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Frissons interdits...

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Lorelei et j’ai 22 ans. Je n’ai pas pour habitude de parler de moi, et encore moins de mes histoires de baise, mais cette fois je me suis décidée à tout coucher par écrit. J’ai besoin de cet exutoire pour mesurer toute l’ampleur de ce qui m’est arrivée pendant ces deux dernières années. Car, croyez-moi, ça n’a pas été de tout repos…
Je vais tenter de brièvement me décrire, afin que vous puissiez avoir une image aussi claire que possible de moi. Tout d’abord, sachez que je suis grande et mince avec un corps naturellement svelte. Ce que l’on remarque le plus souvent chez moi, ce sont mes jambes. Elles sont interminables ! J’ai toujours eu de fines gambettes, très hautes et superbement dorée par le soleil de mes voyages. J’ai une taille très fine avec de jolies hanches, de petits seins dotés d’un galbe parfait qui feraient pâlir de jalousie n’importe quelle fille. J’ai beaucoup de chance, on me le dit souvent... Les hommes aiment poser leurs yeux sur ma chute de rein qui les rend tous dingues et les femmes louchent vers mes fesses rebondies en se mordant les lèvres, maudissant dame Nature de ne pas les avoir dotées d’une aussi charmante morphologie. Je ne me suis jamais sentie gênée par mon physique qui, au contraire, m’a toujours aidée à me sortir des situations les plus difficiles. Je n’avais qu’à battre des cils pour obtenir tout ce que je souhaitais. De mes grands yeux gris, je fais fondre le cœur de n’importe quel gros dur à cuire... Pratique !
C’est d’ailleurs sûrement pour cette raison que toute mon histoire a commencé... Car ma grande épopée sexuelle a débuté à partir d’une rencontre des plus inattendues. C’était en plein milieu du mois de Septembre et il faisait encore très chaud à cette saison. J’étais en centre-ville, vêtue simplement d’une grande chemise blanche à rayures bleues et d’un short en jean d’une sobriété exemplaire. Ma meilleure amie m’avait proposée de faire les boutiques et en tant qu’accro du shopping qui se respecte, j’avais aussitôt sauté sur l’occasion ! Dix minutes seulement après son appel, j’étais déjà sur place, crapahutant dans les rues piétonnes en faisant de l’œil aux vitrines des magasins, jusqu’à ce que je repère ma cible.
J’ai toujours été une immense fan de lingerie. Tout d’abord parce qu’étant donné mes mensurations, n’importe quel bout de dentelle me rend incroyablement sexy et ensuite, parce que certaines pièces sont tellement belles qu’on a vraiment l’impression de porter sur soi des œuvres d’art. C’est donc avec joie que j’ai poussé les portes d’un Darjeeling, impatiente de sentir la douce caresse de la soie sur mes courbes qui n’attendaient que ça. En entrant, j’ai aussitôt remarqué la vendeuse du magasin qui se tenait derrière son comptoir. C’était une jolie femme aux longs cheveux blonds relevés en queue de cheval, certainement plus vielle que moi. Entre 35 et 40 ans à vue d’œil. Elle avait une très belle poitrine qui semblait étouffer sous son chemisier trop moulant. Je me souviens que je m’étais faite une réflexion à ce sujet, notant que les deux premiers boutons semblaient sur le point d’éclater. Elle portait un jean très près du corps et de hauts escarpins à lanière de cuir. Bref, le genre de femme à qui j’aimerais encore pouvoir ressembler dans quinze ans. En m’apercevant, elle m’a chaleureusement sourit et s’est avancée vers moi.
— Bonjour mademoiselle, je peux vous aider ?
— Oui, s’il vous plait ! avais-je accepté en souriant à mon tour. J’aurais voulu essayer quelque chose de nouveau, de sympa...
Il ne lui avait fallu qu’une poignée de seconde pour réfléchir à ma demande avant qu’elle ne m’oriente vers un pan de mur couvert de jolis soutien-gorge et de petites culottes dans des tons noir et rouge. Après lui avoir expliqué que j’avais un léger penchant pour la dentelle fine, la vendeuse m’a sélectionnée une série d’ensembles ravissants que j’étais alors impatiente de pouvoir essayer.
— Je crois que ça va suffire, avait-je déclaré en rigolant, presque cachée par la montagne de dessous que je tenais entre les bras. Je souhaiterais pouvoir les essayer !
— Aucun souci, suivez-moi... C’est quoi votre nom déjà ?
