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Georges, le parrain de mon homme

Chapitre 1

Hétéro
J’ai laissé un vieux me baiser. J’avais vingt deux ans à l’époque, le parrain de mon copain, presque soixante six mais il bandait ferme, le salaud, et il m’en a fait voir de toutes les couleurs avec sa grosse bite. En y repensant maintenant, après toutes ces années, je crois bien ne jamais avoir autant joui qu’avec cet homme de quarante quatre années mon aîné et s’il n’avait pas été aussi âgé j’aurais sans doute tout fait pour construire quelque chose avec lui.Ça s’est passé alors que nous étions allés passer quelques jours de vacances en Nouvelle Calédonie dans une immense propriété. L’homme que nous appellerons Georges, était une force de la nature, un vrai mâle. Il m’intimidait beaucoup de par son assurance et les regards qu’il portait sur moi et en particulier mon arrière-train que l’on disait plutôt bandant.Mon homme, Jean-Mi, était plutôt direct avec son parrain. Le langage qu’ils utilisaient était des plus crus et nombre de fois, je me suis sentie rougir jusqu’aux oreilles en les entendant discuter. Aucun sujet tabou entre eux et surtout pas le sexe. C’est ainsi qu’un soir, ils en vinrent à discuter de cul, des prouesses passées mais malheureusement plus rien à l’horizon pour lui, depuis la disparition de sa femme, il y avait quelques mois dans un tragique accident de voiture. Elle était bien plus jeune que lui, pratiquement vingt cinq ans de moins, aussi selon ses dires, il fallait qu’il assure au lit pour ne pas retrouver un autre mec entre les cuisses de sa moitié car elle en voulait.Ce faisant, il me reluquait l’entrejambe en parlant. Un peu gênée, je me levais pour m’éloigner un peu et les laisser discuter entre hommes mais ce dernier, m’apostropha en disant :Tu me fais beaucoup penser à Rosemonde (sa femme), elle me faisait bander juste en marchant devant moi.Mon homme, à qui j’avais confié que son parrain avait l’air de trouver ma chute de reins tout à fait à son goût, lui lança alors :Dis donc parrain, t’aurais pas envie de te taper ma copine, des fois ?L’homme qui n’attendait sans doute que çà, répondit :Tu sais, mon garçon, ton parrain bande toujours comme un étalon et ça fait longtemps qu’il ne s’est pas tapé un joli p’tit bout comme elle. Pour sûr, que ça me ferait bien plaisir.J’attendais que mon homme lui dise que malheureusement pour lui, tout ceci ne resterait qu’à l’état de fantasme mais, stupéfaite, je le vis se lever et venir vers moi, avec un air qui ne me disait rien de bon.Il m’attira vers lui puis me retourna et, en me glissant à l’oreille, qu’il aimerait beaucoup que je sois gentille avec son parrain. Il défit un à un les boutons de mon chemisier puis l’ouvrit complètement. Un peu gênée, je baissais les yeux tandis qu’il saisissait mes seins pour les soupeser et les présenter à son parrain.ça te plaît, parrain ?Waouh, elle est vraiment belle.Avant même que je puisse protester, il soulevait ma jupe en me faisant faire un demi-tour pour qu’il puisse aussi admirer ma croupe protégé par un minuscule slip brésilien. Quel cul. Arrêtes tu vas me faire avoir des idées et puis si c’est pour rester sur ma faim, très peu pour moi. Et puis ça fait tellement longtemps que je n’ai pas vu une aussi jolie petite pouliche que ça me donne des envies.Ces dernières paroles me firent piquer un phare comme jamais. Ils étaient en train de parler de me baiser comme si je n’étais pas là. Je ne savais plus où me mettre, ni comment me mettre d’ailleurs avec ma jupe retroussée sur mes reins, les fesses à l’air.Tu veux bien être gentille avec Parrain. Ça fait longtemps qu’il n’a pas eu une jolie fille comme toi et j’ai très envie, que tu le laisses te faire ce qu’il a envie. Tu verras, il est très doué pour çà.Mais.....C’est