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GAÏA HERMAPHRODIA

Chapitre 2

Divers
CH. II –FUITE EN AVANT - ALLER ET RETOUR - À LA RECHERCHE DE LA MEUTE
Mike était terrorisé en réalisant qu’il n’avait pas rêvé et qu’ils étaient bien devenus hermaphrodites. Janneth ne dormait pas et le prit dans ses bras.
– Calme-toi, Mike, pensa-t-elle avec le sourire, c’est plutôt excitant, tu ne trouves pas ?– C’n’était pas un rêve, Janneth, on est bien comme ça ? Je n’arrive pas à le croire…– Serre-moi fort, aime-moi…
Le contact de sa poitrine chaude contre la sienne le calma un peu. Il avait besoin d’évacuer son stress. Ils s’embrassèrent. Janneth lui caressa son pénis qui ne tarda pas à prendre toute sa vigueur. Ensuite, elle se glissa sous les draps et le suça avec passion. Se retrouvant avec le pénis de Janneth sous les yeux, il en fit autant et glissa également deux doigts dans sa chatte humide qu’il avait sous le nez. Janneth lui rendit la caresse et ils ne tardèrent pas à jouir avec profusion dans la bouche l’un de l’autre. Janneth retourna et vint embrasser Mike. Leurs bouches pleines du foutre de l’autre, ils mélangèrent leurs spermes qu’ils avalèrent avec plaisir.Le stress évacué, ils firent le point. Dehors, le jour se levait et, tout à coup, ils entendirent frapper à la porte. Le shérif Lockwood venait voir si tout allait bien car plusieurs personnes avaient déclaré avoir vu deux orages extraordinaires exactement au-dessus de leur maison. Comme deux d’entre elles avaient parlé d’activités suspectes et qu’à Roswell, depuis le 8 juillet 1947, on ne rigolait pas avec ça, il avait pris l’affaire des orages chez les Dicken avec beaucoup de sérieux. Il était un peu inquiet, personne ne venait ouvrir, il insista, tambourina à la porte jusqu’à ce qu’enfin Janneth apparaisse.
– Bonjour Shérif, excusez-nous, mais Mike et moi étions encore couchés…– Bonjour Janneth, je sais qu’il est encore un peu tôt, mais je suis chargé d’une enquête un peu spéciale. Vous n’avez rien vu de particulier hier soir ? Plusieurs personnes ont parlé d’une activité climatique anormale exactement sur votre maison…– Euh… non, je ne vois pas de quoi vous parlez. Mike et moi étions à une conférence hier soir, peut-être n’étions-nous pas là à ce moment…– Vous êtes revenu directement de Roswell ?– Oui, nous n’avions rien à faire de particulier en ville, pourquoi ?– Parce que dans ce cas-là, vous devriez avoir vu et entendu ces orages. Des témoins affirment vous avoir vu quitter le centre de conférence vers 22 h 30 et le premier orage a eu lieu aux alentours de 23 h 10.– Et ça vous arrive souvent de vous déplacer chez les gens pour deux malheureux éclairs ? En quoi est-ce que ça nous concerne ?– Ça, c’est vous qui allez me le dire, … vous permettez que je rentre deux minutes.– Certainement pas, Sheriff ! Il vous faudrait une raison un peu plus sérieuse !
À ce moment, une voiture arriva par le chemin de terre qui menait chez eux. Elle se gara à quelques pas de la maison, elle portait le logo du FBI. Deux hommes habillés de costumes noirs identiques en sortirent et s’avancèrent vers le Sheriff et Janneth qui se tenaient sous la véranda.
– Agents Rolling et Stone du service spécial d’investigation sur les mécanismes paranormaux et les activités extraterrestres. Sheriff Lockwood, je présume ? Cette affaire n’est plus de votre ressort, vous pouvez rentrer chez vous. Dit le plus grand des deux en guise de présentations.– Mais… je…
– J’ai dit « vous pouvez rentrez chez vous ». N’ai-je pas été assez clair ?– Euh… si, si, bien sûr, je… et bien au revoir Janneth, désolé pour le dérangement.– C’est ça, au revoir Sheriff… Répondit-elle avant de poursuivre mentalement, « Mike ! Qu’est-ce que tu fiches ? »– « J’essaye de me rendre à peu près présentable ! » Lui répondit-il, « je suis en train de mes comprimer les nibards pour faire un peu plus masculin… »– « Magne-toi bordel ! »– Madame Dicken, Nous devons nous entretenir avec vous et votre mari.
