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La grosse cavalerie

Chapitre 1

Divers
LA GROSSE CAVALERIE…
Ami depuis toujours du fils d’un des propriétaires du haras local, je ne manque jamais une occasion de lui rendre visite.Claude est un garçon adorable avec qui je m’entends très bien, ses parents lui laissent ‘’la bride sur le cou’’, comme il dit, très occupés ils ne peuvent être partout.Une gouvernante s’occupe de la maison, discrète et dévouée, elle est partout sans qu’on puisse la voir mais rien ne lui échappe.
-Sylvain, tu as vu Mathilde ?-Non pas encore mais elle ne doit pas être loin, comme d’habitude…-Je pense qu’elle est dans la buanderie, si tu as envie de la mater c’est le moment…-La mater ? Elle fait quoi dans la buanderie ?-Elle s’occupe du linge… je me suis branlé sur une culotte de ma mère dont le fond était bien taché et odorant, elle va obligatoirement tomber dessus, je voudrais voir sa réaction…-Claude, je ne vois pas où tu veux en venir…-Suis-moi tu vas comprendre…
Mathilde trie les draps puis les enfourne dans la machine, vérifie s’il reste de la place et vas vers un panier :
-C’est là que j’ai laissé la culotte de ma mère, bien en vue sur le dessus…-Claude, elle ne va pas détailler le linge quand même…-Si à cause de la température de lavage…
Mathilde ouvre le panier et marque un temps d’arrêt :
-Elle vient de voir la culotte…
Elle prend délicatement le sous vêtement, le regarde sous toutes les coutures, s’attardant sur le fond puis elle le porte à son nez une fois, le regarde encore et recommence :

-Tu vois ce que je te disais, elle a bien compris…
Non seulement elle ‘’hume’’ la culotte mais il me semble qu’elle y porte ses lèvres :
-Elle va lécher mon sperme…-Claude, c’est dingue de faire ça…-Il se pourrait qu’elle fasse autre chose…
Sans retirer de son nez la culotte qu’elle tient de la main gauche, elle soulève sa jupe de la droite avant de la glisser entre ses cuisses :
-Elle va se branler, j’en étais sur…
Son bras s’agite rapidement, la culotte entre les dents elle relève sa jupe le plus haut possible et glisse sa main gauche entre ses fesses :
-Regarde moi cette salope, elle se branle des deux cotés…
Nous voyons très bien ce que fais la main entre les fesses, visiblement elle se ramone le cul avec trois doigts :
-Elle va jouir…
Un soubresaut lui fait plier les genoux, un petit cri s’échappe de sa bouche et elle retire ses mains, baisse sa jupe et reprend son tri.Claude me fait signe que nous partons :
-Tu as vu ça, elle mâchouillait la culotte…-Et bien dis-donc, je n’aurais jamais cru ça d’elle…-Il ne faut pas se fier à l’eau qui dort. Je l’ai surprise en train de baiser avec deux lads dans un box, ça valait le coup d’œil…
Un peu décontenancé par ce que je viens de voir je suis obligé de me tourner pour ranger ma bite à l’étroit dans mon slip.Apparemment Claude bande aussi mais sans essayer de cacher la bosse qui gonfle son bermuda :
-Putain, elle m’a fait bander cette salope… -Moi aussi, Claude… Tu n’as jamais essayé de t’approcher d’elle ?-Non mais ce n’est pas l’envie qui me manque. J’hésite quand même, c’est comme si c’était ma mère…-A ta place, je ne sais pas ce que je ferais… Claude, si tu avais l’occasion de la baiser, tu sauras quoi faire ?-Euh… Pas vraiment, et toi ?-Claude, j’ai déjà baisé Sonia, mal la première fois mais bien mieux la deuxième…-Tu ne me l’avais pas dit…-Sa sœur nous ayant vu faire, je croyais qu’elle te l’aurait dit…-Je ne vois plus Tina, elle est trop chiante. Sylvain, comment à-t-elle pu vous voir ?-En revenant à l’improviste, nous ne l’avions pas entendu rentrer…-Et alors ?-Alors rien, elle nous a vu à poil sur le lit de Sonia, je venais de la baiser et je bandais encore, ce qui n’a pas empêché Sonia de me sucer d’ailleurs, sous les yeux de sa sœur…-Tu crois qu’elles sont complices ?-On pourrait le croire sinon Tina aurait crié aux loups… Tu n’as jamais pu la baiser si je comprends bien ?-Pas faute d’avoir essayé par contre mais je me suis fait éjecter, ‘’je ne baise pas avec un puceau’’, m’a-t-elle dit…-Claude, ce n’est pas la seule fille qui baise dans notre groupe, tu devrais chasser ailleurs…-C’est ce que je fais mais la seule qui ne me repousse pas est ‘’imbaisable’’…-Aucune fille est imbaisable Claude, il suffit d’y mettre les formes et ça marche…-Que tu dis, tu ne connais pas Samira…-Claude, tous les garçons veulent baiser Samira, c’est la plus belle des filles mais elle ne regarde personne. Si tu peux l’approcher la moitié du chemin est fait… -J’ai déjà flirté avec elle mais ça s’arrête vite…-Tu connais les origines de Samira, elle est phagocytée par sa famille, ses frères la surveillent comme le lait sur le feu, son père ne supporterait pas qu’elle ne soit plus vierge au mariage et sa mère ne lui a jamais rien dit. Un jour elle s’est retrouvée avec du sang entre les cuisses sans savoir ce qui lui arrivait…-Sylvain, comment peux-tu savoir ça ?-Par Sonia, les filles se parlent mon vieux, j’ai même une touche avec Lola grâce à Sonia…-Explique…-Sonia était vierge mais déflorée à cause des tampons hygiéniques, je n’ai pas eu à forcer pour la baiser, elle n’a pas pu jouir la première fois mais ça lui a bien plus quand même, la deuxième fois elle est montée aux rideaux, je l’ai même prise deux fois de suite…-Sans capote ?-Euh… oui… mais je n’ai pas joui dedans, une fois sur son ventre l’autre sur son dos… Claude, je lui ai mis mon pouce dans le cul, elle n’a rien dit…-Mais que je suis con… Alban me disait que pour baiser Samira, comme toutes les beurettes d’ailleurs, il faut l’enculer…-J’y ai pensé aussi avec Sonia, je l’aurais peut être fait si sa sœur n’arrive pas mais ma bite est bien plus grosse que mon pouce…-Sylvain, tu as vu que dans les films pornos les filles se font enculer par de grosses bites sans problème…-Ce sont des pros avec de l’expérience, pas nos copines…-Sylvain, il faut absolument que je baise Mathilde mais je ne sais pas comment m’y prendre…-Est-ce qu’elle voudra au moins ?-Mais je n’en sais rien, après ce que j’ai vu, la balle est dans mon camp…-Tu veux la faire chanter ?-Mais non, juste arriver au bon moment la bite à la main, ça marchera ou non, mais j’aurais essayé… -Dis-donc, j’ai aperçu le fond de culotte qu’elle tenait, pas très propre…-Quelques fois il n’est ‘’jaune’’ que devant et ça sent bien la pisse, mais sur celle que tu as vu, bonjour les traces de freins et ça sentait bien la merde…-Ta mère a dû s’oublier, ça arrive quand on pète…-Sylvain, ce n’était pas la première fois que je voyais ça mais là, les traces étaient luisantes, la merde ça ne brille pas que je sache…-Alors là, tu m’en demandes trop… Tu penses à quoi ?-Tu as déjà déchargé dans ton slip ?-Oh oui, plusieurs fois…-Donc tu as pu voir le sperme séché…-Claude, tu penses que c’était du sperme sur les traces de matière ?-Je ne vois pas d’autre explication…-Cela voudrait dire que ta mère venait de se faire enculer et que le type avait déchargé dans son cul, ça pourrait bien être ton père, non ? -Possible sauf que mon père est absent depuis deux jours et qu’il ne rentrera que demain…-N’en tire aucune conclusion Claude…-Ben voyons, il y à du sperme sur son fond de culotte coté cul, et je ne dois rien penser ?-Tu ne m’avais pas dit que tes parents étaient assez libres sexuellement ?-Exact, mais ça ne permet pas à ma mère de se faire enculer en l’absence de mon père…-C’est peut être un accord passé entre eux, il fait peut être la même chose de son coté, si ça se trouve ils se racontent tout…-Sylvain, je n’arrive pas à y croire…
