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Je garde mes petites-filles

Chapitre 1

Inceste
Sous prétexte que je suis veuf et que je suis retraité, on m’a confié la charge de garder mes petites-filles. — Papa, tu n’as rien à faire! Tu peux les surveiller pendant que nous sommes en vacances! m’ont demandé mes enfants. Je suis la bonne poire de la famille et j’ai accepté! J’ai donc hérité d’Annie et de Josiane sa cousine, à peine majeures. Qu’est-ce que j’ai fait là! Je ne sais pas ce qui convient à des filles de leur âge! Aussi pour avoir la paix, je leur laisse une liberté royale, ce que je pense vouloir éviter leurs parents en me les confiant! Ils auraient du se douter! Je n’étais jamais intervenu dans leurs histoires internes et ce n’est pas à mon âge que je vais changer! — Soyez sage mes choux, vous pouvez faire ce que vous voulez, à condition de ne pas exagérer et que cela reste dans les limites du raisonnable! — Ne te fais pas de mauvais sang Papy! Nous ne te décevrons pas! affirme Josiane, la plus délurée des deux. Heureusement que j’ai à ma disposition Maurice, mon petit-fils. Du même âge que ses cousines, enfin presque, il sait ce qui leur convient. Effectivement, à part quelque sorties nocturnes, je n’ai pas eu à me plaindre de leur comportement. Avec leur cousin, elles forment un groupe, bruyant certes, mais convenable, en particulier vis-à-vis des voisins. D’accord, laisser des jeunes gens en pleine croissance sans surveillance est peut-être imprudent, mais à condition de fermer les yeux sur ce qu’ils font entre eux dès que j’ai le dos tourné, tout se passe fort bien. Garde d’été de jeunes adolescents ce n’est pas difficile en somme!
C’est la sieste. Tout le monde est couché, enfin je crois. Faudrait quand même m’en assurer! Ce n’est pas parce que je laisse aux filles la liberté de faire à leur guise qu’elles ne doivent pas me rendre des comptes. Je m’avance vers leur chambre. Pas de bruit! Si! Un léger gémissement. Qu’est à dire? Laquelle se plaint? Je pousse doucement la porte et… Je m’arrête sur le seuil complètement abasourdi! Elles sont bien là! Mais toutes nues entrain de se caresser intimement, du moins je le présume d’après leur position en tête-bêche! C’est du propre! Mais elles sont si belles! Qu’est-ce que je dois faire? Les séparer et occasionner un scandale? Ou les laisser continuer sans rien dire? Telles qu’elles sont placées j’ai sous les yeux des fesses roses. A qui sont-elles? A Annie ou à Josiane? Je ne saurais le dire, mais tout ce que je sais, c’est qu’elles sont diablement tentantes. A les contempler une bosse gonfle dans mon pantalon. C’est décidé, je les laisse faire pour admirer à loisir. J’en suis là de mes réflexions quand elles se retournent. Les fesses appartiennent à Annie! Zut! Je croise le regard de Josiane. — Hiii! Les deux filles se délient rapidement et se cachent derrière un paravent. — Tu… tu es là depuis longtemps? demande Josiane. Surpris en flagrant délit de voyeurisme, j’attaque! — Je vous y prends! C’est scandaleux! Vous caresser comme des gouines! Qu’avez-vous à dire pour votre défense? — Papy! Papy! Tu ne diras rien à nos parents? s’inquiète Annie. Les deux filles sont toujours cachées. Comment les faire sortir au grand jour pour les admirer? Tout à coup une idée machiavélique se forme dans mon esprit. — Pourquoi je ne le dirai pas? — Papy! Je t’en supplie, ne leur dis rien! supplie Josiane. — On te promet de ne plus le faire, insiste Annie. Ça, ça ne fait pas mon affaire! Je contre-attaque: — On connaît la validité de telles promesses! Vous avez été laissé à ma garde pour ces vacances! Ce que vous avez fait est mal! Je ne sais pas si je peux le taire. Annie tente de m’amadouer: — Je t’en supplie Papy, dis rien à nos parents! — C’est très grave ce que vous me demandez là. — Euh… Si tu ne dis rien, on fera ce que tu voudras. Tout juste ce que j’espérais.
