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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Gaëlle

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Reprenant subitement conscience, elle laisse échapper un cri :    - ’Mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait ?    - Rien de bien grave ma chérie, je la rassure, tu as simplement pris beaucoup de plaisir grâce à Didier qui en mourait d’envie.    - Mais vous devez me prendre pour quoi ?    - Pour une femme épanouie qui a laissé libre court à une envie.    - Tu n’es pas fâché, vraiment ?    - Absolument pas, ma puce. Tu sais qu’il y a longtemps que j’avais envie de vivre une telle situation.’    Je m’approche d’elle et lui offre un long baiser qu’elle me rend avec fougue. Je la regarde ensuite et lui demande :    - ’C’était bon ?    - Oui... délicieux, avoue t-elle presque à regret.    - Je suis heureux de t’avoir vu jouir aussi fort. Tu es magnifique dans le plaisir.’    Elle ne répond pas et je pose une main sur son chemisier, à hauteur de sa poitrine. Elle ne fait rien pour m’en empêcher et je caresse ses seins plus franchement. Sous mes doigts ses tétons s’érigent et j’entreprends de déboutonner le vêtement. Je découvre alors son soutien-gorge et libère sa poitrine de ce dernier rempart. Elle me regarde dévoiler ses seins au regard curieux et admiratif de Didier. D’un geste, je l’invite à s’approcher et, lui prenant une main, la pose sur un sein. Il ne se le fait pas dire deux fois et nos doigts caressent de concert la poitrine offerte.    De son autre main, il se débarrasse de son pantalon et de son caleçon, exhibant un sexe aux dimensions honorables. Tournée vers moi, Gaëlle ne l’a pas encore vu. Il lui prend une main et la pose sur sa verge. Surprise, ma chérie tourne les yeux et regarde avec surprise le bâton de chair. Elle hésite à le caresser mais Didier ne la lâche pas et fait aller et venir ses doigts sur sa colonne. Vaincue, elle referme les doigts et continue les mouvements. À mon tour, je me mets nu et présente mon sexe à son autre main. Elle nous branle en cadence pendant que nos mains se promènent sur son corps maintenant totalement offert. Désirant aller toujours plus loin, Didier enjambe la chaise longue et présente son sexe à ses lèvres. Dans un sursaut, elle refuse :    - ’Les caresses, je veux bien mais pas plus !    - Ma chérie, tu as bien accepté tout à l’heure que Didier te lèche... pourquoi lui refuser ce plaisir ?    - Mais je ne suis pas une pute !    - Qui te considère ainsi ? On est trois à avoir envie de s’offrir du bon temps, allons jusqu’au bout de nos fantasmes. Tu n’as pas envie de prendre encore du plaisir ?    - Ce n’est pas ça mais quand même...    - Tu veux vraiment qu’on s’arrête là ?    - Non ! Enfin... je ne sais pas... vous me faites faire et dire des conneries, tous les deux...’    Pendant ce dialogue, Didier n’a pas cessé de lui flatter l’intimité. Sentant Gaëlle sensible à ses caresses, il en profite :    - ’On fait quoi ? J’arrête mes caresses ?    - ... Non...     - Tu as envie que je continue, alors ?    - Oui...
