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Gagnante du Loto

Chapitre 1

Hétéro
Tous les noms et personnages ci-dessous sont fictifs. Toute ressemblance avec des faits et personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    Bonjour, moi c’est Maeva, une jolie blonde de tout juste 20 ans. Il y a quelque mois ma vie a été bouleversée. J’ai gagné au LOTO, le gros lot du 1er rang. Evidement Je me suis fait harcelé par tous les banquiers du coin qui avaient appris la nouvelle, je ne sais pas comment. Je reçu un message de ma banque, où le directeur lui-même voulait me parler. Ça ne m’étonnait pas, il avait du être prévenu du virement et surtout de son montant. Je me rendis donc le lendemain au rendez vous. Je me retrouvais devant le directeur de la banque. Un vieux papy assez austère, gras et moche. Il m’offrit un café et commença à me vanter les mérites des placements qu’il proposait. En même temps je me doutais que ce n’était pas pour parler de la météo. C’était long et ennuyeux et j’essayai alors de trouver une excuse bidon pour le faire taire.
— Excusez-moi de vous interrompre mais tout cela est assez obscur pour moi.— Je comprends bien. Si vous voulez je peux vous organiser un rendez-vous avec l’un de nos conseillers qui pourra vous expliquer tout cela quand vous le souhaiterez. Etant donné votre nouvelle situation financière ce serait le mieux ; Vous êtes chez nous depuis longtemps et nous tenons à fidélisez nos clients. Et puis vous n’ignorez pas qu’il y a des requins qui vous tourneront autour.
— Parfait, faisons comme ça.— Sandra, faites venir Francis dans mon bureau.
    Le Francis en question était en fait le meilleur représentant-conseiller financier de l’agence. C’était aussi le plus ancien. Quand il entra, je vis un bonhomme rondouillard, 1m80, presque la soixantaine, cheveux blanc, un bouc de 2 semaines et un costume gris clair. Il me regarda à peine en me serrant la main. Malgré une apparente froideur, physiquement il était quand même bien bâti, très classe et plutôt charmant, limite séduisant. Rien à voire avec les petits cons que j’avais connu avant.Plus intéressé par les consignes de son boss et par l’éventuelle commission très juteuse qu’il allait toucher, nous primes rendez-vous 3 semaines plus tard, pour un entretien chez moi, à l’abri des regards indiscrets. J’avais moi-même prévu quelque chose entre temps.
    Dommage que ce Francis soit si froid, il était mignon malgré tout. C’est sur que si j’avais été une grande blonde à forte poitrine apparente, il m’aurait regardé autrement. Mais cela allait changer. Le lendemain je partais pour Paris pour m’offrir ce qui me faisait envie depuis mes 14 ans : une vraie poitrine. Car même si je suis jeune et svelte, je reste presque aussi plate qu’un mec, obligée de remplir mon soutient gorge avec des mouchoirs. 15 jours après mon retour de Paris, j’étais heureuse. J’arborais mon beau 95D tout frai et les cicatrices avaient disparues. J’attendais avec impatience mon rendez-vous avec Francis. Malgré son âge, il m’obsédait et je comptais bien tenter de le séduire à ce moment là. Pour m’assurer que tout était maintenu, je me rendis à la banque. Mon entrée fut remarquée. Tous les hommes de l’agence mataient mon décolleté (chose nouvelle et flatteuse pour moi). En me dirigeant vers l’accueil, le directeur me remarqua et vint vers moi avec un sourire inhabituel qui en disait long.
— Bonjour mademoiselle, vous allez bien— Bonjour, ça va, je suis … en bonne forme. — Je vois ça.— Je venais pour m’assurer que le Rendez-vous avec M Francis était maintenu dans 3 jours.— Oui bien sur il l’est.— Parfait, comme je me suis absenté de chez moi durant une semaine, je ne savais pas s’il y avait eu du changement.— Non du tout.— Très bien alors dite lui que je l’attends dans 3 jours chez moi comme convenu.— Je lui dirai, Au revoir

    En sortant j’entendis le directeur, retourner dans son bureau et, pas discret pour un sou, dire : « quel chanceux ce Francis. Il va bien se régaler ». Plus aucun doute n’était permis. Leurs froideur du 1er entretien était bien du à mon manque de « féminité ». Ce qui voulait dire que Francis pourrait être TRES réceptif à mes nouveaux atouts. Tant mieux.Le jour fatidique arriva et j’attendais Francis à ma fenêtre. J’avais mis des bas, soutien-gorge en dentelle, une jupe courte et un chemisier à moitié ouvert. Je m’étais même procuré du Viagra, au cas où. Je le vis arriver dans sa grosse Berline, il monta l’escalier et sonna à ma porte. En lui ouvrant la porte je le vis, les yeux écarquillés sur ma poitrine. On aurait dit qu’il avait buggé durant 2 secondes. Puis avec un large sourire qui effaçait sa froideur d’avant, il me tendit sa main.