On frappe à la porte de la chambre de Claude :
-Claude, c’est Mathilde, je peux entrer ?-Entre Mathilde…
Nous sommes assis au bureau face à l’ordinateur :
-Claude, je viens d’avoir un coup de téléphone de ton père, il n’arrive pas à joindre ta mère…-Son téléphone est en charge sur la desserte dans l’entrée…-Ok… Vous n’avez rien d’autre à faire ? Il fait beau, faites un tour au manège, André débourre ‘’fleurette’’…
Je regarde cette femme que je viens de voir se branler, impossible de lui donner un âge précis mais guère plus de la quarantaine.Elle s’attarde un peu dans la chambre, range quelques vêtements laissés n’importe où :
-Claude, tu pourrais ranger, je ne suis pas ta bonne…-Excuse-moi Mathilde… Tu sais où est maman ?-Avec le type qui livre le foin et la paille…-Mathilde, c’était ton copain, tu ne lui parle plus ?-Mais si, par contre je ne sors plus avec lui… -Mathilde, tu ne sortais pas avec lui, tu rentrais…-Ne joue pas sur les mots, on ne se voit plus que quand il vient livrer…-Fâchés alors ?-On peut le dire… Ta mère va tomber de haut si elle se fait des idées…-Quelles idées Mathilde ?-C’est un charmeur, il sait y faire le bougre et c’est un bel homme…-Tu penses qu’il pourrait faire des avances à maman ?-Je ne pense pas, j’en suis sure. C’est un dragueur invétéré, toutes les femmes l’intéressent, même les moches et je sais de quoi je parle…-Mathilde, tu parles de toi ?-Non, de Philomène… -Ouah ! Ne me dis pas qu’il a dragué Philomène…-Mais si, je sais même où ils ont conclu !-Parce qu’en plus il l’aurait…-Oui Claude, je peux même te dire qu’il lui a mis quelque chose, la pauvre n’en revenait pas…-Qui est Philomène ?-La fille d’un employé parti à la retraite, formée par son père, elle s’occupe des chevaux, étrillage, lavage et tressage des crinières, etc. le patron ne veut pas s’en séparer tant elle fait bien son boulot. Elle est laide à mourir la pauvre, mais bon, elle a quand même droit au bonheur…-Il y à des hommes qui s’en contentent, mais je ne comprends pas Michel…-Je ne peux pas tout te dire mais Michel est assez particulier, ta mère est au courant de cette particularité…-Je suppose que tu ne nous en diras pas plus…-Non Claude…-Mathilde, c’est à cause d’elle que tu l’as quitté ?-Mais je ne l’ai pas quitté, c’est lui qui m’a larguée… -Et bien sur, tu ne l’as pas remplacé…-Non Claude, ça me mâche un peu mais bon…-Tu es une belle femme Mathilde, tu dois être courtisée…-J’aimerais bien mais pour ça il faudrait que je sorte un peu et je n’en ai pas envie…-Au haras, ce ne sont pas les hommes qui manquent…-C’est ça, je vais coucher avec le personnel, tu te rends compte de ce que tu dis ?-Pourquoi pas, j’en connais deux qui sont…-Claude, je ne le ferais jamais…-Le sexe ne te manque pas ?-Claude, ça ne te regarde pas… oh mais dis donc, tu ne serais pas en train de poser des jalons par hasard ?-Mathilde, tu me connais depuis toujours, j’ai passé plus de temps avec toi qu’avec ma mère…-Ce qui ne t’empêche pas de me suivre partout où je vais, tu n’es pas très discret, pas plus qu’avec ta mère d’ailleurs…-Tu m’as vu ?-Oh oui et je passe derrière toi petit salaud, tu pourrais prendre un kleenex quand même…-Mathilde, tu ne m’as jamais rien dit…-Peut être que je n’avais pas envie de le faire… -Tu entends ça Sylvain, elle me regardait épier ma mère… -Ce qui prouve que tu ne te cachais pas beaucoup…-Ben non, je ne la voyais jamais…-Claude, il me semble que tu n’épies plus ta mère, je me trompe ?-Disons que ça m’a passé mais je recommencerais si l’occasion se présente… -Claude, je sais aussi ce que tu fais avec les culottes de ta mère, tu devrais quand même faire attention, elle pourrait s’en apercevoir…-Ce n’est pas elle qui fait la lessive. Donc tu as vu que je…-Oui Claude, et pas plus tard que ce matin…-Mathilde, tu es en train de nous dire que tu mates les culottes de ma mère ?-Euh… par la force des choses, tu les laisses bien en vue sur le linge sale…-Mathilde, ne tournons pas autour du pot… nous t’avons vue dans la buanderie, quel spectacle !-Je me disais bien aussi, j’avais entendu quelque chose. Et alors ?-Alors rien, la culotte entre les dents, une main devant et l’autre derrière, tu as bien joui…-Vous êtes des petits salauds, il n’y a pas d’autre mot…-Mathilde, réponds franchement, tu savais que nous étions dans le couloir ?-Oui, je le savais, j’ai même pensé un moment que vous alliez venir me rejoindre…-Tu aurais aimé ?-Quand je suis excitée il peut se passer beaucoup de choses, votre présence ne m’aurait pas dérangée, c’est sur…-Je te signale que nous sommes toujours là…-Ce n’est pas le moment, ta mère peut revenir d’un moment à l’autre et je n’ai pas envie qu’elle me trouve en train de batifoler avec son fils et son copain… Je vais vous faire une confidence, ta mère part demain matin et ne rentrera que très tard avec le van chargé d’une jument à faire saillir par l’étalon que ton père a acheté le mois dernier…-Et papa ne sera pas là non plus. C’est une proposition ?-Une information Claude, tu en fais ce que tu veux…-Tu baiserais avec nous si je comprends bien ?-J’en serais ravie mais c’est vous qui voyez… j’entends du bruit, je file…
Claude semble éberlué par ce qu’il vient d’entendre :