La situation devint tendue subitement. Janneth persista en disant qu’elle ne se rappelait de rien. L’agent Rolling insistait pour voir Mike qui se débâtait, à l’étage avec sa poitrine, tentant désespérément de la comprimer sous des bandages médicaux. C’est alors qu’il se rendit compte du pouvoir de sa pensée. Il imagina sa poitrine aplatie et ses seins se comprimèrent d’eux-mêmes. Il comprit alors pourquoi les Eiwodam, sur Terre, pouvaient se faire passer aussi bien pour des hommes que pour des femmes. Il prévint mentalement Janneth et lui exposa un plan qui consistait à tester leurs pouvoirs psychiques sur ces deux gars. Il voulait savoir pourquoi ils étaient arrivé si vite jusqu’à eux, apprendre exactement ce qu’ils cherchaient et ensuite de les faire repartir.
Le plan de Mike fonctionna à merveille, ils apprirent que les deux gars travaillaient effectivement pour un service secret d’investigation sur les phénomènes extraterrestres, dont le sigle complet était SSIETPD, et qu’ils enquêtaient sur les disparitions d’un certain nombre de couples, un peu partout autour du globe. Comme les phénomènes décrits au dessus de leur maison, la veille au soir, correspondaient, en tout point, à ce qui avait été décrit pour les six couples disparus, les agents Rolling et Stone étaient surpris de les trouver là.
– Il me parait évident que vous nous cachez quelque chose, dit subitement l’agent Stone, soit il y avait d’autres personnes chez vous qui ont disparues aujourd’hui, soit vous avez été visités, sans pour autant être enlevés, mais dans tous les cas, vous savez quelque chose que vous refuser de nous dire !– Mais que pourrions-nous vous dire d’autre ? Reprit Janneth persuasive. Nous ne sommes que deux auteurs de SF. On s’inspire des croyances de certains illuminés pour écrire des histoires d’extraterrestres, mais nous n’y croyons pas plus que vous.– Vous avez tort, Madame, les extraterrestres sont parmi nous, mon collègue et moi, sommes bien placés pour vous le dire…
L’agent Rolling fut interrompu par un appel sur son visiophone portable lui apprenant que le couple de Caroline du Sud, disparu depuis plus de six mois, venait d’être retrouvé endormi dans le salon de leur ancien appartement. Les nouveaux locataires, réveillés par l’intensité de l’orage qui se concentrait sur leur immeuble, avaient aussitôt appelé les secours. Quand les pompiers arrivèrent, ils les trouvèrent évanouis et les policieers présents maitrisèrent sans difficulté les « revenants » endormis et emmenèrent dans un lieu sûr. Les agents de police avaient utilisé de puissants sédatifs et avaient contacté le FBI en découvrant leur anatomie pour le moins étrange.
– Des hermaphrodites, dites-vous ? Il s’agit probablement d’aliens qui auront voulu prendre leur place.– …– Non, les Dickens sont là et rien ne semble anormal chez eux. C’était une fausse piste. Ne faite rien avant notre arrivée, gardez les en vie et endormis, c’est préférable !– Vous avez retrouvé des disparus, dit Janneth d’un ton joyeux, comme c’est intéressant ! Où sont-ils ?– Ils sont maintenus, sous bonne garde, Madame, dans un service spécial de l’hôpital central de Washington. Nous devons nous y rendre de toute urgence.– Permettez qu’on vous accompagne, ce serait un sujet fabuleux pour un prochain roman, demanda Mike en faisant un effort de persuasion mentale.– Si vous le souhaitez, répondirent en chœur Rolling et Stone visiblement hypnotisés.
Ils suivirent les deux agents jusqu’à l’aéroport de Roswell pour rejoindre Washington par le premier avion. Mike craignait que le contrôle mental qu’ils exerçaient sur eux les fatigue, mais en fait, plus il le maintenait et plus cela devenait facile, si bien qu’arrivé à l’hôpital, Janneth pût s’occuper des services de sécurité tranquillement. Les deux agents agissaient selon la volonté de Mike. Ils parvinrent jusqu’au couple prisonnier qu’ils arrivèrent à libérer de l’emprise du tranquillisant en leur faisant distribuer un antidote.Une fois réveillés, Tom et Precilia mirent quelques minutes pour retrouver pleinement leurs capacités mentales et pour comprendre la situation que Mike et Janneth leur résumaient. Ils s’essayèrent au contrôle mental, Tom trouvait ça ammusant et Precilia semblait très douée. Ils se retrouvèrent donc à quatre pour maîtriser les deux agents. Tout se passait en silence, ils échangèrent entre eux mentalement et s’organisèrent pour quitter l’endroit. Quelques minutes plus tard, Mike et Janneth ressortirent, en compagnie de deux infirmières et des deux agents. Ils signèrent les registres qu’ils emportèrent avec eux. Ils quittèrent rapidement l’hôpital et, après avoir laissé les agents Rolling et Stone endormis sur un banc public, ils montèrent dans un taxi en compagnie des deux infirmières.
