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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Gentille belle-maman

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
fractureDans la partie I, je suis allé chercher ma belle-mère à l’hopital car elle s’est foulée sérieusement une cheville.Monique : - Bonjour ! Alors comment ça va m’man ?belle-maman : - Hum ! Heu... bien merci, tu vois, je dois rester platree quelques temps et j’ai des médicaments contre la douleur.Monique : - Et toi chéri ?moi : - Ca va, maintenant ta mère va se reposer à la maison, tranquillement. Tu as prévenu ton père ?Monique : - Oui bien sur mais il ne sera pas la avant 20 heures.Mais...... ça sent bizarre, ici non ?Ca doit sentir le foutre et la mouille, mais belle-maman et moi nous ne nous en rendons pas compte puisque nous étions ’dedans’. Il y a aussi la culotte que j’ai dans la poche qui fait une tache humide à ce niveau, elle doit sentir l’amour aussi.moi : - Tu crois ? Non ? Bon je vais nous servir à boire.Je pars à la cusine chercher des sodas. Je les sers sur la table basse, merde ! y’a du foutre ! Discrétement je pose le plateau par dessus. Monique s’est assise à cote de sa mère dans le canapé et moi en face dans un fauteuil. Les deux femmes ne font attention à leur position de jambes, j’admire donc la touffe de belle maman et la culotte blanche de ma femme qui tient nonchalamant les cuisses écartées, sa jupe n’étant déjà pas des plus longues.Monique : - Tu a bougé les fauteuils ? Ils sont pas .....moi : - Hum ! Je les un peu poussés pour faire de la place pour ta mère, elle ne peut pas se déplacer facilement, ils étaient trop près les uns des autres. Monique : - Regarde, qu’est-ce tu as à la poche ? C’est mouillé.moi : - Oh c’est rien, j’ai du me tacher à la cuisine.Je me lève et retourne en cuisine, je passe un peu d’eau sur le foutre qui mouille mon bermuda, je balance la culotte et le sous-tif dans les produits d’entretien sous l’évier. Je reviens avec deux cocas, en essayant d’être naturel.Monique : - Ca sent bizarre ici, je suis sure !belle-maman : - Bon qu’est ce qu’on fait ? Vous attendez René (mon beau-père) où vous rentrez ?moi : - Je peux rester pour ne pas vous laiser seule Luce.Monique : - Bon je vais préparer un petit repas et on attend papa, on ne va laisser maman seule.Merde ! Je pensais rester seul avec belle-maman encore une heure, tant pis, après tout j’ai bien baisé aujourd’hui, je vais m’en contenter. Ma femme m’appelle depuis la cuisine, je la rejoinsMonique : - Dis-donc, tu as remarqué ?moi : - Quoi ?Monique : - Maman ne porte ni culotte, ni soutien-gorge.
moi : (hypocritement étonné) - Le soutien gorge oui.Monique : - Tu n’as pas remarqué pour la culotte, pourtant tu es avec elle depuis sa sortie de l’hopital, même dans la voiture, tu n’avais pas remarqué ?moi : - Bin non, pourtant je l’ai aidée à monter et descendre de la voiture tout ça... mais non.Monique : - On mange surgelé ce soir, c’est vite fait.moi : - OK, je vais dans le salon, faut pas la laisser seule. Elle doit prendre un médicament, cest 18 heures, c’est l’heure.Tout à fait naturellement je sers le médicament à ma belle-maman chérie, j’allume la télé. Monique me rejoint quelques minutes plus tard, sa mère s’est endormie. Monique, arrivée à ce moment soulève la robe de sa mère et me montre l’absence de culotte.moi : - Tu as raison, mais p.. quel barbu, comme le tien hein ?Monique : - C’est vrai, je n’ai pas ses seins mais la touffe, oui.Sortant de sa torpeur belle-maman ouvre les yeux. belle-maman : - Je veux prendre une douche avant le diner, je me sens toute moite et sale.Monique : - D’accord mais comment fait-on ?moi : - Le plus simple c’est plutôt un bain. On met la jambe platree dans un sac plastique et on la maintient hors de la baignoire.