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gourmande en déplacement

Chapitre 2

Hétéro
A genoux sur le bord de son lit d’hôtel, la tête dans les coussins, Christine subissait en gémissant les longues plongées du pieu brûlant au gland épais qui la labourait en profondeur. Chacun de ses soupirs correspondait à une plongée en elle se terminant par une butée contre son col...il la tenait aux hanches et la tête légèrement de coté se regardait entrer et sortir de son fourreau brûlant, dilatant à chaque passage les parois fuyantes de la chatte offerte a ses coups de reins. Elle le sentit se retirer, frapper ses fesses et ses lèvres intimes de son pieu tendu et râla quant il s’enfonça de nouveau en elle se plantant jusqu’à la garde la faisant se cambrer de plaisir...son pieu était sur dimensionné et elle comprenait en elle même les réticences de son épouse à se donner a lui tous les jours d’autant qu’il allait lentement ne semblant pas pressé de faireil la remplissait lentement, consciencieusement, poussant des soupirs et des grognements de bien être lui tenant les hanches pour mieux se planter en elleelle sentit un troisième orgasme monter, se mordit les lèvres pour y résister puis se tétanisa se allant aller au plaisir comme une catin...Plus rien n’existait à part ce pieu qui la labourait...Nous étions mercredi en fin d’après midi. Christine était en stage depuis lundi. Elle était arrivée le matin après une chaude nuit et dormit un peu le matin.Elle y pensait avec délectation en se rendant aux locaux de la société, rejoignant en cours de route un autre stagiaire de la région parisienne et qui logeait dans un autre hôtel a coté du sien. Ils se firent la bise et continuèrent à marcher tout en discutant du stage et d’eux mêmes. Lui aussi était marié et malheureux d’après ce qu’il disait, ne pouvant se satisfaire auprès de son épouse compte tenu de sa résistance et de la taille de son sexe.Elle le trouvait culotté d’en parler alors que deux jours auparavant ils ne se connaissaient même pas tout en émettant en elle même des doutes sur sa virilité...Il faisait toujours aussi chaud a Rouen et elle soupira disant qu’elle serait mieux toute nue sous la douche, ce à quoi il répondit qu’il prendrait avec plaisir une douche avec elle...elle le regarda sans rien dire, il avait les yeux brillants.En fin d’après midi, au moment ou les stagiaires se souhaitaient une bonne soirée, il se rapprocha d’elle et lui proposa de dîner tous les deux. Elle accepta sans hésitation précisant juste qu’elle devait prendre une douche et elle s’entendit répondre que si elle n’y voyait pas d’inconvénients, il l’attendrait sans sa chambre... elle se mit à réfléchir très vite.. après tout... elle accepta et se dirigèrent vers son hôtel.Arrivés dans sa chambre, elle posa son sac sur le lit et se tourna vers son compagnon lui demandant d’attendre « sagement » le temps qu’elle prenne sa douche. Il opina de la tête, assis sur une chaise.Elle tira le porte de la salle de bain derrière elle, fit couler de l’eau et se déshabilla rapidement, se regardant au passage et monta dans la baignoire pour se doucher, tirant le rideau derrière elle.Lascive, elle prit le temps de se savonner entièrement puis de se rincer à l’eau tiède puis froide, faisant saillir les pointes de ses seins en profitant pour les masser avant de mettre la pomme de douche tout contre son intimité et de faire de même...elle coupa l’eau, resta quelques secondes dans la baignoire et écarta le rideau pour en descendre.