lui qui m’a offert mon dépucelage, ma chérie. Aujourd’hui, c’est à moi de lui faire retrouver le plaisir du sexe car depuis que marraine est partie... enfin tu comprends mon amour. Et puis c’est encore un plus beau cadeau que celui qu’il m’avait offert car tu es ce qui compte le plus pour moi.J’étais « scotchée » incapable de trouver quelque chose de cohérent à dire. Georges qui n’avait rien perdu de notre conversation, prit mon silence pour un accord tacite, il s’était rapproché pour se placer derrière moi.Je frémis en sentant ses mains calleuses sur mes fesses, en train de me caresser les globes. Rapidement, il fit glisser ma culotte sur mes cuisses en passant ses doigts dans ma raie d’abord puis, plus bas, vers ma fente.Inexplicablement, je n’essayais même pas de me révolter. L’autorité naturelle de ces deux hommes sur moi, m’avait réduite au rang d’objet. Pourtant, cette soumission soudaine réveillait en moi, une excitation jusqu’alors inconnue. Je sentais mon ventre s’humidifier, les lèvres de mon sexe prendre du volume, bref, l’excitation sexuelle prenait le pas sur la peur de me voir offrir à une autre queue que celle de mon homme. Bizarrement, mon corps, mon sexe, semblaient déjà prêts à cette offrande.T’es en forme Parrain ? Tu bandes ?Comme un âne mon filleul, regarde çà.Waouuuhhhhhhhh. Quel morceau. Baises-là. J’ai envie que tu l’enfiles ma petite salope. Elle va te laisser lui fourrer ta grosse queue dans la chatte et si tu veux, tu pourras même la remplir de ton jus. Elle adore se faire remplir la chatte de sperme. N’est-ce pas ma chérie, que tu aimes sentir un homme jouir dans ton ventre ? Dis-le ma chérie. Dis à Parrain qu’il peut te la mettre et qu’après il pourra se soulager dans ta petite chatte.
Les paroles des deux hommes raisonnaient dans ma tête comme des ordres ou plutôt comme une évidence. Je m’entendis répondre, la tête en feu :Oui Parrain. Fais-moi ce que tu veux. Jean m’offre à toi, profites-en, il paraît que j’ai un beau cul, régales-toi.A peine avais-je terminé que déjà, je sentais son gland dans l’entrée de ma vulve. Je levais les yeux vers mon homme, il me regardait en souriant. Il me dit :Offres-lui ton cul ma chérie. Donnes-toi pour moi.Juste avant l’estocade, je soufflais à son intention :Je t’aime, mon amour. Je suis à toi.Impossible de dire plus. Le gland s’enfonçait déjà en moi, écartant mes chairs pour progresser dans mon fourreau sans faiblir. Il était gros, il était long, une pénétration interminable qui m’arrachait des gémissements de plus en plus appuyés.Oh mon amour. Il est en moi. Il est gros, j’ai un peu mal mais je le laisse me prendre, pour toi.Je sentais ses mains sur mes hanches, caresser mes fesses tandis qu’arrivé en bout de course, il s’immobilisa au fonds de ma vulve. Je m’habituais à sa présence dans mon ventre. Une de ses mains se faufila sur mon ventre pour plonger vers ma fente. Il voulait me caresser le bouton, me faire vibrer et participer à sa fête. Je m’empalais un peu plus en reculant à la rencontre du pieu qui m’ouvrait le ventre. Mon homme m’encouragea en me voyant faire.Oui ma chérie. Prends-le en toi. Donnes-lui du plaisir. Montres-lui comme tu m’aimes. Lui c’est moi. Moi c’est lui. Sens mon sexe en toi, fais-le vibrer.Je n’étais déjà plus moi. Embarquée dans un voyage hors du temps, irréel mais pourtant bien physique. Georges se mettait maintenant en mouvement, en me tenant fermement par les hanches pour me posséder à fonds, à chaque coup de reins . A chaque poussée, j’ouvrais toute grande ma bouche, en cherchant l’air. De temps en temps je levais mes yeux vers mon seigneur et maître. Il était là, maintenant plus sérieux, l’excitation de me voir me faire mettre en levrette par son Parrain, prenait le pas sur tout autre sentiment. Mon corps aussi d’ailleurs