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La fraternité du Sybian

Chapitre 8

Inceste
La fraternité du Sybian
Chapitre 8

Entrant dans la douche où je venais à peine de la filmer, maman ouvrit l’eau chaude en me tirant vers elle sous le large pommeau.Une pluie agréable tomba sur nous, les cheveux de maman devenant tout trempés, collant à sa tête.Sentant monter une émotion intense en la regardant devant moi, maman me serra la taille en me collant contre elle :
« T’es tellement belle, maman ! Je suis bien content que tu m’aies eu jeune ! »
Maman me regarda, l’eau coulant sur son joli visage :
« Je me sens comme ta petite copine !– Ouais, moi aussi, je me sens comme ça pour toi ! (Maman sourit en entendant mon commentaire).– Ça te plairait…, que je sois ta petite copine…, secrète ? »
L’entendre maman dire ça, je sentis des soubresauts dans mon corps et mon pénis, son propos, me troublait :
« T’as vraiment envie que toi et moi…, on sorte ensemble sans que papa le sache ? Lui demandai-je, étonné qu’elle me demande ça.– Oui ! Toi et moi secrètement ! On serait un couple…, mais secret…, si ça te tente ?– Je capote ! Et comment que je veux que tu sois ma petite copine ! »
Maman me prit les mains des siennes.
« À partir de maintenant, je suis ton amoureuse ! Dit maman, en serrant mes doigts.– Moi aussi ! Lui répondis-je, pour sceller notre alliance.– MMMmm ! Viens, embrasse-moi ! » Dit maman, en approchant son visage du mien.
Pendant qu’elle m’embrassait, je pensai au fait qu’à peine 20 ans nous séparaient.Maman, dans mes bras, m’embrassant vraiment intensément et avec passion, je sentis renaître peu à peu mon pénis, les assauts de sa langue dans ma bouche, y étaient pour quelque chose.Brisant le contact de ma bouche, elle se recula en regardant mon pénis qui s’était redressé.
« C’est ce que j’aime d’être en couple avec un petit jeune ! » Dit-elle, en souriant et en me taquinant.
Elle me poussa hors du jet, en saisissant le pain de savon, enduisant mon corps en le frottant sur moi.Atteignant tout les recoins, s’attardant particulièrement sur mes parties génitales en les savonnant méticuleusement.Maman glissa alors, le savon le long de mon membre dans une caresse douce puis saisit mon pénis en refermant ses doigts, montant et descendant en prenant bien soin de bien laver tout autour de mon gland.
« AAarghhh… » Mes jambes fléchissaient presque sous son traitement.– Ça m’excite de te voir comme ça ! Dit maman, en rajoutant :.. Tiens ! À ton tour ! »
Elle me tendit le savon, en se mettant une seconde sous le jet, puis s’avança de nouveau vers moi.Avec délicatesse, je la tournai en savonnant son dos que j’aimais tant, puis ses épaules et son cou.Laissant maman dos à moi, je glissai mes bras sous les siens en caressant son ventre du doux savon,Remontant peu à peu sous ses seins, explorant bien les dessous, je glissai mes doigts profondément sous le repli de ses seins en insistant.Ne pouvant résister plus longuement, je tournai mes mains en les prenant par dessous, les relevant légèrement en les soupesant :
« Maman ?– Quoi, Nicolas ?– T’as vraiment de beaux seins, je les ai toujours aimés ! »
Maman apprécia les mots doux, levant son bras en me saisissant la nuque, approchant sa bouche de mon cou en m’embrassant jusque sous l’oreille.Elle me dit tout bas :
« Je sais que tu les aimes ! Je t’ai nourri avec ! Et je te vois bien les regarder depuis des années ! »
Elle leva alors l’autre bras en le déposant sur sa tête, me laissant totalement libre accès à sa poitrine.J’en profitai, pour les savonner complètement, laissant tomber le pain de savon au fond de la douche, puis je plaquai mes mains en les tournant, malaxant sans relâche en remontant vers le bas de son cou, redescendant sur ses seins savonneux.Ma mère appréciait beaucoup la caresse :
« AAaaaa…, oui…, j’aime ça… ! » Dit-elle, sa tête appuyée contre mon épaule, m’embrassant dans le cou.
