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  • Concours Xmas - Contes de Noël

Giant Xmas

Chapitre 1

Erotique
Suite au traditionnel cortège de la Saint-Nicolas durant lequel le Saint Patron de la ville de Fribourg lançait des petits gâteaux aux 30’000 personnes qui se "battaient" pour en avoir un, j’avais un peu mal au dos. En effet, faisant partie des chanceux ayant réussi à attraper des petits gâteaux, j’avais dû suivre Saint-Nicolas sur la totalité de son parcours. Bien entendu, au milieu de 30’000 personnes, il était plus difficile de se faufiler et de rester à la hauteur du Saint-Patron. Cependant, le résultat était là : j’avais dans mes poches 8 petits gâteaux.
À la fin du parcours, toujours selon la tradition fribourgeoise, Saint-Nicolas monta sur le balcon de la cathédrale pour prononcer son allocution qui allait reprendre les actualités de l’année 2016. Lorsque le Saint-Patron eut terminé son discours, je me dépêchai d’aller prendre le bus pour rentrer chez moi me reposer un peu en raison du mal de dos que la chasse aux petits gâteaux avait occasionné.
Le lendemain, en me réveillant, je constatai que mon dos me faisait toujours souffrir. La nuit de sommeil n’avait servi à rien. Je résolus donc de m’offrir une séance de massage en espérant que celle-ci puisse atténuer ma douleur.
Après avoir pris une petite collation, je me rendis au magasin Manor du centre-ville de Fribourg dans le but de me renseigner sur cette fameuse offre qu’ils appelaient « Giant Christmas ». J’espérais que celle-ci prenne en compte les massages.
Dans le centre commercial, je me rendis au cinquième étage du magasin, où se trouvait le service client. Sans devoir attendre en raison de la file, je m’adressai directement à l’employée qui se trouvait derrière le guichet en lui exposant ma situation. En me souriant, elle me tendit une brochure de l’offre «Giant Christmas». Je la remerciai et feuilletai la brochure tout en cheminant.
Au milieu de la brochure, je trouvai ce sur quoi j’espérais tomber : une séance de massage. Sans réfléchir, je composai le numéro de téléphone indiqué sur le document. Au bout de trois sonneries, une voix féminine me répondit.
— Massage Xmas, bonjour !— Bonjour, j’ai vu votre offre dans une brochure à Manor et je souhaiterais prendre rendez-vous. — Bien entendu. Quand est-ce que ça jouerait pour vous. — Euh... Le plus tôt serait le mieux. Comme j’ai très mal à mon dos, j’espère pouvoir le soulager rapidement avec un message. — Je comprends, Monsieur. Le plus tôt que nous ayons est cet après-midi à 15h. — Cet après-midi à 15h ? Parfait, ça marche. Merci beaucoup, au revoir. — Bonne journée, à tout à l’heure.
Après avoir raccroché, je consultai l’horloge de mon téléphone. Il était 13h, ce qui me laissait deux heures à tuer avant mon rendez-vous. Je décidai de marcher un peu dans la ville avant de me rendre au salon de massage.
Une heure et demie plus tard, alors que je me baladais tranquillement dans le quartier du Schönberg, je pris le parti de prendre le bus jusqu’au centre-ville pour gagner le salon de massage. Après avoir attendu durant 10 minutes sur le transport et 10 autres minutes de trajet, je parvins à mon objectif.
Je poussai une porte qui me laissa accéder à un magnifique hall de marbre blanc. En face de moi, une réceptionniste souriante me fit signe d’approcher. Je m’avançai vers cette jolie jeune femme, pensant qu’elle allait m’indiquer où je devais aller pour profiter de mon massage.