— Je vous emmene jusqu’à la salle de bains, Monique prends un sac poubelle stp.Je renouvelle mon soutien à belle-maman et nous nous trouvons devant la baignoire. Monique nous suit. moi : - Je vous maintiens en équilibre et Monique va s’occuper de la jambe.Je rentre dans la baignoire pour y installer ma belle-mère. Bien sur, comme elle est à poil sous sa robe, j’ai vu à plusieurs reprises ses nichons et sa touffe, surtout lorsqu’elle a enjambé la baignoire.Monique : - Bien, chéri,merci, je vais aider maman à se laver.Merde ! Je pensais qu’on allait la déshabiller ensemble. Tant pis, je retourne en cuisine et je mets la table en attendant, puis vais me rasseoir dans un fauteuil du salon. Après environ un quart d’heure, alors que je me suis assoupi, on m’appelle.Eusèbe ! Eusèbe !Je vais jusqu’à la porte de la salle de bains que je n’ouvre pas.moi : - Ouais, qu’est qu’il y a ?Monique : - On a un problème, j’ai fini mais je n’arrive pas soulever maman.Intérieurement je me dis que j’ai de la chance aujourd’hui, je vais encore voir de la femme à poil. moi : (hypocritement) - Mais..... je peux entrer ?belle-maman : - Entrez Eusèbe, on a passé l’âge des gamineries, venez nous aider.Joli spectacle quand j’entre, belle-maman est nue dans la baignoire, il n’y a pas de mousse, son barbu fourni se distingjue bien dans l’eau, et je ne parle pas de ses gros nénés ; Monique, penchée en avant, jupe remontée qui dévoile sa culotte blanche, essayant de saisir sa mère par un bras.moi : - Attends, chérie, tu vas lui faire mal comme ça. Laisse-moi faire.J’essaie de faire très ’professionnel’ en donnant l’impression d’ignorer la nudité de belle-maman mais ma bite me trahit par une trique qui déforme mon bermuda. je rentre dans la baignoire, me mets derrière ma belle-mère et je la soupèse en passant mes bras sous ses aisselles et en la ceinturant fermement.moi : - Maintiens ta mère dès qu’elle aura la jambe valide dehors, il faut éviter qu’elle glisse. Approche la chaise, ensuite je sors de la baignoire et je l’aide à s’asseoir.Une fois qu’elle est assise, Monique va chercher un peignoir, le temps qu’elle tourne le dos, je pose les mains sur les nichons de belle-maman qui me sourit. Le fait d’avoir tenu dans mes bras ma belle-mère à poil me fait bander dur et ça se voit. belle maman : - Vous êtes vraiment très serviable Eusèbe, tu as un mari formidable Monique. Oh là, mais vous êtes trempé Eusèbe, je vais vous prêter du rechange.Effectivement en aidant ma belle-mère je me suis collé à elle et mes vêtements se sont mouillés. Elle est donc assise sur la chaise, en peignoir presque ouvert, qui ne cache rien, je me tiens sur sa droite, j’attends pour éventuellement la transporter au salon. je bande toujours.belle-maman : - Tu as vu Monique, dans quel état il est ?Monique : - Bin oui, il est trempé, c’est pas grave.Belle-maman : - Mais non ! Là ! (en posant sa main sur mes parties).Merde ! Voilà que ma belle-mère me touche devant a fille, pourvu qu’elle ne dise rien sur les choses qui viennent de se passer.Monique : - Mais ça va pas maman !Belle-maman : - C’est moi qui vous fais cet effet Eusèbe ?moi : - Heu.... c’est instinctif, je ne peux pas contrôler.....belle-maman : - Montrez !Elle se tourne sur sa droite, je suis debout donc à hauteur de son visage, et baisse mon bermuda et mon caleçon . Ma bite tressaute, raide et dure.Monique : - Mais maman tu deviens folle ! C’est la tête qu’on aurait du te soigner !belle - maman : - Allons ! Allons ! Ne fais pas de cinéma, il est très dévoué, je dois le remercier.Je ne pense plus à rien, je ne sais plus ni quoi faire ni quoi dire, ma queue est à cinq centimètres du visage de belle-maman.belle-maman : - Fais-lui une gaterie ma chérie, il le mérite.Monique : - Mais ça va vraiment pas ma pauvre maman.Ma belle-mère prend alors mes couilles avec trois doigts (comme quand on visse une ampoule) et bouche grande ouverte embouche mon gland, puis presque toute ma queue, elle ferme les yeux et me suce. Je donne des coups de reins légers pour bien lui baiser la bouche. Je la maintiens en appuyant sa nuque vers moi. Ma femme reste figée sur place bouche ouverte, elle est comme paralysée. Je ne reste pas inactif, j’ouvre en grand le peignoir de belle-maman et je lui masse les nichons. De l’autre main belle-maman me caresse les cuisses