Il était la dans la pièce, face a elle, nu comme un vers! Elle sursauta surprise, bouche ouverte prête a crier et ses yeux descendirent le long du corps offert a sa vue. De la touffe de poils ornant son ventre jaillissait un membre dont la taille et l’épaisseur la subjugua. Avant qu’elle ne dise un mot, il lui saisit les poignets pour l’aider à sortir de la baignoire et la plaqua contre lui lui caressant les épaules, le dos, les fesses lui murmurant qu’elle avait un corps fait pour l’amour, un ventre fait pour le recevoir, pour sa virilité, sa queuecontre son ventre elle sentait le pieu grossir et durcir, plein de sang, prêt à la posséder. Tout en se laissant embrasser a pleine bouche elle ouvrit les cuisses gémissant quand elle sentit le pieu remonter entre ses cuisses et se plaquer contre son intimité. Elle descendit la main pour le saisir constatant un peu effrayée qu’elle ne pouvait en faite le tour avec ses doigts. Déjà, les mains sous ses fesses il la soulevait pour la porter et la déposer sur le lit. Lui tenant les genoux ouverts il s’agenouilla entre ses cuisses et commença à la lécher sur toute la longueur de son sillon.. puis sa langue ouvrit ses lèvres et remonta la faisant sursauter et gémir quand elle se posa sur le petit bout tendu....sa langue était tantôt dure tantôt douce mais large et chaude, parfois lente, parfois rapide lui faisant pousser des petits cris de bonheur quand rapidement elle venait à effleurer son bouton avant de s’enfoncer dans sa chatte offerte dont il mordillait parfois les lèvres pulpeuses... elle ondulait lui tenant la tête pressée contre son ventre offert, gémissait, soupirait et haletait de bonheur, poussait des cris de plus en plus sourds, forts....se mordant la main, arquée sans retenue elle jouit longuement en haletant jouissant sans retenue sur la bouche de son partenaire.Il se releva entre ses cuisses et lui sourit j’adore ta chatte épiléeil posa son pieu tendu sur le ventre offert
tu le veux maintenant?Elle soupira en fermant les yeux posant la main sur le sexe tenduoui... prends moi je te veux...je te promets... tu vas adorer la sentir te baiser
Tenant son sexe à la base, il le glissa lentement entre les cuisses ouvertes, le faisant aller et venir le long du sillon trempé puis positionna son gland sur l’ouverture du fourreauAyant ré ouvert les yeux, elle le regardait attentivement... petit a petit le gland la dilatait... elle se cambra en frémissant.. elle le sentait... il rentrait...doucement le gland s’enfonçait en elle, large, chaud, dur et doux comme du veloursElle gémit.. le gland n’était pas encore totalement rentré qu’elle se sentait dilatée.. la pression qui se faisait sentir en elle chassait l’air dans un bruit humide... son gémissement se transforma en petit cri quand elle sentir ses muscles se refermer autour et derrière le gland... elle se passa la langue sur les lèvresviens... viens enfonce toi!... je te veux!Posant les mains de chaque coté d’elle il poussa un peu... ils étaient brûlants de désir tous les deux. Elle replia les cuisses et il poussa encore. Elle suffoquait, il la remplissait.. petit a petit son membre l’envahissait, La dilatait, la clouait jusqu’à venir buter contre son col.Alors lentement il commença a bouger en elle la faisant se tordre en râlant avant de la faire pivoter et se mettre a genoux devant lui....
elle poussa un cri a son troisième orgasme alors il se retira lentement, la fit asseoir face a lui et elle le vit se terminer a la main devant son visage. Des jets drus et épais jaillirent , elle les reçut sur le front, les yeux, les joues, les lèvres qu’elle ouvraient. Ils gémissaient tous les deux de bonheur et elle se pencha pour le prendre dans sa bouche le léchant comme une assoiffée.
Ils mirent du temps a reprendre leur souffle avant d’aller se doucher tous les deux. Elle se sentait assommée, repue mais tellement... elle ne pensait plus.
Comme ils se devaient d’aller dîner, elle enfila, à la demande de son partenaire une jupe portefeuille arrivant aux genoux et un t shirt moulant ses seins et ses pointes saillantes... A sa demande elle n’enfila rien sous sa jupe.
ils dînèrent rapidement tout en devisant sur tout et rien avant de repartit à pieds vers l’hôtel dans les petites rues. IL la tenait enlacée, serrée contre lui caressant la taille et la hanche. Sans un mot, au bout de quelques minutes elle posa la main sur la braguette et commença à le masser doucement, constatant très vite qu’il se remettait en forme... elle commença a mouiller...
ils traversaient un parc. Il l’entraîna hors des allées, la plaqua contre un arbre et sans un mot en lui ouvrant les genoux lui glissa la main entre les cuisses posant sa main ouverte sur son abricot humide.... lentement la paume ouverte il lui massa la chatte à pleine main la faisant onduler les narines pincées et la bouche entrouverte avant de lui faire pousser un gémissement quand il enfonça ses doigts tendus dans le fourreau trempe. Une main sur sa bouche, il se baissa un peu en se libérant puis en remontant lui ouvrit encore plus les genoux et s’enfonça rapidement dans sa chatte trempéeelle eut un hoquet, un spasme. Il la baisait profondément, sans ménagement, lui dilatait la chatte, la pistonnant de ses coups de reins... il était profond en elle, épais.
