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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Cette histoire a été écrite à quatre mains avec Jenna.Chacun a écrit son rôle. Vous trouverez donc après chaque séparation la partie écrite par chacun.
° ° °
J’étais content de mon acquisition. J’avais vraiment flashé sur les œuvres de cette artiste que j’avais découvert en répondant à cette invitation, l’autre soir. C’est vrai que j’ai toujours été amateur d’art et que ces dernières années, après avoir choisi d’investir dans ma propre clinique (les résultats avaient été bien supérieurs à ce que j’avais espéré - la médecine esthétique a le vent en poupe, plus que je n’avais pensé), j’avais cherché un moyen de placer mon argent engrangé sur des plans qui non seulement rapportent, mais aussi profitent d’une défiscalisation.Bien entendu il y a la pierre. Et les différentes lois qui se sont succédées depuis dix ans en France permettent d’investir dans le logement locatif sans être trop pénalisé pendant 10 ou 12 ans.Mais il faut avoir du temps pour s’occuper de la gestion de ses biens locatifs, ou alors les confier à des gestionnaires – qui se sucrent au passage – et en qui, en plus, il faut avoir confiance.
Le meilleur plan en France, quand on a des millions à ne plus savoir compter, c’est créer sa propre fondation. Des personnes illustres l’ont fait, et tout en offrant une belle et généreuse image d’elle-même, arrivent à planquer en toute légalité leur pognon, sans trop payer d’impôts.
Mais je n’en étais pas encore là. Et pour commencer, alors que j’en étais à la réflexion pour le moyen terme sur le placement défiscalisé, j’avais envie de me faire plaisir. De m’offrir des belles œuvres à la fois pour décorer mon nouvel intérieur (ma maison de 500 m2 qui donne sur le bois de Vincennes) et soustraire les sommes dépensées à l’impôt sur la fortune.
Oui, mais voilà, je suis difficile. Je fais la fine bouche. Et un bon investissement en art nécessite d’avoir du flair pour détecter l’artiste dont les œuvres sont encore abordables mais qui vont monter et prendre une valeur inestimable au bout de dix ans. Pourtant quand je suis attaché à une œuvre, c’est comme à une femme, je n’aime pas m’en séparer. Mais si j’aime autant les beautés matérielles que les femmes (et j’aime collectionner les unes comme les autres), au bout de plusieurs années, je finis quand même par me lasser. Alors, si je mets de côté l’affectif, je me dis que dans dix ou douze ans, je me serais lassé de cette œuvre et il sera temps de la revendre, d’autant qu’elle aura gagné dix fois sa valeur d’achat, et que je me ferais une chouette plus-value en même temps.
J’ai tellement enragé de ne pas avoir acheté des œuvres de Josepha, de Roger Suraud ou de Jack Vettriano à l’époque où ils étaient très peu connus. Pour l’équivalent de 100 à 300 € de maintenant j’aurais pu acquérir une œuvre. Mais je ne pensais pas encore aux placements à cette période de ma vie (je finissais mes études, je commençais à gagner ma vie, j’avais d’autres priorités.) Je m’en veux encore : maintenant je serais millionnaire rien qu’avec deux ou trois de leurs œuvres.
Je suis un esthète, je le sais. Et je suis autant séduit par le charme et la beauté d’une femme que par un cliché, une sculpture, un instant volé le soir dans les derniers rayons d’automne.Question femme, je me suis séparé de la mienne il y a à peine un an et le divorce m’a coûté un bras. Mais peu importe, maintenant je suis libre, et depuis qu’elle m’a foutu la paix et le camp en même temps, j’ai, je l’avoue, accumulé les conquêtes. Et comme je ne suis pas homme à courir les coiffeuses, les serveuses, les minettes de 25 ans qui se laissent facilement séduire par un type grisonnant (surtout quand elles pensent qu’il va pouvoir leur payer plein de trucs), celles que je préfère ce sont celles qui sont difficiles à avoir. Les femmes qui ont déjà une situation, des femmes de pouvoir ou, du moins, bien assises socialement, qui ont des responsabilités, et dans la fleur de l’âge. Minimum 45 ans. Si elles ont plus, 55, 60, ça ne me dérange pas si elles sont encore belles et désirables, et qu’elles sont quelqu’un.