    - Tu aimes mes doigts dans ta chatte ?    - Oh oui !    - Alors, tout dépend de toi. On va jusqu’au bout ou on stoppe tout immédiatement. Je te laisse le choix.’    Gaëlle ne répond pas. Un instant je me dis que c’est fichu puis, lentement, elle approche la bouche du sexe de Didier, ses lèvres s’entrouvrent et sa langue lèche le méat et le gland avant d’avaler centimètre par centimètre la queue dressée. Je regarde le membre de notre ami lentement disparaître dans la bouche de ma femme. Gaëlle, toujours caressée par nos quatre mains, oublie maintenant toute retenue et s’applique à offrir le maximum de plaisir à Didier. Heureux d’avoir vaincu ses réticences, ce dernier l’encourage :    - ’Ta bouche est douce, Gaëlle, vas-y ! Avale-moi bien ! Oui... comme ça !’    Ne pouvant bien sûr pas lui répondre, ma chérie se contente d’émettre un ’hum’ étouffé par la verge de Didier qui continue :    - ’Suce-moi bien ! Après je vais te prendre et te donner tout le plaisir que tu veux.’    Les doigts de Didier vont et viennent sans discontinuer dans le vagin de Gaëlle et plus les minutes passent, plus les ’floc’ trahissent l’état d’excitation de ma femme. Il décide alors de changer de position et s’allonge à même le sol. Attirant ma femme sur lui, il guide son sexe à l’entrée de son vagin et lui laisse choisir elle-même le moment où elle le voudra en elle :    - ’Je suis prêt à t’investir, tu as envie de ma queue dans ta chatte ?    - Oui...    - Alors, vas-y ! Descends sur moi ! Empale-toi sur ma bitte !’    Ces mots, que je n’emploie guère, paraissent exciter ma chérie. Lentement, elle descend sur le mât dressé, gémissant doucement, jusqu’à ce que le sexe de Didier soit totalement fiché en elle. Là, elle se tourne vers moi et me dit un doux ’je t’aime’ avant d’entamer une folle chevauchée. Je me lève et, debout à côté de ma femme, je lui prends la bouche pour un long baiser. Sa langue virevolte autour de la mienne, ma main retrouve sa poitrine que je caresse amoureusement. Ses bras me serrent, comme si elle cherchait à s’y réfugier et sa bouche ne quitte pas le mienne. Bien qu’elle paraisse encore un peu apeurée par cette situation, ses va et vient se font de plus en plus rapides et profonds et ses gémissements de plus en plus sonores.    C’est le moment que choisit Didier pour changer de position. Gaëlle s’allonge sur le sol, Didier lui relève les jambes sur ses épaules et je regarde son membre s’enfoncer entre les lèvres gonflées. Je m’installe au dessus du visage de Gaëlle qui, tout naturellement, engloutit ma verge. Tout en me faisant sucer, je regarde Didier aller et venir dans le vagin de ma femme. Il alterne va et vient rapides et coups plus lents et puissants, s’enfonçant entièrement en elle. À ce rythme, ma chérie ne résiste guère et elle jouit une nouvelle fois, enserrant mon sexe entre ses lèvres. Pour autant, Didier ne cesse pas sa pénétration et, au contraire, accélère un peu plus la cadence. Gaëlle ne tient plus en place tant le plaisir qu’elle ressent est grand. A son tour, Didier parvient à l’orgasme. Sortant du vagin, il lui arrose abondamment le pubis, le ventre et la poitrine de puissants jets de sperme. Je quitte la bouche de ma chérie et le remplace tandis qu’il lui donne son sexe à lécher, ce qu’elle fait sans plus aucune hésitation.    A mon tour, je pilonne ma femme de longs coups de reins. Mon pubis claquant le sien parfois violemment. Je fais un gros effort pour ne pas jouir trop vite, désireux de lui offrir à mon tour un orgasme. Je n’ai pas à attendre bien longtemps. Gaëlle en effet lâche le sexe de Didier et, ses yeux dans les miens, me crie :    - ’Viens mon chéri ! Je jouis moi aussi !’    Ces mots à peine prononcés, je sens son vagin se contracter, ce qui déclenche mon éjaculation. Mon sperme fuse dans son ventre et Gaëlle part à son tour dans un nouveau tourbillon de plaisir. La bouche grande ouverte, elle crie son plaisir, les jambes fermement serrées autour de mes reins, nos sexes totalement imbriqués.    