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Gène du vice ?

Chapitre 3

Inceste
CHAPITRE 3
Personnages :-Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans -Adrien, son copain, 20 ans-Virginie, la sœur d’Adrien, 18 ans-Agnès, la mère d’Adrien et de Virginie, 38 ans-Vincent, le copain de Virginie, 25 ans-Richard, le père d’Adrien et de Virginie, le mari d’Agnès, 50 ans

La journée suivante fut effectivement très longue, je passai surtout du temps dans le train. Mon entretien fut bref et je ne me fis pas d’illusion quant aux chances d’être embauchée. Toutefois, prendre ce travail m’aurait éloigné d’Adrien et de sa famille, ce que je ne souhaitais alors absolument pas. Mon moral restait donc très bon, j’avais hâte de rentrer.
En revenant chez moi, tard le soir, j’avais un message de Virginie que ma mère avait pris (à l’époque les téléphones portables n’étaient pas aussi répandus et mes communications passaient forcément par le téléphone fixe de mes parents). Je rougis un peu lorsqu’elle me dit qui m’avait appelé, mais je fus rassurée quand elle me dit qu’elle s’était présentée comme une copine d’école. Virginie me donnait rendez-vous en tout début d’après-midi le lendemain à son travail, elle disait avoir peut-être une piste d’emploi pour moi. Le timing proposé me convenait bien car Adrien m’avait dit être très occupé jusqu’en milieu d’après-midi, je ne devais donc le retrouver qu’après.
Ma nuit fut très agitée, troublée par l’excitation de la nouvelle rencontre que j’allais avoir le lendemain avec Virginie, la sœur de mon copain. Il y a encore trois jours je n’avais jamais connu de relation lesbienne. Etant naturellement très ouverte d’esprit, notamment côté sexe, je n’étais pas opposée à l’idée de rapports homosexuels, mais l’occasion ne s’était pas – encore – présentée. Virginie m’avait donné la possibilité de découvrir de nouvelles pratiques, qui m’avaient procurées de nouvelles sensations que j’avais particulièrement appréciées. Sa mère, Agnès, m’avait permis de compléter mon expérience lesbienne dès le lendemain, nos rapports avaient été plus pédagogiques et moins instinctifs, mais le plaisir était bien présent. J’avais vraiment hâte de me plonger à nouveau dans des ébats lesbiens, auxquels Adrien pourrait bien-sûr prendre une part très active. Je découvrais ma bisexualité.
J’expédiais le déjeuner avec mes parents et sortis dès 13h en disant que j’avais un rendez-vous pour un potentiel emploi.
Je retrouvais Virginie au lieu du rendez-vous, un restaurant / salon de thé, en tout début d’après-midi. Elle était encore affairée avec quelques clients et me fit patienter. Je la regardais évoluer au milieu des tables vêtue d’une jolie robe d’été lui arrivant aux genoux, légèrement décolletée, souriante, sa longue chevelure rousse la rendrait flamboyante, elle échangeait quelques mots sympathiques avec les clients.
La salle se vida enfin et lorsqu’elle eut rangé le plus gros, elle vint s’assoir à côté de moi. Elle m’adressa un grand sourire et déposa un doux baiser sur mes lèvres, qui suffit à m’exciter. Elle me dit qu’elle pensait que sa patronne cherchait peut-être quelqu’un pour vendre ses produits auprès d’une clientèle de restaurateurs ou d’hôteliers. Elle me conduisit auprès de cette dernière pour me présenter. Malheureusement, elle venait de trouver quelqu’un qui prendrait son poste dans quelques jours. Une nouvelle fois, ma quête d’emploi achoppait.
Un peu déçue, je sortis avec Virginie. Sur le trottoir en face du salon de thé, un grand garçon attendait. Il nous adressa un sourire et s’approcha. Virginie, alla à sa rencontre et ils s’embrassèrent longuement, d’un baiser passionné. Elle fit ensuite les présentations :
-« Vincent, voici Hoa, la petite amie de mon frère. Hoa, voici Vincent, mon amoureux. »
Il me fit la bise. Vincent était un beau garçon auquel j’aurai donné 25 ans. Grand, plutôt mince, à la peau noire foncée. L’espace d’un instant que je me serais bien vu en sa compagnie pour une séance de plaisir… Je n’avais jamais couché avec un noir et la vue de ce bel homme, l’amoureux de Virginie avec laquelle j’avais baisé récemment, m’émoustilla. Virginie reprit la parole et me sortit de mes pensées.