-Sylvain, elle a bien dit qu’elle baiserait avec nous, ça te branche ?-Oh oui, j’ai encore plein de choses à apprendre…-Et moi donc…-On va faire un tour, je te présenterais Philomène, mais ne t’attends pas à voir un canon. Elle est grande, un peu enrobée, gros seins, gros cul et elle sent le cheval… -Et elle baise si je comprends bien…-J’ai entendu des choses sur elle mais c’est tellement étonnant que je n’y crois pas…-Qu’as-tu entendu ?-Un des lads disait qu’elle n’avait pas son pareil pour faire bander les chevaux rien qu’en les étrillant, il parait qu’elle sait où les toucher…-Quel intérêt de faire bander un cheval ?-Ça se voit que tu n’as jamais vu un étalon en érection, ce qui se développe sous leur ventre est phénoménal, un truc de 40 centimètres de long, pas trop gros au bout mais la base est énorme…-Tu en as déjà vu ?-Oui, ado, j’ai assisté à quelques saillies en me planquant dans un box, mon père ne voulait pas que je voie ça, maintenant il ne dit plus rien… -Ça t’excite de voir ça ?-Plus maintenant mais j’avoue que ça me faisait bander. Tu sais, il y à des gens qui paient pour voir une saillie…-Ah bon ?-Les lads se font un peu de gratte en agençant un box au bord de la cour…-Tu as pu voir ce qui se passe dans ce box ?-Oh oui, depuis le fenil, derrière des planches disjointes. J’ai vu des femmes se branler et des hommes aussi d’ailleurs mais c’est vachement rapide une saillie, 20 secondes tout au plus…-Ils ont le temps de jouir ?-Non mais s’il y à deux ou trois saillies, les femmes ont le temps de se faire baiser et elles peuvent jouir… -Claude, depuis le temps que je viens ici, tu ne m’as jamais montré ça…-D’une part il n’y en à pas tous les jours, et d’autre part, je ne savais pas si ça te plairait…-Je n’en sais rien, peut être que ça ne me plaira pas mais si je n’ai pas vu, comment le saurais-je ?-J’irais voir sur le planning la date de la prochaine…-Il y aura des gens ?-Alors ça… je n’en sais rien… C’est pas marqué, tu penses bien…
Nous traversons la grande cour, un porche et nous entrons dans une cour plus petite bordée de box, vides pour la plupart.
-C’est ici que se passent les saillies, le faux cheval c’est le boute en train quand on veut seulement récupérer son sperme, sinon, la jument est attachée là bas…-Le cheval bande rien qu’en voyant le mannequin ?-Mais non, on lui présente une jument en chaleur, il bande et se rue sur le boute en train enduit des odeurs de la femelle. Un lad lui prend le sexe et le fourre dans une éprouvette pour récupérer le sperme…-Ok… ça ne leur fait rien de toucher cette grosse pine ?-Tu devrais leur demander, par contre, certaines femme aimeraient bien y toucher, je l’ai entendu dire…-C’est dingue ça… Chez mes grands parents, j’ai entendu raconter qu’une femme faisait bander un âne, qu’elle le suçait et même qu’il lui arrivait de se faire baiser…-Sylvain, je ne l’ai jamais vu faire mais je sais que certaines femmes ont essayé avec un cheval…-Tu déconnes, si la pine est si grosse que ça, leur chatte va éclater…-Sylvain, tu demanderas à Philomène…-Elle se fait baiser par un cheval ?-Pas que je sache, mais elle est de toutes les saillies, surtout quand c’est avec les pottocks. Des petits chevaux basco-navarrais super endurants, la race à failli s’éteindre…-Ne me dis pas qu’elle baise avec…-Sylvain, je ne l’ai jamais vue faire mais je sais qu’elle en parle souvent avec les gens qui viennent voir les saillies…
Nous contournons le bâtiment pour entrer dans la sellerie, Philomène est assise sur un ‘’plot’’ en bois pour astiquer une selle posée sur un chevalet.Elle se lève en nous voyant et s’avance vers nous :
-Bonjour Claude, quel bon vent t’amène ?-Salut Philo, je montrais le haras à mon copain Sylvain…
Cette femme est bien plus grande que moi qui ne suis pourtant pas tout petit, sa combinaison double zippée moule son corps, c’est sa poitrine qu’on voit en premier, et quelle paire de seins que la combinaison écrase un peu.
-On dirait qu’il manque des chevaux…-Trois juments sont parties et cinq vont venir les remplacer, nous sommes un haras pas un élevage…-A propos, tu sais quand il y aura une saillie ?-Faut voir le planning, pourquoi ?-Mon copain voudrait voir ça…-Il veut voir quoi, un étalon monter une jument ?-Euh… oui… Je lui ai parlé de la taille du sexe d’un cheval, c’est surtout ce qu’il voudrait voir…-Très beau spectacle, surtout chez les étalons. Voir cette splendide pine frapper leur ventre est assez émouvant, je dois le reconnaître…-Philo, un étalon ça ne bande pas à la demande, n’est-ce pas ?-Tout à fait mais on peut utiliser un subterfuge…-C’est-à-dire ?-Il y à certains endroits du corps d’un cheval qui sont très sensibles, quand on y touche comme il faut, ça peut les faire bander mais le mieux c’est l’éponge magique. Nous avons une éponge naturelle enduite des odeurs d’une jument en chaleur, c’est radical…-Tu pourrais nous montrer…-Claude, je ne sais pas si je peux…-Mais si Philo, s’il te plait…
Elle va dans un placard prendre une boite en métal d’où elle sort une grosse éponge naturelle qui pue à vomir :
-Voilà, c’est le viagra des étalons…-Tu leur passe ça sous les naseaux et ils bandent ?-Oh oui, celle-ci est imbibée d’hier, ça devrait bien le faire… venez avec moi…
Nous nous dirigeons vers un box où repose un alezan superbe :
-Avec lui ça devrait marcher, en plus il est doux comme un agneau…
Elle contourne le cheval et lui passe l’éponge sous le nez, la retire et recommence, il frémit de tout son corps, henni deux fois et tape d’un sabot arrière.Philo nous fait signe de ne pas bouger en restant hors de portée.En l’espace de 10 secondes un fourreau ‘’descend’’ sous le ventre puis le sexe proprement dit se déploie et raidit avant de frapper sous le ventre de la bête.Subjugué je ne quitte pas des yeux ce fabuleux pal qui semble grandir encore, Philo s’avance lentement, caresse le flanc du cheval puis tend le bras pour empoigner le pieu de chair.Elle le caresse longtemps puis avance encore, baisse la tête et tire sur le chibre pour l’amener devant son visage et sur sa bouche.Le bout formé d’une corolle disparaît dans sa bouche, elle suce l’engin en le tenant à deux mains puis le relâche.D’un geste rapide elle descend une des deux fermetures et ‘’sort’’ de la combinaison qui tombe sur ses pieds.Elle est nue sous sa combinaison, la paire de fesses blanches qui nous apparaît me laisse rêveur.Une main entre ses cuisses elle reprend le chibre de l’autre, le remet dans sa bouche et elle se branle vite.Le cheval trépigne, henni encore, Philo ne s’en soucie pas, son bras s’agite de plus en plus vite, sa tête monte et descend sur le pal et elle sursaute.Un flot de foutre sort de sa bouche encombrée et elle se retire en léchant ses lèvres badigeonnées de sperme. À peine lâché le chibre se rétracte et remonte dans le fourreau qui disparaît à son tour.Elle nous regarde en souriant, lèche la main qui tenait le chibre, celle qui sort de ses cuisses est maculée de cyprine.Elle remonte sa combinaison et la fermeture, tapote sur une fesse du cheval et nous sortons du box.