Mais revenons à maintenant. Oui je me réjouis. Je suis tombé amoureux de cette œuvre. Et même si au final (parce qu’on ne peut jamais le savoir) elle ne prend pas autant de valeur, j’aurais chez moi un tableau que j’aime et qui me ressemble.

Il faut dire que la gérante de la galerie a su s’y prendre avec moi. Ça n’est pas parce qu’elle est séduisante ni parce qu’elle est tout à fait le type de femmes que j’aime mettre dans mon lit (brune, racée, avec des formes félines qu’elle sait mettre en valeur) que j’ai acheté cette toile, mais elle a vraiment su vanter son artiste. Et elle a eu une façon tout à fait adorable et touchante de ne pas me lâcher tout le long du vernissage. Bon, vous me direz, c’est une femme d’affaire qui a compris que j’étais l’homme qui avait craqué et qui allait sortir son carnet de chèques. C’est possible, mais n’empêche. Ou alors, elle a été sensible à mon charme, et ça m’a flatté.
En fait, non seulement je l’ai trouvée à mon goût, mais en plus, j’aime son look qui m’interpelle : une tenue d’un dehors classique (elle portait une robe prune qui s’arrêtait au-dessous du genou, des collants clairs, mais surtout des bottes noires… J’adore les bottes, je trouve ça terriblement sexy et ça me donne des idées inavouables qui me font imaginer les femmes dans des scènes peu racontables !)
La médecine (et encore plus la médecine esthétique) m’a passé le goût de la nudité et je préfère les femmes habillées de tenues suggestives. Et même, une fois que je passe à l’acte, j’aime bien qu’elles gardent certains accessoires, comme chaussures ou corsets, nuisettes, bas… ce qui a fait dire à ma femme à la fin de notre mariage, cette conne, que j’étais fétichiste ! Tu parles, combien d’hommes sont comme moi ? La majorité, j’en suis sûr.
Du coup, lors du vernissage, je me suis fait un peu mousser, je l’avoue. Alors que ça n’est encore qu’à l’état de projet dans ma tête, j’ai prononcé le mot « mécénat » comme si c’était quelque chose de déjà habituel chez moi, comme si j’avais déjà une longue pratique en la matière, comme si c’était bien établi depuis longtemps.Heureusement, elle n’a pas trop posé de questions, mais elle a semblé vraiment intéressée. Elle cherche sans doute des financements pour sa galerie, ou en ouvrir une autre, ou pour lancer d’autres artistes, que sais-je. Pour l’heure, elle reniflait surtout l’argent qu’elle me sentait prêt à lâcher pour un ou deux tableaux dont je ne pouvais pas cacher qu’ils m’avaient vraiment plu. Je ne cherchais pas à m’en défendre : ils m’avaient tapé dans l’œil. Comme elle, d’ailleurs. Mais j’aime bien semer la confusion. J’utilisais volontairement des termes du vocabulaire amoureux en lui parlant de ces œuvres, tout en la regardant bien. A un moment donné, j’ai cru la voir rougir, d’ailleurs.Bon, non je ne lui ai pas dit que cette œuvre était bandante, ça aurait été vulgaire. Mais elle oui, elle était vraiment bandante, moulée et gainée dans sa robe de lainage violet, mais je ne lui ai pas dit non plus.J’avais envie de la toucher, de palper ses jolies courbes, comme celles d’une sculpture, qui, en 3 dimensions, est si réaliste, si tangible.
Je ne dirai donc pas que ce qui m’a décidé à l’appeler quatre jours après pour faire l’acquisition du plus grand des deux tableaux c’est l’impression qu’elle m’a laissée. Mais sans le supplice de Tantale de cette belle brune canadienne qui m’a un peu envoûté, j’aurais peut-être oublié l’œuvre ensuite, ou je me serais dit après quelques jours de recul que finalement je m’étais peut-être emballé un peu vite, et que je ferais mieux d’attendre et de visiter d’autres galeries. Disons que son charme sexy (je dirais même, très sexe) a été synergique avec l’attrait et l’impression qu’avait laissés en moi la toile.