m’échappait. La queue en train de me ramoner faisait son œuvre en déclenchant des spasmes incontrôlés de plus en plus puissants. Le plaisir était là, il grossissait dans mon ventre, dans ma chatte, cherchant à remonter vers mon cerveau pour s’en emparer et libérer ainsi mon orgasme.Je savais qu’il se rapprochait, je le sentais monter dans mes reins. Affolée, je cherchais le regard de mon homme. Il comprit immédiatement, me caressa le visage tendrement comme pour me donner sa bénédiction.C’en était trop. Je me mis à jouir bruyamment, le corps entier pris de tremblements incontrôlés, incontrôlables mais tellement bon. Je m’écroulais dans les bras de mon amour, inerte, vidée du peu de volonté qui me restait encore. Lorsque j’ouvrais les yeux, quelques instants plus tard, j’étais allongée sur le dos, Parrain, à genoux à côté de moi, me caressait le visage avec son chibre, laissant à chaque passage sur mes joues, mes lèvres, mes yeux, des traînées de sève translucide. Il n’avait pas joui, pas encore. Nous étions seuls, personne d’autre dans la pièce.C’était bon ma chérie.Oh oui. Tu m’as fait jouir fort. Où est...Il revient. Il était trop content de te voir jouir aussi fort. Il veut te voir jouir encore. Tu veux bien ?Mais..Il m’a dit. Elle est à toi. Je te l’offre à condition que tu la fasse jouir, encore et encore jusqu’à ce que vous n’en puissiez plus tous les deux. Et après, je la prendrais à mon tour et je mêlerais ma semence à la tienne dans son nid d’amour.Tout en parlant, il enfonçait maintenant de plus en plus fréquemment son gland entre mes lèvres. L’odeur de son sexe, mêlé à ma propre odeur, m’excitait. Une irrésistible envie de prendre ce sexe épais dans mon bouche, me saisit aux tripes. A nouveau, des spasmes caractéristiques se faisaient sentir dans mon bas-ventre. J’ouvrais la bouche toute grande. Il en profita pour s’enfoncer à l’intérieur. Ma langue se mit en mouvement, s’enroulant autour de la hampe, du gland, du frein. C’était bon, cette queue en train de vibrer. Je me mis à caresser les bourses, pleines à souhait, pleines d’une semence qui tout à l’heure, envahirait mes muqueuses, s’infiltrant dans le moindre repli de mon intimité comme pour sceller une nouvelle union charnelle.L’odeur de ce sexe me fit perdre pieds. Les bourdonnements dans ma tête reprirent de nouveau, abattant sans coup férir, le peu de pudeur qui aurait pu me rester.Je me mis à le dévorer, le lécher, sucer ces couilles couvertes d’une fine toison blanche. L’empressement qui était le mien, le fit rapidement gémir comme une bête. Ses deux mains sur ma tête, il essayait de ralentir les mouvements de ma bouche sur sa queue. Je le sentais perdre pieds, prêt à rendre les armes et laisser l’éjaculation faire son œuvre. Je m’apprêtais à porter l’estocade pour enfin sentir son sperme sur ma langue mais c’est alors qu’arrivant de nul part, mon amour, me fit ralentir en me demandant de le laisser profiter encore de ma petite chatte afin qu’il puisse me la remplir de sa semence.Obéissante je laissais à regret ma proie s’échapper. En deux secondes, Georges était sur moi, pesant de tout son poids sur mon ventre, mes seins. D’une main, il posait son chibre entre mes lèvres puis sans attendre, poussait pour me prendre une nouvelle fois. J’ouvrais les cuisses pour mieux le recevoir. T’es trop bonne ma chérie. Il en a de la chance mon filleul.Je tournais la tête vers lui. Il était là, caméra au poing. Il nous filmait, il filmait Georges, son parrain en train de me fourrer, me posséder, son sexe profondément enfoncer dans mon ventre , et moi, les cuisses maintenant repliées de chaque côté de mon corps pour mieux le laisser m’enfiler.Sentant l’affolement dans mon regard de réaliser que cet instant, cette scène incroyable de moi et de Georges, allait être à tout jamais