-Claude, j’espère que vous avez apprécié ?-Oui Philo, c’est incroyable…-C’est rare de faire jouir un cheval en le suçant, nous avons eus de la chance…
Ma pine raide me gêne dans mon pantalon, j’ai même failli me branler tant ce spectacle m’émoustillait.
-On dirait que ça vous a fait bander les garçons…-Euh… oui Philo…-Vous auriez pu vous branler… mais ce n’est pas trop tard…-Philo, tu crois qu’on peut ?-Bien sur que vous pouvez, je peux même vous accompagner en vous suçant, j’adore le foutre…
Claude sort sa bite le premier et tend son ventre, je sors la mienne et je m’approche :
-Ouah, vous êtes bien montés mes cochons… branlez vous dans ma bouche…
Elle embouche la pine de Claude puis passe à la mienne, une bite dans chaque main elle nous suce à tour de rôle puis fourre les deux dans sa bouche.J’ai beau essayer de me retenir, je balance ma purée le premier, Claude me suit juste après, pas une goutte ne s’échappe de ses lèvres.
-Fantastique les garçons, quelles décharges, c’est comme si vous m’aviez pissé dans la bouche…
Elle se relève et nous donne un baiser sur la bouche, l’odeur qui se dégage de ses lèvres est à la limite de me faire vomir.
-Nous sortons d’ici, on peut venir…
À peine sortis du bâtiment un lad arrive à pied avec un cheval :
-Philo, regarde le paturon antérieur droit, il a du ramasser un caillou…
Elle prend le cheval et nous quitte, le lad éclate de rire :
-Vous auriez pu fermer vos braguettes les garçons, quelle salope cette Philo…-André, que vas-tu penser, nous venons de pisser…-Devant Philo ? Ça m’étonnerait…-Mais si, je t’assure…-Ça serait bien la première fois qu’elle laisse deux queues sans rien faire, vous l’avez enculée j’espère ?-Mais non André, il ne s’est rien passé…-Je ne vous crois pas mais bon…
De retour à la maison nous passons à la salle de bain pour laver nos bites, Claude s’extasie devant ma queue :
-Putain, je croyais en avoir une belle mais tu me surprends…-La tienne n’est pas mal non plus… -Tu as vu Philo comme elle suce, et les deux en même temps…-Nous n’étions pas plus gros que la pine du cheval…-C’est sur… tu as vu son cul… je te jure que je vais tout faire pour l’enculer…-C’est ce que disais le lad…-Il doit bien la connaître… -Claude, elle a fait ça devant nous sans hésiter, j’aurais pu ne pas apprécier. J’ai l’impression que tu ne m’as pas tout dit…-Euh… tu as raison… je savais qu’elle faisait bander les chevaux mais je ne l’avais jamais vu faire ça, dit-il sans me convaincre… -Tu disais que des femmes se font prendre, tu sais si elle le fait ?-Non, je n’en sais rien… Sylvain, excuse-moi mais je suis encore excité, il va falloir que je me branle… tu bandes aussi on dirait…-Ben oui, je n’ai déchargé qu’une fois… -Puisque tu as baisé Sonia, explique-moi comment je dois m’y prendre avec les filles, Jules me disait qu’il ne faut pas essayer d’imiter ce qu’on voit dans les films pornos…-Qu’est-ce qu’il en sait, Jules, il n’a jamais baisé que je sache…-Je ne sais pas s’il n’a jamais baisé mais il s’en vante pourtant…-Parce qu’il a un an de plus que nous, il ne veut pas passer pour un con, mais je sais qu’il n’a jamais baisé et à mon avis, qu’il n’est pas près de le faire… -Sylvain, comment peux-tu être aussi affirmatif ?-Parce que je suis allé en colo avec lui et que nous nous sommes retrouvés à l’infirmerie après être tombés dans des orties, en maillot de bain en plus. L’infirmière nous a passé de la lotion sur les piqures mais comme nous en avions partout, elle nous a demandé de baisser notre maillot, c’est là que j’ai vu la zigounette de Jules. Claude, çà dépassait à peine de ses couilles, juste un petit bout de peau ridée noyée dans la peau des roustons…-Et alors, il peut bander quand même…-Certes mais pour bander il faut avoir quelque chose à faire grossir, lui n’a rien. Il est parti avant moi, l’infirmière m’a dit ‘’toi au moins tu n’auras pas de problème avec les filles, le pauvre Jules va se faire foutre de lui quand il se déshabillera’’ …-C’est peut être revenu normal…-Non, ses couilles ont grossies un peu mais pas sa bite, on la voit même moins qu’avant. Je l’ai vu se changer à la piscine, je suis le seul devant qui il se change sans se cacher… -Tu te rends compte dans quelle merde il est, c’est un beau garçon qui plait aux filles…-Si tu veux mon avis, il va virer homo si ce n’est déjà fait…-Mais les mecs se foutront de sa gueule aussi…-Sauf s’il se fait enculer, c’est ce qu’ils recherchent après tout… -Sylvain, puisque tu parles de ça, Caroline disait que son mec est ‘’bi’’, donc il va autant avec les filles que les mecs, c’est ça ?-Tout à fait… en jouant sur les deux tableaux, il peut ‘’pécho’’ quand il veut…-Il doit se faire enculer alors ?-Claude, ça tombe sous le sens…-Putain, je ne sais pas si je pourrais me faire bourrer le cul…-Tu as déjà essayé de te toucher le petit trou ?-Oh oui, quand je me douche. Je dois avouer que ce n’est pas désagréable, j’ai même pu y fourrer un doigt, mais de là à me faire enculer…-Si tu as aimé avec un doigt, essaie avec deux puis trois etc., tu verras bien…-Je verrais quoi ?-Claude, tu es désespérant… Branle toi en même temps, tu jouiras plus vite et plus fort…-Ah bon… c’est pour ça que les hommes se font enculer alors ?-Entre autre… Mais nous devons nous branler pour jouir, c’est tout. Claude, c’est quoi ce bruit ?-Ma mère qui recule le van dans la petite cour, ça résonne… -Je vais y aller Claude…-Tu vas partir dans cet état ?-Ben oui, ça ne se voit pas sur mon scooter…-Mais chez toi ça va se voir…-Ne t’inquiète pas pour ça, personne ne me verra…
En arrivant chez moi je me précipite dans ma salle de bain pour laver ma bite, la bouche de Philomène puait tellement que je dois sentir aussi.Effectivement, l’odeur qui se dégage de ma queue me monte au nez, une odeur bizarre et persistante, je suis obligé de me laver deux fois pour l’éliminer.Le spectacle que nous a donné Philomène me revient en mémoire, finalement j’ai été plus excité par son cul que par la pine du cheval.Je me souviens aussi de la bite de Claude, un bel engin au gland bizarrement pointu, j’ai même ‘’frémi’’ quand Philomène réunissait nos queues dans sa bouche.Pour le moment je n’ai jamais eu d’aventure ‘’homosexuelle’’, j’ai touché une queue raide, on m’a touché aussi sous la douche après le sport mais ça n’a jamais été plus loin, pourtant j’en avais envie.J’aurais avoué à Claude que j’aimerais bien passer à l’acte avec un garçon et même un homme mais je ne l’ai pas senti réceptif.Cette pensée m’obsède de plus en plus souvent, un soir en me branlant, deux doigts bien enfoncés dans mon cul, j’ai soudain eu envie de me faire enculer par une vraie queue que j’aurais pu sucer avant.Sortant peu je n’ai pas l’occasion de rencontrer le garçon ou l’homme qui pourrait assouvir mes désirs, j’ai beau faire de tour de mes connaissances en pensée, il n’y à personne qui corresponde à