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La fraternité du Sybian

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 3

Un mois passe, maman très distante dans les premiers jours, a repris ses habitudes normalesPuis, peu à peu, faisant comme si rien n’était arrivé, me parle, discute, sans jamais revenir sur ce qui c’est passé dans ma chambre.De mon coté, je ne peux nier, que ma vision de ma mère à bien changé. Je la trouve encore plus belle qu’avant et j’épie son corps, ses mouvements. Bref, je suis de plus en plus obnubilé par elle.Il faut dire que maman est directrice à la réception d’un grand hôtel et que la nature de sa tâche demande qu’elle soit habillée élégamment, si bien que je la vois partir, chaque jour, vêtue d’un tailleur classique très ajusté qu’elle porte à mi-cuisse et qui découpe la silhouette envoûtante de son cul, avec de jolie bas de nylon noir qui lui font des jambes…, irrésistibles et ce n’est rien pour m’aider.
Une semaine après l’évènement, Manuel est venu me voir.Il n’était pas vraiment content que je ne lui fournisse pas les vidéos de maman sur le Sybian et m’a fait comprendre qu’il n’aurait jamais mésusé de ceux-ci, voir les mettre sur le net ou les montrer à quiconque.J’ai bien ri lorsqu’il ma brièvement souligné que "mésusé " n’incluait pas quelques branlettes !Pour le faire baver encore plus, je lui ai parlé des deux petits vidéos dans lesquelles on la voyait.Finalement, pour me faire excuser d’avoir douté de lui, je lui ai raconté la petite scène dans ma chambre avec maman. Il a complètement capoté.Par ce que j’ai fait à ma mère et par ce qu’elle s’est laissé faire !Il m’a posé des tonnes de questions, me suppliant de n’épargner aucun détail croustillant.« Tu réalises, "Man", que ta mère a des besoins intenses ?.. T’es chanceux, Nic ! Ta mère est jeune et…, full chaude !– Ouais… ! (Pensant au dernier mois).– C’est certain que ça ne doit pas être facile dans sa tête, Nic, c’est ta mère ! »
La vie semblait reprendre son cours normal au fil des semaines quand arriva un évènement inattendu.Revenant de l’université un peu plus tôt, je monte vers ma chambre, puis entendant du bruit dans celle-ci, j’avance doucement sans faire de bruit, quand j’aperçois une vision véritablement troublante.Maman, toujours habillée chic de son travail, a retiré uniquement sa jupe que je vois traîner sur le sol. Couchée sur mon lit, les jambes toujours au sol, vêtue de ses bas de nylon noir que j’aime tant et de ses souliers à talons hauts, elle se caresse doucement, une main bougeant doucement entre ses cuisses et l’autre insérée dans sa blouse à moitié déboutonnée.Sidéré, mon coté voyeur m’empêche tout intrusion. Je veux la voir, j’aime la voir !
D’après sa position, elle devait être assise sur le rebord de mon lit avant de se laisser tomber sur le dos.De ma position, je ne peux pas bouger beaucoup, caché uniquement de son regard par la lampe de chevet.
J’entends de légers gémissements, témoignant qu’il n’y a pas très longtemps qu’elle a commencé.Je la regarde se masturber en me délectant de cette image qui me manque et de l’entendre prendre plaisir à se toucher.Bien éclairé par la lumière du jour arrivant sur mon lit, je ne peux que remarquer la beauté de ses jambes que découpent clairement les bas de nylon noir en en accentuant les courbes et les détails.Ses légers gémissements étouffés, venant comme de loin à l’intérieur, me donnent à croire que tout se déroule à l’intérieur de sa tête. À quoi pense-t-elle ?Je me plais à croire que si elle est dans mon lit, c’est à moi qu’elle pense.Je vois bien que son plaisir monte. Maman relève doucement une de ses jambes pour la mettre sur le lit, sans manquer de retirer son soulier en le coinçant entre le bord du lit, et le genou de son autre jambe, toujours bien posée au sol.D’abord légèrement repliée, sa jambe s’est ouverte peu à peu, comme les pétales de la fleur du plaisir s’ouvrent en offrant leurs pistils.
Je voyais bien son autre main caressant doucement la peau de son sein qu’elle avait retiré du bonnet de son soutien-gorge, en le palpant continuellement, contribuant à faire monter son plaisir.Qu’elle était belle ainsi vêtue ! Une blouse, qui me cachait presque tout de son bassin, de joli bas et de ses souliers à talons hauts.Une fois de plus, je l’ai vu jouir, ouvrant ses cuisses au maximum pendant que son doigt frottait sa culotte, presque frénétiquement.Son autre jambe au sol, presque sur la pointe du soulier, découpant son mollet galbé m’envoûte par sa beauté.Allant jusqu’au bout sans être dérangé, je la regarde subir les vagues traversant son corps et les gémissements qui, bien qu’étant intensément érotiques, demeurèrent sourd et discret.J’ai quitté sans faire de bruit, pour aller et revenir quelques instants plus tard en faisant du fracas en entrant.Maman, déjà bien habillée, faisait semblant que tout était normal. Mais moi, je savais !
