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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 2

SM / Fétichisme
C’est fou ce que cette fille est excitante, elle perspire le sexe par tous ses pores, sous ses airs de bourgeoise coincée. D’ailleurs dès qu’elle s’est assise je n’ai pu m’empêcher de reluquer ses cuisses au-dessous de sa jupe qui s’est légèrement remontée, et hum… j’ai pu voir la dentelle plus sombre et festonnée d’une jarretelle : ah, la salope, elle m’allume, sans en avoir l’air ! Et le bruit du cuir de ses bottes frottées l’une contre l’autre et contre le cuir de son siège me fait un effet bœuf : je me mets à bander et me sens soudain serré dans mon pantalon ajusté. Il fait un peu sombre dans la voiture, mais si ça se trouve elle va voir que j’ai la gaule quand nous allons descendre tout à l’heure.Il flotte une odeur enivrante dans ma Jaguar, entre le vieux bois, le cuir, et son eau de toilette chic et entêtante.
Nous voilà arrivés. Elle s’est montée étonnamment peu diserte durant ce court trajet comme si elle avait été impressionnée. Je descends et m’empresse de lui ouvrir la portière. J’ai l’impression qu’elle n’a pas eu trop l’habitude de ces manières.
Je la laisse passer devant (encore l’occasion de mater discrètement ses jolies formes, ce derrière et ces courbes bien moulés dans cette robe à motif, sa taille bien marquée, ses hanches dans lesquelles je mordrais bien, je l’avoue.
Le pub est peu rempli, et j’ai pris soin de nous réserver une table discrète, un peu à l’écart (je suis très connu ici, et je ne suis pas avare avec le personnel.)L’endroit est chaleureux, plein de boiseries, avec des couleurs chaudes, des lumières douces. Nous avons notre petite table dans le fond, dans un petit recoin. Je la fais asseoir sur la banquette, et m’assois sur un fauteuil à sa gauche.
Je lui souris, lui redis ma satisfaction d’avoir acquis cette œuvre qui me plait vraiment beaucoup. Et sa galerie est vraiment superbe, je la félicite. Je m’enquiers de comment vont ses affaires. Elle sourit un peu tristement, m’affirme que ça marche très bien… mieux qu’elle espérait, mais l’expression de son visage ne va pas avec ce qu’elle affirme. Il y a quelque chose d’autre, j’en suis sûr.Je pose ma main sur la sienne (qu’elle ne retire pas) et lui dis que je la trouve soucieuse et qu’elle m’inquiète un peu. Je lui demande si elle a des problèmes.
Elle reste un peu figée, avec un rictus ; pendant quelques secondes elle semble hésiter. Je sens qu’elle a quelque chose sur le cœur. Ça me touche sincèrement, je n’aime pas qu’une aussi jolie femme soit ainsi tourmentée. Je lui dis qu’elle peut m’ouvrir son cœur. Du coup, elle cesse de balbutier, soupire un grand coup, ses jolies épaules retombent, relâchées : je sais qu’elle va s’épancher, une vanne vient de céder.
° ° °
Je commence à expliquer ma situation en restant calme et sérieuse. Mon désespoir financier qui fait que je suis prête à tout pour redresser ma situation. 
Il est des plus charmants et absorbe tout ce que je dis en m’écoutant. Il remarque cependant que je passe une de mes bottes contre sa jambe. Je me mets en position pour que mon décolleté soit bien visible. Ma main passe sur son avant-bras en parlant. Est-ce par accident ? Ou suis-je en train de l’allumer, pour être sûre de son attention et d’affirmer mon emprise sur lui ? Il reste très gentil avec moi et garde ses questions. 

Nous sirotons notre cocktail et il teste les eaux en me caressant la main. Je lui souris de façon un peu gênée mais ne retire pas la mienne. Puis sa main caresse mon genou sous la table Je bouge mon genou pour l’éloigner en lui souriant de la même façon mais je la sens à nouveau contre ma jambe.

