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Garde ma fille

Chapitre 1

Lesbienne
Le parking est presque comble, j’ai eu du mal à trouver une place. Je suis en retard ce matin ; c’est rare, mais ça arrive. Le périphérique était saturé. Le portail d’entrée est fermé, je suis donc obligée d’entrer par l’entrée secondaire. Je sonne ; le concierge vient m’ouvrir.
— Bonjour, Mademoiselle Vincent. Ils sont déjà montés.— Bonjour André, je m’en doute : j’étais coincée sur le périf. Bonne journée.— Bonne journée, Mademoiselle.
« Qu’est ce qu’il a besoin de savoir pourquoi tu es en retard ? Cette manie que tu as de vouloir t’excuser... Tu ne vas pas t’excuser aussi devant tes élèves ? »
La classe est bruyante : quand le chat n’est pas là, les souris s’en donnent à cœur joie. Je prends ma respiration devant la porte, la main sur la poignée.« Allons, courage ! C’est toi la prof, non ? »
Oui, c’est moi la prof ; depuis le début de l’année, et chaque fois que j’entre dans une classe, j’ai un trac dingue. Depuis toute petite, je voulais être prof ; et maintenant que je le suis, voilà que j’ai des doutes sur mon choix. Je suis timide ; ce n’est pas ma faute, quoique...Je pousse la porte, les rires se calment, mais ça chuchote encore.
— Bonjour, j’étais… Excusez mon retard. Prenez vos livres page quinze.
J’allais donner une explication de mon retard ; ce n’est pas possible, cette manie.« Tu n’es plus l’élève ; c’est fini, ça : tu es prof ! »
Je termine le cours, stressée ; le suivant est encore pire. Là, ce n’étaient que des sixièmes assez malléables ; mais le suivant, j’ai des quatrièmes. Et là, ce n’est pas pareil. Il faut de la poigne ou ils vous mangent toute crue.
Encore une fois, j’ai des sueurs en ouvrant la porte. Ils sont sages. Corinne, la prof de maths, est encore là (merci, Corinne ; elle m’attend dans la classe chaque fois qu’elle sait que je prends le cours suivant ; nous avons sympathisé et je lui ai expliqué mon malaise).Elle me fait un grand sourire avant de sortir. Je regarde la classe, une boule dans l’estomac, et je commence mon cours.
Voilà que ça commence à chahuter et à papoter. Je regarde, en repère une qui parle, le dos tourné.

— Mademoiselle Lavigne, deux heures de colle pour bavardage, ça vous tente ?— Sylvain, tu veux tenir compagnie à Audrey ?
Ça se calme ; les menaces de colle, ça marche un temps. Mais franchement, je ne fais pas sérieuse. Vingt-trois ans, mais on m’en donne seize. Je suis un petit bout de chou, un mètre soixante au garrot, blonde aux yeux bleus, de longs cheveux en queue de cheval. Même mon tailleur rose ne fait pas sérieux : on dirait une gamine qui a emprunté les fringues de sa mère. Perchée sur mes talons ; heureusement que ça existe, ça. Je ressemble vraiment à une gamine qui veut se donner des airs de femme. Pas de seins, pas de cul, pas de… de tout, en fait. Je suis mignonne de visage, ça s’arrête là. Mes jambes sont fluettes ; ne parlons pas de mes bras. Mes poignets sont si minces que j’ai du mal à trouver des bracelets de montre à ma taille. Je m’habille en seize ans, même pas en trente-huit. Et encore, pour certains jeans, je prends du quatorze ans. Et pour couronner le tout, il faut presque que je crie pour me faire entendre, tellement ma voix est fluette. Une voix de gamine, presque imperceptible et timide.
— Audrey, deux heures de colle. Tu resteras à l’intercours.— Mais, Mademoiselle, c’est Sylvette : elle me plante sa règle dans le dos.— Sylvette, change de place avec Florence. Tu continues, et c’est quatre heures ; tu tiendras compagnie à Audrey pour la colle. J’entends encore un chuchotement et je colle toute la classe. C’est clair ?
