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GAÏA HERMAPHRODIA

Chapitre 8

Divers
CH. VIII – AGRANDIR LE GROUPE EN FÉCONDANT LES FEMMES.
Pendant la semaine de convalescence de Rosie, Kseniya et Alexeï se réadaptèrent tout doucement à la vie, sous les bons soins de Mary et Elizabeth. Les deux infirmières s’occupaient de les faire manger et boire, surveillaient leur tension et leur température, leur faisaient la toilette dans les moindre détails. Depuis la vague d’accouchement, elles ne s’étonnaient plus de l’anatomie particulière des hermaphrodites qui les employaient. Tout comme Helen et Julia, la sage-femme, elles se sentaient de plus en plus à l’aise avec elles et appréciaient vraiment leurs conditions de travail plutôt agréables. La vie à Falcone’s creek si paisible. Question travail, avec les cinquante salariés permanents de l’exploitation, les bobos ne manquaient pas et elles n’étaient jamais vraiment désœuvrées mais elles avaient quand même beaucoup de temps libre. En s’occupant de Kseniya et Alexeï, elles découvrirent d’un peu plus près la singularité de ces individus et commençaient à envier Lisa qui était si bien intégrée dans leur groupe au point d’avoir elle aussi un bébé hermaphrodite.
Au fil des jours, depuis que les deux ukrainiennes avaient été amenées dans le coma, Mary et Elizabeth s’étaient occupées d’elles et s’étaient mises à fantasmer sur ces deux être inconscients. Parfois, alors qu’elles leurs faisaient la toilette, il arrivait que Kseniya ou Alexeï ait une érection et leurs longues verges amusaient et excitaient les deux infirmières. Elles les troublaient tellement qu’un jour, Mary succomba au désir et suça la bite d’Alexeï inconsciente. Elizabeth, au lieu d’être choquée, imita son amie et pris en bouche le pénis de Kseniya. Elles les pompèrent et les masturbèrent pendant de longues minutes jusqu’à se faire remplir la bouche de leur sperme chaud et abondant. Elles recommencèrent ce petit jeu tous les jours jusqu’à leur sorti du coma. Ni l’une ni l’autre n’osa aller au delà bien que le désir fut très fort. Lorsque les deux hermaphrodites sortirent du coma, Mary et Elizabeth se dirent qu’elles ne pourraient plus profiter de leurs érections. Deux jours après le réveil de Kseniya et Alexeï, les deux infirmières ne purent s’empêcher, en faisant leur toilette, de repenser à ces séances de fellations et au sperme abondant des hermaphrodites dont elles s’étaient régalées.
– Et c’était bon ? Demanda Kseniya, amusée, à Elizabeth.– P… pardon ?– Kseniya vous demandait, à Mary et vous, si les pipes étaient bonnes. Renchérit Alexeï le sourire aux lèvres.– Les pipes ? Je ne comprends pas, fit Mary rouge de confusion.– Au contraire, vous comprenez très bien, renchérit Kseniya, et vous ne devriez pas avoir si peur. Après tout, vous n’avez rien fait de mal.– C’est vrai, ajouta Alexeï, vous avez satisfait votre libido et soulagé nos corps. En somme, vous avez accompli votre devoir d’infirmière avec beaucoup de dévouement, rien de plus.– De quoi parlez-vous ?! Demanda Elizabeth qui avait franchement peur de comprendre.– Mais des fellations et des masturbations que vous nous avez prodiguées quand nous étions inconscientes, expliqua Kseniya, vous ne pouvez rien nous cacher, vous savez, nous lisons en vous comme dans un livre ouvert.– Vous… vous lisez en nous ? S’étonna Mary.– Bien sûr et nous connaissons vos pensées et vos envies, répondit Alexeï, mais rassurez-vous, nous n’en sommes pas choquées. C’est plutôt sympathique.– Et excitant, fit Kseniya, vous devriez soulever nos draps, vous en auriez la preuve.– Sou… soulever vos draps ?! Firent les deux infirmières surprises.– Bien sûr, Alexeï et moi nous n’aurons pas la force de nous masturber mais nos bites sont à vous. Vous pouvez même nous chevaucher si le cœur vous en dit.– Vous chevaucher, reprit Mary rouge jusqu’aux oreilles en soulevant le drap d’Alexeï.
