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Un gendre attentionne

Chapitre 1

Hétéro
LA FAUTE DE PIERRE
Roméo accompagné de son épouse Francine reçoivent leurs invités. Ils sont fiers de présenter en cette opération « Portes Ouvertes » l’institution qu’ils ont créée pour accueillir des personnes un peu dérangées qui nécessitent une surveillance renforcée mais à qui leurs familles ne souhaitent pas faire partager le quotidien sordide des hôpitaux psychiatriques. L’établissement offre dans un cadre agréable des conditions de séjours sécurisantes pour les parents ou les enfants soucieux de voir leur proches cocoonés. Les prestations offertes ont certes un prix, mais la clientèle fortunée ne manque pas. Il leur a fallu plus de persévérance pour convaincre les décideurs de la pertinence de leur projet et de leur capacité à le gérer que de recruter du personnel compétent et disponible et trouver des clients. Ils y sont parvenus grâce à un homme politique influant, trop heureux de savoir sa mère prise en charge dans une institution de classe. Roméo s’occupe de la partie administrative tandis que Francine, jeune médecin, se charge du suivi médical des pensionnaires. Pour l’instant après avoir montré les diverses chambres, les jacuzzis, la piscine, les saunas, les salles de remise en forme, ils conduisent leurs invités vers le buffet préparé par les cuisiniers de l’établissement.
Roméo profite de ce que les participants se ruent sur les petits fours pour se rapprocher de son épouse : — Ça se passe bien on dirait. — Oui, je crois. Tu as eu une bonne idée d’organiser cette visite. Plusieurs personnes m’ont posé des questions intéressées. J’ai déjà pris trois rendez-vous la semaine prochaine pour un premier contact. — Les vacances approchent ma chérie, et certains parents deviennent encombrants à cette époque de l’année. — J’avais bien compris, va ! Tu n’as pas choisi par hasard la date de ces portes ouvertes juste après Pâques ! — Oui, si nous arrivons à remplir quelques chambres supplémentaires à partir de cet été, alors, finis les soucis financiers ! Roméo embrasse Francine dans le cou. — Veux-tu rester sage ! — C’est ta faute ! — Oh ! — Oui ! Pourquoi avoir troqué le tailleur blanc dans lequel tu faisais très femme de directeur pour cette tenue rouge sexy en diable ? Note que je t’approuve, cette robe décolletée te va à ravir. Tu es trop bandante dedans ! Touche ! Il la serre contre son corps, lui faisant éprouver la grosseur de son sexe développé. — T’as pas honte ! Que vont penser les gens ! Il ne faudrait pas qu’ils s’imaginent que l’institution est un lieu de débauche. — Tu ne crois pas que c’est ce qu’ils penseraient s’ils savaient comment nous calmons nos patients ? — Tu as l’esprit mal tourné ! Quel mal y a-t-il à leur permettre d’assouvir des pulsions naturelles ? Je considère que c’est nécessaire à leur équilibre, aussi bien mental que physique. Ce devrait être pareil dans toutes les maisons de retraite. D’ailleurs, personne ne s’est plaint jusqu’ici. — Je sais, tu me l’as expliqué en long et en large, je te taquine.
Francine se dégage. — Dis ? T’as pas vu mes parents ? — Laisses-les tranquille, ils sont grands, à moins que tu n’envisages de les prendre comme pensionnaire ? — Ne dis pas de bêtise ! Je veux juste savoir où ils sont, s’ils ne s’ennuient pas.
