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Gène du vice ?

Chapitre 2

Inceste
CHAPITRE 2
Personnages :-Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans -Adrien, son copain, 20 ans-Agnès, la mère d’Adrien et de Virginie, 38 ans

Dès le lendemain de cette première aventure, après avoir consacré la matinée à mon entretien d’embauche, je retournai chez Adrien l’après-midi, espérant connaître de nouveaux plaisirs. Comme la veille je passai par le jardin, mais j’y trouvai porte close. Je sonnai donc à la porte principale et j’eus la surprise de voir ouvrir une femme blonde aux cheveux mi-longs coupés au carré, beaucoup plus mature que Virginie (une petite quarantaine), portant une robe bleue assez près du corps et largement décolletée, avec des chaussures à hauts talons. Elle m’invita à entrer avec un grand sourire et me fit la bise, en se présentant :
-« Je suis Agnès, la mère d’Adrien et de Virginie. Tu dois être Hoa. Sois la bienvenue à la maison ».
Je vis qu’elle me détaillait de ses yeux bleus, les mêmes que ceux de sa fille. Elle appela Adrien, qui arriva rapidement. Après quelques banalités échangées, nous filâmes dans sa chambre.
Je n’aperçus pas Virginie, je le regrettai. Dans ma tête j’avais déjà échafaudé un nouveau plan à trois et j’étais un peu déçue. Au risque de passer pour une dévergondée sans vergogne je demandais à Adrien :
-« Virginie n’est pas là cet après-midi ? J’ai repensé à hier et j’ai dû me soulager plusieurs fois cette nuit… ». En tenant ces propos, je tentais d’afficher un rictus coquin pour chauffer mon amant.
-« Non, elle est prise aujourd’hui, on ne la verra pas. T’es déçue ? »
-« Oui, un peu. Mais j’espère que tu seras à la hauteur pour me la faire oublier… ».
Je savais que ce comportement provocateur me faisait passer pour une fille très chaude, mais j’étais certaine que cela excitait Adrien, et ces mots qui sortaient de ma bouche déclenchèrent un frisson en moi.
Interrompant la conversation Adrien vint se coller à moi, palpa mon corps au travers de ma légère robe estivale. Excitée par la situation mes tétons dardèrent immédiatement à m’en faire mal. Je sentais ma chatte s’humidifier et mon jus couler dans ma culotte.

Adrien passa une main sous ma robe et pu constater mon excitation. Ses doigts frottèrent mon entre-jambes, puis firent descendre ma culotte. Ils furent vite remplacés par sa langue inquisitrice qui fouilla mon intimité en s’attardant sur mon bouton. Il faisait monter mon plaisir, mais n’allait pas jusqu’à me le faire atteindre. Dès que je commençais à frissonner, juste avant l’orgasme, il retirait sa langue et la faisait papillonner sur mon corps : mon nombril percé, mon ventre, mon cou… Puis il revenait petit à petit sur des zones plus érogènes, ma bouche, mes seins,….
Ce jeu dura longtemps. Je montais plusieurs fois au bord de la jouissance, sans l’atteindre. Alors que j’étais excitée comme une folle, Adrien libéra son sexe de son pantalon et j’entrepris de le masturber. Ma bouche rejoint rapidement ma main. Je suçais la belle bite de mon copain du mieux que je pouvais, en regrettant de ne pas parvenir à en prendre plus en bouche, comme Virginie savait le faire. J’étais un peu frustrée, mais tentais de compenser mon manque d’habileté par une intense salivation et quelques propos salaces destinés à exciter Adrien :
-« Elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! J’ai hâte que tu la fourres dans ma chatte trempée ! »…
Ma stratégie semblait fonctionner. Adrien était dur comme du fer et il ne tarda pas à m’allonger sur son lit, jambes écartées pour pénétrer mon vagin ruisselant. Il me pistonna un bon moment en titillant mes seins et en me roulant des pelles bien baveuses où nous langues s’emmêlaient.
Cette fois encore il ne me laissa pas atteindre le plaisir…Alors que j’étais au bord de la jouissance, il se retira d’un coup et me fit mettre à genoux sur le lit. Il plaça son engin à l’entrée de mon anus et m’encula. Sa bite entra d’un mouvement lent mais continu dans mon cul, elle resta au fond quelques instants, puis doucement Adrien entreprit de lents mouvements pour habituer mon cul à son intromission et petit à petit il accéléra la cadence pour défoncer mon fion.
