Le hasard fait bien les choses part 2 Résumé de la première partie :Je suis gendarme, je suis en patrouille de nuit avec Jean un collègue, nous sommes appelé sur des violences conjugales dans un lotissement où les maisons sont isolées. Nous nous trompons de maison et le hasard faisant bien les choses, nous surprenons par la fenêtre d’une autre maison, une femme nue attachée sur une table. Il a découvert qu’elle s’était envoyer en l’air avec deux de ses collègues de bureau. Son mari lui inflige des sévices sexuelles avec plusieurs godes et la baise par tous les trous. Il est fortement alcoolisé et s’endort comme une masse dans son canapé. Nous rentrons dans la maison et profitons de la situation. Sa femme est vraiment bonne et nous lui explorons tous les trous nous aussi. Elle adore le gout du sperme et avale jusqu’à la dernière goutte. Après en avoir abusé d’elle un bon moment, nous avons l’idée de la promener avec nous au cours de notre patrouille où une pulsion sera vite assouvit. Elle s’apelle Sylvie Suite du récit :Après avoir tous pris une douche, nous attendons Sylvie qui doit s’habiller comme une pute. Elle entre dans la pièce, et là nous découvrons une autre femme super bandante. Elle est en porte jarretelle avec des bas noir résille, un string noir, un corsaire noir qui laisse sortir ses seins et les relève, style wonderbra. Son maquillage est exagéré et très vulgaire. Elle sourit sous nos commentaires les plus salaces, et nous dit qu’elle nous appartient pour le reste de la nuit mais que l’on devait la ramener vers 5H avant que son mari ne s’en aperçoive. Je met au volant, Jean est assis à côté de moi et Sylvie est à l’arrière. Elle nous explique sa journée et le premier adultère qu’elle commet depuis 15 ans de mariage.Nous intervenons sur les violences conjugales et Sylvie nous attend dans la voiture. La porte s’ouvre et un homme d’une vingtaine d’année et aussi alcoolisé (de toute façon c’est presque toujours le cas) nous demande pourquoi nous sommes là. Nous lui demandons d’aller chercher sa concubine car elle a appelé pour des violences conjugales. L’homme s’énerve et nous dit d’aller la chercher nous même dans la salle de bain où elle s’est enfermée. La porte de la salle de bain est dégradée de 2 trous de coups de poing. Au vu du comportement violent que l’homme a du avoir, je demande à Jean de rester avec lui. Je demande à la femme de m’ouvrir la porte, elle s’exécute, me laisse entrer et referme la porte derrière moi. Je suis surpris de voir une jeune femme blonde de 18 ans à peine, complètement nue. Elle est en pleure et m’explique leur dispute parce qu’elle a changé la chaine de la TV. Mes yeux se fixe d’abord dans ses yeux bleus, puis je descend sur ses petits seins pendant qu’elle se frotte les yeux pour pleurer. J’en profite également pour regarder sa chatte imberbe. Elle se retourne et prend un mouchoir, j’ai une vu sur son petit cul cambré. Je commence à avoir une érection du tonnerre. Elle fait tomber quelque chose par terre, qui part sous le meuble. Elle se met alors à genoux, puis se penche d’un coup en avant jusqu’à ce que son visage touche le sol. J’ai une vue sur sa chatte et son anus, mon cœur se met à battre de plus en plus fort et je sens ma bite devenir très très dure. Je me met alors aussi à genoux et regarde ses orifices qui sont offert à ma vue. Je me lance et pose mes mains sur ses fesses, elle ne bouge pas et ne dis rien, je commence alors à lui écarter les deux fesses tout en lui massant ses deux petites miches. J’approche le visage et commence à lui masturber le clito avec deux doigts. Puis mon pouce commence à glisser le long de sa fente qui s’ouvre. Elle est trempé, sa mouille coule le long de mon pouce. Je l’introduis dans son vagin et fait des va et viens tout en lui masturbant toujours le clito.J’entends sa respiration s’intensifier, j’en profite pour enduire mon deuxième pouce dans son vagin, puis je l’introduis dans son anus. Celui ci m’aspire le doigt et se dilate facilement. Je commence à faire des va et viens dans son cul. Au bout de quelques minutes, je sors ma bite de mon pantalon, je n’ai envie que d’une chose c’est de jouir. Je le pose à l’entrée de son vagin et je rentre d’un coup. Je la pistonne doucement pour ne pas faire de bruit. Puis au bout d’un moment je lui prend l’anus d’assaut. Celui ci a du mal à m’aspirer (pas étonnant vu mon épaisseur) mais au bout d’une trentaine de secondes, il cède et commence à lui prendre son cul. Je la pistonne énergiquement et là elle me demande de lui jouir bien au fond du cul, à la fin de sa phrase, je sens son corps trembler, elle jouit fortement. Cette fille m’excite tellement que je sens monter ma sève et lui exploser en plusieurs jets puissants au fond de son cul. Je pose mes mains sur ses fesses, donne encore quelques coups, puis me retire doucement tout en lui écartant les fesses.
Son anus est grand ouvert. Elle se relève à genoux et sans un mot me suce la bite comme pour la nettoyer. Ses yeux fixent les miens et elle m’aspire le gland. Elle se met debout me regarde et sourit. Elle me dit « pas mal du tout, c’était très excitant de le faire avec un gendarme en service ». Je lui souris, lui demande de s’habiller et si elle veut rester chez elle où si on l’accompagne dans un hôtel pour cette nuit. Elle opte pour la deuxième solution et ne veut pas porter plainte. Nous sortons de salle de bain et je fais au compagnons la moralité d’usage. Elle s’appelle Cindy et elle s’est vêtu d’une robe fine et courte. Jean la mate à plusieurs reprises et me signe d’un clin d’œil. Nous l’installons dans notre véhicule de service, à côté de Sylvie. Au cours du trajet j’aperçois Cindy dans mon rétro me sourire. Je pense qu’elle se demande quelle est cette femme qui nous attendait dans la voiture, habillé comme une pute. Puis, Sylvie la complimente sur sa beauté et sur son physique. Elle lui demande si tout va bien avec son copain. Cindy lui répond qu’il boit beaucoup et qu’il est souvent absent. Qu’elle a voulu regardé la TV comme d’habitude et qu’il serait venu la gifler. Elle s’est réfugié dans la salle de bain et a appelé les gendarmes. Il a frappé violemment sur la porte deux fois puis s’est calmé. Elle a pris une douche. En fin m’a entendu derrière la porte, elle a eu le sentiment d’être sauvé. Sylvie lui demande si son copain la baisé ce soir, elle répond que non car il n’arrive pas à bander étant alcoolisé. Elle lui avoue discrètement à l’oreille avoir été très excité de me voir en uniforme dans sa salle de bain, avoir voulu rester volontairement à poil pour m’exciter. En voyant mon érection à travers mon pantalon, elle a mouillé instantanément. Elle lui dit également toute la scène hard qui s’est passé. Sylvie n’en croit pas ses oreilles, elle commence à se déshabiller et se masturbe le clito. Cindy recule, me regarde inquiète puis regarde la chatte de Sylvie. J’aperçois un sourire sur son visage puis Sylvie lui prend la tête et la colle contre sa chatte. Elle demande à Cindy de lui bouffer le minou. Cindy s’exécute immédiatement et on entend de devant les gémissements de Sylvie. Jean sort sa queue tout en regardant le spectacle. Puis …. (La suite au prochain numéro). jmlabaise@gmail.fr