-« Vincent doit reprendre le boulot, il était juste passé me faire un coucou. Je rentre chez moi, si ça te dit tu peux venir, mais je ne sais pas si Adrien sera là. »
Intriguée par ces derniers mots, je décidais d’accompagner Virginie.
Quelques minutes plus tard, nous garions nos scooters près du garage de ses parents, qui donnait sur le jardin. Pendant que nous nous dirigions vers la maison, Virginie me prit la main et m’attira près d’elle. Je sentais le doux parfum de ses cheveux. Sa main libre caressa mon bras et elle approcha ses lèvres des miennes. Nos langues se cherchèrent et jouèrent ensemble longuement dans nos bouches. Ce baiser m’excitait, je sentais mon sexe s’humidifier et mes tétons durcirent et pointer fièrement directement sous ma fine robe d’été puisque je ne portai pas de soutien-gorge. Ma compagne parcourait mon corps de ses mains douces, je lui rendrais ses caresses, sentant son excitation monter également.
Ses baisers quittèrent ma bouche pour venir titiller mon cou. Ses mains empoignèrent mes seins nus sous ma robe, jouant avec mes tétons. Un instant je me demandais si elle allait me déshabiller là, dans le jardin sous les fenêtres de ses voisins. Bien que cela me paraissait complètement fou, je suis sûre que je n’aurais pas protesté, elle aurait pu me baiser devant tout le quartier, que je l’aurais laissé faire ! D’ailleurs, j’acceptais sans rechigner qu’elle glisse une main sous ma robe, saisisse ma culotte et la fasse glisser jusqu’à mes genoux. A ce moment-là elle arrêta un instant ses attouchements et me dit d’une voie langoureuse :
-« On devrait peut-être entrer dans la maison, on serait plus tranquille. »
J’acquiesçai et la suivis vers la porte-fenêtre donnant accès à la salle à manger. J’étais tellement excitée à l’idée de coucher avec cette jolie fille, qui en plus se trouvait être la sœur de mon copain, que je ne prenais pas la peine de réajuster ma tenue, ni même de remonter ma culotte.
Lorsque nous pénétrâmes dans la maison, nous fûmes accueillies par de grands soupirs et des cris de femme dont l’origine ne laissait planer aucun doute : un couple était en pleine action ! Déjà surprise par ces bruits, je le fus encore bien davantage lorsque je vis Adrien debout, face à nous devant la table de la salle à manger, nu, en train de baiser sa mère allongée, qui clamait son plaisir. Encore plus fort, sous elle un autre homme était également allongé sur le dos et semblait lui aussi besogner Agnès ! La mère et le fils regardèrent Virginie et moi débraillées et excitées par nos préliminaires, surprises de les voir en pleine fornication. Ils cessèrent un instant, ce qui fit tendre le cou à l’homme couché sous Agnès. Il était brun, peut-être la quarantaine de ce que je pus en juger dans l’étrange position où nous nous trouvions. Je mis quelques instants à comprendre qu’il s’agissait du père d’Adrien et de Virginie, le mari d’Agnès. Cette salope était en train de baiser avec son mari et son fils en même temps !
Déjà excitée par mon désir pour Virginie, ma chatte coula à grands flots lorsque je compris l’incroyable perversité de la situation. Agnès se faisait baiser la chatte par son fils de 20 ans et en même temps enculer par son mari, tandis que sa fille de 18 ans se gouinait avec la copine de son fils, moi ! Quelle folie ! Même si j’avais conscience de la perversité de ce moment, je ne songeais pas un instant à quitter les lieux. Je regardai Virginie avec une pointe d’inquiétude, craignant qu’elle ne se fâche contre ses parents ou son frère, mais elle n’en fit rien. Bien au contraire, elle nous jeta à tous un regard de braise, démontrant combien cette scène totalement folle l’excitait.
