LA SOUMISSION Après l’ultimatum de Michel, Francine est inquiète. Elle voit défiler chez eux des gens, certes qu’elle connait, mais qui venaient jamais à la maison. Comme Idriss, un jeune maghrébin de vingt ans, ou encore Fred, jeune black de dix neuf ans. Le désespoir se lit sur son visage. Deux ou trois jours passent, jusqu’au jour ou....-Allo,dit Michel, c’est moi, c’est pour se soir. D’être consentante, soumise, OK?Il sent le souffle de sa femme au bout du fil. Elle a l’impression de vivre un vrai cauchemar. Les pires sévices défilent dans sa tête.-D’accord, répond-elle, je sais qui c’est?-Ah, surprise, poursuit Michel.Le soir, Francine se prépare selon les désirs de son mari. Elle sait qu’il va l’humilier jusqu’au bout, et qu’elle va être obligée d’accepter sous peine de tout perdre. C’est trop risqué. Elle choisit de se soumettre. Elle arrive dans le salon en tenue de gala. Michel est assis sur un fauteuil, et, sur celui d’à côté, Nadine, belle brune, secrétaire de Michel.Nadine a une réputation sulfureuse.-Bonsoir Nadine, dit Francine, çà va?Nadine se retourne. Un petit sifflement fuse de sa bouche.-Très bien, répond-elle, et toi? Dit dont, tu es belle dans cette tenue. Tourne toi un peu que je vois çà.Francine n’a pas vu arriver le piège. Nadine l’a saisit par la taille, et la culbute sur elle, le dos sur ses genoux. Les jambes de Francine pendent dans le vide par dessus l’accoudoir. Dans le mouvement, la jupe est à sa taille, et le bustier ne cache plus rien.-Arrête, çà va pas, se débat Francine. Enfin Michel, tu ne dis rien?-C’est la mise en bouche ma chérie, dit Michel, emmène là à la chambre Nadine.Francine croise le regard de son mari, et voit le rictus au bord de ses lèvres. Elle a tout compris, le premier acte est lancé. Et Nadine est une gouine connue, une experte.-Alors, dit-elle, on se fait tirer par le premier venu, hein? Petite vicieuse. Si tu savais combien de fois j’ai rêvé à ce moment. Tu vas voir ma chérie comme je vais te rendre heureuse.Une larme roule sur la joue de Francine, mais elle suit Nadine dans la chambre d’amis, celle là même qui avait servi de planque à Michel. Nadine laisse la porte entre ouvert, pour que Michel puisse entendre les ébats amoureux des deux femmes. Réticente au début, Francine apprécie vite les caresses de Nadine. Elle râle de plaisir.-Si tu voyais comme ta moule est ouverte, salope. Tu sens comme je te doigte le clitoris. Il est tout rouge ce salaud. Et comme tu mouilles en plus.-Tais toi, supplie Francine, t’arrête pas, c’est trop bon, vas-y, gratte moi, fais moi jouir.Nadine n’a même pas pris la peine de se déshabiller. En trois quart d’heure, elle va faire crier Francine à deux reprises. Elle sort de la chambre, un sourire narquois.-Alors, demande Michel, elle a aimé?-Bien sur, elle s’est bien régalée la pute. Elle est très réceptive. Il faut que j’y aille, embrasse moi, j’ai ma copine qui m’attend.-je te remercie, dit Michel, tu as assuré.C’est vrai que Francine a apprécié cette relation inconnue pour elle. Michel va à la chambre, et trouve sa femme allongé au milieux des tâches de cyprine.