— La dernière fois que j’ai aperçu ton père, il ne me donnait pas l’impression de s’ennuyer car il faisait le joli cœur auprès d’une blonde sculpturale. — C’est sa secrétaire qu’il a rencontré ici par hasard. — Par hasard ? — Que vas-tu insinuer !… Ah ! J’aperçois Maman… Maman ! Maman ! Une belle femme, la cinquantaine triomphante, s’approche d’eux. — Alors comment se passe la réception ? Êtes-vous satisfait mon gendre ? — Tout à fait Juliette, nous avons l’espoir d’être plein la prochaine saison. — Tant mieux, tant mieux… Est-ce que vous auriez vu Pierre ? Ça fait un bon moment que je l’ai perdu de vue. — Votre mari ne peut être bien loin, la rassure Roméo. Venez Belle-Maman, je vous présente à des amis.
Le jeune homme entraîne les deux femmes vers un groupe proche. Francine présente sa mère à Robert et Liliane un couple ami. Juliette tique quand Robert flatte les fesses de sa fille qui le laisse faire comme si cela était une habitude entre eux. Tromperait-elle Roméo ? Juliette scrute le visage de celui-ci. Le geste n’a pas pu lui échapper, mais le jeune homme ne dit rien et sourit devant l’air étonné de sa belle-mère. Elle a peut-être mal interprété une manifestation naturelle entre amis. Le couple est sympathique, sa conversation intéressante et Juliette passe en leur compagnie un moment agréable.
Une surveillante en blouse blanche vient interrompre la discussion. — Qu’est-ce qu’il y a Suzanne ? demande Francine. — C’est monsieur Georges qui fait des siennes. — Et alors ? Vous savez ce qu’il convient de faire dans ces cas là, intervient Roméo. — Oui monsieur, mais Solange qui en a la charge est en congé. Il menace de faire scandale et y a personne disponible en ce moment avec l’opération Portes Ouvertes. — Essayer de le calmer et de le faire patienter, dit Francine. Je vous rejoindrai dès que les invités seront partis. — Entendu madame, je vais faire de mon mieux, dit la surveillante en les quittant. — Que se passe-t-il ? interroge Juliette.— C’est un pensionnaire qui éprouve un besoin… euh… il lui faut évacuer un trop plein de vitalité, explique son gendre. — Que voulez-vous dire… Oh ! La jeune femme rougit jusqu’à la racine des cheveux car elle comprend brusquement de quel besoin parle son gendre. — Et le personnel féminin se dévoue… — Il est bien payé et ne se plaint pas, sourit Roméo. Tout à coup Juliette réalise que sa fille a parlé de le rejoindre. — Que vient faire Francine là dedans ? — Il m’arrive d’effectuer des remplacements au pied levé quand les soignantes attitrées sont absentes Maman, explique celle-ci… Uniquement dans un souci thérapeutique je t’assure, précise-t-elle devant les sourcils froncés. Ma foi ! Puisque Roméo est d’accord, Juliette n’a rien à redire, c’est leur problème. Son gendre et sa fille les abandonnent pour saluer des invités qui quittent l’établissement. Au bout de quelques minutes, ils reviennent vers eux. — …Oui Roméo, c’est une bonne idée, déclare Francine. Dis Maman, ça te dirait de passer la soirée ici en compagnie de nos amis ? Vous ne rentreriez que demain. — Euh… Il faut que je demande à ton père… Où est-il au fait ? Ça fait longtemps que je ne l’ai plus vu. A ce moment un employé s’approche et murmure à l’oreille de Roméo dont le sourire s’agrandit au fur et à mesure de la narration. — Ah ?… Sans blague !… Non, n’intervenez pas… Venez, invite-t-il, je vais vous montrer quelque chose. Il les entraîne dans un dédale de couloir jusqu’à une porte métallique qu’il pousse. La pièce dans laquelle ils débouchent est plongée dans la pénombre. Le mur du fond est tapissé d’écrans de télévision. Juliette reconnaît les principaux endroits de l’établissement. Elle comprend qu’ils sont dans le centre névralgique d’où est surveillé le fonctionnement de l’institution. Sur un geste de Roméo, un employé actionne une manette. Un couple nu en pleine action s’affiche sur l’écran central. L’homme s’active à grands coups de rein et la femme tape ses fesses des talons en gémissant : — Aaah ! Ouiii !… Baise-moi !… Fais-moi jouir… avec ta grosse queue !… Aaah !… Encore ! — Oh ! Mais c’est... Oh !... Ooh !... Oooh ! Le salaud ! Juliette a reconnu son mari ainsi que la femme, sa secrétaire. — Oh le salaud !… Le salaud !… Le salaud !