collée contre un arbre elle leva les cuisses pour croiser ses pieds derrière lui l’invitant à la baiser vite et comme une salope, ce qu’il faisait sans ménagement la prenant comme on prend une catin docile et offerteelle le supplia de faire vite très excitée d’être prise comme ça sans retenue contre un arbre au risque d’être vus tous les deux et en quelques minutes fit en même temps que lui recevant ses jets drus au plus profond d’elle même.Il resta collé, elle sentait son sperme couler sur ses cuisses, espérant qu’il était sain. Il la rassura de suite lui expliquant qu’il était la 1ere femme avec laquelle il trompait son épouse. Elle ne le crut qu’à moitié mais....il la raccompagna à son hôtel lui proposant en cours de route de rester un peu mais elle refusa en souriant... elle ne voulait pas de ça...
Mais il se fit tellement insistant qu’elle finit par accepter

A peine ds la chambre il la fit asseoir sur le lit face a lui, se défit et lui demanda de le sucer ce qu’elle commença sans hésitation le faisant redevenir gros et dur. Elle s’appliquait mais ne pouvait le prendre entièrement en elle, étouffant parfois sous la masse de chair tendue qu’il enfonçait dans sa bouche.il poussait des soupirs en lui tenant la tête puis lui ordonna de se mettre a genoux sur le bord du lit en l’aidant. Il remonta la jupe portefeuille admirant la rondeur des fesses blanches et rondes, le profond sillon qu’il se mit à caresser avant de l’ouvrir en s’agenouillant derrière elle et commencer a lécher l’œillet frémissant et lentement commencer à le forer en douceur lui faisant pousser un soupir en se tortillantelle adorait cette caresse intime, il le sentait bien avant de lui faire et petit a petit, de la langue et des doigts qu’il enfonçait auparavant dans sa chatte trempée il lui assouplit l’anneau y enfonçant un puis deux doigts qu’il tournait et retournait dans tous les sens.Il se releva et lui ordonna de ne pas bouger puis fila a la salle de bains et revint avec un tube de gel dont il enduisit l’œillet avec une bonne noix enfonçant de plus en plus facilement ses doigts tendus puis de son membre il claqua les fesses offertes, posa le gland sur le petit trou et commença a pousseroh non! Tu es trop gros!Elle se cambra sentant son anneau s’ouvrir lentement. Il haletait dans son dostu es trop bonne! hummmmmm trop chaude! Je dois te le faire tu vas aimerTétanisée et frémissante elle sentait ses sphincters doucement s’ouvrir, sa rondelle s’écarter sous la pression du gland...Elle respira profondément, plus fortun coup de reins plus sec il et vit son gland turgescent absorbé, avalé sentant ses muscles intimes se resserrer derrière la collerette de son gland— oh ma putain je te l’enfonce!La prenant par la taille et en appuyant pour qu’elle se cambre il pesa de tout son poids pour s’enfoncer aux trois quart en elle, lui faisant pousser un cri quand dans un dernier coup de reins il finit de s’enfoncer complètement en elle s’allongeant sur elle la bouche collée a son oreille — hummmmmm oh tu es bien étroite ! Tu me serres ! Tu me sens ? Tu aimes ?Cherchant a reprendre son souffle elle ne répondit pas de suite alors sans hésiter il lui donna un coup de reins comme pour la transpercer— réponds ! Tu aimes ?Elle répondit par un gémissement alors lui tenant les hanches il se retira presque complètement et d’un puisant coup de reins se replanta complètement en elle la faisant feuler— Alors ?— OHHHHHHHHHHHHHHHHHHH OUI !Il était brûlant et raide en elle, elle le sentait énorme, ne sentait plus que ça en elle, ce pieu qui la défonçait sans ménagement, coulisser sur toute sa longueur dans sa rondelle échaufféeIl la clouait sur le lit la limant sans pitié tout en lui murmurant des mots crus à l’oreille qui claquaient comme des coups de fouet la faisant se cambrer malgré elle pour mieux s’offrir
— hummmmmm quelle salope ! Tu es bonne a enculer... tu aimes ça dis le !
Elle avoua avec délectation non pas seulement pour lui faire plaisir mais aussi et surtout par ce qu’elle aimait ça sans retenue ce qui eut pour effet de le mettre en transes et il continua avec plus de force de lui violer les reins jusqu’à jouir sans retenue dans la croupe offerte avant de s’écrouler sur elle le souffle court
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