Il est deux heures du matin lorsque je me glisse sous les draps. Mon mari dort depuis longtemps son corps est chaud, invitant. Sans préambule, je prends son sexe à la peau flétrie entre mes lèvres pulpeuses, je l’enfourne au complet, jusqu’à la base. Son pénis, bien que tout chaud danse mollement le tango avec ma langue, qui ondule doucement j’espère qu’il se réveillera... De fait, mon homme grogne et tire machinalement le drap pour se couvrir un peu plus. Son membre s’anime. Je sens les pulsations de son cœur parcourir sa verge, qui durcit rapidement bientôt, ma bouche n’arrive plus à contenir son beau gros sexe, qui s’éjecte hors de ma bouche. Je le savoure je l’embrasse et je le lèche avec passion, avec amour. Je ne sais pas si c’est la culpabilité ou l’excitation qui me pousse à agir ainsi. j inonde son pénis de salive et je descends ma langue jusqu’à son petit sac, dont j’aspire délicatement chacun des précieuses noisettes. Ma main parcoure sa magnifique verge qui se dresse fièrement vers le ciel pendant que je lèche doucement sa bourse toute douce fraîchement rasée. Il gémit, il s’agite. Je sens sa jouissance qui monte.... Ah non, pas sans moi !!! Sans attendre, je l’enfourche et je fais pénétrer son sexe massif dans ma chatte. Son membre me remplit, m’électrise et j’exulte ma joie en poussant une longue plainte qui résonne dans la chambre assombrie par la nuit. Sa présence large et chaude, me fait frissonner de plaisir. je contracte mes muscles autour de sa queue pour mieux le sentir pour mieux m’en emparer. J’aime mon homme, j’aime son sexe, j’aime ce sexe qui me fait tant jouir. Mon bassin s’agite frénétiquement sur son manche. Il ne me faut que quelques secondes pour qu’un puissant orgasme me submerge et parcoure ma colonne de bas en haut. Je convulse de plaisir avant d’agripper mon chéri qui poursuit son mouvement de va-et-vient. Je l’embrasse en prenant son visage pendant qu’il s’empare de ma croupe et s’enfonce tout au fond de moi en grognant. Je sens sa verge se gonfler puis expulser sa semence en jets successifs. Il se déverse par vagues que j’accueille en moi avec bonheur. Ma tension s’évanouit aussitôt et je me laisse choir sur lui. Nous restons ainsi un bon moment. Mon chéri respire profondément, il s’est rendormi. Je me retourne sur le dos étendu contre lui, contre sa peau. Le passé me rattrape. Les images de cette soirée passée quelques heures plus tôt avec Chantal reviennent me hanter avec leurs lots d’émotions. Je ne sais que faire, je ne trouve pas le sommeil. Je ne sais si je dois avoir honte ou être fière d’avoir accompli tant de choses dans une même soirée. J’ai toujours eu beau coup de fantasmes. Mon homme et moi en avons réalisé plusieurs. Nous avons fait l’amour avec un de ses copains, nous avons baisé près d’un autre couple, nous avons vécu une expérience en public et j’ai fait l’amour avec une femme. Chaque fois nous vivions notre fantasme ensemble ou, a tout le moins avec l’assentiment de l’autre. Mais ce soir, j’ai brisé cette règle et je flirte avec les remords. Je n’avais pas eu de nouvelles de Chantal depuis plus d’un mois. Après avoir passé tant de temps à la consoler à la suite de sa douloureuse rupture d’avec son mari, je me questionnais non sans un brin d’inquiétude. Elle refit surface la semaine dernière. Elle avait beaucoup changé. Elle arborait un look plus provocant et plus noir. Elle insista pour que nous partions à la conquête des bars de la ville, comme nous le faisions a l’époque. Ce a quoi j’acquiesçai sans hésiter. Si une virée entre fille pouvais lui remonté le moral je n’avais rien contre. Le moment venu, elle passa a la maison pour me prendre j’embrassai mon beau chéri et nous partîmes pour une