La visite des salles de soins le barbe. Il connaît… Roméo lui a depuis longtemps fait les honneurs des installations. Pierre fausse compagnie à la cohorte des visiteurs. Il s’amuse à contempler la foule qui déambule un verre ou des petits fours dans la main. Il essaye de deviner parmi les couples ceux qui sont illégitimes. Cet homme et cette femme par exemple qui se tiennent serrés l’un contre l’autre comme des lycéens malgré leur âge, la bonne quarantaine. La femme mordille le lobe de l’oreille de l’homme ce qui lui attire les regards désapprobateurs d’une douairière genre psychorigide… la jalousie sûrement.
Il sourit à quelques connaissances responsables de société comme lui, mais les évite avec soin. Il n’a pas l’intention d’engager en ce lieu une conversation qui portera inévitablement sur les charges sociales écrasantes, les exigences syndicales, les difficultés d’exportation etc. Oh ! Mais il connaît cette toison blonde ! C’est Lucienne sa secrétaire qu’il aperçoit là bas ! Que vient-elle faire en cet endroit ? Elle le voit et lui sourit. Pierre dérobe deux flûtes de champagne sur un plateau et navigue à sa rencontre. — Bonjour mademoiselle Lucienne, comment allez-vous ? Je ne m’attendais pas à vous rencontrer en ce lieu. — Moi non plus mon gros nounours. Qu’est-ce que tu viens y faire ? Trouver une place pour ta femme ? — Chut ! Un peu de discrétion, elle traîne dans les parages. Non, elle ne nécessite pas ces soins. Cet institut appartient à mon gendre et à ma fille. — Tu m’en diras tant ! Moi, j’accompagne mon oncle qui cherche à se débarrasser de son épouse. — Il pourrait trouver plus mal, c’est un établissement très sélect, je vous le recommande. — Euh… Vu les prix pratiqués je doute que tonton accepte d’y inscrire sa femme !… Tu sais, poursuit-elle en se collant contre Pierre, je suis contente que tu sois là. Je commençais à me barber grave. — Tenez-vous correctement, on nous regarde, mademoiselle Lucienne. — Mademoiselle Lucienne ? Je suis plus ta Lulu préférée ? — Si, si ! Mais ici je suis tenu à une certaine réserve : je suis connu et ma femme rôde dans les parages. — Et alors ?… Bon, bon, monsieur le directeur, je ferai attention, consent-elle en s’éloignant un peu. Elle le dévisage un sourire coquin au bord des lèvres qui inquiète Pierre. Qu’est-ce qu’elle mijote ? Il se méfie de son imagination. — Tu peux tenir mon verre un instant mon gros loulou ? Elle le plante là et se dirige vers les toilettes. Pierre regarde autour de lui. Personne ne leur porte attention. Il est rassuré. Lulu est très gentille, mais en société elle a tendance à se montrer un peu exubérante. Malgré ses remarques, elle s’obstine à le tutoyer. Cela risque d’être gênant surtout ici où traînent de nombreuses oreilles malveillantes.