et les fesses, jusqu’à ce que je sente un doigt s’enfiler dans mon cul, je le sens entrer et sortir, elle me doigte le cul la salope, ça augmente mon plaisir.Dringgggg ! Dring !!!!!!!!!moi : - P....... le téléphone !Monique est déjà allée répondre, ça m’a un peu coupé dans mon plaisir, cette sonnerie inattendue m’a fait sursauter. Ma belle-mère referme son peignoir, je remonte mon bermuda et je la ramène dans le salon. Monique raccroche.belle-maman : Qui c’était ?Monique : - Papa, il est en panne sur l’autoroute il rentrera tard. Ca y est, vous avez fini vos cochonneries, tu sais, je pourrais lui dire. belle- maman : - Ohh ! Ca va, hein ! Quand tu étais plus jeune et que je te voyais te mettre des bouteilles de coca et des carottes, dans ta chambre, en cachette, je n’ai jamais rien dit.Monique : - Mais...... belle-maman : - Tu me prends pour une débile, tu crois que je ne t’entendais pas crier : ouiiii etc.. ? Tu as la mémoire courte, tu ne jouissais pas en silence.Oh ! Oh! J’en apprends des choses sur ma petite femme chérie, je ne mêle pas de la conversation, je ne veux pas prendre partie. Elle jouit toujours bruyamment, ça c’est vrai.belle-maman : -Avec tout ça, Eusèbe nous n’avons pas pu finir, allez dans ma chambre et choisissez de vêtements de rechange, ne restez pas ainsi. Je monte donc et choisis un t-shirt et un short de mon beau-père, je ne prends ni slip ni caleçon, c’est choses là sont trop personnelles. J’en profite pour regarder dans l’armoire de ma belle-mère, elle a de la belle lingerie sexy, bas, porte jarrettelles etc..., je caresse un instant tout ce joli linge, malheureusement il ne sent que l’adoucissant textile. Tout à coup encore une fois je sursaute, Monique est là dans l’encadrement de la porte.Monique : - Et....... si tu essayais ?moi : - Comprends pas ?Monique : - Je te verrais bien, là-dedans.moi : - Quoi ? Tu veux que j’essaye de la lingerie ? Houlà! Y’a pas que ta mère qui a besoin de se faire soigner la tête, je crois.Monique : -Et........ si je disais.... des choses à papa ?moi : - Merde ! Deconne pas chérie.Monique : - Choisis chéri, ou tu me fais plaisir ou ............moi : - Merde ! Merde ! C’est pas vrai ! Bon d’accord.Je me déshabille et Monique choisit de me mettre des bas noirs avec un porte-jarretelles et un soutien gorge assorti : elle me fait mettre aussi un string noir, me voilà déguisé, je me regarde dans le miroir de l’armoire, j’ai l’air vraiment d’un c.. . On descend au salon, Monique me montre à sa mère, me faisant tourner sur moi-même, me faisant prendre des positions d’allumeuse, elle se foutent de moi toutes les deux, je suis un peu honteux d’être ainsi exhibé.Monique : - Tu as vu maman ton gendre qui fait la folle.belle-maman : - Il est mignon tout plein comme ça. Qu’est ce qu’il y a dans le soutien gorge ?Je suis debout face au divan où est assise ma belle-mère, Monique à côté de moi soulève le sous-tif sur le haut de ma poitrine et me pince les têtons.Monique : - Elle a de petits seins, la coquine.belle-maman : - Tete le ma chérie.Monique se met à me sucer les tetons, qui se dressent, ça me fait aussi un peu mal parce qu’elle aspire fort. Elle me pousse en avant vers le divan, je suis entre les cuisses de sa mère, assise. Belle maman me masse la queue à travers le tissu du string, puis l’écarte et me branle lentement. Elle a ouvert sa sortie de bain, elle est à poil. Puis c’est Monique toujours debout à mes côtés qui prend ma bite en main sous les yeux de sa mère. Je trique de nouveau.Monique : - Allez maman tiens ! Suce la queue de ton gendre.Ma belle-mère pose ses mains sur mes fesses et me taille une pipe, Monique tient ma bite en main et me branle dans la bouche de sa mère ; après un instant de pompage elle saisit sa mère par les cheveux et colle sa bouche sur la sienne, bouches grandes ouvertes elles se roulent des patins, les langues jouent l’une autour de l’autre, les langues entrent et sortent des bouches, c’est merveilleux. Monique caresse les nichons de sa mère, dans son excitation elle me pousse un peu, s’agenouille