soirée bien arrosées. Après un bon souper en compagnie d’une bouteille de vin et d’un apéritif, Chantal me proposa daller dans un club de danseurs. - Des danseurs ? Lui répondis- je dédaigneusement. — Allez, ne fais pas cette tête la on va s’éclater et moi, j’ai envie de voir des beau mâles. — Sont tous gais ! — Arrête, ce son des rumeurs, et puis on s’en fout, moi je veux de la peau ! Nous prime donc le chemin d’un club bien connu. Il y avait déjà foule et nous dûmes donner un généreux pourboire pour finalement nous retrouver dans le fond de la salle nous avions peu de chance de voir ce qui se passait sur la scène. Après quelques verres, Chantal se leva et partit à la recherche d’un de divertissement. Elle revint quelques minutes plus tard en compagnie d’un jeune homme musclé, et somme toute très mignon, on beau yeux bleus et aux cheveux bruns. Il avait un sourire à faire fondre la plus mariée et la plus fidèle des femmes.... Après avoir mis un deuxième billet de 20 dollars dans son cache-sexe, notre beau danseur commença à se rapprocher de nous. Il nous était strictement interdit de toucher. Dave le savais très bien et faisais onduler son bassin a quelques centimètre de nos visages ébahis. Chantal allait sortir un autre billet lorsque Dave enleva son string d’un simple clic, exposant son magnifique appendice à demi bandé Il était complètement rasé, circoncis et possédait un gland imposant et luisant. Je m’empressai d’ajouter quelques dollars a la mise de Chantal. Nous étions dans un coin sombre, pratiquement à l’écart du regard et notre adonis commença une chorégraphie destinée à nous faire perdre la tête. Dave s’employa a faire danser son membre sous notre nez avec une sensualité et une adresse a transformer mon petit ruisseau tranquillement en rivière tumultueuse. Il avait un parfum bon marché, mais qui donnait envie d’engloutir cette belle queue rose qui se dandinait tout près de ma bouche. Cette belle chair fraîche creusait mon appétit et me donnait envie de l’enrober de mes lèvres chaudes. Chantal s’approcha de lui, je craignais qu’elle l’embrasse, mais elle lui souffla quelle que mot a l’oreille. Quelques secondes plus tard, notre beau Dave nous faisait l’honneur de nous présenter son membre aussi raide qu’un manche en bois. Nous salivions. Je sentais une grande chaleur émaner de mon entre jambe. J’étais certainement en train de détremper ma petite culotte. Dave prit la main de Chantal et nous fit signe de le suivre. Il y avait une porte noire dans un petit coin sombre de la salle. Il cogna et on lui ouvrit la porte il adressa quelle que mot a ma copine et elle m’invita à la suivre Nous montâmes un escalier et, rendus tout en haut, un type plutôt baraqué nous ouvrit la porte. Il y avait un long couloir sombre avec une série de porte chaque coté. — Les porte noires sont réservées, pour vous les filles, ce sont les grises. Amusez vous c’est gratuit pour vous les femmes, nous lança l’homme avec un léger sourire. Chantal se dirigea rapidement vers une porte qu’elle ouvrit aussitôt. — Prends la deuxième porte et assieds- toi tu n’auras pas trop longtemps a attendre. Tu verras, c’est très excitant, met dit-elle, en pressée de refermer la porte. Perplexe, mais très fébrile a l’idée de découvrir ce qui se cachait derrière ces portes closes, j’entrai dans le petit cubicule. Je verrouillai la porte, comme elle me le suggéra, puis je posai mes fesses sur un banc face à un écran qui s’allume. Pouvais y visionner des films XXX selon le genre qui me plaisait je choisis les scènes a trois avec deux hommes le fantasme le plus torride que je réalisai en couple. Bien que les images avaient un certain effet sur mon excitation, je ne comprenais pas trop