Il la voit revenir et ne peut s’empêcher de sourire. Lulu ondule à travers la foule attirant les regards admiratifs des hommes et ceux plus circonspects des femmes. Elle reprend son verre et le porte à ses lèvres. — Zut ! Mon champagne est chaud ! — Tu veux une autre flûte ? — Non-merci… C’est toi que je veux, murmure-t-elle en se lovant contre lui… embrasse-moi ! — Vous… tu es folle ! Pas ici ! Le contact de son corps l’électrise. Elle frotte son pubis contre la cuisse. Les poils de son sexe crissent, elle est nue sous sa robe ! devine-t-il. Voilà pourquoi elle s’est isolée aux toilettes ! Quelle imprudence ! — Embrasse-moi ! insiste-t-elle… Tu en as envie… Ne nie pas… Sa queue raide comme une trique parle pour lui. Pierre écarte la main indiscrète qui contrôle l’érection. — Non, pas devant tout ce monde. — Où alors ? Sa décision est prise en un instant. Lors d’une visite précédente, son gendre lui a montré avec fierté les deux salles spéciales où lui a-t-il dit, ses pensionnaires peuvent calmer certaines ardeurs. Pierre l’a félicité pour l’agencement du mobilier, le grand lit confortable et les illustrations discrètement érotiques sur les murs. Le service de ces salles fait-il parti des tâches du personnel ? a-t-il demandé par moquerie lorsqu’ils ont refermé la porte. Une surveillante qui les a dérangés pour un problème de remplacement n’a pas permis à Roméo de lui répondre. Par la suite ils n’ont plus abordé cette question. En ce jour particulier, ces chambres ne doivent pas être utilisées, c’est une chance à courir.
Pierre entraîne Lucienne. Il essaye de se repérer. Ils avaient emprunté ce couloir semble-t-il… Oui, il le reconnaît. Il faut tourner à gauche maintenant. Lucienne se colle à lui. Il sent les tétons qui pointent sous le corsage léger. Leurs lèvres se rejoignent… Il empoigne ses fesses, fait remonter le tissu de la jupe, ses doigts touchent la peau satinée des cuisses. Attention ! Ce n’est pas prudent. Du personnel peut surgir à tout instant. Il écarte la secrétaire et repart à la recherche des salles spéciales… Ah ! Les voilà ! Il appuie sur la clenche de la première. Une chance, elle n’est pas fermée à clé. Ils se coulent à l’intérieur. La lumière extérieure, tamisée par des stores nimbe la pièce d’une lueur rose. Pierre perçoit l’étonnement de Lulu devant la décoration. — Ben ça alors ! A quoi elle sert cette chambre ? — Mon gendre m’a expliqué qu’elle était utilisée par les couples en mal d’amour. — Tout à fait notre cas ! Elle se jette à son cou. Leur baiser dure longtemps. Sans se désunir Pierre la rapproche du lit où ils s’effondrent. Il glisse les mains sous le tissu de la robe le long des cuisses. Il a hâte de toucher sa chair intime qui n’est plus protégée par une culotte. Tout à coup Lulu se redresse, inquiète. — Dis ? Faudrait pas fermer à clé ? — Pas possible, nous sommes dans une maison médicalisée, le personnel doit avoir accès à tous les lieux en permanence. Mais rassure-toi, on ne viendra pas nous déranger. Tout le monde est occupé par la réception. — Tu crois ? — Mais oui ma cocotte en sucre.