entre les cuisse de sa mère et plonge la langue dans sa chatte en lui massant les seins. Belle-maman écarte les lèvres de sa fente pour mieux se faire licher, elle mouille abondamment. Monique s’applique à lécher toute la fente et insiste sur le clito qu’elle titille de la langue. Incroyable ma belle-mère et sa fille se gouinent devant moi, je retire vite mon string et me branle en matant. Maintenant Monique enfonce deux doigts dans la chatte de sa mère et de l’autre main écarte la peau au niveau du clito pour bien le faire ressortir et le lècher.belle-maman : - Ouiii chérie c’est bon, tu liches bien, quelle bonne langue !Viens à côté de moi, fais-toi baiser ma chérie, montre à maman comme tu te fais baiser.Monique s’assied à côté de sa mère sur le canapé, remonte sa jupe, ouvre les cuisses et écarte sa culotte, elle a la même touffe que sa mère, je me place face à elle, belle-maman prend ma bite en main et la dirige vers la chatte de sa fille. Je pénétre Monique, ça rentre tout seul tellement c’est mouillé, je la lime d’abord lentement, sa mère déboutonne son chemisier, lui pelote les nichons en rentrant les mains dans son sous-tif passe les nichons par dessus et lui roule des patins. Je baise ma femme qui se gouine avec sa mère. Belle maman se penche sur les nénés de Monique et lui tête avec application, l’un après l’autre, les tetons deviennent tres durs et dressés. Belle maman a laissé ses cuisses ouvertes, je lui doigte la chatte tout en baisant Monique allongée à coté. Ca gémit, ça mouille, le plaisir monte.belle-maman : - Enculez là Eusèbe, elle me léchera.moi : - Tout de suite Luce, tu as entendu Monique, mets -toi en position Monique, je vais prendre ton cul.Ma femme se place en levrette sur le sol, appuie ses avant bras sur les cuisses de sa mère, assise sur le canapé et commence à lui lécher la fente. Je remonte sa jupe sur ses reins, je baisse sa culotte sur ses cuisses, je passe un coup de langue sur sa raie, je mouille son oeillet et j’introduis mon gland. Je pousse lentement, le cul de ma femme s’élargit pour faire passer mon gland, je m’arrête puis d’un coup j’enfonce toute ma bite dans la rondelle de Monique.Monique : - Aïeeeee ! Salaud, tu me déchires.Belle-maman : - Lèche ma chérie, lèche maman, fais moi jouir.moi : - Ohhhhh Luce, je lui bourre son cul à votre fille chérie.belle maman : - Branle-toi aussi chérie, on va jouir ensemble.moi : - Regardez-là votre fille, à moitié habillée, les nichons dehors, la jupe troussée, la culotte baissée, en train de se faire enculer, une vraie salope.Ma belle-mère tout en se faisant lécher s’astique le clito, elle fait monter et descendre son bassin sur la langue experte de sa fille, Monique se doigte pendant que je lui ramone le cul en la tenant par les hanches, on arrive tous les trois à la jouissance.belle-maman : - Ouiiiiiiii je jouis je jouis !!!!!!!!Monique : - Ahhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiii, mon cul !!!!! C’est bon.moi : - Ahhhhhhhh, je jute, je jute, ouiiiiiiiii tiens ! Tiens ! dans ton cul ! ahhhhhhhhJe lache quatre giclées dans l’anus de ma femme, quand je retire ma bite, ca coule sur ses cuisses en sortant de son cul grand ouvert , j’ai le gland plein de jus aussi.belle maman : - Montre ton cul Monique maman va te nettoyer, Eusèbe approchez aussi.Monique se relève et présente son cul à sa mère toutjours assise dans le canapé, Luce lui lèche tout avec application, elle enfonce même sa langue dans le trou dilaté, puis c’est à mon tour, je me fait nettoyer la queue par la langue de ma belle-mère.belle-maman : - Allez, Monique ma chérie, vous allez manger ici avec nous, ton père rentre bientôt, prépare quelqueschose vite fait.Ainsi se termine cette bonne séance de cul. J’ai affaire à deux belles cochonnes, j’espère simplement qu’on pourra recommencer bientôt.************************************************Eusèbe(d’autres aventures ? l’avis du lecteur(rice) en décidera)eusebraq@aol.com*************************************************
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