Quelques heures plus tard, ils arrivaient tous les quatre chez Janneth et Mike, dans leur maison isolée de Roswell. Tom et Precilia Murphy avaient environ 25 ans, ils étaient l’un et l’autre métis afro-américains et originaires de Columbia.
Après avoir fait le point sur la situation, pour se remettre de leurs émotions et se dire à quel point, ils étaient heureux de s’être trouvés, il leur paru nécessaire de faire l’amour ensemble. Ils s’embrassèrent tous, se déshabillèrent, se touchèrent, se branlèrent et se sucèrent avec empressement. Mike s’était découvert une passion pour les bites et ses trois compagnons vinrent l’un après l’autre jouir dans sa bouche. Ensuite, Precilia et Tom, qui avaient vécu plus longtemps sur la planète Eiwod, leur apprirent à se pénétrer mutuellement, Precilia avec Janneth et Tom avec Mike, et la maison retentit bientôt de leurs cris de jouissance. Ils se couchèrent tous les quatre entassés dans un même lit et dormirent sereinement jusqu’au petit matin où ils furent réveillés par des coups répétés sur la porte d’entrée. Il s’agissait des agents Rolling et Stone à qui Mike avait effacé la mémoire et qui venaient (re)faire leur enquête. Ils n’urent pas eu trop de mal à les congédier en leur offrant, en prime, quelques ouvrages dédicacés.
– On n’va pas pouvoir continuer comme ça, dit simplement Tom, tu leur avais effacé la mémoire, mais c’est peut-être pas définitif et puis,… les services de l’hôpital vont sans doute signaler notre disparition.– C’est clair qu’on n’est plus en sécurité ici, constata Mike, et en plus, il faudrait qu’on s’active à retrouver les autres.– Pour ça, il suffit de chercher sur nos réseaux d’information, dit Janneth, il y a certainement des articles sur leurs disparitions, on n’a qu’à repérer les liens qui associent les mots-clés « disparition » et « orage ».– Mais oui ! T’as raison, ça n’devrait pas prendre plus de dix minutes pour les localiser ! S’exclama Mike avec enthousiasme. J’allume l’ordi !
Malheureusement, l’affaire ne fut pas si simple. Ils ne trouvèrent rien en associant les deux mots clés. Ils changèrent de stratégie de recherche. Mike et Janneth utilisèrent tous les réseaux possibles d’information pour essayer de retrouver la trace, dans toute la presse mondiale, d’orages particuliers qui constituerait un premier indice. Plutôt que de travailler sur les disparitions, ce qui donnait un nombre de résultats ingérable, ils essayèrent de faire des recherches sur les retours miraculeux d’individus disparus, mais tout cela n’aboutit à rien. En plus de cela, ils découvrirent que leurs accès à certains réseaux sociaux avaient été coupés.
– Access denied ! Access denied ! J’en ai mare ! S’écria Janneth. Ils ont supprimé nos comptes, c’est pas possible !– Oui, entre ça et les liens périmés, il semblerait bien que nous ayons un métro de retard… On n’arrivera à rien de cette manière.– Et si on rappelait ces deux clown du FBI pour leur soutirer des infos ? suggéra Janneth perplexe.– C’est trop risqué, dit Precilia, Tom vient d’allumer la télé et sur les quinze chaînes d’information, on ne parle plus que de nous… Notre disparition de l’hôpital est officielle et nos deux portraits sont diffusés partout. D’ici que les souvenirs de ces deux sales types se reforment, on est tous en danger ici.– Et comme vous êtes venu nous chercher, il y a fort à parier que vous soyez déjà dans le collimateur des flics du monde entier, tout comme nous. Ajouta tranquillement Tom.– Voilà qui simplifie le plan d’action, fit remarquer Precilia, nous avons besoin de deux choses : une nouvelle identité et un nouveau QG, si possible hors du territoire Etasunien.– Ça paraît évident, mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Répondit Janneth dépitée. Une nouvelle identité, un vrai faux passeport, ça ne pousse pas sous le pied d’un cheval.– T’as raison, sourit Tom, mais si on gagne la zone de conflits européenne et qu’on atterrit dans un camp de réfugiés, on peut s’en inventer des nouvelles qui deviendront officielles. Je le sais car j’étais officier au département de secours aux réfugiés avant de disparaître et mon travail consistait entre autres à créer de nouvelles identités pour les réfugiés admis sur le territoire national.– Et comment pourrait-on se rendre là-bas sans se faire repérer, renchérit Mike, il n’y a plus de vols depuis longtemps vers la vieille Europe, à l’exception de Glasgow, tous les aéroports sont fermés et vraisemblablement détruits, sans compter qu’on ne pourra pas prendre un vol transatlantique sans avoir une nouvelle identité. C’est le serpent qui se mord la queue cette histoire.– À moins d’y aller par nos propres moyens, à la voile, s’écria Janneth qui venait de percevoir l’idée de leurs amis dans le cerveau de Precilia, vous avez un bateau n’est-ce pas ?– Oui, ma chérie, et Tom est un excellent skipper, je suis certaine qu’en quinze jours maxi, nous pourrions nous échouer de nuit sur une plage du Portugal.– Et pourquoi pas du sud de la France ? interrogea Mike qui reprenait quand même espoir.– Parce que le tiers supérieur de l’Atlantique Nord, le Golf de Gascogne et la Manche, sont sillonnés par des navires de guerre de l’Alliance et que nous n’aurions aucune chance d’atteindre la côte. La première difficulté sera de sortir de la zone de sécurité de 40 miles des côtes étasuniennes, ensuite, en naviguant au sud de des zones contrôlées par l’Aliance, on devrait pouvoir atteindre le sud du Portugal sans souci.