— Bonjour Mademoiselle. Je suis …— Le monsieur Francis de la banque et vous venez pour me conseiller dans mes placements.— Exactement, même si normalement c’est Monsieur Charros. Mais si vous tenez à m’appeler par mon prénom ça ne me dérange pas.— Débarrassez vous, mettez vous à l’aise. Je vous offre quelque chose à boire ? Thé, café ?— Un café oui je veux bien, merci— Lait ? sucre ?— 1 Sucre uniquement.— Voila— Merci bien.
    Il vida sa tasse d’une traite. Il ne pouvait pas s’imaginer que, mélangé au sucre j’avais rajouté une pilule de viagra écrasée. On se plaçait, chacun de part et d’autre de la table. L’un en face de l’autre. Ce qui me donna, à chaque fois qu’il voulait me montrer quelque chose, un prétexte pour me penchez en avant en comprimant mes seins entre mes bras. Au bout d’une heure il avait changé de couleurs. Il était rouge vif. En voulant me montrer un schéma, je prétendu ne pas pouvoir le lire pour me rapprocher de lui et m’assoir à coté de lui. Il était temps de passer à la vitesse supérieure.
— OK je crois que j’ai compris vos placements.— Parfait— Dites je vous vois insister souvent sur certains d’entre eux, Vous touchez une commission dessus ?— Pourquoi vous demander ça ?— Vous êtes plutôt sympathique et je pourrais décider de placer le maximum pour vous donner une plus grosse commission en remerciement.— Et bien oui effectivement je suis commissionné à 0.2 %.— Ok donc si je place le maximum possible dessus ça vous ferait …. Waouh 537 000 euro de commission. Jolie cadeau de noël avant l’heure. Au fait ça fait 1 heure que vous parlez mais je ne vous ai pas demandé : vous disposez de combien de temps pour notre rendez-vous ?— Tout le temps qu’il faudra.— Ok j’ai compris votre patron vous as dit « tu prends le temps que tu veux mais tu me ramène des contrats signés ».— C’est grossièrement décrit mais ce n’est pas loin. Dit-il en esquissant un rictus moqueur.— Ok bah si on a tout le temps ça vous dit une petite pause ? Un autre café peut-être ?— Non juste les toilettes.
    Hors de question qu’il aille se soulager les bourses dans les toilettes. Il fallait passer à l’attaque.
— Dites moi, vous vous sentez bien ? vous êtes tout rouge.— Oui ça va très bien.— Je sais. C’est ma nouvelle poitrine que je me suis offerte qui vous fait de l’effet c’est ça ?— Je suis un homme. Ça doit jouer effectivement.— Même s’il n ‘a rien dit j’ai bien vu l’effet sur votre directeur.— Oui il a du apprécier.— Et vous ? Vous aimez ?— C’est Joli à regarder.— Ça ne vous dirait pas d’en avoir … plus ?
    Et là je retire mon chemisier devant lui ainsi que ma jupe.
— Ecoutez mademoiselle je suis marié.— Vous n’allez pas me dire que je ne vous plais pas ? Je vois votre érection d’ici. Vous bandez comme un taureau. Et puis je me souviens des paroles de votre directeur, il y a 3 jours.— Comment ça ?— Il a marmonné, croyant que je ne l’entendrai pas de loin … « Il va bien se régaler le Francis ». J’en déduis que vous avez l’habitude de vous faire sucer par les clientes.— Ah bah d’accord. Et après ça je passe pour quoi moi ?— Pour quelqu’un qui va s’amuser ?
    Et là je retire mon soutien gorge. Et commence à lui caresser la main
— Écoutez je ne veux pas d’ennui, vous êtes charmante mais je suis là pour une chose. Alors on termine et c’est tout.— Ce serait dommage que je change de banque à cause de ça.— Que voulez vous dire ?— Et bien si je ne suis pas contente de vos services je peux partir voir la concurrence. Adieu commission juteuse. Et comme vous aurez perdu une grosse cliente, c’est une faute professionnelle. Vous pourriez vous faire virer.
