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Guillaume fait son cinéma

Chapitre 6

Sur la chaise gynéco

Avec plusieurs femmes
Et voilà le moment fatidique : le passage sur le siège de gynécologie. Elle était là, nue, la doctoresse venait de récupérer ses papiers. Elle tapa des trucs sur son ordinateur.
-Tu peux te mettre en position. Je tape deux, trois renseignements et j’arrive, dit le docteur
Kolzinsky.Céline se mit à regarder le siège comme si elle se retrouvait face à une monstrueuse découverte, mais elle avait bien en tête ce qu’elle devait faire pour s’y positionner.Elle se retrouva assez rapidement dans une position qu’elle trouva assez confortable passé le cuir froid qui se réchauffait au contact de sa peau, mais qu’elle trouva également un peu ridicule. Puis, bon, à attendre la chatte à l’air et les pattes écartées dans les étriers, elle se sentait mise à nu, autant de manière réelle que figurée. Cela dura bien cinq minutes avant que la doctoresse ne vienne devantCéline. Elle la regarda et, dans un mouvement d’épaule, laissa tomber sa blouse avant de lâcher un :
-Nous voilà à égalité !
Céline se retrouva face au corps de la sculpturale Katia. Grande brune, généreuse femme qui ne manquait de rien, mais ne faisait pas dans l’excès. De longues jambes sans trace d’un poil ni d’un défaut, un pubis indiquant l’entrée du vagin par un triangle de poils. Céline devina même à la petite ficelle sortant de son vagin que Katia portait en ce moment-même des boules de geisha. Quand on remontait les yeux, un ventre avec tout ce qu’il y a de plus normal, puis une poitrine généreuse, bien aidée par un tatouage imitant de la dentelle de soutien-gorge situé sur la partie basse du sein et qui remontait en légère pointe sur les tétons. Céline regarda la doctoresse et trouva dans son corps une telle harmonie qu’elle se dit qu’avec un telle corps, on se sentait facilement plus libéré et bien dedans. Katia attrapa son tabouret, sa table d’instrument et enfila une paire de gants avant de reprendre la parole.
-Bon, je vais commencer par les actes gynécos, comme ça on en sera débarrassé. Je sais que peu sont fans. Ça te dérange ?— Non, je dirais bien que je vous donne raison pour ça, dit Céline, un peu coincée.— Pas de vous. Maintenant, ce sera tu et Katia, pas de chichi, ici. Bon, je vais appliquer une crème sur le pubis, puis je te ferai deux ou trois tests de rigueur.
Katia prit alors une crème et en mit une crotte sur le pubis de Céline, légèrement rougi par ce queKatia devina dû à un rasage pas très bien géré. Elle prit soin de l’étaler avec précaution et précision tout en restant un peu plus à certains endroits.Elle prit la parole alors qu’elle était en train de lui appliquer de la crème à la base du clitoris.
— Plus tu seras détendue, mieux ce sera, dit-elle en continuant quelques secondes avant de continuer de parler. Je vois que le clito est bon pour le piercing du capuchon, mais ça, je te le ferai dans quelques temps, après tes séances d’épilation. Je vais te mettre un doigt dans le vagin. Prête ?— S’il le faut, dit Céline, rouge et stressée.
Sans plus attendre, Katia lui enfonça, avec une extrême douceur mais avec conviction, un doigt, puis un second avant de ressortir tout aussi naturellement en ayant réalisé quelque petits mouvements entre le contrôle et la détente des lèvres. Céline commençait à sentir une certaine chaleur dans son corps, une sensation qui lui fit penser qu’elle commençait à se sentir bien. Mais elle pensait que cette chaleur n’était qu’une sensation due à la crème, que pouvait-elle mal penser ?
Après quelques jeux de doigts pour contrôler et détendre tout cela, il fut temps de prendre des instruments tels que le spéculum et les cotons-tiges. Toutes les étapes parurent durer une éternité pour Céline. Tout était bien plus long que lors de son seul et unique rendez-vous gynécologique qu’elle avait pu avoir. Il était également plus chaleureux, et la sensation de chaleur était encore montée un peu. Et puis cette crème qui commençait à couler.
— Voilà qui est fini. Tu vois, un peu de douceur, ça se passe bien pour faire les choses correctement.