Ils n’emportèrent presque rien, montèrent tous les quatre dans la voiture de Mike et prirent la route en direction de la Caroline du Sud. Leur but était de rejoindre, sans tarder la marina de Charleston où Tom et Precilia avaient leur bateau. Janneth avait calculé un itinéraire discret qui ne passait par aucune grande ville, mais ils en avaient pour trente heures de conduite. Le premier problème qu’ils rencontrèrent fut de découvrir que tous leurs comptes et leurs crédits avaient été bloqués. Ils durent donc utiliser leurs pouvoirs de persuasion pour se faire « offrir » les ravitaillements énergétiques nécessaires, en hydrogène pour le véhicule, et en nourriture et boisson pour eux. Ils roulèrent pratiquement sans interruption, changeant de conducteur toutes les deux heures. Au bout de trente-six heures de voyage, ils arrivèrent à Charleston où ils découvrirent que le bateau de Tom et Precilia était sous séquestre et en cale sèche. Il était donc impossible de partir avec, ils devaient en voler un. Tom choisit de prendre un catamaran de 50 pieds qu’il connaissait bien pour avoir déjà navigué dessus, en compagnie de son propriétaire.
– John est un vrai maniaque, son bateau est toujours prêt à partir, on va attendre la nuit et se laisser déporter dans le courant du fleuve, sans allumer les moteurs, une foi sortis de la passe, on hisse les voiles et on décolle. Ce bateau est une bête de course. On sera loin avant qu’un gardien ait donné l’alerte.– On pourrait aussi en endormir quelques-uns, non ? Comme Mike a fait avec les deux zouaves du FBI. S’ils dorment tous, il n’y aura pas d’alerte.
Le plan fut adopté à l’unanimité, les gardiens hypnotisés furent conduits un à un vers les WC, plongés dans le sommeil, bâillonnés et ligotés. La voie était libre et les quatre hermaphrodites prirent la mer en toute quiétude à la tombée de la nuit. La première nuit fut une nuit de veille, Tom voulait sortir au plus vite des espaces surveillés par les gardes côtes. Il tint la barre pendant plus de quatre heures alors que ses trois équipiers scrutaient l’horizon et la moindre lumière suspecte.
– On est hors zone, fit savoir enfin Tom, on va pouvoir se détendre un peu. Je mets le pilote automatique et on va prendre le premier quart avec Mike. Janneth et Precilia allez dormir, vous nous relèverez dans quatre heures, ça va ?– À vos ordres Capitaine, répondit Janneth, mais si tu m’envoies me coucher avec ta belle épouse, ne compte pas sur moi pour dormir tout de suite… j’ai trop de tension à évacuer.– Et moi aussi, avoua Precilia rougissante. Mais rassure toi on sera opérationnelle pour notre quart.– Je n’en doute pas ma chérie. Allez vous détendre, avec Mike on veille.
Leurs deux compagnes parties, Mike et Tom restèrent tous les deux sur le pont. La nuit était douce et la mer plutôt calme. Tom fit remarquer à Mike qu’ils pouvaient se mettre à l’aise et retira ses vêtements. Sa poitrine généreuse et un peu tombante, ses hanches larges et son lourd fessier rebondi lui donnaient une allure de déesse africaine, mais le plus surprenant était sans doute son pénis d’ébène à la fois long et épais. Il fascinait Mike qui ne pouvait en détacher son regard. Mike se rappelait le plaisir qu’il avait eu à le sucer et le bonheur qu’il avait ressenti quand il l’avait pénétré.