sur cette bande, il me sourit encore tendrement en disant :Donnes-toi mon amour. Donnes-lui tout ce que tu peux lui donner. C’est moi que tu sens dans ton ventre. Jouis ma chérie, jouis. Je sais que t’en as envie. Je le vois, je le sens.Je me forçais à oublier cette caméra, le ronronnement de son moteur, en me laissant aller à pousser des gémissements de plus en plus forts, pour la plus grande satisfaction de mon nouvel amant et de mon cinéaste.Georges était au comble de l’excitation. Il me bourrait à grands coups de reins puissants, me faisant crier de plaisir. Il surveillait son filleul du coin de l’œil en train de filmer nos ébats. J’allais jouir encore. Mon corps tout entier commençait à se tendre pour le spasme final. Je sentais ma chatte se serrer nerveusement sur son sexe. Il le sentait aussi, sachant que j’allais jouir d’une seconde à l’autre. Il accéléra la cadence en annonçant :Elle va jouir encore. Filme-là mon filleul, filme-là, elle est trop belle quand elle jouit.J’explosais en entendant ces commentaires grivois. Encore une fois, tout mon corps m’échappait dans des spasmes incroyablement bons. Les vagues n’en finissaient pas, n’en finissaient plus de me parcourir, me retourner, me noyer.Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh, salaud, tu me fais jouir encore. Aaaaaaaaaaaaahhhhhhh. C’est trop bon. Je vais mouriiiiiiiiiiiiir.Je m’écroulais pour de bon. Vaincue par le plaisir. Je sombrais dans le néant, hors du temps, la petite mort était là.Quand je reprenais mes esprits quelques instants plus tard, Georges était toujours entre mes jambes. Son chibre dressé sur son ventre. Il était beau, gros, impressionnant avec cette couleur basanée, si différent de celui de mon homme, plutôt fin et long, et d’une blancheur que je n’avais jamais trouvé chez un des hommes que j’avais connu avant lui.Tu n’as pas joui, Parrain ?Non ma chérie mais je vais le faire maintenant dans ta petite chatte, ça va être bon. J’ai une grosse envie.J’en peux plus. Je pourrais pas encore une fois, Parrain.Reste comme çà ma chérie. Écartes bien tes cuisses pour que je puisse me branler dans ta chatte et je vais me faire jouir comme çà.Ma vulve baillait littéralement de cette présence inconnue. Je passais ma main dans ma fente. Je dégoulinais de mes propres secrétions et le fait que Georges se branle dans l’entrée de ma vulve, n’était pas fait pour arrêter les grandes eaux. L’excitation, mon excitation n’avait pas diminué d’un pouce. Elle était là, dans mon ventre, prête à faire voler en éclats tout ce qui pourrait l’empêcher de s’exprimer.Parrain, se servait de mon sexe comme d’un gant de chair pour se caresser, se branler. J’avais de plus en plus envie de sentir sa bite m’envahir une nouvelle fois la vulve. Tout mon corps réclamait le chibre en lui. N’en pouvant plus je criais presque :Prends-moi, Parrain, mets-là moi. Tu m’excite trop.Impossible de résister à une telle invite. D’un seul coup, il enfonça son sexe entièrement en moi. Je poussais un véritable feulement en sentant cet énorme sexe prêt à exploser, s’ouvrir un passage entre mes chairs.Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. J’ai envie de te sentir jouir dans moi maintenant. Jouis, Parrain, Jouis. Laisses-toi aller dans mon ventre.Georges, les yeux dans les vagues, se mit enfin à jouir. Je poussais de toutes mes forces pour mieux le serrer, mieux sentir les spasmes de son sexe dans le mien. Imaginer à chaque soubresaut, son sperme, sa semence expulsée sur mes parois vaginales. J’étais à lui, complètement, entièrement comme le voulait mon amour. Je m’étais rarement donnée aussi fort à quelqu’un. Des larmes de joie prenaient maintenant possession de mes yeux, avant de se répandre sur mes joues et courir sur mon cou. Je fermais les yeux, rayonnantes de bonheur