Avec un sourire elle soulève la robe dévoilant le triangle de poils qui masque l’entrejambe. — Embrasse-moi là ! Il se précipite à genoux entre les jambes écartées. Lulu est une fausse blonde. Il soulève une touffe de poils châtains pour découvrir le petit bouton si sensible chez sa secrétaire. Il le presse entre ses lèvres. — Aah ! Ouiii ! Pierre oublie tout, la réception, sa femme, sa fille, où il se trouve. Il consacre toute son habileté à faire jouir cette magnifique jeune femme qui s’offre à lui. Il déguste sa liqueur d’amour, s’applique à en exciter la source. Lulu gémit, agrippe ses cheveux. Elle lui fait mal mais cela lui est égal. Il introduit un doigt dans le puits d’amour puis dans l’autre antre du plaisir. Elle se tord, il doit empoigner ses fesses pour maintenir le contact de la bouche sur son sexe brûlant. — Aaarrgghh ! Elle serre les cuisses l’emprisonnant dans leur étau. Sa chatte dégouline, Il a de la peine à tout étancher mais s’efforce de ne rien perdre de son suc. Elle se calme, sa respiration s’assagit. Pierre se redresse. Elle lui sourit. — Aah !… Y-a que toi qui sais me faire jouir comme ça. Elle l’attire et goûte sur ses lèvres la saveur de son sexe. Puis attrapant les bords de sa robe, elle la fait passer par-dessus la tête et reste assise, nue, à lui sourire. — Ne bouge pas ! lui ordonne-t-elle, bloquant l’élan qui le précipite sur elle. De ses doigts agiles, elle déboutonne sa chemise, entortille les poils gris de son torse, et dégrafe la ceinture. Le pantalon glisse sur les talons, vite suivi du slip qu’il enjambe maladroitement. Pierre a l’autorisation de l’enlacer. Il tremble d’excitation quand sa verge raide glisse contre son ventre. Il tente de guider le gland entre ses cuisses. — Tu es trop pressé mon gros. Avec une force dont il ne la croyait pas capable, Elle le fait tourner le dos sur le lit, les jambes pendantes. — Reste allongé ! A genoux sur le tapis elle empoigne sa queue en éprouve la raideur de deux coups de poignet et sans préambule avale le gland. — Aaah ! L’effet est immédiat. Le plaisir monte le long de la tige. — Ah non ! s’exclame-t-elle. Tu vas pas décharger ! J’en ai pas fini avec toi. Elle serre la base du sexe pour endiguer la venue du sperme. Pierre se calme. Lulu a raison. A près de soixante ans, il n’est pas bon pour lui de gaspiller prématurément son énergie. Il lui faut du temps pour récupérer et il leur est compté.
Elle grimpe sur le lit à quatre pattes en le regardant en coin. Pierre n’a pas besoin de traducteur, il sait ce qu’elle désire, ce qu’elle attend de lui. Il grimpe à son tour et s’agenouille derrière les fesses rondes. Elle tire dessus découvrant le petit orifice brun qui semble sourire. Il l’agace du bout de la langue. Elle pose la joue sur le couvre lit. Les mains de Pierre remplacent celles de Lucienne pour écarter les lobes fessiers pendant que la langue s’enfonce de quelques millimètres. — Ouiii ! Elle en profite pour se caresser le sexe. Les doigts chatouillent son menton. Entre deux léchages de son cul il déguste la liqueur qui dégouline de ses ongles. — Ouiii ! J’aime… Elle peut-être, mais lui ce n’est pas ce qu’il préfère. Pierre se redresse et frotte le gland contre l’anus. L’endroit est assez mouillé, inutile de lubrifier d’avantage. Il pousse, le bout du sexe s’introduit, il appuie, s’engage. — Aaah ! Il aime contempler la lente disparition du bouclier avalé par le sphincter. Encore un petit effort… Oui ! Le gland franchit le barrage musculaire. — Aaah ! Rien ne s’oppose maintenant au va et vient d’amour. — Ouiii !… Aah !… Encule-moi… Ouiii !… Enfonce ton… Aah !… ton gros machin… Aah !