Approchant sa bouche de mon oreille, elle me dit à voix basse sur un ton exalté :
« Quand tu fais ça…, tu peux me demander n’importe quoi…, hhhhh… !– Vraiment n’importe quoi ?– Ouiiii…, vraiment n’importe quoi… ! » Répéta-t-elle, en insistant, m’avouant par là, que c’était une clé fondamentale de son corps et de son plaisir.
Mon pénis pulsa entre ses fesses en l’entendant me dire ça !Je glissai les bouts de mes doigts en partant sur ses aréoles, prenant ses mamelons entre mes doigts en les faisant glisser dessus, répétant se petit manège en prenant soin de les serrer entre mes doigts.
« AaAAAAaaaargghhh…, tu vas me rendre folle… ! »
Un spasme traversa son corps, ses jambes fléchirent une fraction de seconde à son tour.Mon pénis bien enfoui entre ses fesses, me rappelait que j’avais bien envie de savonner son cul et d’explorer cette région encore peu connue.Me penchant à genoux sur la céramique, je ramassai le savon en commençant par laver ses pieds, ses chevilles et ses superbes mollets.M’attardant sur un de ses mollets, je le caressai des deux mains, glissant de sa chevilles jusqu’à son genou, savourant des années d’attentes et de fantasmes sur cette partie de son corps qui me plaisait tant.Sentant en moi monter une intense excitation, je ne me retins pas en relevant une jambe, collant mon corps contre le derrière de sa jambe, mon pénis frottant sur son mollet en bougeant mon bassin comme un chien se frottant indécemment sur la jambe de son maître.Maman tourna alors son regard vers moi, un silence hautement érotique nous entourant d’un coup.Mon pénis se frottait langoureusement sur son mollet, aidé de ma main, pendant que je caressais l’autre.
« Je trouve ça…, terriblement pervers…, ce que tu fais là ! Me dit maman, avalant difficilement sa salive, sur un ton qui trahissait, sans gêne, le plaisir qu’elle avait de me voir.– J’ai toujours rêvé de me branler contre tes mollets ! »
Elle me surprit en se repositionnant, collant ensemble ses pieds en refermant ses jambes, me permettant de mettre mon pénis bien calé entre ses deux mollets rassemblés.Debout devant moi, je me frottais contre elle, en glissant mon pénis contre ses doux muscles, comme dans une pénétration, son cul juste devant mon visage.Déposant mes mains sur ses cuisses, je déposai ma bouche sur ses fesses en les embrassant.
« AAAaaaaarghh… ! » Gémit maman qui ne pouvait qu’imaginer la scène derrière elle.
Savonnant ma main, je la glissai alors entre ses cuisses bien rapprochées, en me rendant peu à peu sur son sexe, ressortant ma main en l’enduisant généreusement de savon, la retournant dans son entrejambe.
« AAaaaarghhh…, j’aime ça, me faire…, laver par toi… !– C’est mieux que d’aller au travail hein ? » Lui dis-je pour l’exciter, sachant bien qu’elle n’ira pas et qu’elle n’a toujours pas appelé.
Trop excitée pour reculer, elle me dit, en m’avouant :
« Oui…, c’est mieux que d’aller au travail…, avec ce qu’on fait et ta main entre mes…, cuisses, je m’en fous… ! »
J’étais bien conscient qu’elle risquait d’être congédiée, mais ça m’excitait aussi de la voir perdre le contrôle, notre relation incestueuse, semblant nous faire perdre, tous les deux, contact avec la réalité de nos vies.Pendant que j’effectuais cette savonneuse masturbation, elle fermait les yeux en gémissant très doucement.Ses mains rejoignant les miennes, m’encourageaient passivement du bout de ses doigts.
« Aaaahhh…, c’est bonnnnn…, oui…, encore…, je pense…, que ça faisait longtemps que, toi et moi, on en avait envie ! »
Le doux contact savonneux de ses cuisses sur mes doigts et ma main, me rendait dingue.
« Ça fait longtemps que tu rêves de moi ? » Lui demandai-je, glissant deux doigts dans son vagin en la pénétrant.– Ouiiiiii…, ça fait…, très longtemps… !– MMmm ! » (Content de l’entendre m’avouer ça).