Son père et son frère reprirent leur labeur dans les trous d’Agnès qui gémit à nouveau de plaisir. Le père, nous regarda et lança :
-« Alors les filles, c’est dans cette tenue qu’on rentre à la maison ! Vous devriez nous rejoindre, Adrien et moi on va s’occuper de vous comme vous le méritez, petites salopes ! »
Comment un père pouvait parler de la sorte à sa fille ? Ma question trouva rapidement sa réponse, puisque Virginie, qui me tenais toujours la main, approcha du groupe et caressa les seins maternels, en pinçant les tétons gonflés d’excitation. Sa fille était bel et bien une salope, qui baisait avec son frère, sa copine, sa mère et sans doute son papa ! Quant à moi, je ne méritais pas mieux, tant la situation me faisait mouiller, j’étais prête à plonger encore plus profondément dans le vice ! Je n’avais encore jamais assisté à une scène de double pénétration, mais je compris vite le principe et l’idée de se faire enfiler simultanément par le vagin et l’anus éveilla en moi une excitation démesurée !
Virginie délaissa assez vite les nichons de sa mère, qui criait son plaisir sous les coups de boutoirs conjugués de son mari et de son fils, pour m’attirer vers le canapé situé à proximité de la table de la salle à manger. Presque comme si nous étions seules dans la pièce, nous reprîmes nos jeux sensuels, en nous embrassant et en caressant nos parties intimes, tout cela sous le regard du trio infernal qui baisait à quelques mètres de nous ! Nous nous dévêtîmes rapidement pour mieux profiter de nos corps respectifs. Virginie était vraiment belle, une taille fine, de beaux gros seins, elle m’excitait follement.
Nous nous installâmes en 69, moi allongée sur le dos levant ma nuque pour lécher vivement la chatte aux courts poils roux et humides qui me surplombait ; elle me rendant la pareille en s’activant dans mon entrecuisse. J’oubliai presque que je couchais avec la sœur de mon copain, à quelques mètres de ce dernier en train de fourrer le vagin de sa mère qui se faisait en même temps enculer par son mari ! Toutefois, les cris du trio me rappelaient régulièrement leur présence. Que c’était bon et excitant de baiser avec une belle minette tout en étant mâtée par un groupe de baiseurs endiablé !
Je m’appliquai à donner du plaisir à Virginie, qui me le rendait bien. Je fourrais ma langue aussi loin que je pouvais dans sa chatte trempée de plaisir, la faisant parcourir l’intérieur de ses lèvres intimes jusque sur son clitoris gonflé. Ne maîtrisant pas encore totalement la jouissance de ma partenaire, je ne sus contrôler son plaisir et elle partit d’un orgasme dévastateur sous mes coups de langue. Je la suivis de près dans le plaisir.
Sans que je ne m’en rende bien compte, Agnès avait dû jouir également du traitement que lui assénaient ses hommes. Toujours doublement pénétrée, elle semblait presque inerte, allongée sur son mari. Les deux hommes ralentirent alors leur cadence infernale et finir par quitter ses orifices distendus, sans qu’ils n’aient joui. Le trio se désassembla, je pus pour la première fois voir entièrement le père d’Adrien, un homme sans doute plus proche de la cinquantaine, très brun, grand, musclé et doté d’une superbe verge en érection ! Ce n’est pas commun de faire la connaissance de son beau-père dans de telles circonstances, mais avec une famille comme celle d’Adrien, je ne devais pas être surprise.
Je vis passer une lueur d’excitation et de fierté dans le regard de mon beau-père alors qu’il me contemplait, regardant ostensiblement mes seins et ma croupe. Il se présenta rapidement :
-« Salut ! Richard, l’heureux papa d’Adrien et de Virginie. Sois la bienvenue dans la famille ! »
Sur ces propos il m’embrassa sur la bouche, sa langue força le passage de mes lèvres et me roula une pelle endiablée ! La surprise passée je me fis fort de lui rendre son baiser fougueux, toute émoustillée à l’idée d’être embrassée par un homme de son âge.