d’avoir su combler mon homme et son parrain, simplement en leur offrant mon corps, mes jouissances. J’appréciais leurs caresses sur mon ventre, mes seins, mon visage après la jouissance. Un moment exceptionnel de partage que l’on a du mal à imaginer lorsque l’on parle de sexe et pourtant.Quelques instants plus tard, je m’endormais pour ne me réveiller que le lendemain, sagement installée dans notre chambre. Les hommes avaient dû me porter sans que je ne m’en rende compte.Le lendemain, je me réveillais fourbue mais sans aucun regret sur ce qui s’était passé la veille. Je flemmardais au lit un long moment pour mieux repenser à cette soirée exceptionnelle. Je me décidais finalement à me lever pour descendre me préparer un petit déjeuner quand apparut Georges dans l’encadrement de la porte. Il tenait un plateau dans ses mains avec tout ce qu’il fallait pour bien commencer la journée. Café tout frais, lait et tartines beurrées. Je n’en croyais pas mes yeux. Je me rajustais car malgré tout un peu déshabillée avant de m’installer contre le dossier du lit.Waouhhhhhhhh. Merci Parrain. Où est Pierre ?Il est parti tôt au village ce matin pour régler deux ou trois problèmes. T’es trop gentil de t’occuper de moi comme çà.Non, c’est toi qui est trop gentille. C’était trop bon tu sais. Ça faisait longtemps que....Que t’avais pas fait l’amour ?Ouais, avec ma femme, on faisait l’amour tous les jours. Le matin surtout au réveil c’était trop bon.T’as encore envie ?Hummmmmmmm. J’ai toujours envie. C’est tellement bon de s’occuper d’une femme, surtout quand elle aussi belle que toi.Tu veux me baiser encore ?Ouais, tu m’excite trop, regarde dans quel état tu me mets !Waouhhhhh. Elle est trop belle ta queue, Parrain. Et ton filleul, qu’est-ce qu’il a dit ?Il a dit, que t’étais ma petite pute et que t’aimais ma grosse queue.Il a dit çà ?Ouais c’est ce qu’il a dit.Et toi, qu’est-ce que t’en penses ?Moi, j’ai une grosse envie de t’entendre encore jouir. J’aime trop te donner du plaisir. T’as l’air de tellement aimer çà que ça m’excite comme un fou.Et t’attends quoi alors Parrain ?Mon message était clair. Un large sourire illumina aussitôt le visage de Georges. Sans attendre il me tendit son chibre pour que je le lèche. Après quelques minutes, arborant une superbe érection, il m’ouvrit les cuisses pour s’installer entre mes jambes mais contrairement à ce que je pensais, il se laissa glisser vers ma chatte en me disant :Ma femme adorait que je la suce pendant qu’elle prenait son petit déjeuner et là, j’ai envie de faire connaissance avec ta petite chatte. T’aimes bien te faire sucer ma chérie ?J’adore çà mais je jouis toujours trop vite.Hummmmmmm, ça m’excite. Tu m’excite trop. Petite coquine. J’adore t’entendre jouir. Ne te retiens pas. Jouis, jouis jusqu’à n’en plus pouvoir. Laisses-toi aller.Georges en véritable expert se mit à me lécher partout. J’avais de plus en plus de mal à finir mon p’tit déj tant les sensations qu’il déclenchait dans mes reins devenaient fortes. Un doigt puis deux vinrent se loger dans mon intimité. C’était trop bon de se faire sucer au réveil. Mon homme ne m’avait jamais fait çà. Je me mis à penser que Parrain aurait dû venir me réveiller comme çà, ça aurait vraiment été le top de sentir en ouvrant les yeux, sa langue sur mon clito, mon anus ou encore s’enfoncer dans ma vulve comme cela était le cas en ce moment précis.Il savait y faire et rapidement je sentis un orgasme arriver. J’explosais en criant mon plaisir.Ouiiiiiiiiiiiiiii Parrain, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.J’avais juste eu le temps de poser ma tasse avant d’exploser. Je me laissais retomber en arrière pour récupérer en attrapant au passage la queue encore dressée de mon amant. Elle était dure comme du bois et grosse. Une nouvelle envie de la sentir