— Lorelei ! avais-je répondu aussitôt tout en me faufilant dans la cabine qu’elle me montrait.
— D’accord, moi c’est Anne !
A ma grande surprise, c’est tout naturellement que la vendeuse était entrée d’emblée dans ma cabine, refermant le rideau derrière nous. Etant une habituée de ce genre de boutiques, il m’arrivait très souvent de demander de l’aide ou l’avis d’une professionnelle pour aiguiller mes choix ou adapter mes soutien-gorge. Leur présence m’était devenue familière, mais jamais l’une d’elle ne s’était encore spontanément invitée dans ma cabine. Je ne m’en étais pourtant pas formalisée sur le moment, me contentant de hausser les épaules et de me déshabiller en silence.
Je dois avouer que c’était finalement assez troublant de voir Anne nonchalamment appuyée contre le mur de ma cabine, me scrutant de ses grand yeux chocolats. Je me suis rapidement retrouvée entièrement nue devant elle et le rouge m’était immédiatement monté aux joues sans que je parvienne à le dissimuler.

— Oh... ça vous embête que je sois là ? avait aussitôt demandé la vendeuse sur un ton d’excuse.
— Non, non ! Il n’y a pas de problèmes...
— Pardon, j’ai pris l’habitude de venir spontanément en aide aux clientes, certaines n’hésitent pas à me dire que ça les gênes alors en général, je ressors, mais comme vous ne m’avez rien dit, je ne pensais pas que ça allait vous mettre mal à l’aise. Veuillez m’excuser !
— Il n’y a pas de mal, ça m’a juste troublée, rien de méchant ! l’avais-je aussitôt rassurée en souriant.
— Bon, alors passons aux choses sérieuses... avait rapidement enchaîné Anne en reprenant un ton très professionnel.
Il lui avait suffi de seulement quelques secondes pour attraper une jolie culotte de la pile de dessous que nous avions sélectionnés, la défaire de son portique et s’accroupir à mes pieds. Un peu ébranlée, j’avais levé une jambe pour pouvoir la passer, me rendant soudain compte que cette position devait offrir une vue imprenable sur mon sexe. De nouveau, je m’étais mise à violemment rougir. Heureusement, trop occupée à réajuster la culotte sur le bas de mes hanches, Anne n’avait strictement rien remarqué.
Les essayages s’étaient poursuivis sans problèmes et rapidement, je m’étais habituée au contact des mains d’Anne qui me faisaient enfiler strings, soutiens-gorges, culottes larges, bustiers, jarretelles et nuisettes en tous genres. Cependant, au moment d’enfiler un des dessous qu’elle me proposait, j’avais ressentis une vive douleur dans l’entre-jambe.
— Aiiiie ! Putain ça fait maaal !
— Qu’est-ce qui se passe mademoiselle ? s’était aussitôt inquiétée la vendeuse en relevant les yeux vers moi.
— C’est l’antiv-v-vol qui s’est c-coincé... Hrrrmmm... avais-je gémis en sentant des larmes rouler sur mes joues.
Aussitôt, Anne était intervenue, ôtant délicatement le bout de plastique qui me pinçait les petites lèvres. Mais même après que l’objet de mon supplice soit retiré par ses mains expertes, mon sexe me lançait toujours douloureusement et je m’étais tortillée dans tous les sens, gênée.
— Attendez ne bougez pas, je dois avoir de la crème dans mon sac !
Presque aussitôt, Anne avait filé hors de la cabine pour revenir quelques minutes plus tard, un tube de pommade entre les mains. Elle m’en avait étalé sur le bout des doigts et soulagée, j’avais aussitôt porté le gel frais vers mon entre-jambe, poussant un soupir d’extase. La morsure de la douleur avait enfin commencé à s’atténuer !
La vendeuse m’avait regardé faire, les sourcils froncés par l’inquiétude. Au bout d’un moment, elle avait quand même fini par s’impatienter et elle s’était derechef agenouillée près de moi, appliquant un peu de crème sur ses longs doigts fin.
— Ce n’est pas vraiment comme ça qu’il faut l’étaler...
Avec un hoquet de surprise, j’avais ensuite senti la chaleur de sa main se poser sur ma vulve et commencer à faire de petits gestes circulaires le long de mes lèvres, pour faire pénétrer la pommade. Sans que je parvienne à le contrôler, j’avais remarqué que mes seins avaient commencé à se durcir. Mes tétons pointaient fièrement vers le haut, sans que je ne puisse les cacher ! Gagné lui aussi par l’excitation, mon clitoris s’était mis à enfler, dépassant de mes petites lèvres. Ces légers détails n’échappèrent pas à la vendeuse qui m’avait alors asséné une petite tape sur l’entre-jambe, me faisant suffoquer.