Les deux mâles regardaient leurs femelles, nues, en chaleur, la chatte humide, prêtes à baiser avec eux… Virginie s’approcha de son frère et pris sa queue en main pour la masturber. Rapidement son père s’approcha d’elle. Elle s’agenouilla entre les deux hommes et les suça à tour de rôle, enfonçant profondément les bites dans sa gorge accueillante.
A peine remise de sa double pénétration, Agnès vint se coller à moi. Elle m’embrassa et pelota mes seins et mes fesses exposés. Je lui rendis ses caresses et ses baisers. Nous nous affalâmes sur le canapé alors que nos mains fourrageaient nos chattes trempées de cyprine. Je perdis un peu de vue le nouveau trio qui baisait près de nous. Toutefois, je pus constater que comme sa mère avant elle, Virginie goûta à une double pénétration énergique, il me sembla que son père enfilait sa chatte tandis que son frère l’enculait !
Agnès léchait ma cramouille en experte, faisant monter mon plaisir sans me faire atteindre la jouissance dont j’avais besoin. Je voulais qu’elle me libère, je plaquais mes mains sur sa tête la forçant à bouffer mon minou, je me permis même d’insulter ma belle-mère :
-« Putain, allez-y salope, faîtes-moi jouir ! »
Mais elle parvenait à retenir ses coups de langue, me maintenant au bord de l’extase, sans me faire franchir le cap.
Ce jeu dura un temps, puis elle décida d’inverser nos positions pour que je lèche sa chatte qui venait d’être défoncée par la queue de son fils. Nous échangeâmes nos positions et je me retrouvai coincée entre ses cuisses chaudes, la bouche collée à son sexe coulant de mouille que je lapais, provoquant des gémissements de plaisir à la mère de mon copain. Je ne voyais pas Virginie se faire baiser, mais j’entendais les râles de plaisir poussés par le trio de baiseurs en pleine action à quelques centimètres de moi.
Malgré les grands coups de bite qui avaient ravagé ses trous quelques minutes plutôt, ma langue encore novice parvint à procurer un orgasme à Agnès qui se contracta d’un coup, plaqua ma tête contre son sexe et gueula sa jouissance en libérant des flots de cyprine que je m’efforçai d’avaler. Je me mis ensuite face à elle pour lui rouler une pelle rendue gluante par ses jus. Je venais de découvrir l’amour entre femmes et je trouvais déjà les sensations délicieuses.
Alors que Virginie prenait un plaisir visible à la double pénétration incestueuse qu’elle recevait, elle jouit en poussant de grands cris, qui aidèrent sans doute ses amants à jouir également. Ils donnèrent encore quelques coups de queue saccadés dans ses trous et vidèrent leurs couilles en feu dans ses entrailles. Ils se retirèrent et s’approchèrent d’Agnès et moi. Adrien tendit sa bite encore dure à sa mère qui la prit immédiatement en bouche, tandis que Richard me présenta la sienne. Je me mis à sucer – en m’appliquant comme Agnès me l’avait appris – le gros sexe de mon beau-père sortant de l’anus de sa femme et du vagin de sa fille. Ma fellation semblait plaire à Richard car malgré sa récente éjaculation il ne débanda presque pas, sa bite fut bientôt dure comme du bois. Avec quelques efforts je parvins à prendre la quasi-totalité de son membre dans ma bouche et ma gorge, il me félicita :
-« C’est bien petite. Regardez comme elle prend bien ma bite tout au fond cette petite ! »
Lâchant une seconde le gros sexe, je répondis :
-« C’est grâce à votre femme qui m’a montré comment faire sur la bite de votre fils. »
Il enfourna à nouveau son dard dans ma bouche et félicita sa femme, qui suçait toujours leur fils.
Après quelques minutes de ces jeux buccaux, je vis que Virginie – apparemment remise de sa double pénétration – vint se coller à sa mère agenouillée devant Adrien. Elle se penchait et frottait l’entrecuisse maternel. A ce moment Richard quitta ma gorge et proposa à son fils :
-« Bon, maintenant que les bouches nous ont redonné de la vigueur, on va pouvoir niquer à nouveau ».