Il ne me fit pas jouir par là. Une nouvelle fois il stoppa avant que je ne parte au septième ciel !
Toujours en levrette, il me reprit par la chatte. Enfin il me pistonnait à fond et je pus prendre le plaisir dont j’avais besoin. Outre sa bite vigoureuse, mes doigts parachevèrent mon orgasme. Il éjacula longuement dans mon sexe trempé. Je sentis les flots de sperme m’inonder, c’était chaud et délicieux !
Je m’écoulai sur le lit, Adrien allongé sur mon dos. Il resta longtemps fiché en moi. Me prodiguant de douces caresses et me donnant de petits baisers. Il se retira enfin et me dit qu’il devait satisfaire un besoin naturel. Je restais donc seule dans la chambre, un peu perdue dans mes pensées.
Quelques instants après son départ la porte de la chambre se rouvrit, je pensais voir mon amant revenir auprès de moi, mais j’eus la surprise de découvrir sa mère dans l’entrebâillement de la porte ! Elle entra et referma derrière elle. Je me cachai comme je pus sous la couette. Elle me lança !
-« Mon fils m’a dit qu’il avait déposé quelque chose pour moi dans sa chambre. »
Elle me toisait, perchée sur ses chaussures à talons hauts, dans sa robe moulante.
-« Je ne sais pas, je ne suis pas au courant », balbutiai-je.
-« Ah bon, il m’a dit qu’il t’avait confié un présent à mon intention », dit-elle avec un grand sourire coquin. Elle s’approcha du lit et tira d’un coup sec la couette, découvrant mon corps nu, que je tentais maladroitement de cacher avec mes bras.
Sa voix se fit soudain plus langoureuse.
-« Mais si, je suis sûre qu’Adrien a laissé du sperme bien chaud pour sa maman. Il doit être juste là », murmura-t-elle en approchant sa main de ma chatte que je tentais toujours de dissimuler.
Ses paroles me firent un curieux effet. Je sentais que l’intrusion de la mère d’Adrien était un plan – diabolique – pour que je me vautre encore un peu dans le vice, avec cette belle femme mûre… Cette idée m’intimida un peu, mais fit naître une vraie excitation en moi. Agnès porta sa main jusque sur mon pubis que je découvrais à présent. Elle glissa un doigt dans ma fente et ce qu’elle sentit sembla lui plaire :
-« C’est tout humide par ici, bien chaud. C’est là qu’Adrien a dû laisser son foutre pour moi. Il sait que j’en raffole ! ».
Toujours un peu intimidée par ma belle-mère qui doigtait ma chatte, je ne répondis pas et la laissai faire à sa guise. Elle sut interpréter mon manque de réaction pour une acceptation de sa caresse et une invitation à poursuivre. Elle s’agenouilla sur le lit et se pencha en avant pour venir titiller mon entre-jambes avec sa bouche. Sa langue allait et venait sur mon clitoris et mes lèvres intimes. Petit à petit elle s’immisçait à l’intérieur. Elle avait une grande habileté, elle était au moins aussi douée que sa fille !
Alors qu’elle enfonçait sa langue de plus en plus profondément en moi, elle dû y trouver ce qu’elle cherchait :
-« Voilà, il est là le bon foutre de mon fils ! Il y en a plein, tu l’as bien fais juter, cochonne ! Petite salope tu voulais tout garder pour toi ! »
Elle replongea dans mon intimité, en me procurant de divines sensations. Je ne pus me retenir de plaquer mes mains sur sa tête pour qu’elle lèche encore plus avidement ma chatte. Que c’était bon !
En rencontrant Adrien je ne me doutais pas que j’étais tombée sur une telle famille de pervers, quel bonheur ! Ils m’aidaient à explorer mes côtés les plus vicieux, qui surgissaient et mettaient à mal ma raison.