— Ehhh, je ne suis pas là pour vous donner du plaisir ! m’avait-elle sermonnée. Si vous souhaitez vous faire du bien, faîtes-le par vous-même !
— D-Désolée ! avais-je bredouillé en voulant me redresser.
— Tss, tss... avait-elle sifflé entre ses dents en me forçant à me rasseoir. Étalez donc cette pommade, vous allez tâcher votre culotte sinon !
Baissant honteusement la tête, j’avais docilement recommencé à me caresser l’entre-jambe, exactement comme elle me l’avait montré. J’avais énormément de mal à cacher le fait que j’étais très excitée. Un peu de mouille avait commencé à se mélanger à la pommade, coulant sur mon tabouret et me trempant les fesses. J’aurais souhaité disparaître sous-terre, brutalement soumise à des sentiments très contradictoire. Qu’Anne m’observe attentivement en train de me masturber m’avais fait un bien fou, décuplant mon plaisir. D’un autre côté, je me sentais pathétique, dominée, vulgaire.
Au bout de quelques minutes, je m’était mise à jouir, explosant autours de mes doigts. Je m’étais affalée à bout de souffle contre le mur de la cabine. C’est alors que j’ai rencontré mon reflet dans le miroir. J’étais belle, mes courts cheveux cuivrés étaient totalement décoiffés, ma poitrine nue se soulevait et s’abaissait à un rythme rapide, haletante. Mes cuisses étaient écartées, brillant de perles humides. Mon sexe était rougi, gonflé, offert.
— Le moins que l’on puisse dire, c’est que vous n’êtes pas très farouche… avait alors lâché Anna dans un souffle.
Après ça, La vendeuse m’avait observée avec un air d’admiration mêlé à de l’agacement. Après tout, je venais quand même de me masturber dans son magasin, n’importe qui aurait été en colère voir outré. Mais d’un autre côté, j’étais intimement convaincue de lui avoir offert le show en live le plus torride de sa vie.
— Vous non plus… n’avais-je pu m’empêcher de répliquer, sur un air de défi.
La vendeuse avait fini par lâcher un léger rire, dédramatisant quelque peu la situation. Elle m’avait ensuite proposée de me rhabiller pendant qu’elle allait passer mes articles à la caisse. Une part de moi regrettait déjà qu’elle ne reste pas plus longtemps dans la savoureuse promiscuité de nôtre cabine. Mais ma conscience, elle, hurlait de soulagement. J’avais rapidement enfilé mon jean et passé ma chemise par-dessus ma tête avant de rejoindre le comptoir. Je m’étais empressée de payer, après quoi, Anna m’avait lancé un regard brûlant qui avait fait se dresser la pointe de mes tétons déjà bien éprouvés par les récents événements.
— Tu vas rentrer chez toi et réfléchir à ce qu’il s’est passé aujourd’hui. Si jamais tu t’aperçois que tu as apprécié ce moment, téléphone-moi. J’ai ajouté mon numéro au dos du ticket de caisse. Je pense que j’aurais pas mal de choses à te faire découvrir. Si tu aimes ce genre de choses, tu ne devrais pas être déçue…
— D’accord… avais-je lâché d’une voix blanche avant de rapidement décamper.
Sur le retour, j’avais finalement été rejointe par ma meilleure amie, sans que je ne lui souffle un mot de ce qui s’était passé ! Le visage d’Anna m’était réapparu toute la journée, j’avais repensé à ses deux boutons, sur le point de céder… J’avais aussi longuement tenté d’imaginer ses longs doigts fins s’introduire en moi, imprégnant à mon corps un lent rythme de va-et-vient. Et plus j’y repensais, plus son obsédant regard me hantais. Je voulais me masturber encore et encore sous on œil inquisiteur. Je voulais faire l’amour devant-elle. Je voulais qu’elle me voit humiliée et belle comme dans cette cabine d’essayage.Je la voulais, elle et son monde étrange où les regards sont encore plus exaltant que la caresse.
C’est ainsi qu’en rentrant chez moi le soir, je me suis encore une nouvelle fois touchée en repensant à ses yeux rivés sur moi. Et que je l’ai rappelée. C’était il y a deux ans… Et vous n’avez encore aucune idée de ce qui est arrivé ensuite.
To be continued…
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