en moi se faisant sentir.Sans un mot, je m’installais à quatre pattes sur le lit, le fessier bien en évidence dans une invite sans équivoque puis je lançais :Allez Parrain, ta petite esclave est prête à se faire mettre. Ne tarde pas trop sinon Julien ne vas pas être content de moi. Il m’a dit de bien m’occuper de toi et surtout de bien te faire jouir mais jusqu’à présent, c’est moi qui n’arrêtes pas de jouir.Parrain me caressait les fesses. Il m’admirait l’arrière-train.Waouuuhhhh, quel cul tu as ma chérie. T’es vraiment faite pour l’amour. Et cette petite chatte toute mouillée. Hummmmm. Mon filleul en a de la chance.Mets-là moi, Parrain, mets-là moi. J’ai trop envie.Finalement t’es une grande gourmande toi !Oui Parrain maintenant, je peux bien te le dire. J’adore le sexe, j’adore jouir et j’aime ta grosse queue.Tiens ma chérie. Prends-moi dans ta petite chatte. Tu sens comme je bande fort pour toi ?Oh oui. Elle est grosse. C’est trop bon. Prends-moi Parrain, prends-moi fort, j’aime çà.Oh ouiiiii. T’es trop bonne. Donnes-moi ton p’tit cul. Ouiiiiiiiiiii. Comme çàààààààà.Georges m’avait agrippé par les hanches pour mieux s’enfoncer en moi. Il me limait comme j’aime. Je pensais à mon petit amour qui voulait tant que je remonte le moral à son parrain. J’étais raide dingue d’amour pour lui mais pour son parrain aussi maintenant.Je sentais ses mains maintenant sur mes globes en train de m’écarter les fesses. Le cochon, il me matait la rosette. Il devait avoir des idées pour elle aussi.Il s’arrêta tout à coup pour se retirer commencer à me lécher le petit trou en écartant mes globes des deux mains. C’était trop bon. Je me mis à pousser des gémissements lui montrant que j’appréciais sa langue puis, encore plus fort quand il commença à me sodomiser aussi loin qu’il le pouvait avec sa bonne grosse langue.Tu aimes ça on dirait.Oui, t’es un cochon parrain.Et toi tu aimes les cochons. Jean-Mi te fait ça aussi ?Pas trop souvent. Il dit que c’est trop vicieux mais moi j’aime qu’on me lèche le petit trou comme tu le fais. C’est limite sale pour lui.Hummmmmmmmmmm. Y’a rien de sale en amour, ma chérie. Du moment que tu aimes.Oh ouiiiiiii. Continue. T’as des idées pour mon p’tit trou Parrain ?Ta tante adorait que je la prenne par derrière. Jean-Mi t’as déjà sodomisée ma chérie ?Une fois mais c’est pas son truc.Quel imbécile ce filleul. Il ne sait pas ce qu’il perd.A ces mots, Parrain se redressait pour poser son gland contre mon anus maintenant bien dilaté. Dans quelques secondes, j’aillais sentir sa bite s’enfoncer dans mon arrière-train. Je pris peur en pensant à l’épaisseur de son vit.Doucement Parrain, doucement, t’es vachement gros. J’ai peur d’avoir mal. Tu veux pas me faire jouir par devant juste avant. J’te promets qu’après j’te laisserais jouir dans mon p’tit cul.Jean-Mi m’a recommandé de te rendre le plus heureux des hommes et puis, j’ai envie de t’offrir mon p’tit cul alors...Bien sûr, ma chérie. C’est si gentiment demandé qu’aucun homme ne pourrait te refuser le plaisir de t’entendre jouir.Déjà, il s’enfonçait à nouveau en moi pour reprendre ses puissants aller-et-retours en me caressant les reins, le dos et les fesses, exactement comme j’aime. Avec un tel traitement, je sentais déjà des vagues de plaisir de plus en plus fortes et de plus en plus rapprochées, s’emparer de mon ventre, mes reins. J’allais déjà jouir. Je le savais. Je le sentais. Quel amant extraordinaire. Aucun des amants que j’avais connu avant lui, ne lui arrivait à la cheville. Il jouait avec mon corps, mes sens, comme un virtuose. Je commençais à être raide dingue du pouvoir qu’il avait sur moi. Ça me faisait peur mais en même temps, j’aimais çà.Parrain sentait lui aussi au ton de ma voix, de mes gémissements que mon orgasme approchait à grands pas. Il ralentit sa