— Tout ce que je voudrai? — Tout ce que tu voudras! N’est-ce pas Josiane?— Euh… D’accord tu ne dis rien et on fera ce que tu voudras! acquiesce celle-ci. — Bon, je consens à passer l’éponge… Pour cette fois… A condition que vous m’obéissiez aveuglement.— Oh merci Papy! Je…euh… On te revaudra ça! déclare Annie. Josiane me regarde d’un drôle d’air. — Que nous faut-il faire? demande-t-elle. — Tout d’abord sortez de votre cachette! — Mais on est toute nues! se plaint Annie. — Et alors? J’en ai vu d’autre!… Allons!… Dépêchez-vous! Elles émergent du paravent, Josiane devant, Annie plus timide derrière. Qu’elles sont jolies! Je m’attarde à les admirer. — Qu’est-ce que tu veux Papy? Qu’est-ce qu’on doit faire? — Euh… Vous vous caressiez quand je vous ai surpris, n’est-ce pas? Et bien c’est mon tour! Caressez-moi! — Où veux-tu qu’on te caresse? demande étourdiment Annie. Je déboutonne ma braguette et sors la verge qui se développe. — Là! — Oh non pas ça! — Puisque c’est ainsi, je serai obligé de tout dévoiler à vos parents. — Oh non Papy, fais pas ça ! se désole Annie. Le regard de Josiane est fixé sur la verge toute droite et sa langue passe et repasse sur ses lèvres. Me soupçonnerait-elle de vouloir profiter de la situation ? — Annie, fait ce qu’il demande, ce n’est pas terrible. Moi non plus je ne veux pas qu’il raconte ce que nous avons l’habitude de faire quand nous sommes seules. Elle a compris, elle, que mes intentions ne sont pas honnêtes. — J’ai… J’ai jamais fait! se désole Annie. — Pas d’importance, imite-moi. Elle s’agenouille devant moi, extrait la queue et la présente à sa cousine qui s’approche. Le passage d’une main à l’autre m’arrache un premier soupir. — Passe ta langue dessus, continue Josiane. — Mais c’est sale! — Mais non, Papy se douche tous les jours, tu n’as rien à craindre. Je sens une petite langue lécher le gland, puis une autre la rejoint… C’est merveilleux! Je suis aux anges! Deux jolies nanas nues à ma dévotion! Que demander mieux! Annie imite avec succès sa cousine. Les deux filles se partagent la tâche, alternant caresses avec les mains, sucettes et introduction entre les lèvres. C’est un plaisir divin quand une bouche entoure la verge. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. La semence monte dans la tige. — Aaah! Je vais jouir!Les filles négligent l’avertissement. — Aarrgghh! Je me répands entre leurs lèvres accueillantes à la surprise d’Annie. — Theu! Theu! Theu! Qu’est-ce que tu fais Papy? Qu’est-ce que c’est ce liquide? Josiane lèche ses lèvres et ses doigts avant de déclarer:— C’est du sperme. C’est ce que tout homme émettrait dans le même cas, tu n’es pas au courant? N’est-ce pas que c’est bon? Me regardant dans les yeux elle ajoute : — C’est toujours un plaisir de sucer une grosse verge! Celle-là, elle connaît le « loup »! Je m’assieds sur le lit froissé et attire les deux filles contre moi. Je pose les mains sur leurs seins. C’est doux, c’est tendre. Si Annie est réticente à se laisser peloter, sa cousine s’amuse de la situation. — Alors, Qu’est-ce que tu en dis? Est-ce que je peux te laisser seule avec ton cousin? Sauras-tu te débrouiller?… Euh… si Papy n’y vois pas d’inconvénient. N’est-ce pas Papy? Je ne réponds pas car ce qu’a dit en premier Josiane m’interpelle. — Vous avez l’habitude de vous voir? Sans témoin? — Oui, même que souvent Josiane est seule avec Maurice, déclare Annie. — Ah? Que tu fais alors? je demande à Josiane. Tu le suces? — Euh…— C’est bien ce que j’avais compris. Est-ce que tu te contentes… Euh… N’exige-t-il pas plus qu’une simple fellation? — Euh… — Vous faite l’amour entre cousins?