L’hermaphrodite bandait comme un taureau, sa bite semblait encore plus grosse que d’habitude et s’animait de légères secousses. Encouragée par Alexeï, Mary commença par la prendre en bouche. De son côté Elizabeth fit de même avec la verge de Kseniya. Les deux hermaphrodites, qui étaient dans des lits séparés, tendirent un bras l’une vers l’autre pour se prendre par la main. Dans cette configuration, elles étaient capables de ressentir le plaisir de l’autre et c’était, pour elles, comme si deux bouches les suçaient.D’abord timides, Mary et Elizabeth ne tardèrent pas à se lâcher, avalant leurs longues verges entièrement, jusqu’à la vulve, et puis, Elizabeth grimpa sur le lit de Kseniya. Sa chatte était ouverte, humide et brillante et elle n’eut aucun mal à s’introduire la queue de l’hermaphrodite dans la chatte et aussitôt, elle se mit à coulisser sur le long pénis. Mary n’en resta pas non plus à une simple fellation, comme sa collègue, elle escalada le lit de sa patiente et s’introduisit sa bite dans la chatte. Elles étaient toutes les deux à se branler sur les sexes érigés et sur la suggestion mentale des hermaphrodites, elles se prirent par la main. La boucle était bouclée et les deux ukrainiennes prirent le contrôle de leur plaisir et de celui de leurs bienfaitrices. Ignorantes des capacités de leurs partenaires, Elizabeth et Mary bougeaient à l’unisson ; elles avaient le sentiment d’être dans une forme de communion parfaite l’une avec l’autre. Au fur et à mesure que l’excitation et le plaisir grimpaient chez les hermaphrodites, leur rythme s’accélérait. Elles gémissaient, se regardaient ; Mary et Elizabeth avaient l’impression de faire l’amour ensemble. Elles connurent ainsi un premier orgasme, puis un second mais ce fut l’apothéose lorsque les deux hermaphrodites éjaculèrent en même temps au plus profond de leurs chattes. Jamais encore les deux infirmières n’avaient ressentit une telle chaleur. Toutes les quatre crièrent leur plaisir dans ce qui était leur premier orgasme conscient commun.
Progressivement, après quelques jours, Kseniya et Alexeï retrouvèrent toutes leur facultés motrices. Leur premier reflexe fut, bien entendu, de faire l’amour ensemble, en se prenant simultanément pour satisfaire leurs chattes si longtemps délaissées. Elles étaient installées sur un même lit, Kseniya avait ramené ses jambes à son cou de sorte qu’elle offrait une sorte de siège à Alexeï. Cette dernière prit la direction des opérations. Elle se plaça au dessus de sa compagne, les jambes légèrement écartées. Elle pris dans une main la bite de Kseniya et dans l’autre la sienne en pointant les deux glands sur leur vulves béantes de désir. Alexeï s’accroupit pour plaquer ses fesses sur les cuisses de sa compagne et sentit sa chatte se remplir alors que son long pénis s’enfonçait dans celle de Kseniya.

– Mmmm, ça fait du bien… Ooooh, Fit Kseniya en se faisant enfin pénétrer.– Oh oui, c’est bon… On va se baiser, ma Chérie. Ooooh… Répondit Alexeï en commençant à bouger.– Ooooh ! Oh oui… Ooooh c’est bon ! Vas y ma Chérie, bouge ! Branle nous ! Aaah ! Baise nous !– Oh ! Oh oui ! Oh oui ! Oooh c’est bon ! J’te sens bien en moi ! Aaah ! Ta chatte est si serrée ! Ooooh !– Aaah ! Ooooh… toi… toi aussi ta chatte est serrée ! Ooooh ! Oh oui ! Baise moi ! Aaaah !
Alexeï par des flexions rapides des genoux montait et descendait le long de la verge gorgée de sang de Kseniya. A chacun de ses mouvements sa bite turgescente plongeait ou ressortait de la chatte baveuse de sa compagne. Elles gémissaient à l’unisson ; elles étaient en communion parfaite. L’accouplement physique s’accompagnait d’une union mentale absolue. L’excitation de l’une s’accordait à celle de l’autre. Depuis leur sortie du coma, elles avaient attendu cet instant. Tout était si doux, si fort, si intense qu’elles ne tinrent pas longtemps. Un orgasme vaginal sans précédent les prit simultanément déclenchant leur éjaculation. Alexeï se redressa et s’allongea contre sa compagne pour échanger un long baiser. Elles se caressaient, se sentaient, avaient le sentiment de se retrouver enfin vraiment. Leurs verges n’avaient pas eu le temps de mollir qu’elles se redressaient déjà. Kseniya se mit sur Alexeï, lui écarta les cuisses et la pénétra entièrement dans un mouvement lent et continu.
