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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 15

SM / Fétichisme
(A partir d’ici, Jenna n’ayant pas voulu continuer, la suite du récit n’est que de ma plume.)
Jenna se sent vaguement soulagée que cette femme sévère l’ait abandonnée - à regret semble-t-il ; mais sa tête lui tourne un peu. Pour la rassurer je l’ai rejointe à nouveau et la tiens par le bras pendant que nous bavardons avec un petit groupe de personnes à l’air un peu blasé mais néanmoins bienveillant.
Elle reste troublée, distraite, n’écoutant apparemment que d’une oreille la conversation. Son regard erre dans ce vaste salon aux tentures de velours rouge. A moins de deux mètres de nous le maître des lieux en pantalon de cuir boit sa coupe en riant bruyamment avec ses invités. Jenna a remarqué qu’à ses pieds la jeune femme que sa compagne tient en laisse est à genoux et sa tête est en train de s’activer. En effet, l’homme a juste la queue sortie et elle disparaît rythmiquement dans la bouche de la jeune femelle.
« - Applique-toi, soumise ! » lui aboie soudain la brune austère tout en lui assénant un cinglant coup de cravache qui lui marque immédiatement la croupe en diagonale.La jeune femme n’a même pas bronché.
L’homme finit par la repousser avec une sorte dégoût : « Cette catin suce mal » grommelle-t-il avec un mouvement d’humeur.
« - Elle sera punie tout à l’heure pour ça » dit sa compagne, « elle ne perd rien pour attendre… Elle subira un châtiment exemplaire. »
Mais pour l’heure elle saisit le visage de la soumise qui sait ce qu’on attend d’elle. Sans avoir besoin d’une autre injonction, ses deux mains remontent le fourreau rouge avec difficulté, et jusque sur ses reins. L’anatomie de la sexagénaire apparaît, ainsi que des bas et un porte-jarretelle rose foncé ; le sexe est glabre. Elle écarte les jambes pour être plus à son aise et plaque la bouche de la fille entre ses cuisses.Déjà la langue s’active. La Maîtresse soupire, murmure.
« - Vas-y, c’est bien… espèce de bouffeuse de chatte. Applique-toi, oui… Tu n’échapperas pas à ta punition, mais elle sera peut-être moins cruelle si tu me fais bien jouir… »
Jenna est subjuguée par le spectacle, mais presque choquée ; elle n’a jamais assisté à une telle scène dans une maison aussi riche, chez des gens aussi chics. Les autres gens continuent à discuter, sans faire attention à ce qui se passe à portée de leur main.
La femme brune finit par jouir longuement, mais de façon assez discrète. Elle se tend en arrière, tout son dos s’arque, et elle agite de coups de reins la tête de la soumise.
Quand enfin elle se calme et que ses mouvements d’ondulation cessent, elle relâche enfin le beau visage juvénile et Jenna voit que la bouche et le menton sont tous luisants de mouille. Des gouttes tombent au sol. Elle donne alors des consignes que Jenna n’entend pas. Ses yeux sont fascinés par la scène qui s’ensuit, et elle n’arrive pas à les détacher du spectacle auquel quelques personnes s’intéressent.
Deux hommes ont saisi la soumise et l’ont fait monter à genoux sur un large fauteuil.Et tandis que la maîtresse de maison commence à s’harnacher avec un gode-ceinture, les deux acolytes pressent les seins de la jeune femme, les tirent vers le bas de plus en plus fort comme s’ils voulaient les allonger, commencent à lui étirer les pointes, lui arrachant de temps en temps des petits cris réprimés.
Elle pousse un grand cri de surprise quand la sexagénaire lui claque violemment les deux fesses de façon simultanée. Puis elle les lui écarte, les caresse, et les enduit d’un gel tout brillant.Ses mains se posent sur ses hanches tandis que d’une seule poussée elle lui enfile la chatte.La jeune brune émet un long feulement qui devient rapidement saccadé et ponctué de halètements.La maîtresse de maison a un sourire vicieux et satisfait. Pourtant on aurait cru qu’elle n’avait pas envie de la récompenser. A longs coups de reins souples elle la prend méthodiquement comme un homme. Elle tire manifestement sa jouissance psychique de la domination de la jeune trentenaire.