– Tu fantasmes, mon beau, lui dit Tom amusé.– Euh, oui, enfin, depuis ma transformation, j’ai l’impression que j’aime mieux mon côté femme que mon côté homme… j’aime être pénétrée, sentir ma chatte remplie et ton engin… enfin…– Elle te plait tant que ça ma queue ? C’est vrai que les Eiwodam m’ont pas loupé ! Gros seins, gros cul, grosse chatte et grosse bite. Tout un peu démesuré, si tu veux mon avis. Mais si tu veux me sucer pendant que je fais le point, te gènes surtout pas, j’en entends deux qui nous ont pas attendues pour se faire du bien.– …– Oooh oui, c’est bon, tu suces bien, on dirait que ta bouche est faite pour ça.
Tom, ne voulant pas allumer l’électronique de bord pour ne pas être repéré, faisait le point au sextant pendant que Mike le suçait avec beaucoup de plaisir. Il s’évertuait à avaler cette colonne de chair toujours un peu plus profondément. Il découvrit que ses facultés mentales lui permettaient d’agir sur sa gorge pour accepter l’intrusion et bientôt, les trente centimètres de bite de Tom furent intégralement avalés. Tom n’en revenait pas, il nota le point sur la carte posée à côté de lui et attrapa Mike par l’arrière de la nuque pour lui baiser la bouche et l’encourager à continuer. Jamais il n’avait reçu une telle pipe, c’était incroyable. « Baise ma chatte », lui demanda Mike mentalement, « Baise ma chatte et mon cul. Remplis-moi de partout ». Le grand noir ne se fit pas prier, il positionna Mike à quatre pattes sur une banquette du carré et planta sa bite tendue dans la chatte humide qui bavait devant lui.
– Je vais te faire couiner, petite cochonne ! J’vais te défoncer tous tes trous si tu veux, c’est bien ça que tu veux ?– Ouiii ! Défonce-moi, éclate ma chatte et mon cul, baise-moi comme une salope, j’en peux plus…
Tom s’affaira dans la chatte profonde de son ami qui effectivement couinait de plaisir. Mike, la tête enfoncée dans un coussin et le cul bien relevé, se faisait pilonner et se caressait les seins en même temps. Les orgasmes vaginaux le submergeaient sans que son partenaire ne semble prêt à éjaculer. Tom faisait preuve d’endurance et attendait que son amant lui réclame autre chose. Ça faisait bien dix minutes qu’il voyait sa rosette bailler de désir, s’ouvrir à chaque poussée de sa bite au fond de la chatte accueillante de Mike et maintenant il savait que c’était ce qu’il attendait. Il était prêt à se faire bourrer le cul. Sans un mot, Tom sortit sa bite de la chatte détrempée et appuya son gland épais sur l’anus affamé de désir. L’excitation de Mike était telle que l’énorme bite se fraya son chemin d’un coup sans qu’aucune résistance ne lui soit opposée. Tom lui explosait la rondelle, coulissait avec un rythme déchaîné dans son conduit poisseux et Mike en jouit tellement que son sexe explosa en envoyant un flot de sperme sur les coussins de la banquette. Alors Tom ressortit sa bite du cul de Mike qui se précipita sur le mandrin crasseux pour l’avaler une dernière fois et recevoir sa jouissance tout au fond du gosier. Tom éjacula une quantité énorme de foutre que Mike avala avant de s’appliquer à nettoyer le sexe de son ami jusque dans les moindres recoins.
Mike épuisé s’assoupit quelques minutes après cette séance de baise. Quand il rouvrit les yeux, Tom le regardait amoureusement. ils échangèrent un sourire, ils n’étaient plus deux couples, mais formaient tous les quatre un groupe uni une seule entité. Ils venaient de le comprendre, ils en étaient convaincus et, sans doute, Precilia et Janneth, endormies dans la cabine, s’en étaient-elles rendues compte également.
La traversée se passa calmement, les vents faibles sud-est étaient compensés par le courant porteur du Gulf Stream, mais le danger pour Tom était qu’il les déporte un peu trop au nord. Les quatre marins évoluaient nus toute la journée et se laissaient souvent aller à des caresses et des baisers langoureux. Mike éprouvait un véritable plaisir à se faire sauter par l’un ou l’autre, ce qui ne l’empêchait pas d’utiliser également son membre masculin dans des rapports « complémentaires », quand chaque partenaire pénètre la chatte de l’autre avec son pénis. Il aimait ces rapports que leur permettait leur nouvelle morphologie, mais les orgasmes le plus intenses qu’il vécut furent quand les trois le prirent en même temps.
