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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Je laisse passer trois semaines, bien plus qu’il ne m’a fallu pour regarder les photos que j’ai sélectionnées et faire les tirages promis. Mais encore une fois j’ai décidé de la laisser mariner un peu.
Une fin d’après-midi, après mes consultes, je m’enferme dans mon bureau, et je l’appelle. (En fait, je ne suis pas seul : une de mes patientes qui m’appelle son médecin préféré est venu me rendre visite à l’improviste. Je la soupçonne d’être amoureuse de moi. Elle débarque de temps en temps, force la porte de mon cabinet auprès de ma secrétaire qui n’ose la lui refuser sous prétexte qu’elle vient toujours soi-disant pour m’apporter un cadeau – elle n’est pas bête et amène toujours un petit présent aussi à l’assistante, qui, du coup, se laisse amadouer. C’est une asiatique, une Laotienne à la cinquantaine bien sonnée, petite et assez ronde, mais qui, je dois avouer, fait des pipes d’enfer !)
Elle a profité du fait que j’achevais de composer le numéro de Jenna qui venait juste de répondre pour se jeter à genoux sous mon bureau, m’ouvrir la braguette et en extirper ma queue en moins de temps qu’il faut pour le décrire. Elle rigole presque en s’activant déjà, le gland en bouche.
« - Bon Jenna, j’ai les tirages, quand peut-on se voir pour que je vous les montre… - et accessoirement que je vous les paie ? » (j’utilise volontairement le « vous » ne voulant pas que ma patiente devine qu’il s’agissait d’autre chose que d’affaires.)— Euh… jeudi soir, je pourrai quitter la galerie plus tôt, j’ai mon employée qui fait la fermeture.— OK. Vers 18H, ça va ?— Oui, 18H… j’essaierai. Au plus tard 18H30, ça va ?— Mais oui, beauté. Je vous attendrai. Vous allez voir, ça vaut le coup. Et en plus j’en ai sélectionné une quarantaine… au tarif convenu, ça va faire du bien dans vos finances. — Oui, en effet… » lâche-t-elle dans un gros soupir, « en ce moment ça sera le bienvenu.— Parfait alors à jeudi.— A jeudi. Bonne soirée.— Bonne soirée à vous, Jenna. »
Elle va vite réfléchir et faire le calcul : 40 tirages à 5 € l’unité, soit 200 €, ça n’est pas le Pérou. Et si elle est encore raide comme la justice et même en difficulté question finances, elle va avoir encore besoin d’un nouveau complément de revenus, de quoi lui faire d’autres propositions qu’elle ne refusera pas, alléchée par l’argent.
J’affiche donc un sourire satisfait par ce que j’imagine déjà, et repoussant les grosses joues de ma Laotienne avant que je parte dans sa bouche, je l’aide à se relever pour mieux la retourner, la courber sur mon bureau, puis soulève sa mini-jupe à fronces qui fait bien vulgaire (surtout pour une femme de son âge), j’arrache – plutôt que je baisse – son mini-string rouge, non moins vulgaire, dévoilant un fessier adipeux mais plutôt affriolant et lui enfile la chatte d’une seule poussée, lui faisant sortir un cri aigu mais satisfait, et me mets à la besogner sans aucune délicatesse.
J’étais en train de me dire que, cette fois, cette petite grosse, elle allait y avoir droit, j’allais lui écarter ses grosses joues fessières et l’enculer avant qu’elle ait le temps de dire ouf, mais son fourreau encore vachement étroit a raison de moi : je gicle trois ou quatre bons jets bien sentis tout au fond de sa chatte en rugissant virilement mais de façon contrôlée.Putain, ce qu’elles sont bonnes ces petites Asiates !
Je cloque trois bises sur ses joues gourmandes tandis qu’elle affiche un sourire de victoire, et elle file sans demander son reste.
