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Grosse poitrine

Chapitre 1

Hétéro
(Mon mari sait qu’il suffit de me peloter la poitrine pour faire de moi ce qu’il veut.).
Je viens d’avoir vingt cinq ans. Je suis une très jolie blonde avec une grosse poitrine bien galbée. Je fais un 95 C très voyant car je suis très fine et que cette protubérance mammaire est disproportionnée au reste de mon anatomie. J’ai eu beaucoup de mal à l’accepter, surtout lorsque j’étais jeune fille mais j’ai appris à vivre avec et maintenant, à force de m’y intéresser, j’ai fini par la conquérir. Il ne se passe pas une journée sans que je la caresse tellement les sensations qu’elle me donne m’électrise. Quelles que soient les circonstances. Je joue régulièrement avec mes tétons qui sont devenus hypersensibles suite à mes manipulations permanentes.
Tous les matins, quand je suis sous la douche, les jets de la pomme de douche énervent les terminaisons nerveuses de mes seins et cela m’amène à une masturbation intensive qui me fatigue. Mon époux m’a surprise à plusieurs reprises dans des situations très compromettantes mais au lieu d’être furieux concernant mes jeux solitaires, il en a toujours profité sans se faire prier. Je suis devenue une vraie nymphomane dès que l’on me touche les seins et j’ai peur de cette excitation permanente.
Mon mari connaît très bien mes penchants sexuels et il sait qu’il suffit de me caresser tendrement la poitrine pour faire de moi ce qu’il veut. Quand il commence son petit manège, rien ne peut m’arrêter et même quand je suis fâchée après lui et qu’il a envie de me faire l’amour, il n’hésite pas à s’attaquer à mes deux globes volumineux. Après quelques manipulations sensuelles, mes mamelons se dressent, ma fente est mouillée et ouverte à toute pénétration. La position qui me fait exploser est celle toute simple ou son sexe raide enfile mon ventre frénétiquement pendant qu’il me tète. Je voudrais que cela ne cesse jamais mais la liqueur chaude qu’il déverse dans mon conduit sonne le glas de mon plaisir.
Je ne suis vraiment pas anale mais quand il me prend en levrette et qu’il maîtrise mes seins en les malaxant très fort, inconsciemment, je cambre ma croupe et il a une vue inévitable sur mon petit orifice. Je viens de lui accorder le plaisir de s’y engouffrer. Comme il sait que ce moment d’égarement ne va pas durer longtemps, il pointe son gland aussitôt et pousse d’un seul coup. Il m’arrache systématiquement un petit cri de douleur et très vite reprend possession de ma poitrine pour me faire oublier la sodomie qu’il était en train de me pratiquer. Il me défonce en me pinçant mes tétons et ne voulant pas être en reste, je passe ma main entre nos jambes et, alternativement, je caresse mon sexe et ses bourses qui claquent sur mon fondement. Plus il prend mon petit trou violement, plus je l’aide à maltraiter mes seins. Je finis par jouir intensément
Cette partie de mon corps que j’aime au plus haut point fait l’objet de convoitise des hommes comme des femmes. Il faut dire que mes tenues vestimentaires la mettent en valeur. Il n’est pas rare qu’on les frôle dans le bus ou dans le métro et cela m’électrise jusqu’au plus profond de mon intimité. Il est fréquent que je rentre du travail avec le fond de culotte bien mouillée.
Un jour, je me suis même masturbée, dans les toilettes d’une gare parisienne, suite à un contact de poitrine de femme à femme, que j’ai vécu avec une superbe créature fortement dotée par la nature. La jeune fille était assez jeune et d’une beauté hispanique. Nos anatomies, plus qu’avantageuses et proéminentes, n’ont pas mis très longtemps à se rencontrer et finir par être en contact l’une contre l’autre. Les gens, dans nos dos respectifs, nous poussaient et nous ne faisions rien pour nous éviter. Plus on se frottait les seins, par les secousses des rails, plus je m’excitais et plus je lui montrais avec un grand sourire qu’elle me rendait. Je me suis même surprise à fermer les yeux pour nous imaginer, nues toutes les deux au milieu de la foule, nos mamelons tendus flirtant en s’écrasant sur nos poitrines. J’ai passé ma main entre mes jambes en frôlant son pantalon. Elle ne disait rien et continuait à me regarder avec des yeux illuminés. Nous étions complices. L’homme qui était derrière moi avait remarqué notre petit manège car je sentais une bosse bien dure contre mes fesses. A chaque arrêt, il défendait sa place et cela m’amusait. Il aurait été encore plus téméraire, je l’aurai laissé faire. Nous, nous sommes séparés à ma station habituelle. Durant notre séparation, nous ne nous lâchions pas du regard si complice. Depuis, je cherche des jeunes femmes bien équipées comme moi pour une séance contact et je ne suis rendue compte que je n’étais pas la seule à aimer ce type de frottement. J’ai retrouvé plusieurs fois la jeune fille du premier jour mais j’ai compris qu’elle souhaitait m’éviter. Je ne l’ai plus jamais importuné. Je ne regrette pas ce petit jeu avec elle mais je pense qu’un jour j’irai encore plus loin dans mon désir.
Doumé
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