Mes doigts, la pénétrant facilement, j’aimais la voir fondre sous mes caresses et perdre le contrôle, sentant son bassin commencer à bouger.Mettant nerveusement sa main derrière ma nuque, maman me tira pour que je me relève.
« Viens ! Viens sous la douche ! On va aller dans mon lit ! » Me dit-elle, sur un ton qui ne laissait aucun doute sur ce que nous allions faire.
Se rinçant nerveusement l’un et l’autre, nous sortîmes, s’essuyant rapidement, elle et moi, eûmes l’envie irrépressible de fusionner encore nos corps.Me dirigeant au lit, rapidement, je passai devant la fenêtre en jetant un bref coup d’œil, question de voir si la voisine besognait toujours sur son terrain.Sécateur en main, je la vis tailler la grande haie, à quelques mètres de la fenêtre, aussi, je fis attention pour qu’elle ne me visse pas et me lançai dans le lit, pendant que maman dut mettre un peu plus d’efforts pour sécher partiellement ses longs cheveux détrempés.
Ne pouvant résister à l’appel de nos corps, elle lança la serviette, abandonnant la manœuvre, ses cheveux coulant sur le tapis.Elle lança déjà un long « Mmmm », en embarquant dans le lit, comme si elle était pour me manger, s’approchant de moi, me prenant fortement de son bras derrière ma nuque en me tirant vers elle, maman me dit :
« Fais-moi l’amour, Nicolas ! » Se couchant sur le dos en écartant ses genoux pour que je m’installasse entre ses cuisses.
La suivant dans son mouvement, j’eus à peine commencé à me positionner entre ses jambes, qu’elle leva déjà ses genoux vers ses épaules, en écartant indécemment ses cuisses :
« Viens ! J’ai vraiment envie de toi !– Wow ! T’es de loin la copine la plus chaude que j’ai eue, maman ! Te voir tout écartée comme ça !– Je peux te dire…, la moitié d’un secret, Nicolas ? »
Je ne répondis pas, la laissant aller :
« Si tu m’apprivoises et que…, j’apprends à te faire confiance, tu vas être très, très étonnée de maman, de ta copine, de ton…, amoureuse ! À toi de me découvrir lentement, en me montrant bien la place que j’occupe dans ta vie ! »
Surpris de son propos sincère, je lui dis :
« Je ne sais pas beaucoup de toi maman sur ton jardin secret, mais… »
La situation était étrange, j’étais entre les cuisses de maman, mais nous avions, elle et moi, cet inattendu échange.
« Mais quoi ? Dit-elle, en me regardant.– Je ne sais pas beaucoup de toi, c’est vrai, mais je ne suis pas dupe, maman !– Tu veux dire quoi ?– Mélissa a dit que tu fantasmais rare sur les jeunes, que tu partageais tes rêves les plus débridés et elle semblait très sincère quand elle a dit que tu repoussais les limites de l’interdit ! Tu te souviens ?– Oui je me souviens très bien ! (Ne niant aucunement les paroles de sa sœur)... Tu sais que je ne suis pas idiot, maman ! Mélissa a dit, en conclusion, que c’est pour ça qu’elle t’appelait la Tigresse, la couguar des couguars !.. Venant de Mélissa, et surtout d’elle, ce n’est pas rien, ça me sonne des cloches intenses rares sur ce que tu as à l’intérieur, bien caché ! »
Maman fut très touchée par la conversation, abaissant ses genoux et ses cuisses, le long de mon corps.Elle caressait mes joues s’apprêtant à parler :
« Je ne suis pas sans retenue comme Mélissa !.. Je peux être aussi une bonne maman, une bonne épouse et…une bonne amante !– Ta retenue est externe, mais à l’intérieur… (Sous-entendant qu’elle cachait bien sa déviance)... Tu as dit "aussi", ça veut dire que Mel disait vrai ? »
Maman ne répondit pas directement, souriant en rajoutant :
« La Tigresse est experte en camouflage !– Oh ! C’est pour ça que je vais devoir t’apprivoiser ?– Exactement ! Dit maman, en riant, fermant ses bras derrière ma nuque et en me collant bien contre elle... On est bien comme ça, nus l’un contre l’autre ! Dit gentiment maman, en ramenant la conversation vers ce que nous allions faire.– Oui très bien ! On dirait qu’on est fait pour que nos corps s’épousent !– Mmmm ! J’aime ça ce que tu dis ! » Dit maman, appréciant beaucoup... Épouse-moi complètement alors ! Dit-elle en bougeant ses cuisses en les frottant sur le coté de mes jambes.– T’épouser en te pénétrant ?– Oui ! »
Pour ajouter au petit jeu, je lui dis :
« Patricia, ici présente, acceptes-tu d’épouser Nicolas, ton fils ?– Oui, je le veux ! »
Comprenant ce que je faisais, maman fit de même :
« Nicolas, ici présent, acceptes-tu d’épouser Patricia, ta maman ?– Oui ! Je le veux !– Alors, pénètre-moi ! » Dit maman sur un ton qui ne cachait pas son empressement.– Attends ! » Passant une main sous moi, levant le bassin un peu, en enlignant mon membre bien érigé vers son vagin.