Audrey reste à l’intercours. Petite brunette aux yeux malicieux, elle vient jusqu’au bureau.
— Mademoiselle, ce n’est pas ma faute, je vous assure.— Tu n’as pas de bonnes notes ; tu ne travailles pas chez toi, et en cours tu t’amuses. Ça te fera deux heures de révision. Tu feras ta colle mercredi après-midi. C’est moi qui serai là ; je te ferai réviser : ça ne te fera pas de mal. Tu veux faire quoi dans la vie, caissière ?— Non, Mademoiselle.— Alors, travaille. Tu es intelligente ; avec un peu de travail, tu pourrais être première de ta classe. Allez, file.
Je l’entends chuchoter un « Salope… ».
— Tu disais ?— Rien…— Tu resteras quatre heures, pour insulte ; ça te va comme ça ? Et sois heureuse que je ne demande pas deux jours d’exclusion. — Excusez-moi, Mademoiselle, mais le mercredi après-midi j’ai mon cours de danse. C’est pour ça, vous comprenez : j’aime la danse, et manquer un cours me fait de la peine. — Ce n’est pas une raison pour me traiter de salope ; je ne suis pas une de tes copines. File, avant que je ne te donne deux heures de plus.
Elle part la larme à l’œil ; ça me fait beaucoup de peine, mais si je ne fais pas ça, jamais on ne me respectera. Corinne m’attend avec un café à la main, en salle des profs.
— Alors ? Ça s’est bien passé ?— J’ai collé la petite Lavigne ; elle n’arrête pas de bavarder. — Elle a du mal à émerger. Cette gamine pourrait avoir de bons résultats, mais elle ne fiche rien chez elle. Sa mère travaille et elle doit s’occuper de ses frères et sœurs. J’ai un service à te demander : tu pourrais garder ma fille quelques jours pendant les vacances de Pâques ? Nous partons avec Philipe en voyage. — Ta fille ? Elle a quel âge ?— Seize ans. Elle n’est pas difficile comme ado, mais je ne peux pas la laisser seule pendant quinze jours.— Je dois aller chez mes parents ; elle viendra avec moi. Quelques jours en Sologne, ça lui fera prendre l’air.— Tu es vraiment sympa, Milène ; je te remercie. — Ça ne me dérange pas ; mais chez mes parents, il n’y a qu’un grand lit dans ma chambre : elle sera obligée de le partager avec moi.— Ce n’est pas grave : elle dort avec sa cousine quand ma sœur vient nous voir. Elle a l’habitude.

Premier jours des vacances. J’ai fait mon sac hier soir. Huit heures : je suis devant la porte de Corinne. La surprise est totale quand Corinne me présente sa fille. Odile est une magnifique brune aux yeux noisette, comme sa mère. Grande, cheveux longs, une poitrine avantageuse, des jambes de rêve, un petit cul superbe et un sourire d’une espièglerie infernale ; elle fait beaucoup plus que son âge. Elle me regarde en souriant.
— Vous êtes prof, vous ? On peut être prof à quinze ans ?— Odile, ne sois pas impolie ! Milène est sympa de te garder, alors sois gentille.— J’ai l’habitude ; j’ai vingt-trois ans : pas quinze, ni seize. — Prof de quoi ?— SVT.— Chouette ! Oui, super cool ; j’adore. Excusez-moi pour la remarque, je suis idiote parfois. — Ce n’est pas grave. Nous y allons ?— Je suis prête. Bye ! Maman, tu feras un bisou à papa.

Il est presque midi quand nous arrivons. La petite propriété de mes parents est proche de La Motte-Beuvron, perdue au milieu des forêts de chênes et de hêtres. C’est un ancien rendez-vous de chasse que mes parents ont acheté pour y passer leur retraite. J’adore cet endroit, et le calme qui y règne. Il y a un immense lac où j’adore me promener. Voir les canards se disputer pour un bout de pain me fait rire aux éclats.
J’ai averti maman que je serais avec Odile ; ils ne sont donc pas surpris et nous réservent un accueil très chaleureux. Maman est une excellente cuisinière ; le repas est une merveille. Tout ce que j’aime est là : saumon mayonnaise, tagliatelles à la bolognaise, champignons farcis, crème brûlée. Je sors de table le ventre plein. Je sais qu’ici, pendant quinze jours, je vais prendre des kilos. Comme il m’en manque, c’est très bien !