    Il se lève de la table, les yeux effarés par ce qu’il venait d’entendre.
— Je rêve ou vous me faites du chantage ?— Ecoutez ce n’est pas comme si ce que je vous demandais était pénible. On passe un moment ensemble, on se donne du plaisir et après je vous remplis tous les dossiers de placement que vous voulez. Et après on oubli, Sauf si vous en redemandez encore. Lui dis-je en lui mettant la main au paquet.— En gros je n’ai pas le choix ?— Je peux aussi colporter des rumeurs sur vous comme quoi vous avez essayé de me violer mais là ce serait parole contre parole et ça ruinerai votre réputation et votre mariage. Trouver du boulot après ça deviendrait l’enfer. Et puis voyez le bon coté des choses je suppose que votre femme ne dispose pas de tel atouts. Profitez-en.— C’est rien de le dire. Bon Ok , vous voulez quoi ?— Ne soyez pas si résigné. Faites moi l’amour comme vous le feriez avec votre femme, mettez la moi ou vous voulez, faites moi jouir et ce sera parfait.
Voyant qu’il allait céder je me mis à genou devant sa braguette et commençais alors à défaire sa ceinture.
— Quand vous dites « ou vous voulez » ça veut dire n’importe ou ?— Oui pourquoi ? quelque chose vous intéresse ?— Bah ma femme me refuse la sodomie alors …— Elle ne sait pas ce qu’elle rate. Quand c’est bien fait c’est le meilleur. Vous pourrez me forer l’arrière train comme vous voulez.— Ok bah banco alors. Par contre on se tutoie. C’est quoi ton prénom déjà ?— Maeva— Ok bah vu que tu es si bien parti suces moi. Je suppose que tu as prévu des préservatifs pour la suite ? — bien sur.— Parfait
    Et ce fut parti pour une séance de baise intensive. Après une fellation bien baveuse qui failli le mettre sur orbite, je l’entraînais dans ma chambre où nous attendait mon grand lit. Il me jeta dessus puis il s’approcha de mon entrejambe pour me lécher le bigorneau. On voyait qu’il avait de l’expérience. C’était tellement bon que j’étais presque en transe. Une fois qu’il me senti prête à l’accueillir il me recouvrit de tout son poids et commença à me besogner. Y a pas a dire ça me changeait des petits jeunots que j’avais connu. Il savait y faire. Il était à la fois doux et brutal mais toujours attentionné. C’était génial et mes gémissements l’encourageaient à continuer. Après avoir encaissé ses puissants coups de reins durant de longues minutes je lui fis remarquer que ma porte de derrière n’était jamais fermée. Il n’en fallu pas plus pour qu’il se retire, me retourne sur le ventre et m’embroche comme un méchoui. Il était tellement content que j’avais l’impression d’avoir un gros sanglier sauvage sur le dos, une véritable bête. Une fois qu’il eut fini après un cri de jouissance à faire trembler les murs, on se retrouvait tous les 2 nus à s’embrasser blottis l’un contre l’autre.
— Alors tu vois c’était pas un calvaire.— Non . Mais il faut dire que tu avais bien tout préparé. Ta poitrine magnifique, tes dessous excitants …. Le viagra dans le café pour faire monter la pression.— Comment ça ?— Oh ne fait pas l’innocente. Y a qu’avec du viagra que j’arrive à bander autant. J’en prends à chaque fois pour tringler ma bourgeoise.— Ah … Et tu m’en veux ?— Oh que non. C’était super. Je devrais plutôt te remercier. Bon on les rempli ces contrats ?
    Après avoir tout rempli. On se rhabilla et on se promis de garder ça pour nous.
— Avant que tu partes je voudrais te donner ça. C’est mon numéro de téléphone. Si jamais un jour tu repasse dans le coin et que tu as une envie … appelle moi et passe me voir .— Je n’y manquerai pas. Me dit il en me faisait un clin d’œil avec un sourire coquin.
    Depuis ce jour j’ai acheté une maison pas loin Et de temps en temps il revient me voir. Pas forcément pour le boulot mais plus pour se vider les bourses. Que voulez vous .Il s’ennui seul quand sa femme pars jouer au scrabble avec ses copines. Tant mieux nous au moins on s’amuse pendant ce temps là.
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