Ça a été vite fait. Rendez-vous a été pris : en fin d’après-midi même j’étais à la galerie où elle était là pour m’accueillir. J’ai fait le chèque et l’affaire a été réglée.
En plus, elle ne m’a pas déçu : elle est encore plus classe, plus chic et plus bandante que la première fois. Elle porte une robe d’été sagement décolletée, des bas fumée et des bottes de cuir à talons très hauts qui lui donne un air strict ; mais son sourire enjôleur la rend séduisante et douce, féminine. Je subodore que sous ses airs de grande dame il y a une femme qui aime succomber voire se soumettre, et retrouver les vieux réflexes archaïques de la femelle qui aime se donner et céder au mâle. C’est tout à fait le genre de petites pouliches des beaux quartiers qui me donne envie de la dresser ! Rien que pour le plaisir de la voir s’offrir, tendre son cul, cambrer sa croupe et réclamer la saillie !
Nous sommes presque à l’heure où la galerie doit fermer. Elle commence à s’affairer, mais sans aucun stress.Aussi, tout naturellement, je lui propose :
« - Est-ce que vous auriez un peu de temps de libre pour que je vous invite à boire un verre pour fêter cette vente ? »
° ° °
Bien- sûr je ne me suis pas habillée ainsi ce jour juste par besoin de rester séduisante ou à la mode. Mon assistante avait remarqué que j’étais particulièrement bien vêtue lorsqu’elle m’a vue. Ces bottes n’ont qu’un but, avec leurs talons de dix centimètres et leur cuir souple qui épouse si bien la jambe :ces bottes non seulement attirent l’attention sur elles, mais relèvent mes fesses vers le haut et me donnent une cambrure délicieuse qui met en valeur ma croupe ronde et ferme. Ces talons et ces bottes me donnent une démarche si particulière, si chaloupée. Car des chaussures avec des talons identiques n’auraient pas le même effet. Et cela sans oublier cette robe un peu trop courte pour le monde des affaires et un décolleté un peu trop profond.
Bref je m’étais préparée pour séduire, pour convaincre et peut-être pour laisser cet homme flirter avec moi. Bien qu’il soit si attirant, si confiant en lui, si bien habillé… si riche, je n’avais aucune intention de trahir mon mari. Je ne voulais que susciter un faux espoir chez cet homme pour obtenir ce dont j’ai besoin. Mais si mon but n’était que de séduire et de jouer avec cet homme, pourquoi avais-je mis une guêpière ? Certes je ne porte que rarement des collants et préfère de loin porter des bas, et souvent avec des porte jarretelles ; cependant lorsque je porte une guêpière, cela n’est que dans un but : être baisée sauvagement. Mais une femme classe ne dit pas ce genre de choses.  
Lorsque Docteur D. me propose de façon un peu innocente d’aller boire un verre, je feins la surprise puis accepte avec un sourire. Après tout, aller prendre un verre n’engage à rien. C’est ce que je me dis et je dis à mon assistante que je serais de retour dans une heure environ. Puis je pars en avant pour sortir de la galerie. Pourquoi passer devant ? Pour montrer que je suis chez moi et que je suis aux commandes.Mais aussi parce que je sais quel effet cette tenue a lorsque je marche. Ma robe moule mon derrière et celui-ci balance à chaque pas. Mes longues jambes terminées par ces fameuses bottes sont comme des ciseaux. Les talons claquent sur le carrelage. Souriant d’un air un peu carnassier il me suit. Il pense que, bientôt, ce sera celui qui commandera.
Je prends une veste en cuir noir pour couvrir mes épaules et qui cintre bien ma taille et nous sortons.

