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I HAD A DREAM

Chapitre 1

J'ai fait un rêve

Voyeur / Exhibition
I HAD A DREAMJ’AI FAIT UN REVE. Ce matin, je me suis réveillé alors que j’étais en train de rêver. Je dis je me suis réveillé, mais en fait, je suis resté dans un état, entre sommeil et éveil. J’étais si bien, c’était si beau, que je décidais de rester dans ce rêve… et je me rendormis !Enfin, je pense, car tout était entre les deux états, je savais que ce n’étais pas la réalité, mais je voulais continuer à explorer cette aventure que j’avais commencée et qui ne me semblait pas être allée assez loin.
Dans ce rêve, ma petite femme adorée, était chez des gens, d’origine un peu indoue, il me semblait… et surtout, très libérés. Ce devait être des amis, elle était chez eux pour quelques jours et je suis arrivé un peu à l’improviste, pour la voir. Quand j’entrais dans la maison, je tombais sur le mari. Il était dans une petite pièce, en train de se faire faire une belle fellation par deux divines jeunes femmes en tenue légère. Je passais devant la porte sans trop m’y arrêter (c’est à ce genre de détail qu’on s’aperçoit vraiment qu’il s’agit d’un rêve ! Dans la vie réelle je serais vraisemblablement plutôt resté un moment à les mater pour m’exciter un peu…) je continuais donc mes recherches pour trouver ma chérie. Je tombais ensuite sur la femme de la maison.
Très belle femme au demeurant, vêtue d’une longue robe genre sari, qui épousait ses formes en les soulignant.Style femme liane, un corps longiligne mais avec des formes harmonieuses. Des reins cambrés avec une paire de fesses bien fendue, une poitrine bien gonflée, haute et ferme, les pointes en avant semblant vouloir percer le tissu les recouvrant. Il émanait d’elle une telle assurance, une telle paix. Elle semblait en même temps si légère, presqu’irréelle.Tout dans cette maison, respirait le calme et la sérénité. Tout ce qui s’y déroulait, pour aussi étrange que cela puisse être normalement, semblait y être si simple et naturel…Elle me reçut très simplement, en me disant que ma moitié devait se trouver quelque part dans la maison, qu’elle ne savait pas trop où mais que je devais continuer à la chercher. Qu’elle était sur le chemin qui devait la conduire à se trouver elle-même. De ne pas être surpris ni choqué de ce que je trouverai.
Quand je partis, je l’entendis penser que ma femme était sur la bonne voie, qu’elle avait du mal à lâcher prise et à accepter d’être ce qu’elle était, à rejeter la honte, la morale, les préjugés, la culpabilité et la peur. Que je devais l’aider à y arriver, que j’étais le seul à pouvoir l’aider à finir de dépasser tous ces blocages.Et tout ça (dans un rêve, tout est différent) me paraissait normal et évident… mais aussi terriblement agréable et excitant. Je me sentais presque flotter moi aussi !Je continuais donc ma recherche dans cette étrange maison. Dans toutes les pièces, des gens plus ou moins dévêtus copulaient le plus naturellement du monde, sans honte et sans pudeur. J’arrivais enfin à une salle faiblement éclairée dans laquelle un homme assez jeune, svelte et musclé, était allongé sur le sol, nu le sexe droit comme un i.
Un sexe fin et surtout très, très long, se terminant par un gland décalotté, ressemblant à un gros champignon.
La grosseur du gland paraissait démesurée par rapport à celle de la hampe qui le supportait. Il était décalotté lisse et brillant, bien mafflu et gonflé d’excitation…Quand mes yeux se furent habitués à la semi obscurité qui régnait en ces lieux, je vis celle que je cherchais depuis que j’étais entré dans cette demeure du plaisir, elle était devant l’homme allongé, nue elle aussi, adossée à un autre homme habillé, lui, qui l’enserrait dans ses bras et semblait lui parler à l’oreille. Son regard était fixé sur le corps qui lui était exposé.Son visage trahissait un combat intérieur. Elle semblait attirée par cet homme prêt à lui offrir le plaisir qui paraissait l’aspirer, et en même temps, je la connais si bien, je comprenais que les « principes » qu’on lui avait inculqués à l’éducation, lui disaient que ce n’était pas bien, qu’elle ne devait pas, qu’elle était mariée avec un homme qui l’aimait et qu’elle aimait, qu’elle ne devait pas le trahir… Et l’homme (qui ressemblait beaucoup au maître de maison que j’avais vu bien occupé en entrant, mais dans les rêves…) calmement continuait, vraisemblablement, d’essayer de la convaincre de se laisser aller à ses pulsions, elle faisait non de la tête alors que ses yeux disaient « oui je le veux ! »Je contemplais longuement ma femme. Elle était si belle, si désirable et son excitation toute en retenue la rendait encore plus désirable.