Jenna apprendra en rentrant de la soirée qu’elle est l’épouse d’un homme très riche qui n’a même pas participé à la soirée. Il voulait la confier au couple de riches pervers pour qu’elle s’épanouisse en accomplissant ses désirs de soumission.Et pour l’heure, elle ne doit pas être déçue !
La maîtresse de maison ralentit soudain, se penche sur sa femelle, lui caresse le dos, et lui dit près de l’oreille mais suffisamment fort pour que tout l’entourage entendre :
« - Tu ne seras vraiment à moi qu’après ce que je vais te faire… Tu me lécheras les pieds de reconnaissance, tu me mangeras dans la main… petite pute ! »
Et là-dessus elle se met à lui enduire l’entre-fesses avec insistance. La jeune frémit. Se crispe un peu. La sexagénaire lui a introduit un doigt, puis deux.
« - Tu es si étroite, petite catin… Tu vas la sentir passer. Tu vas être toute à moi…— Oh oui… » gémit-elle.« - Ferme-là ! » s’exclame-t-elle avec autorité et lui en assénant une violente claque sur la fesse droite, « tu parleras quand je te le demanderai ! »
Quand la maîtresse de main, son gode fermement tenu dans la main, force sur la rosette, elle se met à pousser des cris déchirants… Elle doit avoir l’impression d’être fendue en deux, vue l’énormité de l’olisbos qui lui ouvre l’anus.
Elle lui force lentement les reins, s’enfonce avec patience en prenant son temps ; la possession complète demande du temps, mais la maîtresse des lieux n’est pas pressée.Cela prend de longues minutes avant qu’elle arrive à lui ouvrir le derrière jusqu’à pouvoir s’enfoncer jusqu’à la garde. La jeune brune doit être fendue en deux, ses cris ne s’interrompent pas, au risque d’irriter sa sodomisatrice et l’assistance, mais la brune ne s’en émeut pas et continue sa besogne. Quand l’emprise est totale, elle assure sa possession en crispant ses mains sur les hanches de la fille, et se met à la travailler à longs coups de reins souples.La jeune continue à beugler au rythme des coups de boutoir. Sa maîtresse a un sourire sadique de contentement.
Jenna est comme paralysée et elle regarde la scène depuis le début, les yeux écarquillés.Bien entendu ça n’a pas échappé à la maîtresse de maison. Et soudain elle la regarde avec dans les yeux une lueur mauvaise, et s’adressant à elle, elle lui jette :
« - Tu vois ce qui arrive quand on est une vilaine fille ? De toute façon tout ce qui entre ici, chez moi, est à moi… Tu vas subir le même sort avant la fin de la soirée. J’ai vu que tu avais un beau cul, il va être à moi de la même façon que celui-ci.…Mais pour le moment approche ! »
Jenna reste comme figée par la peur, interdite.Mais avant que l’ordre soit réitéré avec courroux, cette fois, elle sent une main qui saisit doucement mais fermement sa nuque et la pousse vers le fauteuil.
« - Fous-toi à genoux, salope, et bouffe-moi la chatte. »
Elle semble dégoûtée et un peu révulsée par le tour que l’aventure prend pour elle. Mais d’autres mains appuient sur ses épaules et la font descendre à genoux.On attire son cou et le dirige jusqu’à ce que sa bouche soit juste en dessous de la fourche de la sexagénaire vacharde. Une main impérieuse appuie sur sa tête. Elle n’a plus le choix.Elle comprend qu’elle a intérêt à faire ce que cette maîtresse-femme lui a ordonné car elle devine toute l’imagination de sa cruauté.Plus que la douleur c’est l’humiliation qu’elle redoute désormais.