– Ooooh… oh oui, baise moi, Kseniya, mmm… Oh oui ! Aaaah… j’veux sentir ta bite. Aaaah…– Oh oui, tu vas la sentir… J’vais te remplir la chatte ! Oh ! Ah ! Tu la sens bien ? Ah !– Oooh ! Oh oui ! Comme ça, oui ! Baise moi fort, Chérie ! Aaaah ! Aaaaah !– Oh oui, j’te baise ! T’aimes ça, Chérie ! T’aimes quand j’te ramone la chatte ! Ah ! Ah ! Branle ta queue en même temps ! Ah ! Ah oui ! Putain, j’veux te voir gicler quand j’te remplirai ta grosse chatte ! Ah !– Ah ! Ah oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Aaah ! Encore ! Oui !
Kseniya baisa Alexeï longuement, le fait d’avoir déjà joui et éjaculé lui donna de l’endurance. Alexeï grimpait au rideau, elle sentait la longue verge de sa compagne frotter sur ses zones les plus sensibles avec un rythme soutenu. Son pubis cognait la base de sa bite qu’elle branlait tant bien que mal. En fait, elle n’avait qu’à la serrer entre ses doigts car la force des mouvements de Kseniya suffisait à la faire coulisser dans sa main. Sa virile partenaire lui tenait les jambes très écartées, le lit grinçait, elle se sentait prise, possédée ; elle couinait. Quand elles jouirent ensemble, Alexeï eut deux éjaculations. La première, vaginale, inonda les cuisses de Kseniya et la seconde, virile, macula son ventre, sa poitrine et son visage d’une dizaine d’épaisse trainées de sperme.
Kseniya et Alexeï n’avaient pas encore le droit de sortir, Helen préférait les garder encore quelques jours en observation. Mary et Elizabeth étaient toujours chargées de leurs soins mais ceux-ci devenaient chaque jours moins nombreux et rapidement leur tâche ne consista plus qu’à changer les draps et apporter les repas. Elles se disaient que la divine expérience sexuelle qu’elles avaient connue était fini mais, par gratitude à leur égard, et aussi par plaisir, Kseniya et Alexeï continuèrent à leur faire l’amour, Alexeï avec Mary et Kseniya avec Elizabeth.Le dernier rapport qu’elles eurent ensemble au dispensaire se fit sur un seul lit. Mary empalée par derrière sur la longue verge de Kseniya qui lui remplissant l’anus, partageait un 69 avec Elizabeth qui se faisait prendre le cul en levrette par Alexeï. Pendant que les longues bites leur ramonaient les entrailles, les deux infirmières se léchaient et se doigtaient la chatte. Elizabeth jouit tellement que son corps tout entier lâcha prise quand elle sentit la semence d’Alexeï se répandre dans son rectum. Incapable de se contrôler dans cet ultime orgasme, elle pissa dans la bouche de Mary en hurlant de plaisir. Cet excès acheva les résistances de Mary et Kseniya qui jouirent à leur tour. Elle restèrent longtemps enlacées toutes les quatre. Les hermaphrodites allaient quitter les lieux mais les deux infirmières savaient qu’elles les reverraient et surtout qu’elles pourraient occuper leurs poses en se faisant l’amour toutes les deux.
Kseniya et Alexeï quittèrent le dispensaire dans l’après-midi, en compagnie de Rosie et de Jeannette. Les hermaphrodites étaient enfin toutes réunies, pour de vrai et en pleine forme. Seulement, la petite communauté était confrontée à un problème : la maison devenait franchement trop petite. En effet, jusqu’à présent toutes les hermaphrodites y logeaient mais il y avait aussi avec elles Lisa, Helen, Mary, Elizabeth et Julia.