Je n’entendis pas Adrien entrer dans la pièce, toute au plaisir que sa mère provoquait en moi. Il était nu, la bite au garde-à-vous et approchait lentement du cul que sa mère avait relevé très haut en se penchant en avant pour lécher ma vulve. Il souleva sa robe brusquement et asséna une grande claque sur les fesses maternelles. Agnès se retourna un instant :
-« Alors, elle t’a bien fait jouir Hoa, tu as laissé plein de bon foutre pour ta maman dans sa chatte dégoulinante ! Viens me baiser maintenant, je suis excitée comme une folle ! Niques-moi ! », lança Agnès à son fils.
Obéissant à sa maman Adrien l’enfila sans préliminaire, tandis qu’Agnès reprenait son traitement sur ma chatte. Comme son fils, elle savait faire monter mon plaisir sans me faire atteindre l’orgasme, me laisser en haleine, retomber légèrement, avant de reprendre ses mouvements, toujours plus excitants. D’une main ferme je maintenais la tête d’Agnès contre ma chatte, tandis que de l’autre je triturais vigoureusement mes petits seins fermes, en pinçant mes tétons tout durs et douloureux.
Elle finit par libérer ma jouissance, après de longues minutes, pendant lesquelles elle était elle-même baisée à fond par la bite de son fils. Elle jouit quelques instants après moi. Après ce nouvel orgasme, j’avais envie de voir de plus près la bite d’Adrien pénétrer sa mère. Je me dégageais d’elle et vint me positionner près de mon mec qui la fourrait toujours à grands coups de queue bien raide. La claque qu’il lui avait assénée laissait une grande marque rouge sur la peau claire d’Agnès. Il allait et venait dans son con par d’amples mouvements de bassin, sa bite ressortait presque totalement à chaque fois, avant de pénétrer à fond le vagin maternel trempé de plaisir !
Après avoir provoqué un orgasme à Agnès, Adrien se retira et sa mère se tourna face à son sexe, qu’elle prit en bouche avidement, avalant sans difficulté la totalité du membre de son fils. Ses mains empoignèrent les hanches d’Adrien et elle activait sa tête à un rythme très soutenu en gobant toute la longueur du membre vigoureux. Puis, elle me fit signe d’approcher pour que j’embouche à mon tour le dard bien tendu. Malheureusement, je ne parvins pas à avaler plus du tiers de la tige de chaire qui déformait déjà ma bouche.
Agnès prit alors un ton d’enseignante patiente pour m’expliquer comment ingurgiter une grosse bite :
-« Il faut que tu fasses passer le membre sur ta langue, tires-là un peu pour aider, puis petit à petit la verge va passer ta luette et se faufiler dans ta gorge. Décontractes-toi pour éviter le mouvement de régurgitation, détends-toi. Respires bien par le nez. Vas-y tranquillement… ».
Je manquai de m’étouffer aux premières tentatives, mais petit à petit je parvins à faire coulisser une longueur toujours plus importante du membre d’Adrien dans ma gorge. Lui aussi était très patient avec moi. Il souhaitait que j’apprenne à lui taille de bonnes pipes en gorge profonde à l’avenir.
Au bout de 5 ou 6 tentatives je suis arrivée à prendre pratiquement la totalité du braquemart dans ma gorge. J’avais du mal à respirer, mais j’étais très fière de moi. Je sentais que je devenais une bonne salope, prête à tout pour satisfaire son amant et cela humidifiait ma chatte d’excitation.
L’image que je renvoyais à Adrien, celle d’une petite asiatique menue dont la gorge était encombrée par son gros membre, dû l’exciter au plus haut point, car il déversa en moi de longues rasades de foutre bien gluant. J’en avalais une partie, mais une giclée provoqua une quinte de toux que j’eue du mal à maîtriser. Du sperme jaillit alors de ma bouche et inonda le bas-ventre d’Adrien. Sa mère se fit un délice de le lécher et de le prendre en bouche. Elle ne l’avala pas, mais attendit que je reprenne mon souffle pour me rouler une pelle et redéposer la semence de son fils dans ma bouche. Nous nous repassâmes plusieurs fois le délicieux nectar, jouant avec nos lèvres et nos langues, nous amusant à en laisser couler de manière obscène le long de nos mentons, avant de le reprendre par un adroit coup de langue. Nous finîmes par avaler chacune une petite quantité de foutre gluant, mélangé à nos salives.
Le spectacle de sa copine et sa mère se gouinant en partageant son sperme redonna une vigoureuse érection à Adrien. Il me lança :
-« Hoa, j’ai envie de te prendre par le cul ! Pendant ce temps tu vas donner du plaisir à ma salope de mère ».