Alors, tant bien que mal, et essayant de suivre la vulve de la maîtresse dans ses mouvements de va-et-vient d’arrière en avant, elle sort sa langue et lèche les nymphes qui dégoulinent, encouragée soudain par celle-ci, dont la voix devient trouble puis rauque :
« - Oui vas-y, lèche-moi bien salope, fais-moi reluire… et applique-toi… Tu as intérêt à me faire jouir… Conduis-moi jusqu’à l’orgasme… Sinon je te fais fouetter à sang ! »
Sa voix s’étrangle d’excitation, et plus vite sans doute qu’elle n’aurait voulu, elle part d’un long orgasme, presque douloureux…Elle s’est agrippée durant cette montée du plaisir à l’épaisse tignasse brune de Jenna, lui tirant les cheveux de plus en plus fort, si bien que, quand la cavalcade est terminée, c’est décoiffée, échevelée que celle-ci s’est relevée… et elle a perdu de sa superbe.
Je la prends à nouveau gentiment par le bras et l’éloigne un peu, au gré des conversations, de la maîtresse des lieux, ce qui tend à la rassurer un peu et à lui redonner un semblant de prestance.
Tout ce beau monde continue à deviser, à discuter en rivalisant d’esprit, ce qui n’empêche pas de temps en temps que des propos grivois, voire graveleux, soient lâchés au détour d’un propos mondain. Jenna semble parfois choquée par les vulgarités qu’elle entend au milieu de propos raffinés, de phrases à faire rougir un hussard après une parole philosophique ou juste après un sujet culturel. Je ne me prive pas non plus, habitué de ce genre de soirées, et tout échauffé par l’ambiance, l’alcool, et le spectacle auquel nous venons d’assister.
Ainsi une femme d’un âge indéfinissable se tient tout à côté de moi, juchée sur des talons aiguilles et portant une mini-jupe qui ne s’accorde vraiment pas avec son allure de rombière.Son postérieur massif et saillant fait remonter sa jupe sur ses bas couleur chair et lui donne un air de vieille pute.
« - Vous avez vu, Jenna » dis-je en désignant cette voisine, « Madame est encore mieux dotée que vous question fessier » Et joignant le geste à la parole je me mets à palper sans vergogne à travers la jupe le gros joufflu de la dame, qui refrène un gloussement de surprise. Ma main descend sur la cuisse pour remonter sous la jupe, rencontre le haut du bas (elle porte manifestement un porte-jarretelle) puis une des grosses fesses… qui est nue !Je me mets à la peloter avec sans-gêne et elle se trémousse sous le geste qui ne montre aucune douceur.
« - Par contre » dis-je alors que mes doigts ont trouvé le sillon fessier bien encaissé entre les masses adipeuses, « vous, Jenna, question étroitesse, je sais que vous avez peu de rivales… — Vraiment ? » s’étonne son voisin de gauche, « vous semblez bien sûr, mon ami… Vous permettez que je vérifie ? »
Et sans attendre ma réponse, sachant acquis d’avance mon consentement, il a déjà passé sa main droite sous la robe de Jenna et cherche déjà très vite le chemin de son cul. Celle-ci tente d’abord de se dérober, puis, se rendant compte que ça n’est pas l’endroit pour faire sa mijaurée, ce serait plutôt déplacé, se laisse faire de mauvaise grâce, vaincue.
Elle ne peut retenir un petit cri quand son vicieux de voisin lui insinue un doigt dans le cul ! Tandis que je suis moi, encore, en train d’effleurer la pastille de ma voisine, cherchant comment je vais la pénétrer, il s’exclame avec joie et victorieusement :
« - Ah mais oui… ! Vous avez raison, quel cul étroit ! Mais elle n’a jamais été sodomisée, cette belle bourgeoise… ???— Détrompez-vous, je la travaille par le cul chaque fois que j’en ai le loisir… mais c’est presque miraculeux en effet : elle reste aussi serrée qu’une jeune fille……ce qui n’est pas le cas de cette dame… » dis-je alors que mon second doigt a déjà rejoint le premier que j’ai enfilé dans son canal culier, « on voit bien que celle-là a été longuement pratiquée du cul… Et qu’elle aime ça ! » rajouté-je. La femme m’adresse un sourire de contentement et d’acquiescement. « D’ailleurs quand une femme met pareillement en évidence son gros cul, c’est qu’elle n’attend que ça… ! N’est-ce pas, Madame ?— Irène » me susurre-t-elle« - Je me fous de ton prénom ! J’ai deux doigts dans ton cul et ici tu es une chienne, compris ?!— Oui Monsieur » dit-elle en baissant les yeux, son dos commençant à onduler tellement mes doigts la fouaillent.