Glissant en elle doucement, mais très facilement, jusqu’à accoter mon corps contre le sien, maman rajouta :
« Je nous déclare mari et femme, Nicolas ! » Annonça maman, en avançant sa bouche contre la mienne et en m’embrassant.
C’était un baiser doux, tendre et plein d’amour qu’elle me donna.
« Je suis ta femme, maintenant ! Me dit-elle.– Mmmmmm ! Ça me plaît et ça m’excite que tu dises ça, maman ! Bougeant mon bassin en entrant et sortant mon pénis à un rythme paisible.– Mmmm ! Je ne pensais jamais aimer autant faire l’amour avec toi ! » Dit maman, dans un moment de laisser-aller intérieur.
À mon tour, je lui souris en l’entendant me dire ça :
« Je me suis souvent caressée en pensant à toi, tu sais ? » Me dit-elle pour rajouter à son aveu.
La sentant s’ouvrir en peu, je lui posai la question qui me vint à l’esprit, nos sexes bougeant doucement l’un contre l’autre pendant cette excitante conversation mère-fils.
« Tu…, te masturbes souvent ? Lui demandai-je, comme si je lui posais une question anodine.– En pensant à toi ?– Non, en général ! » Continuant tous deux notre copulation durant l’échange.
Maman me regarda, soupesant la portée et les conséquences de ce qu’elle allait dire :
« Ça me fait drôle que tu me poses cette question ! »
Je la regardais comprenant un peu.
« Je suis quand-même ta mère, ça me fait drôle de…, traverser cette frontière !.. Encore plus drôle de me sentir un peu gênée de ta question, alors que l’on est en train de…, copuler toi et moi ! »
Penchant ma tête au creux de son cou, je me mis à l’embrasser sur l’épaule en remontant doucement sur son cou, déposant de délicats baisers sous son oreille en lui murmurant :
« T’es ma mère, mais t’es aussi ma femelle tigresse, Patricia ! »
Mes mots eurent un effet euphorisant, augmentant son excitation d’un coup.
« AAAaaaaahhh oui…, j’aime ça quand tu m’appelles par mon nom !.. Fais-le encore… ! »
Voulant faire plaisir à ma maman, je lui dis, m’approchant tout près de son oreille :
« Je t’aime, Patricia !– AAaAAAaaaaaa…, oui…, Nicolas…, moi aussi, je t’aime… ! »
Je venais d’allumer sérieusement ma mère.Elle releva ses genoux en les approchant de ses épaules, s’ouvrant les cuisses complètement, le bout de ses pieds glissant sur le haut de mes fesses et ma taille, pendant que mon bassin accélérait la cadence en appuyant mes pénétrations.