l’intérêt de venir s’asseoir dans une telle cabine, hormis la possibilité de me masturber en toute quiétude pour libérer la tension accumulée après avoir frôlé la magnifique queue de Dave. J’en étais encore toute retournée. J’ouvris les jambes et je commençai à me caresser. Une chaleur intense se dégageait de ma chatte. Mes doigts pénétrèrent dans ma fente généreusement lubrifiée avant de s’y promener allégrement A peine eus- je posé les fesses par terre que je vis un peut de lumière sortir par le petit trou au centre d’un des murs de coté. Je m’approchai à quatre pattes pour y jeter un coup d’œil lorsque surgit un pénis presque en érection. Je lâchai un petit cri, sur prise par cette soudaine apparition. Il étais évident que l’homme de l’autre coté s’attendait a quelque chose de ma part. Amusée et incrédule (mais si peu...), je m’approchai de cette verge anonyme. Jens découvris le gland et je le soulevai délicatement en le caressant du bout des doigts. La réaction fut immédiate et la queue durcit en pointant vers le haut. Sans vraiment le masturber, j’entrepris de lui prodiguer quelques petits soins qui furent assez bien reçus. Je pouvais sentir le cœur de l’homme battre a travers son membre maintenant dur et raide. J’étais à la fois intrigué et flattée de constater que je pouvais faire bander un inconnu avec quelques caresses. Je serrai ma main autours de son manche et je commençai un lent mouvement de va-et-vient. L’homme n’était pas circoncis et je pouvais allégrement ramener sa peau jusque sur son gland. Aimant visiblement mon attention portée a son sexe, le monsieur s’avança et se colla contre le trou, jeune, vieux, gros, laid ou beau comme un dieu grec, je n’en avais pas le moindre idée son sexe se dressait fièrement entre mes doigts et je me trouvais de plus en plus excitée par cette subite, mais stimulante tache. J’accélérai le mouvement en accentuant la pression autour de la tête de sa verge. Celle-ci se gonfla et puis, sans avertissement, une longue giclée laiteuse en fut expulsée. L’homme contracta son sexe a plusieurs reprise et se déversa tout autant a la fois sur le plancher.... ainsi que sur ma robe. Lorsque l’homme se retira je tentai de voir qui était l’heureux propriétaire de cette belle queue. Surprise par ce que je venais d’accomplir j’étais curieuse et très excitée. J’approchai mon œil contre la paroi, mais l’orifice se referma aussitôt. Toujours penchée je cherchais une autre ouverture quand je sentis une pression a l’arrière comme si quel qu’un me tapait sur la fesse. Je me retournai vivement. Quelle ne fut pas ma surprise d’apercevoir une autre verge qui dardait le derrière. Bien plus grosse, très nervuré, toute rose et déjà bien ferme, ce pénis était impressionnant. Ma tête était a quelle que centimètre de lui. Je pouvais humer un léger parfum de savon aux agrumes. J’aime la saveur du sexe d’un homme et j’avais spécialement envie de gouter a ce dernier. Je m’empressai donc de le faire disparaitre dans ma bouche et c’est avec une passion peu commune que je fis jouir cet inconnu tout au fond de ma gorge. Je n’avais pas terminé d’avaler son sperme qu’une autre queue pointait dans ma direction. je ne sais plus combien de sexes je délestai de leur semence ce soir-la et j’en aurais fait d’avantage si Chantal n’étais pas venue me chercher. — Je savais que tu aimerais petite salope. On appelle ça des ’’ Glory holes ’’ Glorieux non ? me lança Chantal, le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Puis alors que je reprenais mon souffle et que je quittais l’état d’ivresse dans lequel tant de sexe m’avait plongée, Chantal me confia. — Le propriétaire Est prêt a nous offrir 40$ par éjaculation. Tu embarques ? Me demanda- telle.