L’après-midi, je fais faire le tour du lac à Odile ; elle est émerveillée par tout ce qu’elle voit. Nous croisons des biches, un cerf ; nous apercevons au loin un renard, une horde de sangliers. Un vol de canards se pose sur le lac, juste devant nous.Nous revenons bras dessus, bras dessous, en riant comme des folles. Nous aidons maman à préparer le dîner. Une fois encore, le repas fini, j’ai du mal à me lever de table. Nous finissons la soirée au salon à bavarder avec mes parents avant d’aller nous coucher.

Je suis un peu gênée quand, sans aucune pudeur, Odile se déshabille et se met nue au lit. Elle a un corps magnifique et des seins parfaits. Mais cela me dérange qu’elle se couche nue.
— Tu ne mets rien pour la nuit ?— Jamais ; je n’arrive pas à dormir, sinon.
Je ne dis rien, me tourne pour me déshabiller et enfiler un long tee-shirt. J’ai gardé ma culotte. Je n’ai pas osé la retirer devant elle. Surtout que je sens son regard peser sur moi. Quand je dis que j’ai un corps de gamine, c’est vrai ! Je n’ai presque pas de poils au pubis ; juste une fine toison blonde qui n’occupe pas beaucoup de place, un tout petit triangle. Odile, elle, est complètement rasée et sa vulve est magnifique. Deux grandes lèvres gonflées, qui sont fermées pour cacher les trésors qu’elles préservent.
Je me couche et éteins la lampe de chevet en souhaitant bonne nuit à Odile. Elle en fait de même de son côté. J’ai du mal à m’endormir : c’est la première fois que je dors avec quelqu’un dans mon lit, et ça me dérange de la sentir nue à côté de moi. Je n’arrête pas de tourner et retourner. Elle est tournée vers moi et je sens très bien qu’elle ne dort pas. Comment cela serait possible avec le chambard que je fais dans le lit ?
Je sursaute quand je sens sa main se poser sur ma taille.
— Tu ne dors pas ?— Je n’ai pas l’habitude d’avoir une présence à côté de moi ; j’ai du mal à trouver le sommeil.
Sa main est en train de remonter sur le côté. Elle bouge et vient presque se coller contre moi. Je l’entends chuchoter, avec un drôle de trémolo dans la voix.
— Tu veux que je t’aide à t’endormir ? — Si tu as un moyen, je veux bien.
Je comprends trop tard que ma réponse est une invitation, beaucoup trop tard. Mais jamais je n’aurais pensé à ça. A vingt-trois ans, je suis complètement innocente ; je n’ai même jamais embrassé personne, et il est rare que je ressente le besoin de me caresser. Ma virginité ne me pose pas de problème et ma libido n’est pas du tout développée.
Sa main descend sur ma fesse, passe sous le tee-shirt et remonte entre mes cuisses, alors que ses lèvres viennent se poser sur les miennes.
— Mais que fais-tu ?— Je vais t’aider à t’endormir ; laisse-toi faire, je suis très experte. — Mais non, voyons, tu n’y pense p...
Je ne peux finir ma phrase ; sa bouche vient se plaquer sur mes lèvres. Sa langue essaie de forcer le passage entre mes dents. Sa main est arrivée sur ma vulve. Elle passe sa main dans ma culotte. Je sens son doigt chercher mon clitoris. Je suis vaincue quand une décharge électrique monte dans mon ventre. J’ouvre la bouche pour lui rendre son baiser et chercher sa langue. Mes cuisses se sont écartées toutes seules, ouvrant en grand l’accès à ma vulve. Ce qu’elle me fait est un délice : ses doigts tournent autour de mon clitoris ; je mouille immédiatement, je sens perler la cyprine à l’orée de mon vagin dans lequel elle glisse un doigt qui vient buter sur l’hymen. Elle lâche ma bouche.