° ° °
Le soir dit, j’étais à l’appartement (le « studio ») à 18H tapantes.Je n’eus pas à attendre plus d’un quart d’heure avant qu’on sonnât à la porte. Heureusement, j’étais venu la veille arranger un peu.Jenna était là, devant la porte, dans une robe bleue assez courte et qui moulait bien ses formes, chaussée de ses éternelles bottes (celles-ci étaient en daim) et de bas élégants. Elle serrait un peu nerveusement son sac contre elle ; on aurait dit qu’elle venait à un rendez-vous chez le gynéco pour la première fois.
Je lui souris, l’invitant à entrer avec mon air affable. Elle se détendit un peu.
« Toujours un peu coincée » pensai-je, « la bourgeoise. Pourtant quand elle présente son cul bien ouvert, elle change du tout ou tout et sait bien prendre et recevoir. »
Cette pensée élargit encore mon sourire, inspiré par mes idées salaces.
Jenna avançait dans le salon et écarquilla les yeux. Elle venait de découvrir les « posters » que j’avais épinglés au mur. Des photos d’elle – ou plutôt où elle était en scène – plus grande que nature :Jenna à plat ventre sur le chevalet, ses seins pendant, ma queue remplissant sa bouche. La croupe épanouie de Jenna, à l’autre extrémité, avec ma grosse bite bien plantée dans son petit trou. Jenna langoureusement affalée contre la fenêtre, debout, attendant la saillie, sa tête sensuellement tournée vers l’objectif.
Elle regardait, fascinée, se découvrant sans doute pour la première fois sur des photos de plus d’un mètre de large, et d’une telle qualité qu’on pouvait voir le grain de sa peau.
Je souris :
« - Alors, comment tu te trouves, sur les murs ? Belle et bien bandante non ? »
Elle me fit remarquer que sur au moins deux de ces clichés elle était à visage découvert et bien reconnaissable.Je tentai de la rassurer :
« - T’inquiète, elles sont pour mon usage personnel — Oui mais si tu fais venir quelqu’un ici, on pourrait me reconnaître là…— Je ne fais jamais venir personne ici » mentis-je.
 Je la fis asseoir et lui tendis la grande enveloppe contenant les clichés que j’avais tirés, en format 21x29.Elle sortit la liasse de photos et toute émue, se mit à les parcourir lentement, parfois presque choquée de se voir ainsi dominée par la férule et le phallus d’un homme.Une chose est de se prêter à ce jeu et même d’en jouir en temps réel, en proie à l’excitation sexuelle du moment, une autre est de se contempler sur papier glacé, dans diverses postures, le trou de balle dilaté, et parfois le visage déformé par la douleur ou l’orgasme. C’est un peu plus fort que de se regarder dans un miroir, ou même dans un jeu de plusieurs miroirs (que j’avais d’ailleurs également en réserve pour des futures parties de plaisir voyeur et b.d.s.m.)
« - Alors, ça te plait ? » lui demandai-je avec un grand sourire satisfait tout en lui tendant ses 4 biftons de 50 € ?
° ° °
L’argent n’est plus à l’évidence le principal objet de cette relation. 200 € ne sont pas grand-chose. Je suis allée délibérément plus loin et j’ai même demandé à être prise, j’ai cherché à sucer son gros membre.Me voir nue ou presque dans des positions sexuelles et même me voir pénétrée par son « more impressionnant » est autre chose.Mais honnêtement je ne sais plus quoi penser. Si ma conscience me torture, le désir d’être prise sauvagement à nouveau me démangeAprès tout si j’étais venue juste pour prendre mon paiement, pourquoi me suis-je vêtue de la sorte ? Pas vraiment une tenue d’affaires. 
Il m’offre une coupe de champagne pour me détendre. Je vais m’assoir sur le canapé, un peu troublée par ce choc. Il me complimente sur mes vêtements, ma prestance, bref il sait y faire pour m’amadouer.