… Oui?… Ben j’en découvre de belles à votre sujet! — Oh! s’exclame Annie, Tu… tu… — Oui ! Je baise avec Maurice. Qu’est-ce qu’il y a de si étonnant ? Nous sommes tout les deux majeurs et vaccinés. Et je suis sûre que Papy ne dira rien maintenant ! — Euh… Il fait bien l’amour ? — Je crois que oui mais je manque de critères de comparaison, avoue Josiane. Tu n’as pas répondu à ma question Papy. Est-ce que tu permets Annie de s’amuser avec Maurice ? — Euh… oui, mais… — Tu entends Annie, Papy est d’accord ! — À une seule condition ! — Euh quelle condition ? — C’est d’être présent… Euh je dois contrôler que vous ne faites pas de bêtises entre vous ! — Évidement, évidement ! acquiesce Josiane pas dupe de l’explication. Elle s’amuse avec ma verge qui reprend du volume. Tout à coup la porte s’entrebâille sur Maurice. — Ah ! Je savais bien que je vous trouverai là ! — Hiii ! Annie réagit la première et se réfugie derrière le paravent suivies de Josiane. Je n’ai pas le temps de me réajuster et reste la queue hors du pantalon. Maurice juge d’un coup d’œil la situation. — Oh Papy ! Qu’est que tu fais à moitié déshabillé avec tes petites-filles toutes nues ?… Qu’est-ce que tu penses que les parents de ces gamines diraient s’ils l’apprenaient ? — Papy a promis de ne rien dire ! argumente Annie. — Il serait bien en peine vu ce qu’il a fait… Mais ne vous faites pas de mauvais sang, il n’est pas dans mes intentions de cafter… Il ne me plait pas d’être la victime d’un chantage. — Tu n’aurais pas, de ton coté, des choses à te faire pardonner ? — Euh… Je crois qu’on en restera là. — Les enfants, nous sommes tous majeurs. Il n’y a donc aucune raison de se cacher.Josiane sort de derrière le paravent pour s’asseoir sur le lit, à mes cotés. — Ah ! Je vois que toi, tu as compris ! Merci… Qu’est-ce que tu attends Annie pour imiter ta cousine ? C’est de nous voir habillé qui te gêne ? Qu’à cela ne tienne ! Je quitte pantalon et t-shirt. — Fais comme moi Maurice ! Le garçon se déshabille à son tour. Annie consent à quitter la protection du paravent. Je la surveille du coin de l’œil. La jeune fille fait semblant de voir ailleurs, mais quand elle ne se croit pas observée, dirige ses regards vers nos queues turgescentes. — N’aie pas peur cela ne mors pas ! lui dis-je. Elle rougit et s’assied à son tour sur le lit. -J’avais prévu une promenade cet après-midi mais je pense que nous avons mieux à faire. N’êtes-vous pas de mon avis ? — Tout à fait Papy ! approuve Maurice. Josiane semble aussi d’accord avec mes sous-entendus. Seule Annie ne comprend pas. — Pourquoi on va pas se promener ? Je néglige de répondre. Elle saisira assez tôt. Maurice ne perd pas de temps. Il attire Josiane contre lui en l’embrasse goulument. — Oh ! Il… il… ils vont…— …Faire l’amour ? Je le pense. Ça te gêne ? — Je veux pas ! — Qu’est ce que tu ne veux pas ? Que ta cousine fasse l’amour ? Pourquoi ? — Euh… Je ne veux pas faire l’amour, moi. Je suis vierge et l’entend le rester… Jusqu’au mariage. — Ainsi tu veux te réserver pour ton futur époux ? Je le connais ? — Oh Papy ! Je parlais en général, pas d’un garçon en particulier. Maurice et Josiane continuent à s’embrasser. Leurs mains partent à la découverte de leur corps. A mes cotés Annie semble intéressée par le spectacle. Le souvenir de ses fesses m’obsède. — Tu sais ma chérie… — Oui Papy. — Il