° ° °

Elle a accepté sans faire de chichi. J’en serais presque resté comme deux ronds de flanc. Non pas que je n’ai pas confiance dans mon charme, charme renforcé par mon assurance et un air viril et serein qui rassure les femmes (je ne l’invente pas, ce sont plusieurs femmes qui me l’ont dit, après que je les aie mises dans mon lit, c’est dire), mais parce que j’ai vu – et ce, déjà au vernissage – qu’elle porte une alliance, et qu’elle a quand même l’air bien coincé. Elle me laisse finalement l’impression d’être une bourgeoise qui, ayant passé quarante-cinq ans, a de plus en plus besoin d’être rassurée sur sa beauté de femme mûre et sur son pouvoir de séduction, qui, ayant conscience qu’elle est maintenant en concurrence avec des minettes de vingt ou trente ans qui, en plus, n’ont pas froid aux yeux et vont direct au but (j’en ai fait l’expérience, et en ai été littéralement soufflé – ces gonzesses draguent comme des mecs, ne cachent pas qu’elles veulent de la baise et rien que de la baise, n’ont ni gêne ni complexe, mais malheureusement, mettent tellement peu de formes qu’elles cassent tout de suite l’envie chez les hommes de les sauter… c’est trop facile, trop rapide, comme une bouffe dans un fast food. En tout cas, c’est mon ressenti, comme celui d’hommes de mon âge.)
J’imagine déjà l’allumeuse, la mijaurée qui va gentiment changer de sujet quand je vais commencer à la brancher sexe ou alors va me dire, avec des airs de dame patronnesse, de mère de famille qui s’habille sexy en diable mais ne pense qu’à son mari, à ses devoirs d’épouse catholique pratiquante, et à sa moralité chrétienne à deux balles : « nous nous sommes promis fidélité et assistance devant Dieu le jour de nos noces », « le couple marié, monogame, hétérosexuel, et respectueux de ses devoirs est le pilier de notre société » et autres fadaises, alors que si ça se trouve, cette salope a le démon de minuit qui la travaille, elle se réveille chaque nuit en sueurs et la chatte trempée parce qu’elle vient de rêver qu’elle s’est fait tringler par trois lascars. Et elle va se confesser le dimanche, puis communier, ou va en parler à sa gynéco ou sa psychanalyste, ou encore - parce qu’elle est plus moderne – va sur un forum catho dont le sujet est « rester fidèle », « être chaste », « qu’est-ce que faire l’amour pour une mère de famille chrétienne ? »
Bon, je me trompe peut-être. On verra bien. De toute façon je ne suis pas pressé, me considère comme un vieux renard, et je ne vais pas lui proposer la botte sans détour, ça n’est pas mon genre.
« La botte », d’ailleurs c’est marrant, ça tombe bien : je ne sais pas d’où vient cette vieille expression française, mais elle a l’air d’aimer ça, les bottes. Ça fait deux fois que je la vois, deux fois qu’elle en porte, et nous sommes fin mai, ça n’est pas pour lui tenir chaud.Peut-être est-elle un peu fétichiste, qu’elle aime le contact du cuir sur sa peau, le sentir crisser sous sa main. Et en tout cas, à mon avis, même si c’est mal assumé (et je ne sais pas dans ce cas comment elle fait), je suis certain qu’elle met des bottes pour mettre son corps en valeur, et attirer le regard des hommes, j’y mettrais ma main à couper : j’ai d’ailleurs surpris dans ses yeux un drôle d’éclat quand elle a vu mon regard sur ses jambes et ses genoux libres.
Et puis le cuir, c’est assez symbolique. C’est un goût que nous avons en commun. Moi j’adore le côté trouble qui y est associé et voir une femme avec une jupe en cuir ou harnachée (façon Madonna sur scène) ça me fait tout de suite bander. Quant à elle, je l’avais deviné : sa galerie avait plusieurs œuvres d’artistes différents où le cuir était un thème récurrent, évoquant même le bondage. Elles n’y seraient pas si cette matière ne la troublait pas. D’ailleurs ce soir, elle porte des bottes en cuir, très classe, très sexy, qui évoquent un peu l’équitation, et je viens de voir la petite veste qu’elle s’est mise sur le dos avant de sortir : une veste en cuir.
J’avais donc anticipé et c’est avec un pantalon de cuir noir très habillé que je suis venu ce soir. J’ai vu son œil briller, je ne crois pas me faire des idées.C’est un peu un langage entre nous, un langage non verbal, subliminal, qui n’a pas besoin de mots, mais qui va peut-être la faire flancher. Enfin, je l’espère.
