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Hautefort au mois d'août.

Chapitre 3

Inceste
Nos repas se suivent et se ressemblent. A noter tout de même que la tropézienne était excellente.Juste après le déjeuner, je suis allée me réfugier au bord du ruisseau. Loin du regard de mes parents, loin des mains de mon oncle. La scène de ce matin a réveillé le désir qui sommeillait en moi. Elle m’ouvre des perspectives, m’inspire et me souffle des idées que je couche sur le papier avec empressement. Je noircis plusieurs pages ; les mots ne cessent d’affluer. Le temps n’existe plus.
19h28De retour à la maison ma mère m’apprend que Céline et lui sont partis visiter un musée et ne dineront pas avec nous. Je suis aussi déçue que soulagée. J’attrape mon téléphone et pianote rapidement quelques mots à son attention:
"Je suis désolée pour ce matin."
Juste histoire de m’insinuer dans ses pensées durant leur tête à tête. La réponse est immédiate :
"Désolée ? Non tu ne l’es pas. Tu savais très bien ce que tu faisais. Assume-le ! "
La violence de sa réponse m’ébranle. Quelque chose en moi se rompt. Je ne sais pas quoi lui répondre. Ma répartie s’est évaporée au contact de la dureté des ses mots.D’autant plus qu’il a raison, je ne suis absolument pas désolée. J’assume parfaitement mon comportement mais ne tolère pas le sien à l’instant.Fini de jouer. C’est certainement mieux ainsi. La soirée passe sans que j’y prête attention. Je suis là sans être là. Absente de mon propre corps ; mes pensées errent, vont, viennent, se perdent. Il monopolise mon esprit. Je m’efforce de le chasser mais il revient sournoisement : ma mère me propose le reste de tropézienne au dessert.
Je finis par me coucher frustrée et désabusée mais légère.
23h42Des bruits de pas brisent le silence. Ils viennent de renter. Des rires étouffés, des marches qui grincent, le cliquetis du pêne dans la serrure, puis plus rien. J’attends. Je ne sais pas quoi exactement, mais j’attends, l’oreille alerte. Peut être me rejoindra-t-il pour s’excuser ? Ou bien laisseront-ils échapper quelques soupirs ? Quelque chose, n’importe quoi !  Je perds le fil, ma tête s’embrume, je m’assoupis.