Voyant qu’elle n’arrivait pas à se décider, je mis un pied dans la salle… Elle me vit aussitôt… Ses beaux yeux me fixèrent avec un air si désolé que je me sentis transpercé de sa douleur. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Je pensais très fort, tout en sachant parfaitement qu’elle m’entendait aussi clairement que si j’avais parlé :
— Mon amour, pourquoi te tourmenter ? Je t’aime et je sais parfaitement que tu m’aimes… ton corps te réclame ce plaisir, prends-le librement et sans aucune honte, tu ne me trompes aucunement puisque je suis au courant et que je t’y encourage ! Calme-toi ma chérie, tu as envie de ce sexe, va et assied-toi dessus, j’ai envie de te voir prendre ton plaisir, tu es si belle quand tu prends du plaisir… Je t’aime… lâche prise…
Elle me sourit, ses yeux s’éclairèrent, tout l’amour qu’elle me portait pouvait s’y lire clairement, sans ombre. Elle se détacha de l’homme derrière elle et s’avança doucement, mais sûrement, ménageant son désir et le sentant croître en elle. Elle se positionna face à l’homme qui allait lui offrir ce qu’elle désirait tant, l’enjamba et se retrouva au-dessus du membre qu’elle allait faire entrer dans son corps alangui avec ma complicité.Se retournant vers moi, elle me tendit sa main.Je m’approchais d’elle, lui pris la main, et, les yeux vrillés dans mes yeux, elle descendit doucement, s’accroupissant sur lui, bien décidée à prendre ce plaisir que tout son corps lui réclamait.
Je la soutins pendant qu’elle s’asseyait lentement sur le membre fin et long. Je regardais incrédule le gros gland écarter les lèvres du con de ma femme pour la pénétrer. En même temps, je pouvais voir sur son visage le plaisir qui montait en même temps qu’elle descendait le long de ce mat. Dieu qu’elle est belle quand elle prend du plaisir !!! Qu’est-il de plus beau que cette confiance que je lis dans ses yeux amoureux ?Je prends ses lèvres pour lui communiquer tout l’amour qu’elle m’inspire. Ses bras s’enroulent autour de mon cou tandis qu’elle commence sa danse au dieu Eros sur ce corps allongé et seulement destiné à lui donner du plaisir.Elle entame des mouvements successifs d’ascension et de descente le long de la colonne de chair, fixant elle-même le rythme selon son désir. Se laissant parfois tomber complètement sur lui, l’enfouissant au plus profond de son corps. Alors assise sur l’homme, les pupilles dilatées, le regard incrédule, la bouche entrouverte en signe de grand plaisir, elle marque un temps d’arrêt pour sentir longuement cette verge tout au fond de son ventre, ce gland gonflé, fiché dans son utérus. Laissant les contractions de son vagin le masser comme une bouche affamée.
Qui la pénètre à cet instant ? Cet homme ou bien moi avec qui elle communie si fort ? En fait, nous ne faisons plus qu’un tous les trois. Ses gémissements de bonheur me remplissent de joie et me comblent. Je plante mon regard dans le sien, rentre en elle par là même, et lui dis tout ce que je dois lui dire :
« C’est bien mon amour, laisse-toi aller à ton plaisir, à tes désirs, à tes envies… prends-le à fond, donne-toi complètement, laisse-toi submerger, emporter par le plaisir… découvre-toi, sois toi ! Tu sens comme je suis uni à toi alors que c’est un autre qui te prend ? Ne crains pas pour notre amour, si tu es heureuse et épanouie sexuellement, il n’en sera que plus beau et fort !Tu es si belle quand tu prends ton plaisir, je le partage avec toi… tu sens comme j’aime quand tu t’offres ainsi ? Abandonne tes à priori moraux lâche-toi complètement, prends ce dont tu as envie… tout ce dont tu as envie… et partage-le avec moi sans craintes »
Ses yeux !!!! Que d’amour dans ces yeux adorés !!!