— Vous êtes le jeune homme qui a pris rendez-vous pour 15h ?— Oui. — Suivez-moi.
La réceptionniste me guida jusqu’à une petite salle agréablement décorée d’un sapin de Noël et de petites guirlandes électriques multicolores. Concernant l’ameublement, la salle était en revanche bien pauvre avec son fauteuil rouge et sa longue table en bois.
— Restez ici, Monsieur. Une masseuse va venir dans quelques instants.
La réceptionniste sortit de la salle, me laissant seul dans l’attente des mains qui allaient peut-être pouvoir soulager mon dos.
Alors que je contemplais les guirlandes passer d’une couleur à l’autre, la porte s’ouvrit, ce qui eut pour effet de me faire sursauter et de provoquer un petit rire féminin dans mon dos.
— Excusez-moi, Monsieur, je vous ai fait peur. — Non, non, Mademoiselle. J’étais juste un peu... Perdu dans mes pensées.
Tandis que j’essayais de détailler cette jolie jeune femme brune à la poitrine ni trop généreuse ni trop petite délicieusement cachée par un soutien-gorge rouge orné d’un morceau de coton blanc, je ne pus m’empêcher d’avoir l’impression que je l’avais déjà vue à quelque part.
Mon cerveau refusant toujours de mettre un contexte sur cette belle jeune femme, mes yeux s’attardèrent sur ses hanches sculptées et sa petite culotte assortie à son soutien-gorge. En imaginant cette délicieuse me toucher, même si ce n’était que mon dos, je sentis mon sexe se dresser sous mon pantalon.
Apparemment habituée à ce genre de réaction, la jeune femme rit aux éclats.
— Apparemment, je vous plais dans cette tenue.
Je voulus répondre un « Oui, beaucoup.» mais mes lèvres ne purent que se figer dans un sourire béat qui se voulait affirmatif.
Reprenant son professionnalisme, la masseuse me recommanda de me mettre en sous-vêtements, ce que je fis non sans une certaine gêne puisque mon sexe, masqué par nul autre rempart que mon boxer, était encore à demi-dur et formait toujours une bosse plus qu’explicite à travers le tissu.
En me voyant dans cet était, la masseuse se contenta de me sourire et me dit de m’allonger sur le ventre. Je pris donc place sur la table en bois, les bras le long du corps, et la jeune femme prit gentiment possession de mon dos.
Le fait de sentir ces délicates mains féminines parcourir mon dos me procura une sensation de bien-être que je manifestai de temps à autre par des ronronnements de satisfaction. Je demeurai durant près de 30 minutes dans cet agréable état second.
La masseuse me demanda alors si je souhaitais un massage des épaules. Tant qu’à faire, autant en profiter. Je hochai donc la tête en signe d’acquiescement et la jeune femme m’invita à prendre place dans le fauteuil. Elle se plaça ensuite derrière moi et ses mains malaxèrent lentement mes épaules.
Je sentis les mains de la jeune femme monter et descendre entre mes épaules et mes omoplates puis je perçus vaguement un mouvement de son corps vers l’avant.
C’est alors que mon épaule entra en contact avec ce qui, au vu de la consistance et de la taille, me semblait être un sein. Deux bras nus enlacèrent ensuite mon cou et une bouche pulpeuse et sensuelle embrassa mon cou et ma joue.
Aussitôt, mon sexe reprit de la vigueur. Cette jolie jeune femme qu’il me semblait avoir déjà vue auparavant était vraiment douée en tant que masseuse et pour chauffer les hommes.
Les deux bras libérèrent mon cou puis la bouche se retira et le sein se détacha de mon épaule. La masseuse fit le tour du fauteuil pour se placer juste devant moi et mon sexe rigidifié par son petit numéro de charme.
La jeune femme s’agenouilla devant moi et caressa ma verge à travers le tissu de mon boxer qu’elle finit par faire tomber à la hauteur de mes chevilles. Elle eut un sourire ravi en voyant mon engin au garde-à-vous. Sa main se referma doucement sur mon organe et sa langue alla tâter mon gland, me faisant ressentir de petits picotements liés à l’excitation.
Lorsque mon gland se fut fait aussi gros qu’il pouvait l’être, la bouche de la jeune masseuse le goba lentement tandis que ses mains caressaient mon ventre.
Incapable, tant par timidité que par satisfaction, d’en demander plus, je me laissai aller à la caresse experte de la jeune masseuse.
Alors que j’étais sur le point de jouir, la jeune femme recracha mon sexe, me faisant perdre l’envie d’éjaculer. Je la regardai d’un air frustré, ce qui la fit sourire.
— Ne t’inquiète pas, bel Apollon. Je sais comment on va finir tous les deux.
La jeune femme s’assit sur mes genoux et m’embrassa avec passion tandis que sa main masturbait tranquillement ma verge. Je profitai de notre baiser pour lui caresser les seins et les hanches. Nos langues dansèrent ensemble jusqu’à ce que j’éjacule dans un râle de plaisir.
Elle se saisit d’un mouchoir qu’elle avait caché dans son soutien-gorge et nettoya mon sexe et mon ventre. La jeune femme me laissa ensuite me rhabiller et nous nous saluâmes d’une simple bise avant de nous séparer.
Mon dos ne me faisait plus mal mais maintenant que mon cerveau était à nouveau capable de réfléchir, je souhaitais mettre un contexte sur le visage de cette belle jeune femme qui venait de me faire tant de bien. En repassant dans ma tête tous les éléments de la journée, je me souvins. Oui, c’était elle !
FIN
P. S. : une partie de ce texte est vraie, l’autre inventée. À vous de faire le tri. À vous également d’essayer de deviner qui est cette jeune femme dont "je" me souviens à la fin de ce texte.
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