Je pense partir et lui rendre son argent mais je regarde la photo sur laquelle on le voit me pénétrer par derrière et où je suis clairement en train de jouir.Il sait comment me dominer, me diriger.Il me dit que dans cette tenue divine je dois poser à nouveau. Séduite, j’accepte mais en lui faisant promettre de ne pas inclure mon visage. Il me propose d’ailleurs une solution (il est plein de ressources) : il me tend un masque noir.Est-ce un aveu de ma part que j’aime être la vedette de ces séances de photos pornographiques ?Suis-je accrochée à ces pratiques un peu perverses ?Mon estomac se contracte pensant à ce qui va suivre cette séance de photos. La dernière fois j’ai senti les effets de sa saillie pendant des jours.
° ° °
Cette fois elle ne s’est pas fait vraiment prier. Je l’ai vue hésiter un moment quand je lui ai proposé un nouveau bout d’essai, mais à la seule condition que je ne photographie pas son visage, elle a accepté de suite.
Je ne m’attendais pas à ce qu’elle accepte de poser ce soir, comme ça, mais je crois qu’elle a pris goût à la domination, qu’elle a aimé la façon dont elle s’est fait défoncer la dernière fois. Je crois qu’elle aime la manière forte, qu’on ne lui laisse pas le choix. Je pense même qu’elle aimerait recevoir des ordres, cette bourge qui a l’habitude de toiser avec mépris les gens de basse condition. J’ai vu comment elle se comportait dans la rue, avec ses allures de femme friquée, planquée derrière ses lunettes noires comme une Jacquie Onassis : elle se la pète vraiment !Et ici, dans l’intimité de mon « atelier » photo, elle a la voix qui tremble, agitée par le trouble, les jambes qui flageolent, et je devine qu’elle mouille très vite sa culotte en sachant qu’elle va être traitée comme une catin !
Aussi, à sa seule demande que son visage ne soit pas visible (elle pensait peut-être que j’allais lui dénier cette prétention et que du coup, elle aurait un prétexte pour refuser, et s’en aller poliment, la tête haute) je lui ai immédiatement tendu un loup de satin noir que je gardais à disposition dans le tiroir du petit meuble, masque qu’elle n’a pas pu refuser. Je m’attendais à ce qu’elle bredouille, trouve quelque chose pour gagner du temps, mais pensez donc, même pas ! Elle l’a placé immédiatement sur ses yeux, la salope, et a passé l’élastique derrière sa tête.
J’ai aussitôt sorti un large collier de cuir, collier à sangles et à clous que j’ai refermé autour de son cou, et ai fait passer l’un après l’autre les trois ardillons dans leur trou, veillant bien à ce qu’elle puisse tout juste respirer. Elle n’a pas osé protester.Je l’ai saisie par la boucle et la tenant ainsi par deux doigts je l’ai emmenée jusque dans le fond de la pièce, en faisant pression sur sa nuque.Bien docilement elle s’est laissée conduire, sans un mot. Là, arrivée devant l’instrument de mise au piquet, un simple poteau d’acier, bien arrimé sur son socle de fer, j’ai ordonné :
« - A genoux ! » d’une voix ferme et impérieuse qui ne rigolait plus.
Elle a obéi, est descendue sur ses genoux.