Elle reste ensuite inerte quelques minutes, les yeux fermés, le souffle court, en nage. Malgré mon orgasme, je conserve ma rigidité et je vais et viens très lentement en elle, comme pour terminer en douceur ce moment de folie.     Gaëlle ouvre enfin les yeux, nous regarde tendrement avant de déclarer :    - ’Jamais je n’ai autant joui ni aussi fort !    - Moi non plus, renchérit Didier.    - Et moi donc !    - Si vous le permettez, je meurs d’envie de prendre une douche.    - Fais comme chez toi, lui répond notre ami, tu connais la maison’    A regret, je sors d’elle, entraînant une coulée de sperme et de mouille qui laisse une longue trace sur sa cuisse, ce qui déclenche un triple éclat de rire.    - ’En plus de la qualité, il y avait la quantité, remarque Gaëlle en riant.’    Elle file vers la salle de bains pendant que Didier et moi prenons un rafraîchissement.    - ’Je suis heureux d’avoir pu vivre cela avec vous deux, déclare t-il.    - Pas autant que moi ! Je redoutais vraiment sa réaction.    - En tout cas, elle semble en avoir bien profité !    - J’en ai l’impression.    - On s’arrête là ?    - Tu as envie ?    - Oh non ! Ou plutôt si... j’ai très envie... d’elle !    - Je te propose de la rejoindre, je vous laisse un peu tous les deux, tu es d’accord ?    - Je n’osais pas te le demander !’    Resté seul, je repense aux moments qu’on vient de vivre. Je suis vraiment très heureux de ma chérie ait accepté de tenter l’expérience et, surtout, qu’elle y ait pris autant de plaisir. Les images défilent dans ma tête et mon sexe peu à peu se redresse.    Cela fait un bon quart d’heure que Didier l’a rejointe. Mon côté voyeur prend le dessus et je décide d’aller voir ce qui se passe. Sans bruit, je me dirige vers la salle de bains et constate qu’elle est vide. Je tends l’oreille et distingue des gémissements provenant de l’étage. Je monte, Didier a laissé la porte ouverte et je les découvre, sur le lit, en position de 69. Je m’installe en silence dans le fauteuil et les admire.    Gaëlle suce avec application la verge raide tandis que Didier enfonce sa langue le plus loin possible dans la grotte humide pendant que ses doigts flattent délicatement l’anneau sombre niché entre les fesses de ma belle. Ne rencontrant aucun refus, il plonge son doigt dans le vagin, le ressort luisant de mouille et l’appuie contre la rondelle. Je vois une légère grimace sur le visage de Gaëlle lorsqu’une première phalange force son trou. Didier, a du lui aussi percevoir son appréhension car sa langue redouble d’ardeur et son doigt reste immobile, laissant au sphincter le temps de s’habituer à sa présence. Elle se détend peu à peu, aidée par les caresses de son amant et il reprend sa lente progression. Le majeur est bientôt entièrement dans le cul de Gaëlle. Je suis surpris de la facilité avec laquelle Didier est parvenu à ses fins, ma femme n’aime guère que je lui caresse cet endroit de son corps qu’elle juge, vestige de son éducation stricte, comme sale.     Didier s’écarte alors et la fais mettre en position de levrette. Derrière elle, il promène son sexe le long de sa fente, sous les gémissements de Gaëlle. Puis, pointant son sexe à l’entrée du vagin, il s’enfonce d’un puissant coup de rein accueilli par un ’oh’ de surprise. La maintenant fermement par les hanches, il va et vient en elle à grands coups de rein, son ventre claquant contre les fesses. Une nouvelle fois, ma chérie connaît un violent orgasme, tendant ses fesses au devant de la queue qui la pénètre. Didier maintient le même rythme puis ses mains écartent les fesses, dévoilant à ses yeux l’oeillet plissé. Son pouce s’en rapproche et, lentement, en force l’entrée sans que Gaëlle ne s’esquive. Il entame une longue série de va et vient, calquant leur rythme sur celui de sa verge. Cette nouvelle ’attaque’, loin de calmer Gaëlle, la ramène sur le chemin du plaisir et, à nouveau, ses gémissements emplissent la pièce.     