– Nous avons un problème, expliqua Marta au dîner, la maison quoique relativement grande ne nous contient plus, il faut se rendre à l’évidence.– C’est vrai, ajouta Angelo, nous n’avons plus de place pour nos affaires et les chambres sont maintenant trop petites, même en nous tassant pour pouvoir y dormir toutes confortablement. Il faut qu’on trouve une solution !– Ça ne peut-être que provisoire mais, peut-être, pourrions nous laisser les enfants de manière permanente dans une même pièce et, nous les adultes, faire pareil, suggéra Lisa.– Tu penses que nous pourrions toutes dormir dans le salon ? Interrogea Percy dubitative.– C’est la solution, fit Rosie sur un ton entendu.– mais les meubles, s’inquiéta Marta, que va-t-on en faire ? Si on doit toutes dormir là, ils vont nous gêner.– On les met dans une remise, expliqua Line, mais c’est provisoire.– Vous voulez faire construire un immeuble, c’est ça ? Interrogea Angelo. Ce n’est pas si simple.– J‘étais ingénieur dans le bâtiment, expliqua Nacilho, je peux largement superviser la réalisation du projet.– Et moi j’étais en école d’architecture avant d’être arrêtée, expliqua Kseniya. Je saurais faire les calculs d’effort et dessiner les plans.– Mais on ne va quand même pas monter une entreprise de travaux publics ! S’exclama Marta, nous avons déjà ouvert un dispensaire qui fonctionne à perte !– Le monde change, intervint Sody, nous avons traversé, Noelani et moi des territoires en guerre, et la guerre est partout. Qui sait combien de temps durera encore l’Alliance ou les USA ? La valeur de l’argent ne réside que dans les échanges et ils deviennent de plus en plus restreints. Alors si nous pouvons loger, nourrir et protéger les gens qui travaillent avec nous, c’est déjà pas mal.– Sans compter que les humains, malgré le chaos qu’ils répandent sur la planète auront toujours besoin de se nourrir, de s’habiller et de se loger. Ils ne sont pas encore morts, loin de là ! Exprima Abani. Il y aura toujours des monnaies d’échange et si la guerre arrive à nos portes, Helen, Elizabeth, Mary et Julia risquent malheureusement d’être débordées.– Tu as raison, répondit Marta, la santé n’est pas un coût, c’est une nécessité et c’est un devoir de la rendre accessible. Même si, selon les douze, les hermaphrodites sont destinées à remplacer l’humanité, elles ne le feront pas dans la violence. L’humanité a toutes les armes qu’elle souhaite pour se détruire sans nous.– Et elle le fait très bien, si je peux me permettre, ajouta Helen.– Bien sûr que tu peux, cette affaire concerne tout le monde ici, c’est pour ça qu’on s’exprime à voix haute, expliqua Jeannette. Je n’ai pas trop d’avis sur la question mais j’en connais l’idée partagée par plusieurs d’entre nous, nous devons racheter une entreprise du bâtiment.– Beaucoup sont en faillite, remarqua Mary, ça ne devrait pas être trop dur.– Mmm, sauf qu’elles sont toutes rachetées par l’Australian Building Company (ABC) généralement.– Et bien achetons une boite qui n’est pas en faillite, ce sera plus facile.– On pourrait peut-être acheter l’ABC, fit Alexeï, ce n’est qu’une question d’argent…– Toi, tu as une idée, remarqua Angelo, mais elle est un peu folle.– Sauf si on s’y met toutes, expliqua Kseniya, Alexeï était employée de la banque nationale de la république sociale populaire d’Ukraine, avant notre mutation et notre arrestation, elle sait où sont les réserves en or de l’état.– L’Ukraine n’est pas si importante, comment être sûr que cela suffira ? S’inquiéta Abani perplexe quand au plan exprimé.– Nous ne pourrons pas piller le trésor national ukrainien aussi facilement, expliqua Rosie, transporter des tonnes d’or ce n’est pas la même chose que de transporter cinq ou six personnes ! Nous aurons besoin d’être plusieurs pilotes et aujourd’hui je suis la seule à avoir atteint ce niveau de psychokinèse. Pour Jeannette, ça reste à confirmer. Nous devrons y aller toutes ensemble, avec plusieurs véhicules et être trois ou quatre, peut-être même cinq, pour ramener l’or. C’est lourd !