° ° °
Sans quitter son sourire triste et crispé elle s’est lâchée. Mon dieu, c’est pire que ce que je pensais : ses affaires vont bien mais elle a dilapidé le patrimoine de son mari sur des placements foireux, croyant bien faire me dit-elle… mal conseillée, et le pognon de son mec a fondu comme neige au soleil. Et en plus, avant ça, elle a prêté de l’argent à ses enfants – ceux d’un premier mariage – évidemment sans en informer son mari, et ils n’ont pas redressé leur situation, ils ne peuvent pas le lui rendre. Maintenant, son mari a décidé de faire des gros travaux de rénovation dans leur grande maison familiale, et il lui demande de piocher dans leurs grosses économies… qu’ils n’ont plus.Elle tergiverse, essaie de gagner du temps, a demandé des devis, fait traîner en longueur, lui dit qu’elle n’a pas encore les devis, les lui cache… elle lui ment de plus en plus et se sent très mal.Ils se sont même disputés, il ne comprend pas pourquoi elle traîne tant des pieds.  « Moi qui n’ai jamais rien caché à mon mari » me dit-elle, au bord des larmes, « moi qui ne lui mentais jamais, moi qui ai toujours été une femme honnête… » C’est une femme désespérée, au bord du gouffre, qui me confie sa détresse : si je m’attendais à ça ! « Pourquoi je vous raconte ça à vous » ajoute-t-elle, « que je ne connais pas, je ne sais pas…— Peut-être parce que je suis médecin » lui réponds-je, « et parce que j’ai l’habitude d’entendre les pires confidences, parce que je suis – et ai toujours été – empathique, et que les gens le sentent, et se confient à moi. Parce qu’étant tenu au secret dans ma vie professionnelle, comme vous le savez, vous me faites confiance… et vous avez raison… » C’est vrai qu’elle m’a bouleversé, son histoire est terrible. Elle me touche. Au sens propre comme au sens figuré d’ailleurs, parce qu’en me racontant son histoire, dans ce climat de proximité feutrée, elle caresse mon avant-bras, d’une façon qui semble distraite… mais est-ce vraiment innocent ? En attendant, pour avouer ce que je ressens en ce moment, même s’il y a une vive émotion, une empathie émue jusqu’à un attendrissement, je dois dire que ce contact a provoqué une réaction vive et incontrôlée : alors que mon érection s’était calmée, j’ai senti mon sexe se tendre et se durcir dans mon pantalon de cuir (qui me moule d’autant que je n’ai pas mis de slip !) Elle a la tête à demi-penchée vers moi, les yeux mi-clos, ses longs cils papillotant avec grâce. Si c’était dans d’autres circonstances j’aurais envie de l’embrasser. Du coup, je pose ma main sur la sienne dans un geste fraternel pour qu’elle se sente en confiance, et l’écoute. Sa petite main est si fragile, si menue, si jolie et si douce, et son poignet fin est mis en valeur par son bracelet en métal argenté et brillant. Je lui prononce des paroles douces, de réconfort, autant que je peux, même si je ne suis pas sûr d’être convaincant : de toute façon, ça ne sont pas des paroles qui vont la tirer de cette panade. Mais si ma queue est raide je dois garder la tête froide. Je me méfie. Est-ce que ça n’est pas une arnaque, une salade inspirée par une de ces ruses féminines pour essayer de me soutirer de l’argent ?D’autant qu’elle est penchée en avant plus qu’il n’est besoin, m’offrant une vue plongeante sur son décolleté, ma foi, bien appétissant. Je vois les rondeurs séparées par le sillon médian. Hum… ces deux rotondités ont l’air bien comprimées… je les libérerais bien, moi. Ne serait-ce que pour qu’elle respire mieux, pour qu’elle soit moins oppressée.Quel sillon attirant, qui semble bien doux, à la peau halée et qui doit être satinée. J’imagine faire glisser ma queue épaisse entre ces deux seins bien ronds… Pour en avoir le cœur net (si ça pouvait être suffisant), tout en cherchant à la réconforter avec des paroles d’apaisement, j’ai posé ma main droite sur son genou, d’un volume intéressant. Le contact du nylon sur ma paume m’électrise. Immédiatement, elle écarte sa jambe, échappant à ma pogne conquérante. Je repose ma main sur la table, mais une seconde après, elle replace son genou contre le mien. Mais à quel jeu joue-t-elle ? Au chat et à la souris ? Au Maître et à l’allumeuse ?Petit oiseau, épris de liberté, aurais-tu envie d’être capturé ?