Didier la prend un long moment encore, lui offrant deux nouveaux orgasmes puis, soudain, sort son sexe et le dirige un peu plus haut, vers l’entrée jusque là inviolée. Appuyant son gland contre l’anneau, il pousse très légèrement.    - ’Non ! s’il te plaît, gémit ma femme...    - N’aie pas peur... je serais très doux    - Je n’ai jamais fait... par là... reprends ma chatte...    - Laisse-moi faire, je suis sûr que tu vas adorer...’    Tout en parlant, il n’a pas cessé de pousser et lentement, le gland franchit l’étroit passage. Il reste un peu immobile puis reprend sa lente progression, prenant bien soin de ne pas la faire souffrir.    - ’Ca va ? tu n’as pas trop mal ?    - Un peu... vas doucement...’    Didier comprend alors que Gaëlle s’abandonne. Ecartant les fesses, il pousse encore un peu et le gland disparaît totalement.     - ’Le plus dur est passé. Je vais y aller très lentement.    - Oui...’    Je me suis approché et ne parviens pas à détacher les yeux du sexe de Didier, écartelant le petit cul, encore vierge il y a quelques minutes, de ma femme chérie. Peu à peu, le membre progresse et, après de longues minutes, Didier annonce à Gaëlle qu’il est tout en elle.    - ’Tu as tout ton sexe dans mon cul ? Demande t-elle incrédule.    - Oui, tu peux t’en rendre compte en touchant.’    Elle passe une main sous son ventre et s’aperçoit qu’effectivement, la totalité de la verge de son amant est enfoncée dans ses entrailles.     - ’Alors ? tu n’as pas mal ?    - Non. ?a fait une sensation bizarre mais pas vraiment désagréable. J’espère que mon trou se refermera ensuite, trouve t-elle à plaisanter.    - Sois sans crainte.’    La sentant se décontracter, Didier entame de lents va et vient. Peu à peu, Gaëlle prend plaisir à cette sodomie et n’hésite plus à tendre son cul vers ce sexe qui la perfore. Les coups de reins se font alors plus puissants et les gémissements de Didier accompagnent ceux de ma femme.     Je me suis de nouveau installé dans le fauteuil et je me fais violence pour ne pas me masturber, désireux de connaître à mon tour la volupté de prendre le cul de Gaëlle. Enfin, Didier approche de l’orgasme :    - ’Je vais venir ! Gaëlle, je vais jouir dans tes fesses !’    D’un dernier coup de rein, il s’enfonce, se raidit et, dans un long ’ah’, éjacule au fond d’elle. Il sort alors et je ne peux m’empêcher de me précipiter pour prendre sa place. A mon tour, j’investis le fondement de Gaëlle qui m’accueille en gémissant. Pour la première fois, j’encule ma femme et elle y prend plaisir ! Notre ami reste un moment nous regarder puis va se nettoyer. Restés seuls, je cesse mes va et vient quand Gaëlle me demande :    - ’Tu es fâché ?    - Je devrais ?    - J’ai offert à Didier ce que je te refusais depuis toujours...    - Tu le regrettes ?    - Non... je ne savais pas que c’était aussi bon...    - Je te rassure, je suis très heureux de ton comportement...    - De salope !    - Pas du tout ! De femme épanouie... qui n’hésite pas à prendre son pied...’    Cette courte conversation me paraît surréaliste. Ma bitte au fond du cul de mon épouse, nous devisons tranquillement.    - ’Maintenant, tu me l’offriras ce petit cul quand j’en aurais envie ?    - Sois-en sûr ! Je ne me priverai plus de ce nouveau plaisir. D’ailleurs, tu devrais...    - Quoi ?    - Euh... non, rien... continue à me faire du bien.’    Elle ponctue sa dernière phrase d’un coup de rein qui me fait presque sortir d’elle. je la réinvestis fermement et reprends mes va et vient, regardant mon sexe s’enfoncer dans ses fesses. Une nouvelle fois, je sens le plaisir arriver. Je me rue de plus en plus loin et soudain, mon foutre jaillit, se mêlant à celui de Didier. Je reste en elle jusqu’à ce que mon sexe, débandé, sorte tout seul.
E-mail: jorennes@caramail.com
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