Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 0 Commentaire

Gisou

Chapitre 1

Hétéro
Notre histoire est simple. J’ai rencontré une belle blonde chez des amis communs. Pendant presque tout le repas, elle ne m’a pas quitté des yeux, elle m’espionnait sans doute. Les agapes duraient longtemps; trop sans doute pour elle, elle parlait, seulement à moi, à croire que les autres convives n’existaient pas. Je lui avais tapé dans l’œil certainement.J’en étais presque gêné. Nos hôtes ont eu la bonne idée de mettre de la musique, justement un air à la mode que je fredonnais juste avant que les autre reprennent en chœur. Si elle était charmante; belle et tout et tout, elle chantait épouvantablement faux. Je le lui disais, sa réponse me décontenançait: — Vous savez, pour faire taire une femme, il n’y a qu’uns solution.— Je la connais, je ne vais pas l’employer comme ça devant les autres.— Vous auriez honte de m’embrasser?— Moi, Honte d’embrasser une fille? Jamais.Je l’ai embrassé sans provoquer de scandale, au contraire la maîtresse de maison s’est mise à applaudir, suivie pas tous les autres. En plus sa bouche était douce, ses lèvres et surtout sa langue. Ce baiser n’en finissait pas, elle tenait à le faire durer. Je n’avais rien contre. Plus tard la musique devenait dansante: nous nous sommes levés et là dans mes bras elle s’abandonnait. Cette fois c’est moi qui avait envie d’un baiser encore profond. Nous sommes partis ensemble. Le lendemain matin trop tôt je reçois un coup de fil de l’hôtesse:— Alors raconte, vous avez couché?— Pas du tout.— Si tu avais voulu, tu aurais pu. — J’aurais bien aimé, c’est elle qui s’est refusée.C’était vrai en sortant je voulais la faire venir chez moi pour la nuit, elle m’a regardé d’un air offusqué: — Je ne couche jamais le premier soir. Rendez vous demain devant le restaurant RRRRRRRRR. A propos, je m’appelle Gisou.Je me suis tenu à ses désirs. Le lendemain j’étais à la bonne heure devant le restaurant. Je ne tenais pas à la manquer, elle était trop belle, presque trop pour moi, pauvre garçon qui se trouve moche. Je m’attends à patienter longtemps. Non, elle arrive pile à l’heure. Je la vois venir, sa robe flottante sur ses hanches, un léger pull posé sur les épaules.Elle est plus belle qu’hier. J’adresse des prière à Eros pour qu’elle accepte aujourd’hui mon invitation. Il est tôt, elle m’invite à entrer dans le restaurant. Le maître d’hôtel, devinant une idylle, nous place dans un angle de la salle pour que nous ne soyons pas dérangés. Il fait bien, nous sommes assis en face d’un de l’autre, je prends ses mains. Elle me les abandonnent volontiers. Je les caresses comme je ferais à un petit chat. Je suis obligé d’arrêter quand on nous porte le menu. Je patiente jusqu’à ce qu’on serve. Gisou, elle n’abandonne pas, c’est elle qui prend une main; Je peux mieux la voir que la veille. Ce n’est pas une belle fille, c’est une très belle fille. J’ai raison de la désirer. J’espère qu’elle voudra de moi maintenant, ou tout au moins sur le tard. En fermant les yeux il me semble la voir nue, sur mon lit, par contre je ne vois pas son intimité. Je ne peux que l’imaginer. C’est elle qui parle:— Je suis trop sérieuse pour céder à la tentation, c’est pour ça qu’hier je me suis dérobée. J’ai bien réfléchi. J’ai eu tort. Mais qu’est-ce que tu aurais pensé d’un fille qui se donne facilement?— Rien de particulier, sinon qu’elle en avait envie, comme moi.— Tu me voulais?— Bien sur, tu crois qu’une belle fille comme toi se refuse.— Je ne suis pas un garçon pour juger. Le dîner se sert, nous mangeons comme un couple de jeune marié d’antan qui attend la fin du repas pour aller s’aimer dans une chambre. Je demande au maître d’hôtel s’il a des chambres. Oui, il en reste une. Qu’elle belle pièce: une chambre capable d’accueillir une partouze. Je ne sais pas du tout ce que vaut Gisou dans un lit. Belle comme elle est, je suis certainement loin d’être son premier. Reste à savoir jusqu’à quel degré elle sait baiser. Nous sommes à peine entrés quand je la prend dans mes bras. Nos bouches reviennent s’amuser. Ce n’est pas parce que nos bouches sont occupées que nous restons immobiles. J’ai un bras contre ses épaules, et l’autre sur sa taille. Elle se serre contre moi, surtout le pubis. Elle sens bien sur mon désir augmenter contre elle. Je descends une main sur ses fesses. Elles sont dures l’une est l’autre. Je cherche à passer entre elles. Je n’arrive pas, alors je lève le bas de sa robe. Je trouve