– Crois tu que nous pourrons rapidement partager vos capacité, demanda Line intéressée. Nous avons toutes fait l’amour ensemble l’autre jour, nous a tu contaminées ?– Pas suffisamment, je le sais, répondit Rosie, ce qui importe pour entamer la mutation, c’est la charge virale. Tu es bien placée pour suivre Jeannette dans la liste des mutantes.– En gros, plus vous nous en mettrez plein la chatte, Jeannette et toi, et plus ça ira vite, c’est ça ? Questionna Precy amusée.– Exactement, et comptes sur moi pour ne pas faiblir. Répliqua Jeannette souriante.– Personnellement, je pense qu’il serait préférable de racheter une petite boite dont le patron serait suffisamment âgé pour prendre sa retraite et sans successeur pour être vendeur. Ce serait plus sûr. Mais ça ne vous empêche pas d’aller ruiner l’Ukraine si c’est votre plaisir. L’or que vous récupèrerez ne sera pas perdu, les humains en sont tellement friands… Exprima Lisa sûre d’elle. Je peux même vous aider à trouver la meilleure candidate si vous voulez.– C’est vrai qu’avec sa maîtrise des réseaux, elle pourrait faire la liste des entreprises australiennes du bâtiment et effectuer une sélection. Remarqua Line– Elle pourrait même faire glisser quelques milliards de crédits sur un compte pour racheter l’ABC sans que ça se remarque. Plaisanta Jeannette.– Oui, mais ça je ne l’ai pas proposé ! Il y a toujours un moment où ça se découvre le détournement de cents… Surtout quand la somme est importante. Répliqua Lisa. Et j’ai arrêté la piraterie depuis longtemps. Ce serait trop dangereux pour nous.– Mais tu saurais le faire, remarqua Marta, tu pourrais prendre quelques cents de crédit par-ci par-là sur des transactions, n’est-ce pas ?– C’est très facile, répondit la québécoise, je commence par sélectionner des candidats. Les meilleurs sont les personnes qui consomment plus de 30% de leurs revenus en sexe virtuel sur le réseau et qui travaillent dans un établissement bancaire ou pour une administration financière. Ensuite, je mets en place sur leur ordinateur un petit logiciel qui traque toute les transaction de leur banque ou de leur organisme et qui y prélève ou qui y ajoute un cent qui se retrouve automatiquement posé sur leur compte. Comme ça concerne plusieurs centaines de milliers de transactions éligibles par jours, je rectifie les comptes de la personne en effectuant chaque soir, à minuit, un transfert automatisé des sommes quotidiennes accumulées vers un faux compte de rectification de la banque ou du ministère. Ce compte est aussitôt vidé est les sommes sont transférées sur les comptes d’une succession de sociétés écrans préalablement créées, jusqu’à celui que je souhaite alimenter finalement. Pour que ça marche bien, il faut passer par des banques de différentes nationalités et convertir les crédits lors des transferts. Ça coûte un peu mais ça bloque les poursuites, surtout si on passe par une banque du Consortium Liechten-Austereichien.– Nous pourrions le faire alors, s’exclama Helen enthousiaste, est construire la maison qui nous accueillerait toutes !– Sauf que le risque n’est pas nul. J’ai été pirate pendant quelques années et flibustières ensuite. A ce moment, je traquais ce genre de protocoles pour les déconnecter, faire en sorte que cet argent fictif arrive sur les comptes du ministère de l’Alliance et coincer les pirates. Je sais de quoi je parle. Mais je peux faire autre chose.– Exprime le fond de ta pensée, fit Rosie qui comme Jeannette avait déjà compris.– Et bien, pendant les six années où j’ai travaillé comme flibustière, j’ai brassé, en moyenne mille milliards de crédits par an pour le compte de l’Alliance, de l’armée, de groupes ou encore d’entreprises nationales. Sur chaque transaction, je touchais entre 0,1 à 10% des montants, selon la difficulté du travail, mais la moyenne tournait plutôt autours de 2.– tu es en train de nous dire que tu as environ 120 milliards de crédits quelque part !? S’exclama Abani incrédule.