« - Ma chère, je pense que vous ne verrez pas d’inconvénient à ce que je vous menotte les poignets dans le dos. Nous nous connaissons maintenant, et vous me faites confiance. De toute façon, vous aimez être dominée, vous aimez être sous mon contrôle, vous aimez obéir… Vous, la femme du monde, vous aimez venir ici et devenir une chienne soumise. Soumise à mon bon plaisir. Je sais que vous mouillez de savoir que vous allez être mon objet sexuel. Et n’ayez pas le culot et la mauvaise idée de protester, sinon c’est un bâillon-balle qui vous fera taire ! Voire même une poire d’angoisse. Ah vous ne connaissez pas ? Vous verrez, vous ferez connaissance si vous avez l’outrecuidance de vous rebeller… mais ça ne semble pas être le cas, pas aujourd’hui du moins (vous me semblez particulièrement docile, particulièrement encline à être dominée ce soir…)Enfin, je vous explique : une poire d’angoisse est un petit instrument métallique qui sert de bâillon et qui se referme sur la langue avec une petite crémaillère… »
Jenna n’a pas discuté ni cherché à se soustraire. La voilà dans sa robe bleue bien moulante, à genoux, devant le poteau du piquet.Je lui passe des bracelets de cuir aux poignets et les relie ensemble avec un mousqueton.Puis je relie la boucle de son collier à la courte chaîne du poteau. La voilà immobilisée, vulnérable, offerte, délicieusement exposée à mes caprices.
Je m’accroupis et remonte lentement sa robe sur ses reins : humm, sa ravissante croupe m’apparaît, épanouie, féminine, enveloppée dans le bas d’un body qu’elle a eu l’excellente idée de revêtir pour venir me voir. Je tire sur le body, lui remontant dans la raie des fesses, l’échancrant ainsi sur les côtés, me révélant l’appétissante et irrésistible peau mate de ses rotondités de femelle.
Je passe mes doigts plus bas, entre le tissu et la cuisse, tombe sur une grande lèvre bien renflée, bien charnue, et découvre que sa chatte est déjà trempée : elle est excitée comme une chienne en chaleur, cette salope !Je fais faire à mes deux doigts quelques va-et-vient sur cette fente vulvaire gluante, puis, à sa grande surprise, je me mets à la fesser vigoureusement : comment ne pas résister à l’envie de fesser cette grande salope de bourgeoise pour sa perversité éhontée et pour la punir de m’exciter autant !?
Elle crie, essaie de ruer un peu, mais la chaîne la tient bien court, comme une chèvre au piquet. Une chèvre avec des bottes, que je ne vais pas me gêner pour saillir comme un légionnaire en permission enfile la première bête venue, pourvue qu’elle soit dotée d’un vagin !

° ° °
Tout va très vite mais je ne proteste qu’à peine :
« Mais que faites-vous ? Oh mon dieu. Mais… mais… je ne suis pas… »
Je proteste pour ne pas montrer à quel point j’ai envie d’être prise par cet homme qui est le premier à me dominer ainsi sous tous les angles.Je trottine derrière lui, tenue par une laisse, avec mes bottes à talons aiguilles qui font un joli bruit sur les dalles.Plus de prétentions de photos vêtue. Je fais cependant toujours la femme hautaine et coquette et non une salope.
Je me retrouve vite liée, vêtue de ma robe remontée sur les reins, bottes, bas et body Je le supplie d’arrêter de me fesser.Il se calme un peu car il veut faire durer le plaisir. 
A mon insu il prend d’ailleurs une dose de Viagra pour être sûr de durer encore plus longtemps.Je tremble lorsqu’il caresse mes lèvres. Il me complimente sur ma tenue, mon physique sachant que cela me détend.
« Je vous vous en prie, ne me faites pas mal, vous êtes si gros. »
À ces mots son membre grossit dans son pantalonIl prend quelques photos pour immortaliser la scène
Il caresse ma chatte tout en me pinçant un de mes tétons, pas trop fort, il joue avec. Il soupèse mon sein bien lourd et encore ferme. Il change les liens pour que je sois à genoux et dressée devant lui. Il caresse mes seins puis il sort son gourdin de son pantalon. Entend-il le passer entre mes seins ? Il s’en sert pour frotter mes tétons. Il sort les seins de leur étui de satin noir.Il peut maintenant profiter de mon ample poitrine.Plus si prétentieuse je le regarde se servir de moi tout doucement mais fermement.Je sais que ce membre monstre va bientôt me pourfendre.
(A suivre…)
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