mon envie et même si c’était le cas, je ne me vois pas demander à brule pourpoint, ‘’J’aimerais me faire enculer’’.Concernant Claude, autre chose me ‘’tracasse’’, ce que nous a montré Philomène est apparemment connu des employés, par déduction, je suppose que ses parents sont au courant aussi.Tout un tas de pensées plus ou moins salaces me traversent l’esprit, sur Philomène d’abord, si elle s’est exhibée de la sorte devant nous, il m’étonnerait que Claude ne l’ai jamais vue faire sinon elle aurait peut être agi différemment en ma présence, sur Mathilde ensuite, qui ne nous a pas caché son envie d’être prise par nous deux, et ensemble qui plus est.Allongé sur mon lit je laisse passer un peu de temps, mon sexe raide reprend une forme plus ‘’normale’’ mais l’odeur que je pensais avoir enlevé persiste.C’est mon slip qui est odorant, il me faut en changer vite car cette odeur peut être perçue par quelqu’un d’autre, ma mère en l’occurrence.Je n’ai rien dit à Claude concernant le fait qu’il se branle sur les culottes de sa mère, je le fais aussi depuis longtemps mais je n’ai jamais vu de traces ‘’luisantes’’ comme celles qu’il à pu voir.Si j’ai bien compris ce qu’il voulait dire, sa mère aurait des rapports extra conjugaux puisque son père était absent.Cela n’a pas semblé l’émouvoir outre mesure, j’en suis donc à me demander si le couple que forment ses parents n’est pas en train de ‘’capoter’’.J’ai croisé plusieurs fois sa mère et son père, ils se parlent, bien sur, mais sans la moindre ‘’tendresse’’, jamais un mot gentil de l’un ou de l’autre et pas un geste tendre non plus.J’ai surement été ‘’mal’’ éduqué par mes parents qui s’adorent et ne manquent jamais de se dire un mot doux et se caresser tendrement.Ma mère est une rousse flamboyante, née en France mais issue d’une vieille famille Irlandaise, grande et bien charpentée, il ne faut pas lui marcher sur les pieds.Élevée avec ses trois frères, rouquins eux aussi et ‘’sang chaud’’ comme peuvent l’être les Irlandais, ils lui ont appris à se battre comme un garçon, ce qui lui servait bien quand ‘’on’’ la traitait de ‘’sorcière’’ à cause de la couleur de ses cheveux.J’ai tellement entendu de conneries sur les rousses et les roux d’ailleurs, que j’ai voulu vérifier.Je ne suis pas un vrai roux comme le sont mes oncles et ma mère mais j’ai quand même la peau très claire parsemée de ‘’grains de son’’, mes cheveux sont ‘’foncés’’ mais tirent sur le roux quand je m’expose trop au soleil.Mes parents se sont rencontrés l’ors d’un festival celte en Bretagne, coup de foudre immédiat, ils se sont mariés trois mois après et je suis arrivé ‘’dans la foulée’’. Mon père est instructeur formateur pour les pilotes de grands bateaux de la Marine marchande.Il est souvent obligé de se déplacer pour plusieurs jours, seul homme restant à la maison, ma mère m’octroie certaines prérogatives qui ‘’échoient’’ normalement à mon père.Un soir je l’ai aidé à changer les draps de leur lit, ce que mon père ne fait jamais, et j’ai demandé ‘’ma récompense’’ en lui tendant les lèvres.Je m’attendais à ce qu’elle tende une joue mais elle a posé ses lèvres sur les miennes, j’ai même senti sa langue.Surpris et étonné j’ai instinctivement entouré son buste avec mes bras et j’ai prolongé le baiser en utilisant la même technique qu’avec les filles, fourrant rapidement ma langue dans sa bouche. La réponse aurait pu être ‘’brutale’’ mais ‘’la claque’’ n’est pas venue, au contraire, nos langues se sont entremêlées ainsi que nos salives et nous avons prolongé ce doux baiser.
-Sylvain, tu te rends compte de ce que nous venons de faire ?-Oui maman, c’était très bien…-Tu peux me dire ce qui t’a pris ?-Mais c’est toi qui as posé tes lèvres sur les miennes…-Chéri, nous nous sommes souvent donné des baisers sur la bouche…-Oui mais j’étais petit et je te ferais remarquer que tu ne m’as ni repoussé ni giflé, tu as pensé que c’était papa ?-Non Sylvain, même si tu lui ressembles beaucoup, je ne peux pas me tromper…-Alors pourquoi l’as-tu fait alors ?-Je ne sais pas chéri, une pulsion instinctive incontrôlable…-Alors permet moi de te dire que j’ai beaucoup aimé, tu embrasses très bien…-Toi aussi chéri…
Je relâche un peu mon étreinte en descendant mes bras autour de sa taille, elle dégage les siens, passe ses mains derrière ma tête et me redonne un gros baiser.Mes mains posées sur le haut de ses fesses je l’attire contre moi, plaquant mon pubis contre le sien pour lui faire sentir mon érection qui se développe rapidement.Elle ne me repousse toujours pas alors j’écrase la bosse que fait ma bite contre son bas ventre, en crispant mes doigts sur sa jupe, je fais lentement remonter le bas toujours sans réaction de sa part.Ses fesses découvertes je laisse glisser une main entre les globes, un doigt frôle son anus et j’essaie de toucher sa chatte mais n’y parvient pas, alors je reviens au petit trou.La tête lovée contre mon cou elle me parle à l’oreille :
-Ce n’est pas bien ce que tu fais chéri, je suis ta mère…-Et moi l’homme de la maison en l’absence de papa…-Tu as l’intention de le remplacer ?-Ce serait mon vœu le plus cher… -C’est impossible chéri, je ne peux pas faire l’amour avec mon fils…-Maman, je suis l’homme de la maison…-Regagne ta chambre Sylvain…
Le ton employé pour me demander de partir n’étant pas ‘’péremptoire’’, j’ai même senti qu’elle le disait à regret.Je me suis donc esbigné sans insister avec une bosse énorme qui gonflait mon pantalon.Je me suis masturbé comme un fou en passant sous mon nez le doigt qui avait touché son anus et j’ai déchargé sur mon ventre. C’est en me réveillant, allongé tout habillé, sexe à l’air et ventre maculé de sperme séché que je me suis rendu compte que ma porte de chambre n’était pas fermée alors que j’étais sur de l’avoir fait. Depuis quelques temps mon corps se transforme rapidement, je suis obligé de me raser presque tous les jours et mes poils poussent un peu partout, sur mes bras, mes jambes et même entre mes fesses, heureusement pas sur mon torse.Sonia me disait qu’elle aimait ma musculature, particulièrement les ‘’tablettes de chocolat’’ sur mon ventre.Pas spécialement sportif, je courre un peu et je vais à la salle de gym que fréquente ma mère pour ‘’soulever’’ de la fonte à dose homéopathique. La salle de gym est l’endroit idéal pour mater les femmes qui viennent plus pour se montrer qu’autre chose, un peu de step après le vélo, peu de machines sous la direction d’une ‘’spécialiste’’.J’ai remarqué que cette femme sculpturale se permet de rectifier les positions en ‘’touchant’’ les endroits qu’il faut ‘’travailler’’.Un après midi ma mère s’est essayée à ‘’la gonflette’’ avec des altères puis au travail des cuisses, une barre lestée sur les épaules.Après une dizaine de flexion elle s’est arrêtée net, délestée de sa charge, une main posée sur l’aine droite, elle grimaçait de douleur.La ‘’coach’’ s’est approchée d’elle pour lui parler, ma mère montrant l’endroit douloureux.Je n’ai pu entendre ce qu’elles se disaient mais j’ai bien vu la femme passer sa main sur l’endroit désigné puis, appuyant avec ses doigts tout près du body, elle s’est mise à masser lentement.Ma mère semblait apprécier car son rictus de douleur avait disparu.La main s’est attardée un peu puis a glissé vers l’entre jambes pour caresser la fente que la pression des doigts faisait ressortir.Le geste fut rapide mais j’ai quand même pu voir la pression exercée sur le fond du body sans que ma mère s’en émeuve.Je me suis rendu compte aussi que les femmes prenaient des positions que je qualifierais de scabreuses, exhibant sans vergogne leur entrecuisses que le tissu, tendu à craquer laissait entrevoir.J’ai dû quitter plusieurs fois la salle en sentant ‘’poindre’’ mon érection que mon boxer n’aurait pu cacher.Peu de gens utilisent les douches de la salle après une séance, je m’y suis rendu plusieurs fois espérant voir un homme ou deux, le seul que j’ai croisé s’était douché ‘’en slip’’.Je me sens prêt pour le sexe, tellement prêt que j’y pense beaucoup, peut être même trop.Sonia me disait que Lola, sa meilleure amie, ‘’aurait’’ flashée sur moi, je connais bien cette fille depuis longtemps mais nos rapports n’ont jamais dépassés la franche camaraderie.Lola est une métisse ‘’claire’’, mère métisse aussi et père blanc, on la dirait ‘’bronzée’’ en permanence mais pas plus.C’est la seule des filles de notre bande qui fait l’unanimité auprès des garçons, toujours gaie et prête à rendre service, allant même jusqu’à payer les tournées de cafés sans qu’on lui demande.C’est aussi la seule qui posséda un scooter bien avant nous sans jamais faire étalage de la fortune de ses parents.Je me souviens avoir hérité son téléphone dont nous rêvions tous uniquement parce que j’avais remarqué et complimenté sa nouvelle coupe de cheveux, qui lui allait fort bien d’ailleurs. Je suis encore étonné que Sonia m’ait parlé d’elle car je la sentais jalouse, et pas que de Lola.Cette fille me branche grave, elle transpire la sensualité par tous les pores de sa peau, sa silhouette de tanagra fait se retourner les hommes sur elle, j’ai même eu l’impression qu’elle en ‘’rajoute’’.Je n’ai pas relevé quand Sonia m’a parlé d’elle sans jalousie apparente, si c’est ‘’un bon de sortie’’, je l’utiliserais avec joie.Sonia est une fille adorable mais après l’avoir baisé deux fois, j’ai l’impression d’avoir fait le tour, elle aussi apparemment.Lola avait un copain qui ne la lâchait pas, hors de notre groupe il n’a jamais essayé de s’y intégrer, donc nous ne lui parlions pas.En pensant à elle je me demande si un coup de téléphone serait déplacé, j’ai toujours la possibilité de lui demander de m’expliquer deux fonctions de son téléphone que je n’arrive pas à faire marcher, ce qui est complètement faux d’ailleurs.Ma mère me hèle depuis la cuisine, le repas est prêt mais je dois me changer.
-Ouah, ça sent bon…-Sylvain, ce sont des tomates farcies comme tu les aimes…-Merci maman, tu es adorables…
Nous passons à table tous les deux face à face et mangeons en silence puis, le repas terminé, ma mère ‘’m’éjecte’’ au salon :
-Laisse-moi le temps de ranger et j’arrive…
Un coup d’œil à la télé en attendant et elle arrive toute souriante avec des cafés.
-Maman je ne prends jamais de café le soir…-C’est du déca chéri…
Assise en face de moi elle boit son café, repose sa tasse et s’appuie sur le dossier :
-Sylvain, il faut que je te parle…-Je t’écoute maman…-Voilà… j’ai apprécié ce qui nous avons fait tout à l’heure mais j’espère que tu sais que ce n’est pas correct, je suis ta mère…-Maman, c’est toi qui a commencé..-Je sais chéri mais tu n’étais pas obligé de me toucher, un baiser n’engage à rien…-Maman, non seulement tu n’as pas repoussée ma main, mais tu m’as donné un autre baiser…-Je ne sais pas ce qui m’a pris chéri, je n’aurais pas dû te laisser faire… Tu te collais contre moi et je sentais…-Tu sentais mon érection maman et je touchais ton petit trou, tu as senti que j’y ai fourré mon doigt…-Sylvain, ne retourne pas le couteau dans la plaie…-Mais si… jure-moi que tu n’as pas aimé…-Sylvain, ce n’est qu’un moment d’égarement, n’en tire aucune conclusion…-Ah bon… mais tu as bien senti dans quel état j’étais…-Oui chéri, c’est de ça dont j’ai eu peur…-Comment ça ?-Tu me pousses à dire des choses…-Maman, tu voulais parler alors nous parlons… Tu as eu peur de quoi ?-Que ça aille trop loin, au delà d’une certaine excitation je me maitrise mal…-Tu es en train de me dire que si nous avions continué…-Oui Sylvain, j’étais même à la limite de te retenir…-Maman, tu penses que nous aurions pu faire l’amour ?-Comme tu y vas… je fais l’amour avec ton père, Sylvain…-Avec moi tu n’aurais fait que ‘’baiser’’ alors ?-Oui Sylvain, je t’aime d’un amour maternel, pas sentimental comme avec ton père…-Finalement, le fait que je sois ton fils ne te dérangerait pas plus que ça, n’est-ce pas ?-Sylvain, j’y ai pensé juste après ton départ, j’ai même été pousser ta porte de chambre…-C’est bien ce qui me semblait… donc tu as vu ce que j’ai fait…-Tu t’es masturbé et tu dormais… je l‘ai fait aussi chéri…-Dans ma chambre ?-Oui… j’espérais te réveiller…-Tu aurais dû me toucher…-J’ai failli le faire, j’ai même eu envie de lécher ton sperme…-Maman, cesse de t’agiter sur ton siège, ta jupe remonte et je vois tout. Au fait, tu ne portes plus de culotte ?-Non, sur l’ordre de ton père, il m’arrive même de ne pas mettre de soutien gorge non plus… -C’est quoi ce délire ? À part lui personne ne le sait…-Si, justement, ce que je fais devant toi, c’est ce qu’il aime que je fasse… -Tu dois montrer ta chatte et tes seins ?-Pas mes seins, enfin pas partout mais ma chatte le plus souvent possible, quand nous sommes tous les deux, bien sur…-Ça se termine comment vos petits jeux ?-Sylvain, je n’ai pas envie de raconter ça…-Alors il ne fallait pas commencer… maman, tu te rends compte que je vais bander en voyant ta chatte béante…-Et si c’était ce que je veux…-Alors ne reste pas habillée, je veux te voir nue et je me déshabille aussi…-Sylvain…-Maman, tu en as autant envie que moi, alors fais-le…
Nous nous déshabillons ensemble, elle est nue avant moi et reste debout, bras ballants :
-Sylvain… je n’y crois pas…-Mais si, je me suis déshabillé aussi…-Chéri, c’est de ça dont je veux parler, dit-elle en montrant ma bite raide qui se balance devant moi… Tu es mieux équipé que ton père…-Et bien j’en suis fort aise… -Chéri, non seulement tu es plus gros mais plus long aussi…-Tu peux estimer ça à vu d’œil ?-Oh oui, cela fait 20 ans que je vois la bite de ton père, que je la touche, la suce et la branle… approche chéri…
Elle prend ma bite de la main droite, ferme ses doigts autour et vérifie l’espace qui sépare le pouce du majeur avec un de ses doigts.