« - Et si on comparait… ? » dit le voisin de Jenna. « Je veux dire, les deux mains à la fois…— Excellente idée ! » dis-je avec enthousiasme.
Et nous faisons installer les deux femmes à genoux côte à côte sur un canapé, la brune quadra au beau cul étroit et la quinqua bien mûre au large fessier, et nous leur enjoignons de se retrousser, de remonter robe et jupe sur les reins.Les deux femelles dociles s’exécutent, nous dévoilant deux somptueux fessiers, bien développés, qui appellent la fessée.Nous leur enjoignons de se cambrer au maximum, d’écarter les cuisses. Les deux chattes bavent de concupiscence et d’excitation.De plus en plus d’invités se sont rapprochés pour regarder.
L’homme qui a proposé ce test passe bien entendu en premier, ce qui n’est que normal, puisque c’est lui qui en a eu l’idée. Il se positionne devant les deux fessiers et ses deux mains, simultanément, se fraient un passage entre les globes offerts. Il introduit ses deux index en même temps dans les deux petites rosettes et se met à les fouiller avec délice. Il les travaille plus qu’il n’est nécessaire, car la différence ne fait pas l’ombre d’un doute.
Quand il retire ses doigts il se retourne vers l’assistance :
« - Au suivant. Mais faites comme moi, ne communiquez votre conclusion qu’à la fin, quand tous ceux qui les auront testés seront passés. »
Tous les présents prennent leur tour, et il y a bien entendu des femmes.Chacun et chacune les doigte, et chaque opération dure bien une demi-minute.Quand le tour de la maîtresse de maison arrive, elle leur assène bien sèchement en même temps et en cadence des claques qui résonnent violemment dans le salon. Les deux femmes crient, surprises. Et encore plus quand elle leur enfonce d’un coup sec et sans douceur un puis deux doigts dans le fondement. Jenna rue presque mais se fait admonester par la Maîtresse.
D’un ton très sec, contrevenant à la consigne qui vient d’être donnée (mais se prévalant sans doute du privilège d’être la propriétaire des lieux, et partant - selon la règle de ces soirées – des femelles qui y sont, le temps de la réception), elle déclare d’un ton très sérieux, presque solennel :
« - En effet, cette Jenna a un trou du cul bien trop serré. Il va falloir y remédier dès ce soir. Ce sont ces messieurs qui vont être contents : ils vont devoir la sodomiser, la besogner, l’élargir… j’y veillerai personnellement. Et je constaterai moi-même le résultat à la fin… avec mon plus gros gode, s’il le faut ! Pour le moment, chérie, tu vas te relever et rester avec la robe relevée sur le ventre, ta chatte et ton cul au vu de tout le monde.Et vous, Madame la préfète » (s’adressant à la vieille châtain au gros cul) vous allez vous positionner dans les sanitaires, service toilette ! La Directrice Générale des Services de la Ville qui y fait office depuis une bonne heure doit commencer à déborder de partout… Il faut que quelqu’un la remplace. »
Comme j’ai une envie croissante depuis un moment, après un petit toast je me rends dans les sanitaires tout de marbre et me soulage dans l’urinoir.Madame la préfète est à genoux dans un coin, face au mur de faïence, bien sagement immobile, exhibant ses grosses masses fessières avec ses bas qui plissent légèrement.Comme j’ai déjà doigté son cul et qu’il ne me tente guère, je lui ordonne de faire un demi-tour sur ses genoux et lui mets ma queue dans la bouche.Cette femme manifestement expérimentée se met en branle et sa bonne bouche me suce avec zèle.Je lui demande d’arrêter avant que je jouisse, lui enlève ses lunettes de vieille taupe et lui administre une paire de gifles à la volée pour la remercier.
(A suivre…)
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