C’était arrivé quelques jours après leur départ, Mike avait sucé et masturbé longuement ses trois amis, puis comme Precilia s’était allongée sur le pont, il l’enfourcha et s’empala la chatte sur sa bite fièrement dressée. Il remua quelques instants sur le pieu de Precilia puis Janneth, qui était passée derrière lui, le força à se pencher en avant et l’encula sans crier gare. Il se faisait labourer la chatte et le cul et se sentait véritablement écartelé. Il gémit de surprise d’abord et ressentit ensuite un mélange indéfinissable de douleur et de plaisir qui lui arrachait des râles incontrôlés. Tom présenta alors sa bite devant la bouche ouverte de Mike et s’y engouffra entièrement. Mike éjacula rapidement, mais il continuait à jouir du cul et de la chatte dans un orgasme sans fin. Il ne se contrôlait plus et pissait autant qu’il jouissait, douchant ainsi la poitrine et le visage de Precilia qui explosa dans son ventre. Janneth en sentant son amie remplir la chatte de Mike explosa, à son tour, dans le cul qu’elle labourait sans vergogne. En voyant la jouissance de ses partenaires, Tom remplit sa gorge de son foutre épais. Mike resta écroulé au sol, terrassé par le plaisir. Le voyant ainsi écroulé, Precilia décida de se « venger » et lui pissa dessus, rapidement imitée par Tom et Janneth. Quand le vent passa au Nord, Tom annonça que leur voyage touchait à sa fin. Il calcula leur position et choisit de ralentir l’allure pour se garantir un échouage de nuit.
– Nous serons ce soir sur une plage du sud du Portugal, l’arrivée va être brutale, mais on ne peut pas se payer le luxe d’une entrée au port. Il va falloir s’habiller et ouvrir l’œil… on ne risque pas de croiser de navires de guerre, mais des pirates, c’est probable.– C’est pas rassurant, ton affaire… Fit remarquer Mike, enfin,… on va rentrer assez vite dans le vif du sujet, pirates en mer ou guérilla au sol, ça doit être tous les mêmes.– Et on s’habille comment ? Genre « candidate pour un viol » ou « volontaire pour la fusillade » ?– À mon avis, « candidate au viol », c’est moins risqué. Fit Janneth sérieuse– Ça me va, répondit Mike blagueur, mais par tous les trous alors.
Seize jours après avoir quitté la côte Est des Etats-Unis, les quatre hermaphrodites s’échouaient sur une longue plage de sable de la pointe Sud-Est du Portugal. Ils avaient à peine abandonné le bateau qu’ils virent arriver vers l’épave des hordes de pillards. Ils fuirent à toutes jambes vers le Nord à la recherche d’un abri. Au levé du jour, ils découvrirent un pays en ruine, ravagé par de multiples conflits entre d’innombrables groupes armés. Ils mirent vingt jours pour rejoindre Donostia dans le territoire autonome Basque où ils espéraient trouver un peu de repos, mais les conflits y étaient plus intenses qu’ils ne l’avaient imaginé. Il leur fallut ensuite quinze jours de plus pour rejoindre Dieppe, dans le nord de la France, où ils trouvèrent un pêcheur qui faisait passer des réfugiés vers la Grande-Bretagne. Comme ils n’avaient pas d’or, ils utilisèrent leurs exceptionnelles capacités de persuasion mentale et débarquèrent un matin sur les côtes anglo-saxonnes avec une trentaine d’autres personnes, hommes, femmes et enfants, tous réfugiés de guerre et candidats à l’expatriation vers un avenir meilleur.
Le camp était immense et toutes les populations européennes s’y côtoyaient. Les gens s’entassaient dans des tentes précaires. Leurs journées étaient rythmées par les trois distributions de repas quotidiennes, les queues interminables pour les douches collectives et les allers et retours aux bureaux des services de l’immigration de l’Alliance. Chaque candidat y subissait une véritable enquête à l’issue de laquelle il espérait obtenir une nouvelle nationalité, et le passeport qui va avec, pour s’enfuir outre-Atlantique, ou aux antipodes, sur l’un ou l’autre des territoires de l’Alliance Britannique. Les réfugiés étaient classés en deux catégories, ceux qui parlaient l’anglais et les autres. La première catégorie, bien moins nombreuse que la seconde bénéficiait de multiples avantages et avait des chances d’intégrations plus importantes. En contrepartie, les membres de cette catégorie étaient tenus d’aider à différentes tâches de gestions du camp et, entre autres, pouvaient servir ponctuellement d’interprète ou d’écrivain publique pour les nombreux réfugiés illettrés. Les officiers de l’immigration qui les accueillirent, étaient chargés de faire le tri entre les anglophones et les autres. Bien entendu, Janneth, Precilia, Tom et Mike n’eurent aucune difficulté pour lire les textes de Shakespeare ou de Beckett qu’on leur demanda ensuite de discuter et d’interpréter. L’examen de passage était sévère et Janneth se dit que beaucoup d’anglo-américains n’y parviendraient pas eux même, ce qui fit sourire ses amis qui partageaient son point de vue.