possession au lieu d’accélérer comme l’aurait fait tout autre mec, me maintenant au sommet de la vague pendant de longues secondes, c’en était trop, je me mis à le supplier de me finir.Oh Parrain, c’est trop bon, je t’aime Parrain. Je t’aime. Fais-moi jouir. J’en peux plus. Je vais mourir.A chaque fois que le plaisir s’apprêtait à me submerger, il s’arrêtait un court instant, puis recommençait à me posséder. C’était à la fois frustrant mais tellement fort, tellement bon qu’au bout d’un moment je me mis à flotter sur un nuage de plaisir, tout en haut, tout au sommet. Une sensation démente, une envie indicible de lui appartenir, de ne faire qu’un avec lui, avec ce sexe à l’intérieur du mien. J’entendais mes propres cris de plaisir, je flottais, je n’étais plus que plaisir.Oh Parrain, ho ouiiiiiiiiiiii. Tu me tues. C’est trop. C’est trop. Ouiiiiiiiiiiiiiiii. J’suis à toi, toute à toi.J’avais complètement oublié l’homme à qui j’appartenais, l’homme qui m’avait offerte à celui qui m’offrait tout ce plaisir. Enfin il me saisit à nouveau aux hanches, raffermit sa prise pour me posséder plus fort, plus profondément. Ses puissants coups de reins me firent crier, pleurer même jusqu’à la libération finale. Je me mis à trembler de tous mes membres, de toute mon âme. Un puissant orgasme était là, je me mis à sangloter de bonheur, la tête ailleurs, le corps vidé du peu de forces qui me restaient, affalée de tout mon poids sur ce lit, sur ces draps où la veille encore, mon homme me faisait jouir lui aussi.Je restais ainsi un long moment, exhibant mes fesses à cet amant d’exception, dans une posture digne des plus grands films « X ». Il était derrière moi, me caressant les fesses comme l’aurait fait mon homme, attendant patiemment que je refasse surface. J’avais encore envie qu’il me prenne, un sentiment d’une rare intensité que je n’avais pratiquement jamais éprouvé. J’étais à lui. Il savait que je l’attendais de tout mon être, de toute mon âme. Nous étions connectés sur la même longueur d’ondes. Je gémis en sentant sa langue parcourir le sillon de mes fesses puis recommencer à m’ouvrir l’oeillet.Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Oui Parrain. J’adore. Encore.La langue, sa langue s’occupait de ma rosette, la flattait, la léchait, l’ouvrait jusqu’à pouvoir s’engouffrer entièrement dans l’ouverture. Je gémissais en permanence. J’aimais çà. Il aimait çà lui aussi.Hummmmmmmmmmmm. J’adore ton petit cul. Je lui fais l’amour avec la langue.Ouiiiiii. Continues. Ça m’excite de te sentir me lécher ici. C’est trop bon.Un puis deux de ses doigts prirent possession de mes fesses. Ils coulissaient avec une facilité déconcertante. Un troisième doigt les rejoignit sans difficulté. J’étais prête.Prends-moi, Parrain. Prends-moi. Maintenant. Je veux te sentir dans mon cul, je veux t’appartenir entièrement.Oh ma chérie. Je t’adore.Il s’était redressé, posant son gland couvert de salive sur l’ouverture entre mes fesses. Ouiiiiiiiiiiiiii.J’attendais avec impatience qu’il s’enfonce dans mon fourreau. L’envie de lui appartenir était trop forte. Quand enfin il se décida à me pénétrer, à peine son gland engagé dans mon oeillet, je m’empalais de moi-même sur le vit en donnant un lent mais ferme coup de reins à sa rencontre. Ça y est. Il était en moi. J’avais mal, il était gros mais j’aimais sa possession, j’aimais cette douleur dans mes reins, signe de ma totale offrande. Le pieu n’arrêtait plus de s’enfoncer dans mes chairs, je poussais aussi fort que je le pouvais, pour faciliter la progression de l’énorme morceau de chair.Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh. Tu me prends fort Parrain. C’est énorme, doucement s’il te plait. Doucement.Il était doux, pas pressé comme la plupart des jeunes. Il lisait en moi comme dans un livre. J’avais à peine parlé qu’il s’était déjà immobilisé.Tu es belle ma chérie. Trop belle.Tu aimes ta filleule mon parrain.Oh oui. Ça y a rien de plus sûr. T’es ma filleule préférée. Tu sens comme je t’aime. Je n’ai jamais bandé comme çà pour qui que ce soit ma chérie. Jamais personne ne m’a autant excité que toi, ton petit cul et ta petite chatte blonde.Baises-moi Parrain. Baises-moi par derrière. Fais-moi crier. Sodomises-moi à fonds. J’suis toute à toi maintenant.Arrêtes coquine. Tu vas me faire jouir à me parler comme çà.Bourres-moi le derrière Parrain. J’ai envie de sentir ton sperme dans mon cul. Mes paroles avaient l’air de l’exciter deux fois plus que la vue de son sexe enfoncé dans ma rondelle. J’en rajoutais, moi qui n’aime pas trop les dérapages verbales même pendant l’amour. Je me faisais violence en sentant que Parrain adorait un langage cru pendant l’amour.Ouiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Fais-moi crier Parrain. Plus fort. Défonces-moi le cul. C’est trop bon. Je vais encore jouir. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.Un nouvel orgasme se préparait, je le suppliais encore une fois de ne pas s’arrêter, de me faire jouir par derrière. Il passa une de ses mains sous mon ventre pour atteindre ma fente et branler mon bouton. C’en était trop, je me laissais submerger en criant ma jouissance à plein poumons puis à bout de forces, je m’affalais sur ma couche à la limite de l’inconscience. Parrain continua à me prendre un long moment, vantant la douceur de mon adorable petit cul. J’aimais cette puissance qu’il dégageait, cette force imposante prenant possession de mes reins. J’avais envie de sentir son sexe se cabrer dans mon fondement, sa semence envahir mes sphincters.Jouis dans mon cul Parrain. Jouis j’ai envie.A ces mots, Parrain accéléra ses coups de reins jusqu’à faire trembler la moindre parcelle de mon corps. Je m’abandonnais complètement, j’étais à lui, corps et âme dans une communion parfaite. Enfin il m’annonça :Je vais jouir ma chérie. Ça vient.Ouiiiiiiiiiiiii Parrain. Jouis, jouis dans moi.La queue entre mes fesses se raidissait déjà, pour se cabrer plusieurs fois tel un cheval fou, libérant son flot de sperme que j’imaginais épais et abondant. C’était bon, tout en jouissant, Parrain n’avait jamais arrêté de flatter mes fesses, mes flancs et mon dos. Je flottais, portée par les endorphines de la jouissance.Quand j’ouvris les yeux, Parrain était allongé à côté de moi. Il me caressait tendrement.Merci ma chérie. Je n’oublierais jamais cette matinée de rêve.Moi non plus Parrain. C’était trop bon. Je... Je suis toute chose. C’est moi qui devrait te dire merci.Il était temps de se lever, une longue journée de travail attendait Parrain. Après la douche, il passa me faire un bisou avant de partir à cheval s’occuper du bétail comme presque tous les jours.Mon chéri revint tard en fin d’après-midi de la ville. Il était fourbu et ne mit pas longtemps à s’endormir après la douche et le repas. Je n’ai même pas eu le temps de lui raconter mon réveil et, les péripéties de la sieste lorsque Parrain est venue me rejoindre pour une nouvelle chevauchée vers les sommets du plaisir.Notre séjour sur cette île perdue du pacifique s’annonçait chaude. Nous ne devions ne rester que quinze jours en Nouvelle Calédonie mais quand Parrain nous proposa de le prolonger de 15 jours supplémentaires j’étais folle de joie. Ce n’est finalement qu’au bout d’un mois que nous sommes repartis avec l’envie de revenir le plus rapidement possible. Ce mois de vacances aura été une révélation pour moi car même si j’en suis revenue épuisée physiquement d’avoir été autant sollicitée par deux hommes en permanence excités par la situation, je me suis découverte sur le plan sexuel.
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