vite le lieu d’accès: facile: elle ne porte pas de sous vêtements. Je peux passer mon doigt derrière elle, sa raie s’ouvre comme par magie. Je sens qu’elle pousse son arrière train vers ma main. Je suis sur son anus. En forçant à peine j’entre facilement dans son cul. Elle manifeste en mordillant ma langue. J’entame le va et vient, elle accompagne le mouvement. De son coté, son ventre est collé contre ma bite. Je la sens faire de légers mouvement autour de ma queue: elle sait bien manœuvrer pour donner du plaisir à un homme. Juste au moment où elle se colle totalement à moi, je sens son anus avoir des crispations régulières. C’est son premier orgasme avec moi. La suite logique est que nous soyons tout nu. Je peux facilement enlever sa robe, légère est boutonnée par de simples boutons. Quand je la fais tomber elle est comme Dieu l’a faite. Une nudité affolante pour un homme normal. Si je ne bandais pas encore, j’exploserais. Elle sait parfaitement me rendre la politesse. Je suis moi aussi nu devant elle. Ce qui l’intéresse c’est seulement ma bite. Elle la prend dans sa main, me masturbe, ma foi fort bien avant de la lâcher:— Je n’ai pas envie de te faire jouir sans que tu sois dans mon ventre, baise moi.— Tu n’as pas honte de faire une telle demande, toi un jeune fille si pure. — C’est vrai j’étais une jeune fille pure, il y a des années, avant que mon premier petit ami me mette sa queue, là où tu vas mettre la tienne.— J’ai le choix? Je peux te baiser et t’enculer.— J’aime les deux, alors fais moi les deux. Nous avons le temps jusqu’à demain.Je la couche gentiment. Elle reste comme je l’ai mise, elle m’attend en se touchant un peu la chatte, comme pour se branler devant moi. Je veux bien la baiser ou la sodomiser, avant je voudrai connaître sa mouille, son goût, la fraîcheur de son sexe et de son cul. Ma langue doit y suffire.Après la bouche du haut je m’occupe de celle du bas. Les lèvres ne sont pas dans le même sens, peu importe. Je la lèche avant de lui mordre le clitoris. Elle se venge en tirant légèrement les cheveux. Elle veux surtout que j’aille ailleurs qu’à cet endroit. Je plonge ma langue dans son vagin. Elle appuie ses mains sur ma tête. Du moment qu’elle aime ce que je fais je continue. Je durcis la langue pour qu’elle soit comme une bite. Je la fait tourner autour d’elle. Je sens Gisou se tendre, se tordre même quand l’orgasme que j’attends arrive. Elle me relève pour avancer dans notre relation. J’arrête en cours de route, sur ses seins, durs, aux aréoles foncées.Sans rien demander, elle prend ma queue pour la poser juste à l’entrée de son puits. Avant que je sois dans sa féminité, elle passe ses jambes autour des miennes. J’entre trop lentement à son gré. Elle donne un bon coup de rein. Je suis au fond de son ventre trop vite. Sans nous concerter, nous adoptons le même rythme. Ses gémissements commencent. Ils continuent jusqu’au dernier orgasme. Je crache mon sperme dans son ventre au moment ou elle aussi jouit. Nous restons bien l’un dans l’autre sans bouger. Je me fais léger sur elle, elle me veut ailleurs. Je me relève pour la mettre sur le ventre. Je ne bande plus bien sur, mais la sensation de ses fesses autour de ma queue fait que lentement je bande. Je voudrais bien la baiser encore, Gisou n’en veut pas, enfin pas encore. J’ai la bite bien mouillée par mon sperme et sa mouille. Elle me guide vers son anus. Mon doigt y était bien juste avant, elle le remplace par ma bite. Je voudrai la sodomiser doucement pour ne pas lui faire de mal. Je suis juste dessus. Elle n’a qu’un geste à faire pour que je l’encule. J’hésite encore un peu: le geste c’est elle qui le fait. Son large coup de rein me fait entrer au fond de son cul. Les gémissements reprennent. Cette fois plus forts. Je me surprends moi aussi à gémir, son cul est tellement agréable. Je ne crois pas avoir pris autant de plaisir dans un cul que dans le sien. Il faut croire que pour elle c’est presque pareil. Elle arrive à me faire retourner sur le dos, elle étant toujours avec ma bite dans l’anus, pour faire elle-même les allers et venues. Je peux la branler lui donnant ainsi un plaisir supplémentaire. Elle caresse ses seins. Le nuit continue entrecoupée de rares périodes de sommeil et de longues périodes de baise. Elle est sacrément douée pour le plaisir.Plus tard quand nos amis nous demandent comment nous avons vécu l’après dîner, nous ne répondons que par un sourire. Nous baisons toujours.
Diffuse en direct !
Regarder son live