y a une manière de faire l’amour tout en te préservant. Tu ne veux pas essayer ? — Euh… Tu garantis que je ne risque rien ? — Promis ! Je l’attire à mon tour pour un baiser brûlant. Après une petite hésitation, sa langue vient à la rencontre de la mienne en un ballet voluptueux. Quel plaisir de l’embrasser ! D’une main je triture un tétin, de l’autre je flatte les fesses. Mon doigt se glisse dans la raie à la découverte du petit trou secret. J’introduis une phalange. Le lit à coté de nous tangue. Maurice et Josiane n’en sont plus aux préliminaires. Je dois presser le mouvement si je ne veux pas me faire distancer. Mon index va et viens dans le cul d’Annie qui soupire fort. J’ajoute un deuxième doigt mouillé qui entre sans forcer. — Oh Papy ! Et ta promesse ? — Je la tiens, je la tiens. Mais laisse-moi te câliner. Tu n’aimes pas ? — Tu… Tu es sûr de toi ? — Oui ma chérie. Tu n’auras pas à rougir la nuit de tes noces, ajoutais-je en pistonnant de la main. Ce n’est pas ton vagin que je veux honorer mais l’autre orifice. Ta rondelle restera intacte. Tu peux me faire confiance. — Aaah ! Je… Je te crois. Je la dispose à quatre pattes sur le lit déjà encombré par l’autre couple. Quel cul ! J’en salive à l’avance. Je m’avance, chatouille la raie de la pointe de mon sexe. — Ça va ma chérie ?Un gémissement me répond. — Mmmmh ! Je cherche le bon emplacement… Ça y est !… Je m’enfonce d’un seul coup jusqu’à la garde.— Ooouch ! — Tu as mal ? — No… non. — Laisse-moi t’aimer comme tu le mérites. Je me retire un peu, me renfonce à nouveau. Ma main écarte les lèvres intimes à la recherche de la petite excroissance que je sais trouver là. — Aaah ! Ouiii !… Continue Papy !… C’est ça l’amour ?… J’aime… Ouiii !… J’aimeuuh !… Paaaapiiiiiii ! — Ben si je m’attendais ! déclare Maurice à nos cotés. Annie a toujours refusé de faire l’amour. Elle voulait soi-disant rester vierge. — C’est… Han… Toujours le cas… Han… C’est dans l’autre… Han… autre orifice… Han… Que j’opère. — L’autre orifice ?… Ah ! Je comprends ! dit-il en regardant mieux. Ainsi en l’enculant… — Elle garde… Han… intacte sa … Han… Sa rondelle. Josiane s’approche. Elle câline sa cousine qui lui sourit. — Tu n’as pas mal ? — Aaah !… Non… Aah !… C’est merveilleux !… Aaah… Je jouiiiis !… C’est booooon ! Je n’ai pas à prendre de précaution. Même si Annie ne prend pas la pilule il n’y a rien à craindre. Je me déverse dans le cul accueillant. -Aarrgghh ! Nous mettons quelques secondes à reprendre nos esprits. Je suis vidé, la suite se fera sans moi ! Je croise le regard de Maurice, lui n’en a pas assez ! Je le vois s’approcher d’Annie. — Tu peux, Si tu veux, t’en occuper, mais je te prie, respecte la promesse que je lui aie faite. — J’ai compris. J’ai l’autorisation de l’enculer pas de la baiser… Euh si elle est d’accord évidement. — Évidement. Oui, Annie semble d’accord et n’émet pas d’objection. De mon coté je voudrais bien faire l’amour à Josiane, mais ce sera pour plus tard, quand j’aurai récupérer. Demain par exemple… Ma petite-fille qui a compris que je n’étais pas disponible s’approche de sa cousine pour la caresser…
Ce furent d’excellentes vacances. Tout le monde a été content : Maurice, qui a pu honorer ses cousines, Josiane, qui a fait l’amour avec moi et son cousin, Annie qui n’a pas perdu son pucelage et moi, qui est pu tremper ma quéquette presque tous les jours. Je suis volontaire pour « garder » les prochaines vacances !
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