– Oui, c’est plus proche de 100 milliards, mais c’est ça, et je veux bien mettre cet argent fictif, validé par l’état, au service de notre entreprise avant qu’il n’ait plus de valeur…– Tu es sérieuse ? demanda Marta, je sens que c’est vrai mais j’ai du mal à le croire…– Si vous voulez, j’ouvre la banque d’investissement de Falcone’s creek, répondit Lisa en souriant. Nous avons besoin de nous développer et pas uniquement en matière de logement. Il faut que nous soyons rapidement totalement autonomes. Le monde autour de nous va mal, la guerre est partout ou presque, l’Australie veut son indépendance, ce qui ne se fera pas sans générer de violents conflits entre le nord et le sud et entre l’est et l’ouest. A mon avis, on va devoir passer à la vitesse supérieure !– Ta clairvoyance et ton intelligence m’épateront longtemps, remarqua Rosie, j’ai été convalescente trop longtemps. Je ne sais plus où en est le monde. J’apprends que l’Australie est sur la voie de l’indépendance, je sais que l’Afrique est, à plus de 50%, sous la domination de l’empire afrikaner, que les chefferies d’Europe, qui sont en guerres permanentes depuis un demi siècle s’entendent pour attaquer l’Alliance Britannique, que l’Amérique du sud risque à tout moment de rentrer en guerre contre les USA et que la situation en Asie et au moyen orient se complique tous les jours d’avantage. La guerre est partout, alors, si tu as quelques millions à dépenser pour acheter une entreprise de travaux publics et développer les activités qui nous conduiront vers l’autosuffisance et l’autonomie, je t’y encourage. Nous irons ruiner l’Ukraine après, si ça a encore un intérêt quelconque.– L’Australie connaît encore une paix relative, fit remarquer Marta, et j’espère que ça va durer encore longtemps. Que deviendrions nous si le chaos s’abattait sur notre territoire ?– C’est pour ça que nous devons activer nos capacités à être autonome… Affirma Precy, nous ne devons dépendre d’aucun intervenant extérieur pour nos construction, notre habillement, notre alimentation et tout ce qui nous semblerait indispensable. Nous devons prendre conscience de l’ampleur de la crise !– Le danger est imminent, ajouta Line et si nous sommes autonomes, il y a fort à parier que nous ferrons des envieux.– Ça c’est certain, dit Alexeï, et l’être humain n’est pas tendre quand il veut ce qu’il n’a pas.– C’est un peu effrayant tout ça… Conclu Mary, ça me fait peur.
Le soir même, elles avaient réorganisé la maison, le salon avait été vidé de ses meubles et transformé en dortoir sommaire. Les dix matelas deux places prenaient toute sa surface.
– Ça sent le baisodrôme cette affaire, fit Angelo en admirant le résultat.– Attends de voir quand on sera toutes couchées, lui répondit Marta en frottant sa bite tendue sur son cul.– Ça va être un peu chaud pour s’installer, celles qui dormiront au fond vont être obligées de passer sur les autres… Remarqua Precy, je m’installerai bien devant l’entrée personnellement.– Ce ne serait pas très juste, fit Lisa, les premières places devraient être réservées à celles qui n’ont pas de bite.– Toi, t’aimerais bien qu’elles t’en mettent toutes un petit coup avant d’aller se coucher, dit Julia en lui caressant les fesses.– Mmm… c’est possible, à moins que ce ne soit plutôt pour toi que je suggère ça. Tu voulais que je te choisisse une génitrice, imagine qu’on laisse faire le hasard. Elles te baisent toutes, tous les jours, jusqu’à ce que tu sois enceinte. – C’est un peu cochon, non ? Et puis elles ne seront peut-être pas d’accord.– C’est déjà acté, ma belle, intervint Abani, on est toutes d’accord et le mieux, c’est que ce soir vous dormiez au milieu, pour être plus accessible.– Que… Avec toutes ?– Oui, Julia, avec toutes, expliqua Hulda, et ce soir on va toutes se vider les couilles dans ta chatte…– Mais dès demain, on te sollicitera les unes après les autres, tout au long de la journée, continua jeannette qui s’était approchée, ça économisera nos forces viriles pour nous aussi.– On n’est pas si différentes de toi que ça, reprit Hulda, nous aussi on a besoin d’un bon coup de queue. Mais ce soir, c’est toi la reine de la nuit, on va se relayer dans ta chatte jusqu’à ce qu’elle déborde.– Allez, en piste ! Dit Abani en poussant Julia vers les matelas. On va s’occuper de ton cas.