Bon, je vais chercher le laser pour l’épilation. Tu peux prendre un mouchoir et t’essuyer, la crème et la mouille, c’est pas super pour la suite.Quoi ? Comment ça, de la mouille ? C’était donc ça, la chaleur, pensa Céline. Du plaisir. Non, non, non ! Quoi que, peut-être que oui. Le cerveau de Céline bouillonnait entre les questions et l’envie de découverte. Au départ, elle avait honte de la position, mais plus maintenant. La chaleur ressentie l’avait fait se trouver bien. Et puis mince, en se nettoyant du produit, elle continua à se caresser le clito. Puis, avec un puis deux doigts, la petite chaleur revint vite, puis elle s’arrêta. Elle recommença un peu plus longtemps avant d’entendre le chariot et Katia arriver. Elle finit de se nettoyer avant l’arrivée de la doctoresse.La suite de la séance ne fut qu’une longue attente avec l’appareil d’épilation, séance qui devra se répéter plusieurs fois en trois semaines. Puis, pendant ce temps, les piercings aux tétons furent posés à une vitesse et une facilité déconcertantes alors que Céline s’attendait encore à autre chose que les deux petits pics de douleur de deux secondes sur chaque sein. Il semblait que tout était fini ; Katia rangea scrupuleusement le matériel.
-Bon, pour le piercing, tu devras faire très gaffe à bien le nettoyer durant toute la durée de ton stage ici, c’est à peu près le temps de cicatrisation. Je te donnerai un petit sac avec une liste des choses à faire. Pour le moment, tu ne le changes pas, et tu ne joues pas trop avec. Tu peux te rhabiller.
Céline se releva de sa chaise et alla dans la direction de ses affaires, enfin, de son body. Puis, voyant son reflet dans le miroir, elle vit pour la première fois ses seins percés. Elle trouva cela joli. Ses tétons s’en trouvaient légèrement plus pointus, cela lui donnait des seins mieux finis. Ce fut, pour elle, une satisfaction.Elle resta devant son reflet un certain temps avant d’entendre Katia prévenir sa sœur que se sera bientôt son tour. Ceci la sortit de sa concentration. Elle comprit alors que c’était le moment de se rhabiller. Katia lui donna ensuite un sac et la congédia. Céline ressortit alors que sa sœur entrait dans la salle. Céline hésita 30 secondes sur ce qu’elle devait faire, puis elle se dit que le mieux était d’aller retrouver Guillaume. Après une nouvelle traversée du studio, plus calme que lors de l’aller, rien ne la perturba. Elle en profita pour découvrir les décors, les salles et autres petits coins du studio. Une grande chambre par ici, une salle de bain recréée par là, puis encore une salle vide prête à se transformer.Elle retrouva Guillaume avec Lila dans la salle de production. Il regardait, devant un moniteur, un rush de vidéos qui devaient être montées quand ils s’aperçurent de la présence de Céline.
— Ah, te voilà revenue ! Quelle heure est-il ? demanda Lila. Ah, merde ! C’est l’heure de vous libérer. Alors, Céline, qu’est-ce que tu as choisi ? Des piercings, je crois. C’est ça ?— Oui, c’est ça, dit Céline, certaine de son choix. Et puis, ça ne fait pas mal. C’est un bon choix, j’espère que l’autre sera pareil.— L’autre ? Tu en prévois d’autre, dis donc ! Le seul problème avec les tétons, c’est que c’est long à cicatriser, mais c’est un des tops. Bon, je crois que je vais vous laisser là, et je crois que je vais rentrer chez moi, les jeunes.
Lila fit la bise aux deux jeunes et partit en récupérant son téléphone.
— Bon, dit guillaume. On fait quoi, du coup ?— Heu, si tu veux, ma mère et ma sœur sont là. On peut aller les rejoindre, comme ça ma mère pourra tous nous ramener. Enfin, on doit encore la trouver.
Nos deux spécimens repartirent donc dans les couloirs du studio à la recherche de la mère, une mission qui se retrouva bien plus difficile qu’ils ne le pensaient. Après avoir cherché dans les bureaux sans aucune piste réelle, être redescendus dans les studios, se retrouver dans une salle remplie de filles nues en train de se laver, ils trouvèrent enfin la mère. Ils auraient aimé la trouver à un autre : quand ils ouvrirent la porte, Sonia était en train de bouffer le minou de la mère. La fille et la mère se regardèrent, puis Céline se vit demander de l’attendre dehors, ce qu’elle fit. Ils partirent donc retrouver Emma chez la doctoresse. Elle venait de finir. Elle avait toujours ce côté de fiole d’énergie : radieuse et souriante. Elle ne semblait pas avoir changé, tant mieux. Alors qu’ils se parlaient, tous prêts a partir, ils récupérèrent la mère qui s’était rhabiller comme si de rien était.La journée avait été longue, et chacun donna ses impressions. Céline avait perdu sa peur : elle était passée dans une situation d’envie de découvrir.Sa sœur, quant à elle, semblait assez contente, mais la plus dithyrambique était la mère qui semblait avoir trouvé en Sonia une amie bien proche. Ils promirent de repasser un jour avant de partir.Guillaume, dans tout cela, semblait un peu gêné, mais il trouva du réconfort dans la décontraction de ses amies. En plus, il sentait que les pilules de Katia commençaient à faire effet. Il se sentit un peu gêné, avait-elle bien dosé ?
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Je remercie Shazam, qui se reconnaîtra, pour m’avoir aidé à écrire ce texte en m’aidant à poser mes idées et à me motiver à écrire à un rythme plus soutenu.
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