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Gros patron chanceux

Chapitre 1

Hétéro
Attention cette histoire est une pure fiction. Les faits et les personnages ci-dessous ont tous été inventés.
    Moi c’est François, 53 ans, 1m70, crane dégarni, joufflu, une moustache fleurie, le quintal bien passé et plutôt étoffé du bas ventre. Divorcé, depuis plus de 5 ans et étant donné mon physique ce n’est pas la fête à popol tous les jours alors je me suis noyé dans le boulot.
    Aujourd’hui, je suis chef d’une entreprise que j’ai monté il y a 4 ans avec quelques anciens collègues et amis. Depuis le début, je me charge du coté administratif mais avec l’accroissement d’activité, je ne m’en sors plus. J’ai besoin d’engager une secrétaire.
Après avoir passé des annonces, j’ai retenu 3 candidatures et je m’apprête à leur faire passer des entretiens. Plutôt bourru de nature, je suis plutôt habitué au Jeans, basket et polo. Mais comme c’est ma première expérience en tant que recruteur, j’ai fait les choses en grand pour paraitre sérieux. Aujourd’hui ce sera costume gris, chemise blanche, pantalon noir et cravate rayée grise et beige. Un déguisement qui en a fait rire plus d’un au boulot.
    Le 1er entretien se passe bien. Une mère de famille de 40 ans avec 10 ans d’expérience. Bref la candidate parfaite. Le 2ème fut une catastrophe. La candidate s’exprimait mal. Ses références étaient douteuses et niveau présentation elle était assez vulgaire. La 3ème candidate, une jeune femme d’une vingtaine d’année, tout juste sorti de l’école, cherchant son 1er job, ne pouvait venir avant 18h. Donc je suis resté au bureau après la fermeture. De toute façon j’avais du travail en retard.
    18h arrive et je l’entends sonner à la porte. Je lui ouvre et là je contemple une blonde absolument sublime. Cheveux mi long, yeux bleu azur, maquillée juste ce qu’il faut, un fessier à tomber par terre, elle porte un tailleur à la fois strict et classe par-dessus un chemisier beige dont les boutons du haut ouvert laissent entrevoir son opulente poitrine. Elle fait un bon 95D facile.
    A sa vu, je sens une bouffée de chaleur m’envahir. Mais je me devais de rester stoïque. Après les salutations d’usage, je l’emmène dans mon bureau pour lui faire passer l’entretien. Ensuite tout se passe relativement bien. Elle me décris son parcours, je lui présente la société et le poste proposé. Seulement il y a quelques détails gênants : tout d’abord son inexpérience. Mais le plus embarrassant restait quand même cette forte érection résultant de ma vision sur ses attributs … plus que généreux. J’essayais de penser à autre chose mais elle ne dégonflait pas. Alors j’essayai de la déstabiliser en lui posant la question gênante. Ce qui en suivi fut surréaliste.
— Dites moi pourquoi je devrais vous engager plutôt qu’une autre ?— Et bien je suis plutôt avenante. Je ne rechigne jamais à faire des heures sup, et puis j’ai certains talents qui pourraient … adoucir vos conditions de travail.— Comme quoi ? — Et bien je connais plusieurs méthodes pour déstresser mes collègues.— C’est-à-dire ? massage ? Infusion aux plantes ?...— Oui par exemple. Mais n’étant ni farouche ni timide, je suis aussi prête à, comment dire … passer sous le bureau.Rien que ces mots ont suffit à relancer mon érection qui commençait à désenfler.— Ecoutez, mademoiselle, j’apprécie vraiment l’intérêt que vous me portez. Mais ce que je cherche c’est une secrétaire qui travail. Pas une maîtresse.— On peut joindre l’utile à l’agréable vous savez.— C’est possible, mais ça n’est pas ce que je cherche.— Soyez honnête, depuis mon arrivée, vous n’arrêtez pas de vous plonger dans mon décolleté.
— Un mauvais reflex et je m’en excuse. Il faut dire que vous n’avez rien fait pour le cacher.
    A ce moment là elle se lève de sa chaise pour me rejoindre tout en déboutonnant son chemisier.
— Oui mais ça rend le travail plus agréable.— Euh …. Mademoiselle …. Qu’est ce que vous faites ?— Et bien je vous fais une démonstration de mes talents.
    Elle s’assoit sur mes cuisses, une jambe de chaque coté, face à moi, en laissant tomber son chemisier au sol. J’étais tiraillé entre la volonté de la mettre dehors et l’envie d’une jolie femme. Ça faisait plusieurs années que j’en avais pas eu une et c’était de plus en plus dure de résister.
— Ecoutez ça commence à déraper sérieusement. — Vous n’aller pas me dire que c’est si désagréable ?— Dans d’autre circonstance non mais là … Et puis regardez moi. J’ai l’âge d’être votre père.— Vous êtes un homme d’expérience, mature et je dois avouer que votre coté nounours vous rend attachant.— Ok mais …— Et puis vous êtes plutôt séduisant et très élégant avec votre costume.— Merci mais là c’était exceptionnel. D’habitude c’est plus décontracté.— J’apprécie l’attention. A moi de vous offrir quelque chose.