-Alors, çà t’a plu, demande-t-il.-Tu le sais bien, répond-elle, tu as tout entendu.-Allez, reprend Michel, va te repoudrer le nez, la soirée n’est pas fini. Quand elle revient de la salle de bains, Francine aperçoit deux silhouette à travers la vitre. Elle s’arrête net."Non, pas eux"Michel remarque son désarroi, et l’a prend à part.-On arrête tout si tu veux, dit-il. On réglera le problème après.-Non, je ferai ce que tu as décidé, même si çà me coute.Il y a Pierre le directeur de la société ou travaille Michel, la soixantaine, cheveux grisonnants, d’une laideur effroyable. Il y a Marc, jeune rugbyman de vingt ans, assez bien bâti, récemment embauché. Les deux hommes sont taillés en athlètes. Bien sur, Michel leur a dit ce qu’il attendait d’eux. quand Francine entre dans le salon, des sifflets admiratifs fusent dans la pièce. Ils entrent directement dans le vif du sujet.-Quel morceau, dit Pierre en glissant une main entre les cuisses de Francine. Mais le minou est tout rasé.-Sérieux, dit Marc, fais voir, c’est bon çà.Les deux hommes se déshabillent, et attirent Francine sur le canapé. Elle ne dit pas un mot. Désespérément, Elle cherche le regard de son mari, qui fait mine de se désintéresser de la situation."Chéri, se dit-elle, aide moi, ne me laisse pas comme çà"Les deux hommes l’ont allongée sur leurs genoux. La joue de Francine est contre la queue de Marc. Il s’occupe des seins. Pierre s’occupe de la chatte encore humide suite à sa relation avec Nadine. Francine écarte les jambes, et sent le gland de Pierre contre son intimité. Les seins gonflent sous les attouchements experts de Marc.-Putain, dit-il, comme ils sont devenus durs. Et vise les bouts. Elle réagit vite la salope.-En bas, çà y est, répond Pierre, elle est prête, regarde.Il montre ses doigts pleine de mouille à son collègue. Marc fait pivoter la tête de Francine.-Allez, suce moi un peu avant que je te nique, catin.Francine obéit, et prend en bouche l’énorme queue de Marc. Pierre profite de la position écartée des jambes pour glisser sa bite, de taille impressionnante, entre les cuisses. C’est Francine qui, d’une main, fait pénétrer le membre dans sa chatte.-Hum.Hum, gémit-elle, chéri, viens voir ce qu’on fait à la petite chatte de ta femme, et ce que j’ai dans la bouche. Les salauds. C’est çà que tu voulais.Michel assiste aux ébats érotiques de sa femme sans sourciller, surpris par son assurance. Elle a glissé une main entre ses jambes, et joue avec les testicules de Pierre. Au bout de dix minutes, les deux hommes craquent. Ils se vident tout les deux dans les orifices occupés de Francine. Mais leurs râles n’ont rien de comparable aux hurlements de bête en chaleur de leur proie.-Enfoirés, rugit-elle, qu’est-ce-que vous m’avez mis, putain. Encore, encore.Les deux mâles vont la niquer à couilles rabattues. C’est maintenant Pierre qui se fait tailler une pipe, et Marc qui l’a baise. A cinq heure du matin, Francine a joui quatre fois. Là, elle est empalée sur Marc allongé sur la moquette.Elle creuse ses reins, et cambre sa croupe pour l’offrir à Pierre. Il lui mouille le petit trou, et entreprend une lente sodomie. Francine hurle de douleur tellement la queue est grosse pour sa petite rosette. les couilles tapent contre ses fesses. Elle est en larmes.-Assez, assez, Michel, dis leur d’arrêter, s’il te plait. Regarde comme il m’encule, il est trop gros, j’ai mal, aiee.-Tais toi, ordonne Pierre, laisse nous te niquer tranquille.Pour quelques coups de queues. Surtout que je viens là. Tu me sens. Michel, tu entends ta pute comme elle gueule.-Ha..ha, crie Marc, on a bien fait de venir. La salope, qu’est-ce-qu’elle est chaude. On s’ennuie pas avec toi. tu aimes les grosse bites, hein?Une fois de plus, les hommes se sont purgés en inondant les trous de Francine. Les larmes et la sueur ont fait couler son maquillage. Elle est méconnaissable. Les deux invités d’une nuit se rhabillent. Michel les raccompagne, et reprend sa place dans son fauteuil. Francine est couchée en chien de fusil sur la moquette. Il est six heure du matin. Il n’a pas levé le petit doigt de toute la nuit. Même quand elle le supplier d’intervenir. Certes, au début, elle appréciait de se faire prendre par ces deux hommes. Elle a aimé sentir ces queues lui fouiller les entrailles. Elle a joui comme jamais. Mais à la fin, elle n’en pouvait plus. C’est la quelle s’est sentie abandonnée.-Plus çà chéri, je t’en prie, plus çà. J’ai payé maintenant.Ne me fais plus faire la pute. S’il te plait, tu sais que tu es tout pour moi. Pardonne moi mon amour, même si j’ai fauté.Michel la regarde tristement. C’est vrai qu’elle a payé. Cher, très cher. Il se lève, se dirige à la salle de bains, et rempli la baignoire. Il revient, la saisit à bras le corps. Elle passe ses bras autour de son cou. Elle est défigurée par la douleur, l’épuisement, mais d’avoir trop joui aussi. Son regard implore la pitié. Il l’emmène pour qu’elle puisse prendre un bain.-C’est fini, dit-il, tu as joue ton joker, tiens toi à carreaux maintenant. J’espère que çà ta servi de leçon. Avec le temps, peut être je te pardonnerai, je sais pas.Une fois douchée, il l’a dépose sur le lit.-Je peux dormir dans tes bras, supplie-t-elle, s’il te plait mon amour.Michel sait qu’il sont unis pour le meilleur et pour le pire. Le pire est peut être passé. Il l’a regarde tendrement, et s’allonge près d’elle. Elle se blottit dans ses bras, et s’endort.