… dans mon petit cul ! Pierre sent dans le conduit voisin à travers la fine membrane les doigts de sa maîtresse tenter de saisir sa queue. Ah ! Quel délice ! — Ouiii ! Une crispation, un gémissement plus fort, la voilà en plein délire, jouissant sans retenue. Pierre accentue ses coups de rein. Quel plaisir suprême à son âge, près de soixante ans, de faire grimper aux rideaux une si belle nana ! Le foutre déforme le conduit séminal… Non ! Ce n’est pas dans son cul qu’il veut décharger. Il profite d’un relâchement de la belle après l’orgasme pour la retourner et s’introduire dans la chatte. — Aaah ! Ouiii !… Baise-moi !… Fais-moi jouir… avec ta grosse queue !… Aaah !… Encore ! Que c’est tendre un con après l’étroitesse de l’anus ! Pierre a l’impression de s’enfoncer dans un océan de douceur. Lulu est rattrapé par la jouissance. Elle croise les jambes dans son dos et tape des talons sur les fesses au rythme des coups de bassin. Il sent qu’il ne va pas tenir longtemps. Il résiste du mieux qu’il peut, voulant offrir un nouvel orgasme à sa maîtresse. Encore un effort… oui… Zut ! Il ne peut endiguer le flot de sperme qui se répand dans le vagin, débordant autour de la tige… — Aaah ! Ouiiiiii ! Lulu pousse un cri strident. Pierre est fier, il a réussi à la faire jouir pour la troisième fois. Il n’est pas encore à jeter aux orties… N’empêche, son cœur bat la chamade, il est épuisé et s’affale sur sa compagne…
Pierre s’est assoupi un instant. Lorsqu’il ouvre les yeux, Lulu a renfilé sa robe. Elle lui sourit. — Ça va bien mon gros ? Tu sais, il est temps qu’on parte. Mon oncle doit s’impatienter. Elle a raison pense-t-il, Juliette aussi doit se demander où il se cache. Un petit passage au lavabo et le voilà prêt à affronter les regards. Un peu chancelant, il ouvre la porte avec prudence. Personne. Ils se faufilent dans les couloirs et débouchent dans la salle principale. La majorité des invités est partie. — Ah te voilà ! Où t’étais passée ? Ça fait une heure que je te cherche ! Lulu quitte le bras de son patron et se dirige vers un monsieur grisonnant. — Au revoir monsieur le Directeur, dit-elle à Pierre en lui serrant la main. Je vous remercie des explications que vous avez bien voulu me fournir. — De rien mademoiselle, de rien. Tout le plaisir était pour moi. — A lundi au bureau, lui souffle-t-elle au moment de la séparation. Pierre la regarde cuculiner en s’éloignant… un régal pour les yeux… Il sourit de constater qu’il n’est pas seul à admirer la démarche chaloupée.
— Bon, c’est pas tout ça, mais où se cache Juliette ? soliloque-t-il. Elle n’est pas dans la salle où quelques groupes terminent les petits fours, ni sa fille et son mari d’ailleurs. Il erre dans les couloirs déserts. Serait-elle partie le laissant seuls ? Au hasard de ses détours, il se retrouve devant la chambre où il vient de passer des moments si agréables. Est-ce qu’on entend du couloir ce qui se passe à l’intérieur ? C’est qu’ils n’ont pas été discrets, Lulu en particulier. Il n’aurait pas fallu que quelqu’un ouvre la porte par curiosité ! L’autre salle spéciale fait face. Elle aussi est vide, pense-t-il. Un bruit soudain l’alerte. Il s’approche de la porte et tend l’oreille. Un large sourire éclaire sa figure. Les sons qui franchissent le panneau sont sans équivoque, un couple se donne du bon temps. Ils ont raison, lui, il n’y a pas une demi-heure… — Oh Georges !… Ouiii ! La stupeur tétanise Pierre. Il croit reconnaître la voix de Juliette sa femme ! Ce n’est pas possible ! Il est victime d’une hallucination ! Il faut qu’il se rende compte de son erreur. Il ouvre la porte et reste immobile figé sur le seuil. Il ne s’est pas trompé ! Son épouse à quatre pattes sur le lit, jupe relevée sur les hanches se fait prendre par un septuagénaire aux cheveux blancs qui la baise avec une régularité de métronome. A ce moment elle remarque sa présence. — Ah c’est… c’est toi chéri ? … J’en ai… pour quelques… minutes, je… je te rejoins… dès que possible… Il est effondré. Incapable de bouger, il sent qu’on le tire dans le couloir et voit la porte se refermer sur son infortune…
(A suivre)
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