Il fit signe à Adrien qui s’allongea sur la table de la salle à manger et Richard m’invita à m’allonger sur mon copain, de dos, mes fesses plaquées contre sa grosse queue bien dure. Il prit un peu de lubrifiant et frotta mon entrecuisse, insistant particulièrement sur mon anus. Je compris qu’il voulait qu’Adrien me sodomise pendant qu’il baiserait ma chatte. J’allais être doublement pénétrée à mon tour par mon copain et son père ! J’eus une petite crainte, mais les ayant vus faire avec Agnès et Virginie j’étais surtout très excitée d’autant que la vue de ces deux belles bites qui ne m’avaient pas encore prise me faisait mouiller.
Adrien s’enfonça prudemment dans mon cul. Comme je l’ai déjà dit j’aime la sodomie, elle me donne une sensation d’être bien pleine, ce que j’adore. Lorsqu’il fut bien fiché en moi, son père approcha sa bite à l’entrée de mon vagin et poussa régulièrement, rejoignant son fils en moi. Quel délicieux plaisir que d’être ainsi fourrée par les deux trous en même temps. Je me sentais remplie comme jamais, embrochée par deux beaux dards virils et puissants qui se mirent en mouvement pour me porter au septième ciel en quelques minutes. Après cet orgasme, je me détendis et profitai de coups de boutoirs qu’ils portaient en rythme coordonné en moi. J’entendis Agnès et Virginie gémirent, elles devaient se gouiner sur le canapé, je suis sûre que la mère tentait de récupérer le sperme de son mari et de son fils, enfoui dans les trous de sa fille !
Mes hommes poursuivirent longuement leur travail en moi. Jusqu’à ce qu’ils m’offrent une deuxième jouissance. Peu après ils éjaculèrent dans mes trous.
Agnès vint un peu après pour tenter de laper ce bon foutre qui occupait mes orifices. Elle était vraiment amateur de sperme !
Je pensais que nous étions tous repus de sexe et Richard nous invita à prendre un apéritif. Nous restâmes nus dans le salon buvant, en bavardant un peu comme une famille normale. C’était assez étrange.
Ce fut encore plus bizarre quand Vincent, le copain de Virginie passa la tête par la porte-fenêtre. Il entra, sans sembler surpris de notre nudité. Il embrassa Virginie longuement, serra la main de Richard et d’Adrien, puis embrassa sur la bouche Agnès, je crus voir leur langue se caresser rapidement. Il s’approcha de moi et plaqua ses lèvres contre les miennes, il fit passer sa langue dans ma bouche, je le laissai faire et lui rendis son baiser. J’étais un peu surprise, mais j’aurai bien dû me douter que le copain d’une fille comme Virginie qui baise avec ses parents, son frère et moi sans aucune retenue, devait également être un mec bien vicelard.
Après cet apéritif, nous profitâmes de la venue de Vincent pour reprendre notre partie de baise. Décidément les mecs étaient très endurants. Quant à moi, si je croyais être repue quelques minutes plus tôt, je sentis rapidement l’excitation reprendre le dessus lorsque je découvris la belle bite de Vincent. Je n’avais encore jamais eu l’occasion de voir de queue noire, la sienne était très appétissante. Pas forcément plus grosse que celle d’Adrien ou de son père, mais bien veinée et très douce. J’eus l’occasion de la sucer, puis de me faire prendre par tous mes trous par ce beau dard qui me provoqua plus d’un orgasme.
Nous continuâmes à baiser tous les six pendant longtemps et je ne quittai cette maison des vices que tard dans la soirée. J’aurai aimé rester cette nuit-là, mais je n’avais pas l’habitude de découcher de chez mes parents sans les prévenir et préférai rentrer. J’étais fatiguée et avais besoin d’une bonne nuit de repos. Néanmoins, baiser avec tous ces gens m’avait énormément plu et je savais que je reviendrai au plus tôt me gaver de sexe et de plaisir.
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