° ° °
Nos attouchements me rendent toute… chose. Avoir un homme si attrayant et sûr de sa virilité me porter attention est si différent. Je pense un peu à mon mari et retire mon genou mais ce contact fort et confiant me manque aussitôt. Je remets mon genou a sa place. Il semble comprendre que j’hésite. Je lui ai dévoilé tant sur ma vie, sur mes sentiments. Je me sens si vulnérable, si faible. Me sentir séduisante et appréciée est comme enivrant. Et puis l’alcool que je bois sans m’en rendre compte aide un peu a baisser mes défenses.  Sitôt mon genou revenu au contact du sien il baisse sa main. Il caresse mon genou gentiment comme s’il se souciait de ce que je dis. Puis sa main vient effleurer le haut de la botte. Je tressaille car il s’agit là d’un contact presque électrique. Il remonte lentement. Nous parlons encore pendant cela mais je cesse de me plaindre de mes soucis, je veux parler d’autre chose. Sa main remonte un peu sur ma cuisse puis passe sous la robe soyeuse. Sa main monte sur ma cuisse. Je veux retirer ma jambe à nouveau mais je ne peux pas. Mon corps dicte la voie à suivre. Il remonte cinq centimètres, puis dix, puis vingt. Finalement il atteint le haut en dentelle de mon bas. Je tremble soudain un peu mais j’espère qu’il va arrêter. Mais non, il remonte plus haut et passe un doigt le long de la bordure du bas contre la peau. Je laisse échapper un gémissement. Les yeux mi-clos et la bouche tremblante je lui dis à voix basse : "Je vous en prie… Il y a du monde ! Et je suis pudique…"
A cet instant j’aimerais qu’il me prenne dans ses bras si rassurants, mais l’endroit ne s’y prête pas. Il me réconforte, cela me fait du bien, tellement, que son attouchement ne me choque même pas.
° ° °
Elle me touche, sa détresse qui ne semble pas feinte m’émeut profondément. Elle doit être bouleversée au point qu’elle a laissé ma main caresser son genou, et qui, enhardie par sa passivité est remontée comme distraitement sur sa cuisse pleine, crissant sur le nylon, jusqu’à ce qu’elle tombe sur une jarretière plus épaisse, et au toucher, festonnée. Quand le bout de mes doigts a trouvé la peau nue et satinée de la cuisse charnue, loin de lui déplaire et de la choquer, elle a gémi et a seulement exprimé la crainte qu’on nous voit !
Je ne peux décemment pas profiter de la faiblesse de cette belle femme pour l’emmener dans mon bureau et la culbuter sur la table ronde comme un vulgaire D.S.X. : je suis un gentleman tout de même ! Et je tiens à mon image. Même si mon charme viril et sûr semble agir sur elle, elle n’est pas une petite gourdasse ou une midinette qu’on emmène chez soi une fois qu’on la sent mûre. Dès qu’on se sera tous les deux levés de là elle aura retrouvé ses esprits, et une fois la tête froide, trouvera le premier prétexte pour ne pas monter chez moi.Et puis, que pourrais-je lui proposer pour l’aider ? Lui faire un chèque comme à une vulgaire pute de luxe ?! Elle a de la classe, elle vient d’un milieu bourgeois, ça n’est plus une vulgaire cocotte qui se fera entretenir pour des faveurs sexuelles… ça me décevrait d’ailleurs, elle vaut mieux que ça ! Il faudrait quelque chose qui lui permette de garder la tête haute, de lui préserver un semblant de fierté… hum.
Pour garder contenance - alors que je bande dur et que ça se verra en pleine lumière dès que je me lèverai, dans ce pantalon moulant dont le cuir est si fin - je lui demande sérieusement, les yeux dans les siens :
" - Et pourquoi vous ne demanderiez pas un prêt aux banques pour financer ces travaux ?— Je l’ai déjà fait, mais je suis déjà trop endettée, en partie pour ma galerie qui est encore loin d’être payée, et aussi pour enfants : j’ai déjà contracté plusieurs emprunts… Je suis prise à la gorge" ajoute-t-elle dans un sanglot étouffé." - Oui, je comprends" dis-je avec un air grave.