Je lui ouvre la portière de ma Jaguar Mark 2. Elle semble impressionnée. Elle doit avoir l’habitude de voir les mecs pleins aux as rouler en Porsche Cayenne ou en Ferrari, mais je lui dis que moi, je préfère les belles choses, pleines de charme. Là encore, elle reconnaît mon goût sûr pour l’esthétique, les pièces de collection, ma nostalgie un peu romantique. Je ne vais pas lui dire que je suis plus bas et porte-jarretelles sur une femme que collants fantaisie, je la ferais fuir ; mais elle a dû comprendre.
La voiture a des sièges en cuir, et le fameux tableau de bord - quasi légendaire – en ronce de noyer. Il y a cette odeur particulière, chaude, vintage, d’une autre époque, qui ouvre les portes de l’imaginaire, de la magie de l’inconscient, réveillée par un passé réel ou fantasmé.Et j’ai cru la voir frissonner quand elle a posé sa main à plat sur le cuir du fauteuil.
« - C’est tout un univers que le mien, vous savez » lui dis-je en riant. « Mais je ne suis pas un vieux crouton qui conduit un vieux tacot. D’abord, je n’ai que cinquante ans, et deuxio, j’ai aussi une voiture de sport, une Mazda MX5, fine, belle et racée. Et j’ai eu un des rares exemplaires de Xedos, une des plus belles – enfin, pour les connaisseurs. Eh oui, j’aime avoir ce que les autres n’ont pas. J’aime avoir, par-dessus tout, ce qui est difficile à obtenir… comme cette Jaguar des années 60, mais dont la carrosserie bleue pétrole est l’une des plus rares. »
Je me dis tout en lui prononçant ces mots qu’elle aussi est une femme rare, belle et racée. Et qu’aussi difficile ce soit, je l’aurai. Tant pis, j’aime bien mettre la barre un peu haute.
« Je vous emmène dans un petit pub. C’est un endroit peu connu mais que j’aime, où j’ai mes entrées. Il est de l’autre côté de la ville, j’espère que vous n’êtes pas pressée ? Vous allez voir, c’est un endroit sympa, chaleureux, dont la déco est merveilleuse : je suis sûr que vous allez l’aimer. »

° ° °

Je monte dans cette voiture luxueuse. Certes j’en vois souvent mais je ne monte pas dedans. D. est très galant et m’ouvre la porte. Il me tient la main pour que je puisse pénétrer dans le véhicule. Cela n’est pas facile en bottes hautes avec des talons aussi hauts. Cela devient un jeu d’équilibre. Je ne veux pas tomber par terre ou m’effondrer dans le siège. Bref je réussis à m’asseoir de façon gracieuse et féminine. Je remarque que ma robe, plutôt courte et légère, a remonté sur ma cuisse. Elle laisse apparaître la limite du haut de mon bas. La dentelle est évidente. Je rabaisse vite ma robe pour ne pas paraître trop osée. Regardant vers le haut, je vois que Docteur D. a tout vu. Il a un regard un peu carnassier, comme un loup regardant un lapin pris au piège. Il s’assied à côté de moi et démarre. Sa tenue est différente de celle des hommes de mon milieu. Un pantalon de cuir ? Il faut oser ! Mais tout cela va avec sa personnalité super confiante.
Nous roulons un peu et lorsqu’il change de vitesse il ne manque pas d’effleurer ma cuisse gauche. Il ne semble pas gêné. Il le fait visiblement exprès. Moi je devrais le repousser car cela n’est pas correct. Mais enivrée par le luxe et par son charisme, je sens mes défenses baisser.  De plus je me suis promise de le séduire pour qu’il m’assiste financièrement. Mais il semble que je sois celle qui est séduite. Je croise mes jambes de façon lente et sans discrétion. Il remarque du coin de l’œil ma longue jambe bottée et gainée de ce bas noir. Je fais la fausse mijaurée et rabaisse ma robe… lorsque nous arrivons à son pub.
° ° °
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