– Je ne m’attendais pas à un tel examen de passage,… J’imagine, sergent, que vous n’avez pas beaucoup de réussite à ce genre d’épreuve, je me trompe ? Demanda Mike sur un ton anodin à l’officier qu’il avait devant lui.– C’est évident, mais nous ne pouvons pas accueillir tous les parias de la terre… Nos ordres sont stricts : ne sélectionner que des intellectuels ayant une maîtrise parfaite de notre langue. Tous les autres vont venir s’entasser ici dans ce camp sans aucune chance d’en sortir, à moins qu’ils réussissent à apprendre l’Anglais, c’est triste, mais c’est comme ça.– Et, pour émigrer au Canada, que devons-nous faire, mes amies et moi ? Demanda Mike qui s’était déjà emparé de l’esprit du soldat.– Allez de ce pas au bureau de l’immigration et demandez le Caporal Barner, dites au planton que vous venez de la part du sergent Harrington, on vous laissera rentrer et vous pourrez commencer les démarches.– Merci, Sergent, vous êtes bien aimable…– « Mais qu’est-ce que tu fais Mike ? T’es pas bien ? » Demanda Janneth inquiète– « T’affoles pas Janneth, il est sous contrôle ».
Elles ne restèrent qu’une semaine au camp de réfugiés avant d’en sortir libres. Ce fut, pour elles une semaine d’exercice intense, et d’amusement aussi, durant laquelle elle prirent le contrôle mental des huit officiers du camp anglophone. Elles se forgèrent, chacune, deux identités : l’une masculine et l’autre féminine et sortirent avec deux passeports, mais elles avaient toutes décidées que leurs identité masculines ne serviraient qu’en cas d’urgence. Chaque identité était composée de deux prénoms qu’ils suffisaient d’inverser pour passer du féminin au masculin. Ainsi Janneth devint « Jeannette Raymond », Precilia prit le nom de « Precy Gilbert », Mike choisit « Rosie Michel » et Tom se fit appeler « Line Thomas ». Quand elles quittèrent le camp, plus un seul officier ne se souvenait de leur passage.
Deux mois après leur départ précipité de Roswell, les quatre jeunes femmes débarquaient à l’aéroport de Toronto où Line (Tom) et Precy (Precilia) avaient encore quelques amis de confiance et en particulier une certaine Lisa Castongay qui vivait dans un immense chalet perdu dans la campagne. La jeune femme avait de la place et pouvait les accueillir sans problème. Lisa avait, bien évidemment, entendu parler de la disparition de Tom et Precilia, de leur réapparition étrange et avait vu les avis de recherche les concernant sur le territoire étasunien. Les autorités n’avaient, bien évidemment, pas parlé d’extraterrestres, mais en avaient fait de dangereux terroristes.Pour gagner sa confiance, c’est Precilia qui alla la première à sa rencontre et, sur les conseils de Line, lui dévoila la vérité sans omettre de détails. Lisa avait du mal à la croire, mais elle reçut un choc en découvrant la nouvelle anatomie de son amie.
– Et comme ça, tu me crois ? Avait demandé Precy en faisant tomber la robe sous laquelle elle était nue.– Oh mon Dieu ! S’écria la jeune femme en portant ses mains devant sa bouche. Mais… mais c’est pas possible Precilia que… Oh mon Dieu ! Mais elle est énorme ! C’est une blague, non ?– Ecoute Lisa, tout ce que je t’ai raconté est vrai, je vais appeler Tom et nos amis Janneth et Mike Dicken, nous avons tous subit la même mutation, est-ce qu’on peut te faire confiance ?– Les auteurs ? Ils sont recherchés eux aussi, mais je n’savais pas que les deux affaires étaient liées. Tu… tu veux mon visio pour les appeler ?– Inutile, ils sont déjà là.
Lisa se retrouva bientôt avec les quatre hermaphrodites nus devant elle. Elle n’en revenait pas, n’y croyait pas. Toutes ces histoires d’extraterrestres étaient, pour elle, de simples fantasmes et les hermaphrodites n’existaient pas vraiment. Rosie (Mike) décida donc de lui raconté l’histoire à sa façon en utilisant à peine ses facultés de persuasion mentale, non pas pour la contraindre, mais lui faire admettre qu’elles lui racontaient la vérité.