-Tu vois, avec ton père je passe juste l’index entre le pouce et la majeur, là je pourrais presque en mettre deux… quelle queue !-Maman…-Et tu coules vite en plus… c’est quoi cette odeur ?-Je ne sais pas, mentis-je effrontément…-Ce ne sont que tes poils qui sentent, c’est bizarre…
Elle hume encore mon pubis, sent ma bite, qu’elle lèche au passage et me fait tourner :
-Tes fesses ne sentent pas ou très peu…-Maman, je vais aller me laver…-Mais non chéri, les odeurs font partie de la sexualité et j’aime bien que ‘’ça sente’’ un peu…-Que ça sente quoi ?-Sylvain, quand on suce la bite d’un homme, à moins qu’il sorte de la douche, elle sent toujours un peu ou même beaucoup suivant l’heure…-Ça sent l’urine ?-Oui mais ‘’ça’’ peut sentir autre chose, tout dépend de ce qu’il vient de se passer avant…-S’il l’homme à baisé par exemple ?-Oui, la chatte d’une femme excitée sent fort aussi, mais il a pu faire autre chose…-Tu penses à la sodomie ?-Oui Sylvain, tu connais-ça toi ?-Maman, je ne suis plus un gamin…-Au fait, tu as réussi à le perdre ce ‘’fameux’’ pucelage dont tu parlais avec Christian ?-Tu m’as entendu parler de mon pucelage avec lui ?-Involontairement, je te le promets… Tu l’as perdu avec Sonia, c’est bien ça ?-Oui maman…-Elle l’était aussi ?-Oui, déflorée mais pucelle…-Ah oui, les tampons… Sylvain, tu as mis une capote ?-Non maman, je n’en avais pas et dans le feu de l’action, je n’ai pas cherché. En plus il m’en aurait fallu plusieurs…-Ouah, bel effort… -La première fois c’était presque raté mais la deuxième, qu’est-ce que je lui ai mis !-Chéri !-Ben quoi ? Un coup dans un sens un coup dans l’autre…-Tu as sodomisé Sonia ?-Non, mais je l’ai prise un coup devant et j’ai déchargé sur son ventre, l’autre en levrette et j’ai déchargé sur ses fesses mais je lui ai quand même mi mon pouce dans le cul…-Donc tu n’as rien fait d’autre si je comprends bien ?-Non maman mais j’ai des ‘’ouvertures’’ que je pense concrétiser rapidement…-Je les connais ?-Non, enfin je ne sais pas… Lola, tu connais ?-La métisse ?-Oui…-Superbe cette fille, quelle classe quand elle marche ! Mais dis donc, c’est la copine de Sonia, ça va coincer…-Je ne crois pas, Sonia voulait perdre son pucelage c’est fait, nous n’allons pas nous marier !-Elle te laisserait baiser Lola, tu es sur de ça ?-Maman, je ne lui demanderais pas son avis… Tu aimes sucer ?-Chéri, j’ai toujours sucé ton père…-Alors suce moi s’il te plait, j’ai vraiment envie de savoir ce que ça fait…-Tu ne t’es jamais fait…-Si maman, mais par quelqu’un qui ne savait pas s’y prendre…-Alors je vais te faire jouir dans ma bouche, ton père dit que je suis une bonne bouffeuse de bite…
Elle s’assied, j’avance d’un pas en tenant ma queue, mon gland posé sur ses lèvres je là laisse ‘’opérer’’.Effectivement je n’ai jamais été sucé comme elle le fait, à part peut être par le premier garçon qui m’a sucé.Mes mains posées sur sa tête je bouge mon bassin pour enfoncer ma bite de plus en plus loin jusqu’à ce que mes poils touchent ses lèvres.Elle me suce puis me repousse pour prendre sa respiration :
-Tu allais trop loin chéri, j’étais en apnée…-Excuse-moi mais c’est tellement bon…-Sylvain, tu as déjà bouffé une chatte ?-J’ai essayé mais elle n’a pas aimé, je ne suis pas propre m’a-t-elle dit…-Tu aurais pu le faire quand même ?-Oh oui, ça me faisait bander plus fort de sentir sa chatte…-Alors je te propose que… suis-moi…
Une fois dans sa chambre elle s’allonge en travers du lit et m’invite à m’allonger sur elle tête bèche :
-Je m’occupe de ta bite, occupe toi de ma chatte et ne ménage pas ta peine…
Allongé sur elle je plie un peu les genoux pour lui permettre de bien me sucer et je fourre ma tête entre ses cuisses.L’odeur qui remonte de sa fente sent plus l’urine qu’autre chose mais c’est le gout qui m’intrigue, plutôt l’absence de gout de ce qui coule de sa chatte, plus je lèche plus ça coule, ma langue fourrée dans son vagin j’ai le nez sur son anus.Nouvelle odeur et nouveau gout quand j’y pose ma langue, le trou brun se dilate dés que le bout de ma langue le touche.En remontant ma langue sur sa chatte je fourre deux doigts dans son cul déjà bien lubrifié et je bouge ma main.Le trou s’ouvre encore, je joins un troisième doigt puis j’essaie d’en mettre quatre en formant ma main en tuile.La position de mon poignet ne me permet pas de bouger comme je voudrais, je me relève.