    Et là elle dégrafe son soutien-gorge, prend mes mains et les place sur ses seins. Je n’ai pu m’empêcher de laisser échapper un « mon dieu quel poitrine ».
— Finalement vous avez l’air d’apprécier.— C’est vous qui m’avez presque forcé.— Pas tant que ça, après tout je vous ai lâché et vous continuez à me caresser la poitrine.
    Du coup je les retire aussitôt. Mais voyant cela, elle se rapproche, me plaque sa poitrine sur mon visage, commence à m’embrasser tout en défaisant mon nœud de cravate et déboutonnant ma chemise. Je la stop à mi chemin en lui prenant les mains.
— Mademoiselle arrêtez. Je ne veux pas de problème ni de scandale.— Au vu de votre entrejambe gonflé, J’ai encore un dernier atout à jouer.
    Et la elle descend de mes cuisses, se retrouve entre mes jambes, à genou et commence à défaire ma braguette et sortir ma verge qui n’avait pas atteint un tel volume depuis des années. Je lui pris les mains dans une tentative désespérée pour l’arrêter.
— Non arrêtez, je vous en supplie.— Ecoutez, mettons les choses au clair. Si vous l’aviez vraiment voulu vous m’auriez mis à la porte depuis longtemps. Inconsciemment vous en avez envie autant que moi alors profitez en. Et puis si vous m’engagez, je suis prête à assouvir tous vos fantasmes. Ou et quand vous le voudrez.
    Et là, elle enfourne ma bite gonflée dans sa bouche et commence une délicieuse fellation tout en me caressant la bedaine avec douceur. Là je lui demande :
— Votre proposition est sérieuse ?— Absolument— < soupir J’espère que je ne vais pas le regretter > Ok alors le poste est à vous si, durant votre période d’essai, vous me faites une pipe chaque soir après le boulot et au moins un gros câlin par semaine. ensuite on verra. Alors ? Votre réponse ?— Marché conclus.— Parfait, bon appétit alors.
    A partir de ce moment je pris la direction des opérations et donnant la cadence avec mes mains sur ses cheveux.
— Si j’avais su que je rencontrerais une fille comme vous, j’aurai pris une boite de capote. Là je vais devoir jouir dans votre bouche.— Je pense qu’on peut se tutoyer maintenant. Et pour les capotes, j’en ai une boite dans mon sac si tu veux. Au fait, moi c’est Cindy.— Moi c’est François. On ne se tutoiera que lors de nos … rapports. Pour éviter les rumeurs. En attendant sors une capote, mets la moi et viens t’empaler sur ma queue.— A vos ordres, mon gros biquet.    Et là, ce fut la meilleure partie de jambe en l’aire de ma vie. Elle s’est déhanchée sur moi en finissant de m’enlever ma chemise, tout en me roulant une bonne galoche. Ensuite, je la fis s’allonger sur le dos, sur mon bureau, pour lui lécher le berlingot et ensuite la prendre en missionnaire. Apparemment elle prenait son pied autant que moi. Tant mieux car j’en avais pas fini avec elle. Après de longues minutes de pilonnage intensives, je la retourne sur le ventre me prépara à passer par sa petite porte de derrière. Mais là elle me fit une révélation.
— Excusez-moi mais je n’ai jamais essayé par là. Je n’ai pas envie d’avoir mal.— Ne t’en fait pas. Je serais très doux. Et puis dans la salle cuisine il reste une bouteille d’huile dans l’armoire. Ce permettra de mieux glisser.— Ok je te fais confiance.
    Je traverse alors les locaux de la boite, à poil et la queue en l’air … une image surréaliste, pour chercher l’huile et reviens avec, pour lui en badigeonner la rondelle et mon gland. Puis commence alors son initiation au plaisir anale. Etant donné ses gémissements, pour sa 1ère fois elle semblait vraiment apprécier. La pression montait tellement que je sentais la sauce prête à jaillir. Je me retirais alors de son fondement, la retournais allongée sur le dos pour lâcher la purée sur sa poitrine qu’elle étala avec ses mains lors d’un massage sensuel. A ce qu’il parait, c’est bon pour la peau. Ça aurait été dommage de laisser ces 2 mamelles dépérir.
— Bon bah c’était parfait. Tu commences lundi. Le temps pour moi d’établir le contrat.— Parfait à lundi alors.— A Lundi. Au revoir.
    Depuis ce jour. Ma vie a changé du tout au tout. Après la période d’essai on s’est un peu calmé question libido mais on a quand même continué à se voir régulièrement. Des sentiments réciproques sont apparu et on a enfin pu officialiser une relation au près des collègues, qui étaient tous contents pour moi. Ils avaient tous deviné notre petit manège depuis un moment. Aujourd’hui, après quelques années, elle a emménagé chez moi. Le mariage est déjà prévu. Elle n’est plus ma secrétaire. Congé maternité oblige, elle souhaite se consacré à notre petite fille sur le point de naître (et aux suivants à venir plus tard). Nous sommes très heureux ensemble et notre rencontre reste encore un excellent souvenir. Comme quoi le bonheur peut arriver n’importe quand et n’ importe où.
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