La jeune femme, accompagnée par Lisa au milieu de la pièce, se retrouva vite entourée par les 14 hermaphrodites déjà excitées. Les deux femmes commencèrent par se caresser, Julia se détendit un peu. Elles entamèrent un 69, Lisa dessous et Julia au dessus, offrant sa croupe aux quatorze verges tendues. Chaque hermaphrodite baisait Julia pendant trois minutes avant de laisser la place à une autre. A chaque fois qu’une bite sortait de sa chatte, Julia ressentait une courte frustration qui accroissait encore son excitation une fois réinvestie. Elle vivait une douce torture qui durait en longueur. Elle était transportée dans un orgasme sans fin alors qu’aucune de ses « tortionnaires » n’avait éjaculé. Les hermaphrodites étaient toutes sur la même longueur d’onde et se plaisaient à donner à Julia le plus long orgasme de son existence. Le gang bang de la sage femme dura pendant deux heures, elles l’avaient déjà toutes baisée trois fois quand elles décidèrent de mener leurs coïts jusqu’au bout. Abani qui avait commencé la ronde reprit place dans la chatte de Julia avec la volonté d’y déverser sa semence, elle la ramona donc plus longuement que les trois fois précédentes. La belle indienne était endurante, Julia criait grâce, lui demandait de jouir et au bout de dix minutes, Abani lui donna satisfaction en calant sa bite au fond de sa matrice et en lâchant sa sauce.Julia avait l’impression qu’elle ne pourrait pas en supporter d’avantage quand Rosie la pénétra à la suite d’Abani. Elle aussi prit son temps. Au bout de cinq minutes, Julia était à bout de force, elle ne tenait plus ni sur ses jambes ni sur ses bras. Rosie se retira, la coucha sur le dos à côté de Lisa et replongea sa verge dans sa chatte brulante et crémeuse. Elle lui tenait les jambes largement écartées et la baisait maintenant avec une cadence soutenue. Elle tint le rythme cinq minutes avant de se cabrer et d’éjaculer à son tour. Julia se faisait baiser depuis deux heures et vingt minutes déjà et douze hermaphrodites devaient encore profiter de sa chatte. En tout, elle fut prise pendant plus de quatre heures et quand la dernière hermaphrodite éjacula en elle, elle n’était plus consciente de ce qui lui arrivait. Elle fut abandonnée enfin aux bras de Lisa qui la sera contre elle. Il était vraiment tard maintenant et toutes s’endormirent.
Le soleil était déjà haut quand Julia se réveilla. Elle était toute seule dans le salon, les autres étaient déjà au travail, elle passa sa main sur sa chatte, elle était brulante, légèrement irritée et encore suintante de la quantité importante de sperme qu’elle avait reçu. Elle se sentait épuisée et n’avait qu’une envie : aller retrouver Lisa dans sa soierie. Elle se leva, passa par la salle de bain puis par la cuisine pour se faire un thé où elle trouva Marta et Sody déjà affairée à la préparation du déjeuner. Se croyant seule, elle n’avait gardé qu’une serviette de bain autour de sa taille. Elle avait oubliée que les hermaphrodites n’avaient pas besoin de se parler pour communiquer.
– Oh ! Vous êtes là, bonjour, je… je vais m’habiller.– Non, reste, lui dit Marta, tu es très jolie ainsi… assieds toi, j’ai refait du thé en t’entendant prendre ta douche. Tu t’habilleras plus tard… si on t’en laisse l’occasion.– Comment va ta chatte ? Lui demanda Sody, pas trop irritée ?– Euh, si un peu… je ne sais pas si…– Tatata, si tu veux un bébé, il faut bien qu’on te baise et justement, Helen a apporté ça pour toi.– Qu’est-ce que c’est ?– Une pommade pour calmer ton irritation et te maintenir dans un état de réceptivité.– De réceptivité ?– Et bien oui, à conté d’aujourd’hui, nous te baiserons toutes à des moments différents de la journée. Tu n’auras plus droit à une tournante comme celle d’hier soir, mais bon, ça ne change pas grand-chose. On est quand même quatorze et si on exclu de la journée les temps de sommeil et de repas, ça veut dire que tu vas quand même avoir un rapport par heure en moyenne.– Fais voir cette pommade, j’irai en mettre après.– Non, fit Marta autoritaire, c’est Sody qui va te la passer. Enlève cette serviette et écarte tes cuisses qu’on puisse admirer ton coquillage.