-Sylvain, tu pouvais jouir…-Euh… je sais mais j’aime mieux attendre…-Tu veux me baiser, c’est ça ?-Oui… tu as envie aussi, n’est-ce pas ?-Oui chéri, j’en ai même très envie. Je m’agenouille et tu fourres ta bite dans ma chatte le plus loin possible, si ça force un peu, pousse encore…
Agenouillée, cuisses écartées elle m’offre la totalité de sa fente qui coule toujours.Debout au bord du lit je présente ma queue et je donne un coup de rein, mon ventre venant claquer sur ses fesses :
-Oui chéri, tu as compris… baise-moi fort maintenant et fais moi jouir…
Ma queue nage dans un véritable cloaque, la mouille gicle à chaque pénétration et englue mes poils.J’accélère mon pistonnage quand elle commence à bouger, son orgasme me surprend sans que je cesse de limer.
-Tu me défonces chéri, je sens ta queue jusque dans mon ventre…
J’ai beau me démener, je n’ai aucune sensation tant sa chatte est immense, en baissant les yeux je lorgne sur son anus qui me fait de l’œil, je recule pour présenter mon gland sur ce qui reste de la rosette et je m’enfonce de nouveau :
-Oui mon chéri, encule-moi fort… pousse sur ta bite… oui… comme ça…
Cramponné à ses hanches j’accentue mon pistonnage, elle bouge de nouveau et crie un peu avant un orgasme brutal qui manque de m’éjecter de son cul.
-Je jouis chéri, à toi…
Je n’ai pas senti monter ma décharge mais je jouis sans cesser de limer puis je stoppe net pour en savourer l’effet.
-Tu me démolis le cul chéri, il y à longtemps que ça ne m’étais pas arrivé…-Papa ne t’encule pas ?-Oh si, mais il est nettement moins gros que toi…
Je recule pour sortir ma bite, une odeur de merde me saute au nez, ma queue est brune sur toute la longueur et mon gland chapeauté de matière.
-Maman, tu m’as chié sur la bite…-Mais non, c’est l’effet collatéral de la sodomie. Pour éviter ça, on peut aller aux toilettes avant mais ça n’est pas très efficace…-Dans les films pornos, les hommes n’ont jamais de merde sur la bite…-Chéri, ce sont des pros, les filles se font un lavement avant les prises de vues…-Ok, je n’avais pas pensé à çà…
Dans la salle de bain nous passons sous la douche ensemble, elle me lave la bite, je lave sa raie en insistant bien sur le trou.
-Sylvain, tu es bien le digne fils de ton père…-Pourquoi ?-Tu viens de jouir et tu ne débandes pas… quelle merveille… tu veux que je te branle ?-Mais non… tourne toi s’il te plait…-Chéri, tu veux encore me prendre ?-Oui maman, venant de jouir je vais tenir plus longtemps…-Alors ramone-moi le fion, casse-moi le cul…-Mais tu vas avoir mal…-Non, rassures-toi, tu comprendras pourquoi plus tard…
Appuyée sur le mur elle tend ses fesses et je m’enfonce dans son cul d’un coup, voilà ce que j’aime, enculer !Je lime un bon moment, un nouvel orgasme la secoue et je sens un liquide chaud sur mes pieds.
-Je pisse chéri, tu dois écraser ma vessie…-Et moi je décharge maman…
Plaqué contre ses fesses je décharge de nouveau sans bouger, la pression tombe et je débande un peu.
-Chéri, tu n’aurais pas envie de pisser par hasard…-Euh… ça se pourrait…-Alors pisse chéri…-Dedans ?-Oui mon cœur, vide ta vessie, si tu savais comme c’est bon de se faire pisser dans le cul…-Je le saurais peut être un jour, qui sait…
Ma vessie vide je recule et je sors de la cabine pour la voir se vider car est impossible qu’elle puisse garder tout ça.Un petit jet suivi d’un autre plus important et un gros geyser sortent de son cul, ça coule longtemps très liquide puis deux étrons tombent dans le bac à la fin.Elle se rince et nettoie le bac, je lave ma bite à l’eau claire dans le lavabo et nous nous essuyons.Revenus dans la chambre en peignoir, elle me pousse sur le lit et embouche ma bite flasque :
-J’adore sucer une queue qui sort de mon cul… Tu sais que tu as encore cette odeur dans les poils…
Je me laisse sucer sans répondre puis je la repousse doucement :
-Maman, je te remercie…-Mais de rien chéri, le plaisir était aussi pour moi… même au repos ta bite est énorme… tu as pu baiser Sonia sans problème ?-Oui, un peu délicat la première fois, mais rien à dire pour les autres…-Le même jour ?-Non, trois jours après…-Elle était peut être vierge de bite mais elle doit se branler avec un gode, prendre un tel engin la première fois est quasi impossible sans avoir mal… si tu dois l’enculer prends des précautions, utilise du lubrifiant…-Maman, c’est de l’hébreu pour moi…-Je t’expliquerais… -C’est quoi un gode ?-Une pine en latex…-Ok, comme dans les films pornos alors ? Un gode tu dis ?-Abréviation de godemiché, ça marche autant pour les femmes que pour les hommes…-Ah bon… maman, je suis heureux de ce que nous venons de faire mais…-Mais quoi chéri ?-Tu as trompé papa… on dirait que ça ne te dérange pas…-C’est exact, ça ne me dérange pas du tout. Sylvain, je le dirais à ton père…-Oh là là, ça ne va pas la tête, il va me tuer…-Mais non… il faut que tu saches que nous en avions déjà parlé, l’occasion s’est présentée aujourd’hui, il le saura demain…-Tu crois qu’il m’en parlera ?-J’en suis sure. Sylvain, j’adore être prise en double, une queue dans la chatte et une dans le cul, il se pourrait que nous le fassions…-Maman, pour ça il faut deux hommes…-Certes, mais il m’arrive d’utiliser un gode dans le trou libre…-Tu as déjà baisé avec deux hommes alors ?-Oui chéri, avec des femmes aussi, ton père et moi sommes libertins, nous faisons des partouzes si tu préfères…-C’est donc ça…-Quoi ?-Vous recevez les gens ici n’est-ce pas ?-Cela nous est arrivé…-Et j’allais coucher chez les voisins… que je suis con !-Mais non chéri, nous t’avons toujours préservé mais maintenant tu es un homme, et quel homme !-Je pourrais voir alors ?-Non, enfin peut-être, tout dépend des gens que nous recevrons. Certains ne sont pas suffisamment libérés…-Vous me le ferez savoir alors ?-Oui chéri…-Maman, si nous sommes tous les trois dans le même lit, je serais surement très près de papa…-Oui il se pourrait même qu’il te touche…-Et je pourrais le toucher aussi ?-Oui chéri, et plus que le toucher si le cœur t’en dit…-Mais c’est formidable ça, depuis le temps que j’ai envie de toucher une queue, de la sucer et même de me faire prendre…-Avec ton père tout est possible… Tu as déjà pratiqué ?-Oui et non, rien de bien ‘’méchant’’ mais j’ai aimé…-Sylvain, tu bandes de nouveau…-Après ce que tu viens de me dire, rien d’étonnant…-Alors tu es bisexuel, comme ton père…-Papa se fait enculer ?-Oui et il encule aussi… Les femmes et les hommes, bien sur…-Je connais les gens que vous recevez ?-Je ne crois pas, enfin peut être…-Ne me dis rien, je découvrirais…-C’était bien mon intention… tu peux rester avec moi cette nuit et n’hésite pas à me réveiller si l’envie te prend…-Merci maman… tu es une mère formidable…    *****
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