– Alors vous êtes toutes des femmes… avec une bite, si je comprends bien. Je… Precilia, je peux toucher la tienne pour me rendre compte ?– Avec plaisir, Chérie, mais appelle-moi uniquement Precy, maintenant comme Tom n’est plus Tom, mais Line et je te présente Jeannette et Rosie.– Elle est sublime, vous êtes sublimes toutes les quatre… Oh ! Mais tu bandes !– Ne me dit pas, Lisa, que tu ne savais pas que quand on caresse une bite comme tu le fais, généralement, elle se met à bander. Tu veux la sucer ?– Je… Oh mon Dieu ! Ouii, je… j’en ai très envie.– Vas-y, mmmmh, régale-toi, moi aussi, j’ai envie que tu me suces. Oui, c’est bon,…
Lisa suçait Precy avec beaucoup de plaisir et de tendresse. Elle trouvait la bite de son amie superbe, elle qui avait toujours eu une préférence pour les femmes, elle était gâtée ! Voilà que débarquaient chez elle quatre femmes munies de bites énormes. Elle ne fut pas surprise de sentir les autres se rapprocher d’elle et commencer à la caresser et la déshabiller. Elle ignorait que ses quatre partenaires lisaient dans son cerveau comme dans un livre ouvert et chacun de ses désirs était aussitôt exaucé.Elle fut conduite dans sa chambre où les quatre hermaphrodites la prirent tour à tour. Precy, Line, Jeannette et Rosie passaient, l’une après l’autre dans sa bouche et dans sa chatte, et l’emmenaient d’orgasme en orgasme. Leurs bites longues et épaisses la remplissaient et celle de Line la déchirait. Elle voulait déborder de leurs foutres, se faire engrosser par ces êtres merveilleux. C’est Rosie qui éjacula la première en elle avant de laisser la place à Line, Jeannette et Precy. Lisa resta assoupie quelques minutes après cette tournante, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas joui autant.
Lisa était contente de retrouver ses amis Precilia et Tom et il n’importait pas vraiment que ce dernier soit devenu Line, bien au contraire, elle avait toujours préféré les filles aux garçons et l’hermaphrodisme de ses amis lui convenait parfaitement. C’était le compromis qu’elle n’aurait jamais osé rêver. Elle ne fit donc aucune difficulté pour mettre son talent au service de ses quatre amis. En effet, Lisa était, à l’origine, une cyber-activiste un peu libertaire qui, après avoir été une redoutable pirate informatique, avait rejoint la flibuste. Elle travaillait sous contrat pour le compte de grosses sociétés financières ou industrielles, ou encore pour le compte de services gouvernementaux de l’Alliance Britannique.Bien que ce soit pour elle un jeu d’enfant, elle avait été d’abord, un peu de réticente à l’idée de s’infiltrer dans les serveurs et réseaux internes du FBI, de l’USSS et de la CIA. Comme Rosie s’opposait à l’utilisation sur Lisa de leurs capacités de persuasion mentale, elles durent redoubler d’efforts pour la convaincre. C’est après une demie journée de discussion qu’elle finit par céder. Comprenant que cette recherche était pour ses amis d’une importance capitale, elle se jeta corps et âmes dans la recherche d’informations sur les cinq autres couples hermaphrodites.
Après quinze jours d’un travail acharné, elle finit par trouver le moyen de pénétrer le système de sécurité du département visé, le SSIETPD, et d’en extraire une copie des dossiers des cinq autres couples. Elle hésita à les supprimer purement et simplement, mais ne le fit pas. Cela aurait constitué une preuve de son piratage, alors qu’elle pouvait espérer être passée inaperçue. Les cinq autres couples étaient, a priori, hors d’atteinte des services étasuniens et étaient répartis sur différents continents, au Brésil, au Laos, en Ukraine, en Australie et en Inde du Sud. Bien sûr, elle obtint aisément leurs noms et leurs dernières adresses connues.C’est à ce moment que Rosie et Line firent remarquer aux trois autres qu’elles prenaient du ventre et qu’elles avouèrent n’avoir jamais eu de règles. Il ne faisait aucun doute qu’elles étaient enceintes. Ce n’était pas le cas de Jeannette et de Precy, qui portaient encore l’implant contraceptif imposé par le BCO (bureau étasunien de contrôle des naissances et de la démographie), mais Lisa qui, comme beaucoup de citoyennes de l’Alliance, n’en portait pas, réalisa que elle aussi attendait probablement un bébé.
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