Julia se sentait humiliée par la situation, elle était incapable de désobéir aux ordres de Marta, pourtant elle savait que celle-ci n’avait utilisé aucun pouvoir spécial de persuasion. Elle misait uniquement sur ses qualités de dominatrice et sur le désir de soumission de Julia. Elle avait vu juste. La jeune femme retira la serviette qu’elle portait comme un paréo et écarta largement ses cuisses pour dévoiler son intimité. Sody s’approcha d’elle en déposant sur ses doigts une bonne dose de pommade. Elle passa derrière sa chaise, se pencha sur ses épaules et dirigea sa main crémeuse vers sa chatte. Julia se laissait faire sans prononcer un mot, elle regardait cette main qui allait parcourir son sexe endolori. Le contact avec la pommade était frai, agréable. Les doigts de Sody parcoururent ses grandes lèvres avant d’aller graisser l’intérieur de sa vulve. Sody remis une ou deux fois de la pommade sur le bout de ses doigts qu’elle déposait sur et entre ses petites lèvres. Ils tartinaient l’entrée de son vagin puis s’y insinuèrent. Julia gémit, elle n’avait plus mal et ressentait une envie profonde d’être pénétrée. Elle ne savait pas ce qu’Helen avait mis dans cette pommade mais elle était efficace.
– Ça a l’air d’aller mieux tout à coup ! Je me trompe ? Demanda Sody excitée.– No… Oooooh ! Oh oui… oui, ça va mieux, mmmm… Ooooh oui…– Oui, ça te plait de te faire toucher la chatte en publique hein ? T’aime qu’on s’occupe de ta chatte, pas vrai ?– Oooooh… oh oui ! oui, j’aaah… j’adore… Ooooh… mmmmm…– Tu sais comment ça s’appelle une fille qui ouvre sa chatte à tous le monde ? Dis moi…– Ooooh… mmmoui, c’est… c’est une saaah… une salope. Ooooh… oh oui…– Non, Julia, c’est pire que ça, c’est une pute. Tu sais ce que tu es dorénavant ?– Mmmm… je… je suis une pute ?... Ooooh, oh oui, c’est bon…– Oui, ma Chérie, t’es une pute. Une grosse pute, un vide couille. Ça te plait ?– Oooooh, ouiii… oui ça me plait… Je suis un vide couilles. Aaaaah… votre pute…– C’est bien, tu as compris… Et de quoi elle a besoin notre petite pute ? Dis moi…– De… Aaaah… de bites…
Après ces soins et cet échange, Sody releva Julia, lui plaqua la poitrine contre la table et releva sa jupe pour dégager sa queue bien raide. Julia la supplia de la baiser tout de suite, ce qu’elle fit sans délai. Elle lui ramona la chatte pendant près d’un quart d’heure avant de jouir, Julia avait eu plusieurs orgasme et resta allongée, pantelante et dégoulinante de mouille et de sperme quand elle se retira. En les regardant, Marta avait retiré sa robe et s’était masturbée la chatte et caressée les seins. Elle avait soigneusement évitée de toucher sa bite tendue pour ne pas risquer d’éjaculer avant d’avoir pu baiser Julia qu’elle prit sitôt la place libérée.
Le ton était donné, Julia allait devenir le vide couille des hermaphrodites. Elle pensait que cela ne durerait pas, que la quantité de sperme reçue tous les jours serait suffisante pour qu’elle attende un bébé avant la fin du mois mais elle se trompait. Sa période de fécondité était déjà passée de deux jours. C’est un détail qui n’avait pas échappé à Rosie et Jeannette qui prévinrent toute la communauté mais les hermaphrodites furent unanimes ; tant qu’elle ne serait pas officiellement enceinte, elle serait leur pute. Elles avaient toutes remarquée que, depuis quelque temps, Julia était devenue beaucoup plus chaude et Lisa, avec qui elle était en couple, n’arrivait plus à la satisfaire. Elles avaient choisi la solidarité et quand Lisa leur demanda laquelle voulait bien faire un enfant avec Julia, elles proposèrent le scénario qui se jouait maintenant.
Julia prit rapidement goût à son rôle de « putain », la pommade lui évitait tout problème d’irritation et décuplait sa libido. Quand ses règles arrivèrent, elle fut déçue. Elle avait espérée que ça marche tout de suite, mais Rosie lui expliqua que ça marcherait avec ce nouveau cycle et que jusqu’à ce qu’un test confirme sa grossesse, elle restait leur pute. La sage-femme en fut ravie et décida d’offrir son cul et sa bouche pendant ces quatre ou cinq jours d’indisponibilité.
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