquille s’il te plaît. Vite ta vie. D’accord ? Je ne veux rien, ni de toi ni de mère
Je me suis levé et je suis sorti, sans même dire au revoir à madame Thérèse. Elle m’appelait et me criait dessus. J’étais décidé à l’oublier. Je ne pouvais rien faire d’autre de toute façon.Après son départ, nous nous sommes rencontrés beaucoup de fois avec madame Thérèse. Elle m’a beaucoup soutenu, financièrement surtout. C’est un peu grâce à elle si je suis allé assez loin dans mes études. J’ai fait un Master en linguistique bantoue, je suis devenu professeur certifié de lycée en anglais. Et je suis toujours doctorant jusqu’à maintenant où j’écris cette histoire. Mais elle n’est pas finie...
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