Je réfléchis très vite et après quelques secondes de silence me vient un éclair de génie… ou bien est-ce un très vieux fantasme qui trouve là l’occasion de faire surface :
" - Écoutez," lui dis-je, "je pourrais toujours vous prêter de l’argent, même si je ne suis pas une banque et que c’est illégal, mais même si je vous aime beaucoup, que vous êtes attendrissante, je ne voudrais pas courir le risque que vous ne puissiez pas me le rembourser… Et ça n’est pas tant pour moi que pour vous… : j’imagine ce que vous ressentiriez si vous ne pouviez pas me payer votre dette à échéance, vous êtes une femme honnête, droite, vous avez des valeurs, je le sais, je le sens, et cette éventualité vous mettrait mal à l’aise, vous encore plus que moi j’en suis sûr.— Oui absolument. Je serais morte de honte et je ne pourrais pas supporter de ne pas pouvoir vous rembourser… Et cela gâcherait nos rapports, irrémédiablement.— Alors, j’ai pensé à quelque chose. Je pourrais vous proposer un deal : vous savez que je m’intéresse à l’art, vous vous en êtes rendue compte. Ce que vous ne savez pas c’est que je m’intéresse à la photo… non, ce que je veux dire (parce que, ça vous le savez) c’est que je m’essaie moi-même à la photo…— Non, vraiment ?— Oui. C’est, disons, des photos d’un genre spécial… enfin, des photos de charme… Je pense qu’elles n’ont aucune valeur artistique - et ça n’est d’ailleurs pas ce que je recherche - je les garde pour moi. C’est une collection privée, secrète en quelque sorte.Voilà : comme modèles, je ne m’intéresse pas à des jeunes femmes ni à des jeunes filles, ce que j’aime ce sont des femmes mûres, des femmes classiques, des femmes comme tout le monde, mais à la beauté singulière. Et sans artifice autre que leur tenue de tous les jours, des femmes qu’on rencontre en somme dans la rue, au bureau, dans les cabinets de consultation, sur leur lieu de travail… comme dans leur galerie d’art par exemple" lui fais-je avec un clin d’œil complice." - Oh" fait-elle avec un sourire étonné et faussement choqué. "Mais des photos… des simples photos…? Des portraits…?" demande-t-elle avec un ton qu’elle voudrait ingénu." - En quelque sorte. Mais avec une touche coquine, insolite. Des femmes du monde, des femmes - quadragénaires, quinquas ou plus - mais issues des classes supérieures… que je me plais à mettre en scène et à photographier dans des situations où on n’a pas l’habitude de les voir, vous voyez ? Bien entendu, étant donné que c’est pour ma collection, et vue la situation sociale élevée de mes "modèles" je paie bien : à la fois au temps de pause et au nombre de clichés pris (qu’ils soient réussis ou ratés…)"
Cette proposition semble l’avoir troublée. Elle est dubitative. Je lui dis qu’elle est libre d’accepter ou pas, mais que je ne vois guère quoi lui proposer d’autre pour la sortir de sa situation financière difficile.Bien entendu, je pourrais lui acheter d’autres tableaux, d’autres œuvres d’art qu’elle aura dans sa galerie. Mais pour le moment, je n’en ai pas vus qui m’aient vraiment tapé dans l’œil. Alors le temps que cela arrive, si ça doit arriver, Dieu sait ce qui lui sera arrivé.Et je n’ai pas l’intention de lui acheter n’importe quoi, elle l’a bien compris, elle ne voit pas pourquoi je lui ferais cette faveur, je ne suis pas une association humanitaire. Du coup, elle se met à me poser plein de questions. Où je fais mes photos ? Parfois en pleine nature, parfois chez mes modèles, si elles sont d’accord. Sinon, j’ai un petit appartement qui me sert du studio photo.
En fait, je pense à mon « baisodrome », ma garçonnière que je consacre à mes jeux b.d.s.m. avec mes partenaires soumises, quand j’en ai. Pour l’heure, cela fait un moment que je n’ai plus de petite copine branchée soumission : elle tombe bien, cette gérante de galerie, bourgeoise et coincée. A moi de la décoincer, en y allant avec douceur, sans la brusquer.Mais elle risque d’être surprise en découvrant le mobilier et l’équipement spécial qui s’y trouve !Sa curiosité la perdra. Ou bien est-ce que l’idée de devenir modèle commence à l’exciter ? Aurait-elle des fantasmes d’exhibition ? Ça ne serait pas pour me déplaire si c’est le cas !
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