Même s’il baisait sa mère sans vergogne je fus choquée du ton et des mots qu’il osait employer pour parler d’elle, en sa présence. Mais elle souriait, les insultes faisaient partie du jeu et de l’excitation.
Je m’agenouillai et écartai mes fesses de mes deux mains pour faciliter sa pénétration. Il intégra cette fois-ci mon fondement sans ménagement et m’asséna rapidement de grands coups de boutoir qui firent monter mon plaisir. Agnès se mit devant moi, les jambes démesurément ouvertes, sa chatte dégoulinante de mouille et de désir sous mon nez. Je me régalai de ses jus et de son odeur de femelle en rut ! Je triturai son bouton, insinuai ma langue dans ses lèvres, la pointai à l’intérieur de son sexe, à la source de sa jouissance. Mes mains parcouraient son corps, s’attardant sur ses seins, qu’elle pétrissait elle-même, tordant ses tétons à s’en faire mal.
Adrien ne mollissait pas dans mon derrière, il nous incitait à nous gouiner :
-« Oui c’est bons les filles. Hoa, bouffes la chatte de maman, fais la jouir, elle ne vit que pour ça ! ».
Elle jouit avant moi et sa chatte libéra encore plus de jus, mon visage était trempé, elle exhalait de divines odeurs de rut. Sa jouissance provoqua la mienne. Mon anus se contracta autour de la queue d’Adrien qui s’immobilisa en moi quelques secondes. Je criai mon plaisir :
-« Putain que c’est bon ! Une bonne grosse bite dans le cul et une chatte trempée sous ma langue, c’est tout ce que j’aime ! », hurlai-je.
Adrien bandait encore comme un âne. Dès que mes sphincters se relâchèrent un peu, il sortit de mon fondement et il nous fit intervertir nos positions. Je m’allongeai sur le dos, jambes écartées, pendant que sa mère s’agenouillait prête à recevoir la bite de son fils au plus profond de son cul de mère incestueuse ! Il prit encore moins de précaution qu’avec moi et fourra immédiatement son dard au tréfonds du cul maternel. Agnès entreprit immédiatement un divin cunnilingus de sa langue experte, malgré les secousses provoquées par les mouvements violents de son fils.
Nous restâmes dans cette position pendant de longues minutes. Agnès me tenant au bord de l’orgasme sans me le faire atteindre. Elle finit par me libérer lorsqu’elle-même fut saisie par le plaisir. Quel pied de jouir sous les coups de langue de ma superbe belle-mère qui se faisait démonter le cul par mon copain !
Adrien se retira et me tendit sa bite pour que je la prenne en bouche comme je venais de l’apprendre. Je m’appliquai et prenais du plaisir à introduire profondément dans ma gorge son membre tout juste sorti du cul de sa mère ! Cette dernière me rejoint pour sucer son fils.
Sous la stimulation de la langue d’Agnès et de la mienne, Adrien éjacula à nouveau et nous reprîmes notre jeu de langue autour de son sperme gluant, l’avalant à petites gorgées après qu’il soit passé plusieurs fois dans chacune de nos bouches.
Quelle salope je faisais ! Je me laissai aller au plaisir, consciente du côté répugnant de mes actes, mais totalement soumise à mes vices et mes plaisirs, que me faisaient découvrir Adrien et sa salope de maman.
L’après-midi était très avancé et je devais rentrer chez moi pour préparer un nouvel entretien d’embauche qui se tenait le lendemain à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile. Après une douche rapide, je pris congé à regret d’Adrien et de sa charmante mère.
Après avoir finalisé l’organisation de mon déplacement et continué à préparer mon entretien, je me couchai et mon esprit fut immédiatement tourné vers ce que j’avais fait cet après-midi. Quelle débauche ! Je m’enfonçais dans le vice et craignais que cela ne prenne le pas sur ma vie, mais comment résister à de tels plaisirs ? Mon côté salope surgissait et je ne pouvais – ni ne voulais – le maîtriser.
Je savais que la journée du lendemain allait être interminable, j’allais devoir supporter l’absence de rapport sexuel et tenter de me concentrer sur ma vie professionnelle.
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