« C’est bon…, PATRICIA…, MAMAN ! (Me concentrant pour l’exciter sans, moi-même, perdre les pédales).– AAAAAAaaaaa…, ouiii…, encore…, je…, je suis à toi, Nicolas…, ça te plaît…, que je t’appartienne…, que je sois ta femme ?– Ça me rends dingue que tu dises ça ! » – Ça m’excite beaucoup aussi ! Rajoutant :.. J’ai vraiment le sentiment que je trompe ton père en ce moment !– Et ça t’excite, hein ?– Oui ! Oui…, faire ça dans son dos…, oui… ! (Maman bougeant son bassin à la rencontre de ma pénétration).– J’aime ça te voir dans cet état ! Lui dis-je, répétant de nouveau ma question initiale, la sentant chaude et allumée... Alors, tu te masturbes souvent ? »
Voyant que je voulais vraiment savoir, elle répondit finalement :
« Oui…, oui…, je me masturbe souvent… !– Mmmm ! Souvent ? Posant ma question en relevant le haut de mon corps de mes mains en intensifiant mes coups de bassin.– Souvent…, deux, trois fois par jour… !– Wow, maman ! T’es vraiment une chaude femelle !– Oui Nicolas…, j’aime me caresser… ! Maman déposant ses mains derrière mes fesses en tirant, suivant mon rythme.– Tu l’as fait au boulot ?– Je le fais…, partout… !– Mmmmm ! Partout ? Tu m’excites comme un fou quand tu dis ça ! »
Maman était très excitée aussi :
« AAaaaaaaa…, oui…, c’est bon…, baise-moi, Nicolas…, baise-moi fort… ! » Recommençant à parler un peu crû.
Écoutant ma mère, je donnais maintenant de grands coups presque sauvages, sortant presque totalement mon gland en l’enfonçant de nouveau en elle, provocant un son intense de copulation corporelle entre nos corps.Maman grimpa alors au septième ciel.
« OUI…, BAISE MAMAN, NICOLAS… ! BAISE-MOI FORT… ! AAAAAAAA… ! »
Maman criait de nouveau sans aucune retenue.
« C’EST BONNNN, NICOLAS…, MAMAN AIME SE FAIRE…, BAISER PAR TOI…, OUIIIII… !– TROMPER PAPA AVEC TON FILS ? Mes paroles la firent basculer.– OUIIIIIII..., AAAAAAAaaaaaaaaaaarghhhhhh…. ! »
Soudain, je sentis un grand éclat chaud sur le devant de mon ventre.Sous moi, maman se tordit en positionnant parfaitement son corps pour optimiser la pénétration, son corps lui réclamant de procréer.
« AAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaa…, AAAAAAAAAAAAaaaaaaaaa…. ! »
Je réalisai, en la regardant, que j’adorais la voir dans cet état sublime, ma mère devenant plaisir, abandon, jouissance, esclave du plaisir qui la transportait, en lui faisant perdre toute inhibition.Traversée de spasmes proches de convulsions, son corps se tordait et se mouvait sous moi, envahi par la drogue de l’orgasme coulant dans ses veines.
« AAaaaaaaa…, AAaaaaaa…, AAaaaaaaa…. ! (Subissant toujours ma pénétration rapide, mais moins violente)... Aaaaah…, je…suis folle de toi…, t’es vraiment un…, amant incroyable, Nicolas…. ! » Laissant aller cet aveu sous l’effet de l’intense plaisir qu’elle ressentait, tentant de reprendre son souffle, sa poitrine se déployant rapidement, tentant de faire entrer autant d’air qu’elle pouvait dans ses poumons.
Me calmant aussi, sans avoir éjaculé cette fois, je pensai, soudainement à la voisine, en me demandant, si elle était toujours à couper la haie près de nous, ne pouvant pas, si c’était le cas, ne pas avoir entendu encore nos bruyants ébats, la fenêtre étant si proche de la limite des terrains.Laissant tourner sa tête sur le coté, en caressant nonchalamment elle-même son visage du revers de ses doigts, maman toujours sous moi, se laissait planer sur son nuages d’orgasmes, dégustant chaque goutte de ce nectar libidique coulant encore en elle.
« On va pouvoir le regarder ensemble ! Dit-elle, en remarquant la caméra qui tournait toujours en filmant.– Oui !– On devrait toujours se filmer, Nicolas, dans nos ébats !.. On les regarderait quand on ne fait pas l’amour ! Tu aimerais ? Me dit-elle, me surprenant de plus en plus.– Oui, c’est une super idée ! »
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