Quelques semaines plus tard, nous avons été invités papa, maman et moi à une party, organisée par le boulot de mon père.Chaque année, avant les grandes vacances d’été, ils organisent une grande fête à l’extérieur avec méchoui, orchestre et tout le bazar.Je les accompagne, d’abord et avant tout, parce que je suis le chauffeur désigné et que, secundo, ça fait bien plaisir à mon père de montrer "son fils" à l’université.Ne buvant pas et n’ayant finalement pas grand-chose à foutre, je me délecte avidement en regardant maman.
Habillée dans une jolie robe d’été, plutôt courte et moulante, je peux bien voir ses superbes jambes.Sa robe assez décolletée, laisse à l’œil, pleinement de quoi se satisfaire.Mais par dessus tout, son délicat visage maquillé avec retenue et bon goût et ses cheveux, mettent en évidence sa grande beauté.Tout au long de la soirée, je la suis, me tenant assez proche d’elle, assez en tout cas pour qu’elle me lance quelques regards.
À la fin de la veillée, je les ramène tout deux à la maison.Papa a bien picolé et est dans un état avancé.Maman qui ne boit pas beaucoup, m’aide à le rentrer et à le porter à sa chambre.Revenant au bout d’un moment, elle retire ses sandales en s’asseyant avec moi dans le grand divan.
« Tu veux un verre de champagne ? Me montrant la bouteille qu’elle a gagnée dans la soirée.– Ouais ! » Lui dis-je, en me levant pour saisir des flûtes à champagne.
Assis ensemble, nous trinquons un verre en parlant, puis un deuxième et un troisième.
« T’as les joues rouges maman ! Tu es encore plus jolie comme ça !– Le champagne me réchauffe toujours l’intérieur ! Me répond-elle.– Content de savoir que tu commences à être chaude ! Lui dis-je, en blaguant à moitié– Tu crois que je n’ai pas remarqué que tu m’as déshabillée du regard toute la journée ?– Je te trouvais tellement belle et… (Hésitant).– Excitante ?– Oui, exact !– Tu n’étais pas particulièrement subtil, tu sais ! Ton père aurait même pu le deviner !– Naaa ! Il était trop sur la party ! »
Maman, jambe repliée sur le côté, se caresse le mollet en me parlant :
« Je crois que j’ai trop bu !– MMMmm ! J’pourrais abuser de toi ! » Lui dis-je, avec un sourire.
Son regard baissa vers le bas, mais elle ne dit rien.
« Tu pourrais venir essayer le Sybian dans ma chambre ? » Lui faisant une proposition indécente.– Il ne faut pas Nicolas !.. En fait, il ne faut plus ! Tu sais, Nicolas, je suis ta mère ! Relevant les yeux pour me regarder... Ces choses-là ne se font pas ! Et toi et moi, on ne doit plus…– Mais moi, je me sens attiré par toi, maman !.. Je te trouve belle, gentille et oui, terriblement excitante et désirable !– Ne rends pas les choses plus difficiles, Nicolas !.. Je ne peux pas… Je ne veux pas… Dit-elle, en me parlant doucement.– Tu ne veux pas ? Et l’autre jour ?– Tu m’avais poussée à bout ! Au bout de mes résistances, à celles que mon corps m’imposent !– Mais je sentais que tu en avais autant envie que moi ? » Lui dis-je, en désespoir de cause.
Maman voyait bien mon trouble.
« D’accord ! Et tu as raison ! Mais je ne peux pas faire ça ! C’est impensable !.. Tu es vraiment un beau jeune homme, tout ce qu’une femme peut ardemment désirer..., et je te le dit !.. Je sais que je t’ai dit aussi que ton père…, bref que je suis en manque de tendresse…, et…, et…, de sexe, mais ça, c’est au-dessus de mes forces !.. Tu comprends ? Une mère et son fils, toi et moi Nicolas ! »
Surpris par ses propos, je gardai, à mon tour, le silence en la regardant.
« Avant ton Sybian et l’autre fois dans ta chambre, je te voyais toujours comme…, mon ptit bébé !.. Disons que je ne t’avais jamais vu autrement !– Tu m’as vu autrement alors ? Tu y as donc pensé ? Toi et moi ?– Ne rends pas la situation plus difficile ! Me dit-elle, en soupirant.– Je t’ai vue l’autre jour dans ma chambre ? (Maman sursauta, attendant presque avec appréhension la suite)... Je t’ai vue dans mon lit, tu t’es caressée jusqu’à l’orgasme !– Tu étais là ?– Oui ! Dans l’entrée de ma chambre, tu étais tellement belle !.. Je t’ai regardé faire, ta main entre tes cuisses et l’autre caressant un sein ! »
Maman, troublée que je l’aie découverte, semblait fort gênée.
« Tu te caressais en pensant à moi ? »
Tête penchée, maman hochait la tête sans conviction.
« Je ne veux pas en parler ! » Se levant, elle me souhaita bonne nuit.
Yug99
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