4h00Les vibrations émanant de mon portable me réveillent. Un message. Mon cœur fait un bond.
"Je veux ouvrir ton cul. T’enculer comme tu le mérites. Plonger ma belle bite dans tes profondeurs. Je te veux offerte. Soumise. Tes mains écartant tes fesses. Implorant ma queue de te prendre. Sentir mon gland forcer ton anneau, te pilonner jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à répandre mon foutre brûlant dans ton fourreau."
Je reste interdite. Je bois ses mots, j’avale sa barbarie. Je devrais la vomir. Je m’en délecte.
Dès la première phrase, une chaleur diffuse embrase mon ventre. Ma chatte suinte et se contracte. Je meurs d’envie de le sentir en moi. Il me hante. Personne ne m’a jamais dit ou écrit des mots pareils. Ses phrases sont si percutantes. La vulgarité, la facilité, j’y suis malheureusement habituée. Mais ça... le jeu n’est donc pas terminé. Néanmoins, il est hors de question que je lui réponde. Je ne lui ferai pas le plaisir de lui confirmer l’effet que ses mots ont sur moi.  
04h16 Nouvelles vibrations. J’entrouvre un œil.
"Ton silence parle pour toi. Je me suis laissé emporter. Je suis désolé."
Un sourire se dessine sur mon visage. Je me rendors aussitôt.
11h00 Je me lève. Il fait déjà très chaud. J’enfile vite un maillot, une robe de plage et me dirige vers la piscine. J’y trouve Céline allongée sous un parasol en train de bouquiner. Il est là aussi, juste à coté d’elle et s’adonne à la même occupation.Elle redresse la tête et m’offre un sourire éclatant contrastant avec le caramel de sa peau.
— "Bonjour les amoureux ! lancé-je à la cantonade.
— Salut toi, bien dormi ? me répond Céline.
Il ne bouge pas d’un iota. Il m’ignore royalement. La colère me fait serrer la mâchoire. Je la contiens.
— Oh oui ! Presque trop ! mens-je.
Je quitte ma robe, le soleil mord ma peau, une sensation de bien être m’envahit. Je m’étire, me cambre dans l’espoir d’attirer son attention. Peine perdue, je ne monopolise que celle de Céline.
— Dis-moi Céline, est ce que tu pourrais me passer de la crème dans le dos s’il te plait ?  
— Bien entendu, viens par ici ! s’exclame-t-elle avec enthousiasme en tapotant sa serviette."
Je m’assieds sur sa chaise longue, le bas de mes reins effleure son ventre rond. Elle retire sa capeline et ébouriffe ses cheveux. Le parfum douceâtre du monoï chatouille mes narines. Je relève les miens en chignon rapide et lui tends le flacon. Je l’entends réchauffer vigoureusement la crème épaisse entre ses paumes avant de l’étaler sur mes épaules. Ses mains semblent aussi fines que les miennes, très douces, elles glissent sur ma peau. Ses gestes sont lents et amples. Elle s’applique, suit ma nuque, ma colonne vertébrale et atteint mes omoplates. Je ferme les yeux et l’imagine embrassant mon cou, caressant mes seins, léchant mon ventre ardemment...Sa voix à peine rauque interrompt agréablement ma rêverie naissante:
— "Tu vas avoir de vilaines traces de bronzage si tu gardes ton haut de maillot. C’est dommage.
— Oui je sais bien. Regarde ça se voit déjà un peu.
Je me retourne et soulève légèrement le bonnet de mon maillot pour lui montrer la peau laiteuse de mon petit sein rond et ferme. Je crois bien que ses prunelles noisette brillent plus qu’à l’accoutumée. Je l’abaisse d’avantage, mon aréole rose tendre apparait. J’espère qu’il n’en perd pas une miette.
— Tu devrais l’enlever, on est entre nous, m’encourage-t-elle. — Tu crois ? dis-je faussement hésitante. Oui tu as raison. Tu peux le dégrafer s’il te plait ?"
Elle vient à bout de la fermeture avec dextérité. La petite pièce de lycra tombe sur mes genoux. Mes tétons pointent éhontément. Elle continue son massage jusqu’à la naissance de mes fesses.
— "Tu veux bien te retourner ? "
Sa proposition ne m’étonne qu’à moitié mais me trouble tout de même. Je fais volte face et m’assois en tailleur face à elle. Je bénis silencieusement mes lunettes de soleil de dissimuler mon émoi. De nouveau elle frictionne ses mains l’une contre l’autre avant de les poser avec beaucoup de délicatesse sur ma poitrine. Je dégage doucement mes épaules vers l’arrière, me redresse un peu et me laisse faire. Lentement elle enduit mes seins de crème. La pulpe de ses doigts agace mes tétons déjà drus. Il me semble qu’elle s’y attarde plus qu’il ne faudrait. Elle les presse même un peu l’air de rien. Je ferme les yeux et goûte mon plaisir naissant. De nouveau mes pensées vagabondent. Soudain, un livre tombe bruyamment au sol. Nous sursautons toutes les deux. Il est assis de trois quarts, dans le dos de sa femme. L’expression de son regard posé sur moi trahit à nouveau sa hargne. Il se lève d’un bond et plonge dans la piscine avec fracas.
Céline lève les yeux au ciel et soupire puis reprend son massage mais évite ma poitrine. Il a rompu le charme ambigu et fragile de cet instant. Je dépose un baiser léger sur sa joue gauche en guise de remerciement, ôte mes lunettes et plonge à mon tour.Je me laisse glisser sous l’eau un long moment avant de commencer à nager en surface.
En me retournant j’aperçois Céline s’éloigner.
— "Je vais me laver les mains. Soyez sages ! nous lance-t-elle.
Dès qu’elle est hors de vue, il interrompt ma longueur en me barrant le chemin:
-  On peut savoir à quoi tu joues ?! siffle-t-il entre ses dents.
— Pourquoi es tu si énervé ? C’est ridicule !
— Ridicule ?! Et ça ? C’est ridicule ça ?!
Il attrape alors fermement mon poignet gracile et fourre ma main dans son short. Je reste interdite. La violence de son geste est à la hauteur de ma surprise. Ma conscience ne me questionne qu’un instant et mes doigts s’enroulent naturellement autour sa queue terriblement tendue. Je voudrais la voir. Je la sens puissante, brûlante, nerveuse.
— Ridicule ? Ce n’est pas le qualificatif auquel je pense non… répondis-je en me mordillant la lèvre inferieure.
— Tu ne peux pas m’allumer comme ça, devant ma femme !
— C’est à elle qu’il faut dire ça ! C’est un jeu de dupes !
— Tu ne pourrais pas être docile pour changer bordel ?!
Il ne me laisse pas le temps de me défendre. Me tenant toujours par le poignet,  il m’entraîne au bord et me plaque contre le liner.
— Tu me fais perdre la raison Charlotte. Tu comprends ? "
Il ferme les yeux brièvement. La colère fait place à une sorte de résignation. Il m’attire à lui, nos peaux se rencontrent enfin, frissonnent. De façon instinctive je noue mes jambes autour de sa taille. Il me laisse faire. J’en profite pour passer mes bras autour de sa nuque et m’arrime à ses épaules. Ses muscles roulent sous mes doigts. Son souffle est court. Ses mains se cramponnent avec avidité à mes fesses largement laissées nues par mon maillot. Je sens sa queue contre ma chatte et ne peux m’empêcher de me frotter à lui en faisant onduler imperceptiblement mes hanches. Il enfouit son visage dans mon cou, lèche le lobe de mon oreille puis se dégage légèrement pour me faire face. Une mèche mouillée tombe sur son front. Sans me quitter du regard, sa main droite remonte le long de mon dos. Je retiens ma respiration. Sa queue est agitée de légers soubresauts, elle meurtrit délicieusement ma chatte tant elle l’oppresse. Sa main finit par s’immobiliser sur ma nuque, il l’enserre et approche mon visage du sien. Il prend alors possession de mes lèvres avec autorité. Je ferme les yeux, m’abandonne et lui rend son baiser. Nos langues se rejoignent, se provoquent. Je me sens fondre. Malgré l’eau fraîche mon bassin est en ébullition. Je savoure l’instant quand je le sens se raidir subitement.    — "Et merde !"
En un coup de rein il se détache de moi. Sans se retourner, il se met à nager une brasse régulière. Je ne comprends pas. C’est alors que je perçois des voix qui approchent. Une sensation de peur et de frustration mêlées me noue l’estomac. Je me hisse hors de l’eau, attrape sa serviette, la jette sur mes épaules et m’enivre furtivement de son odeur musquée.  
En retournant à la maison, mon père m’intercepte :
— "Ne disparais pas trop cet après midi Charlie. On a une surprise pour toi ma chérie, on part vers 18h30 ! m’annonce-t-il.
— Une surprise ?!
— Oui tu verras !"
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