— MERCI !
C’est sorti dans un souffle, mais il y avait tant de force dans ce mot, tant de bonheur, de reconnaissance envers cet homme prêt à tout pour elle, tout lui donner, tout lui permettre…Puis, le plaisir… tant de plaisir… elle était DANS le plaisir, il l’envahissait, la prenait et la rejetait, comme le flux et le reflux d’une mer immense. Petite chose fragile, elle se laissait porter par cette force qui la dominait et la comblait en même temps.Elle se noyait dans le plaisir, il l’emportait comme la vague emporte le nageur, le faisant rouler au point qu’il en perde la notion d’où il se trouve. Elle gémissait, accrochée à moi comme à sa bouée de sauvetage, elle montait et descendait sur la colonne de chair tendue, la faisait pénétrer à des profondeurs insoupçonnées dans son ventre brûlant elle sentait le gland qui progressait en elle.
Elle ne sentait même que ça… Il était gros… si gros, qu’elle ne sentait même plus la tige qui le portait, il semblait n’être plus relié au corps de l’homme qui la prenait.Il venait buter tout au fond, contre son col, elle remontait pour redescendre et se positionner à nouveau en butée, marquait un temps d’arrêt, le sentait, là, contre le col… hésitait… prenant sa respiration, elle descendit d’un coup… le gland franchit le col et se retrouva planté tout au fond d’elle, dans son utérus… Sa bouche était ouverte, ses pupilles dilatées, elle poussa un cri de plaisir :
« Ooooooooooohhhhhhhhhh oooooooooouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!Il me transpeeeeeerceeeee………. Jamais rien n’est allé aussi loin en moiiiii ! »
Sa petite main posée sur son ventre, elle sentait la chose à l’intérieur d’elle qui faisait une bosse sur son ventre.
Elle me dit « Regarde mon ventre… regarde comme il va loin, on le voit qui pousse comme s’il voulait sortir par mon nombril ! »Assise sur l’homme, elle entreprit une danse du ventre, faisant rouler son bassin d’avant en arrière et de droite à gauche, se branlant ainsi le clitoris sur le pubis de l’homme et sentant la boule prête à exploser tout au fond de son ventre.Je regardais et je vis en effet une boule qui déformait son ventre au-dessus de son nombril, qui poussait sur son ventre, elle se déplaçait avec les mouvements du bassin, effectuant un massage intérieur incroyable.L’homme commençait à s’agiter sous ma petite chérie qui lui dévorait la bite avec sa chatte gourmande. Il se tendait en des spasmes de plus en plus violents.Ses râles étaient rauques et profonds.
Elle aussi, le sentant prêt à lâcher sa semence en elle, se laissait aller au plaisir qui l’emportait de plus en plus loin.Je la tenais pour qu’elle ne s’effondre pas, au risque de se désaccoupler.Leurs plaintes montaient à l’unisson en un crescendo irréel pour finir en un feu d’artifice où lui, tendu comme un arc, s’arque bouta sous elle pour mieux se planter en profondeur si cela était encore possible et lui envoyer son sperme directement contres ses ovaires.Elle savourait les pulsions de la queue qui lui injectait un flot de liquide bouillonnant qui semblait intarissable.
— Donne-tooooooooouuuuuuuuut !!! Oooohhhhhh putain qu’est-ce qu’il me meeeeeettttttt !!!! Il en a des litres !!!!!!!!!!!! Il me remplit de foutre !!!!!!!!!!!!!! C’est booooooooooooonnnnnnnnnnnn !!!
Elle était en pleine jouissance extatique, atteignant des sphères jusqu’alors inconnues d’elle…

Quand elle reprit conscience, quelques minutes plus tard, toujours empalée sur le sexe viril, elle s’accrocha à moi pour se relever. Rien ne s’écoulait de sa chatte ! Elle avait pourtant, semblait-il, reçu une bonne dose de foutre, mais il avait été envoyé si profondément qu’il était resté prisonnier de ses trompes de Fallope.Elle se pencha pour embrasser l’homme qui l’avait si bien faite jouir, un baiser de remerciement, langoureux et tendre. Puis, se relevant complètement, elle m’étreignit amoureusement, se collant littéralement à moi de tout son corps.
« C’était trop bon mon amour ! J’ai aaaadoré sentir cette queue aller aussi loin en moi…… Il faudra qu’on recommence hein ? »
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