— Merde ! T’es pucelle ? T’as jamais fait l’amour ?— Non ! Jamais un garçon ne s’est intéressé à moi. Et toi ?— Il y a un bail que je ne le suis plus ; j’adore le sexe. Tu veux que je te dépucelle avec mes doigts ?— Non, j’aimerais mieux que ce soit un homme qui me dépucelle.
Elle ne dit rien et reprend ma bouche, en continuant de me caresser. Elle tire sur mon tee-shirt pour me l’ôter. Je soulève mes bras pour l’aider. Sa bouche vient sur mes seins, sa langue titille mes tétons. Elle tire sur ma culotte ; je soulève les fesses et les jambes. Elle lèche un pied, remonte le long du mollet, passe sa langue sur l’intérieur de ma cuisse. Je bondis quand sa bouche vient prendre ma vulve et aspire mes petites lèvres. Sa langue titille mon clitoris ; c’est merveilleux ! Jamais je n’aurais supposé que ce soit aussi bon de se faire lécher. Sa langue fouille mon vagin, ses lèvres m’aspirent, un de ses doigts vient sur mon anus pour le caresser.
C’est si bon, si agréable que je la laisse faire ; je laisse son doigt pénétrer mon anus. Sa langue me rend folle. L’orgasme monte comme un courant électrique, je sens mon vagin se contracter, ma vulve s’ouvre comme un fruit mûr, une rose au printemps un matin de rosée. Je gémis mon plaisir. Je l’ai sentie retirer son doigt de mon anus ; je n’ai pas le temps de réagir : il est trop tard, je jouis en criant. Ses deux doigts viennent de s’enfoncer dans mon vagin, faisant craquer l’hymen. Je jouis tellement que la douleur passe presque inaperçue. La vive douleur ressentie s’assourdit quand ses doigts me fouillent. Je jouis presque aussitôt.
Sa bouche remonte sur mon corps, ses doigts toujours en moi. Elle lèche mes mini-tétons, les aspire. Elle me regarde dans les yeux.
— Ma cousine m’a dépucelée comme ça ; je t’assure que c’est mieux après pour faire l’amour. Tu ne m’en veux pas ?— Non ; c’était idiot, de toute façon, de vouloir le garder. Tu sais, j’ai apprécié ce que tu viens de faire mais je ne sais pas si j’ai envie de te lécher ; ça me semble un peu difficile. — La première fois, c’est toujours un peu pareil : j’ai eu également un peu de mal à lécher ma cousine comme elle me le faisait. Tu n’es pas obligée de le faire ; tu peux me faire jouir avec tes doigts si tu veux.
Je caresse son corps parfait, ses seins ronds et durs, aux tétons qui se dressent sous les caresses des doigts et de la langue. J’arrive tout de même à descendre ma bouche sur son ventre. Son odeur de brune me surprend un peu, plus forte que la mienne, plus aigre aussi. Je lèche son ventre, son pubis rasé. Mes doigts caressent son clitoris, ouvrent sa vulve, pénètrent son vagin. Je sais que je suis maladroite, hésitante ; les effluves me dérangent. J’ose tout de même tenter un coup de langue sur le clitoris mais ne peux aller plus loin. Le goût me surprend ; je n’ai jamais goûté une femme, même pas moi. Je ne sais pas le goût que peut avoir ma mouille. Je me surprends à glisser un doigt dans mon vagin, le sentir et le lécher.L’odeur et plus douce, moins âcre, mais le goût est sensiblement le même. Je désespère de la faire jouir ; même si elle gémit, je vois bien que ce n’est pas merveilleux pour elle.
Je prends mon courage à deux mains, évite de respirer par le nez et lèche sa vulve. Petit à petit, au gré de ses gémissements, l’excitation me gagne, me fait dériver. Ma langue se fait plus inquisitrice, plus vivante.Elle se cabre, avance sa vulve sur ma bouche en appuyant sur ma tête. L’orgasme vient de la prendre ; je suis heureuse, j’ai réussi à la faire jouir. Ce n’est sûrement pas son meilleur orgasme, mais moi je suis fière.
Nous nous endormons en nous caressant, après un long baiser d’amoureuses.
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