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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Hélène

Chapitre 1

Hétéro
C’est une histoire vraie...
Il y a quelques années de cela, j’avais une petite amie qui s’appelait Hélène. Hélène était vierge quant je l’ai connue, elle avait 17 ans et mois 18. Mais l’histoire que je veux te raconter est plus récente. Elle s’est passée il y a deux ans de cela.
A cette époque-là, nous étions tous deux très curieux des plaisirs de l’amour. C’est pourquoi je lui parlais beaucoup de mes fantasmes, et elle des siens. Il faut savoir qu’Hélène est une belle jeune femme d’un mètre soixante et de 51 kilos. Elle a un corps magnifique, et des seins lourds et fermes, des fesses musclées et bien rondes.
Un soir, alors que nous étions au restaurant pour dîner, et cela nous arrivait une fois par semaine, elle m’a raconté une bien étonnante histoire qui lui était arrivée la veille.
Elle a commencé par m’annoncer qu’elle m’avait trompé.Elle m’avait annoncé cela d’une façon très naturelle, mais avec beaucoup de sensualité dans la voix. En effet, Hélène avait alors un voisin, un homme d’une trentaine d’année, qui habitait dans son immeuble, trois étage plus bas qu’elle. La veille, il s’était trouvée dans l’ascenceur en même temps qu’elle. Ce n’était pas la première fois qu’elle le croisait et qu’elle lui parlait, mais cette fois il lui demanda crûment si elle voulait ’baiser avec lui’. La crudité de sa demande la troubla tellement qu’elle en devint toute rouge.
Elle lui dit tout simplement ’oui’. Mais, avant, elle lui demanda un peu de temps pour aller se rafraichir. Elle monta à son appartement pour y prendre un bain. Des images érotiques l’assaillaient, mais elle avait peur. Cependant, elle changea slip et de soutien-gorge. Elle mis le slip en dentelle verte et le soutien gorge qui allait avec, et que j’aimais tant. Après quelques moments d’hésitations, elle se résolu à descendre.
Devant sa porte elle ressentit des palpitations. Elle hésita encore, par peur et par honte. Après tout, cet homme lui était encore inconnu! Enfin, elle appuya sur la sonnerie, entendit ses pas et il lui ouvrit. Marc était un homme jeune, brun, de taille moyenne. Il n’était pas vraiment beau, mais pas laid non plus, et il avait un certain charme.
Il lui fit simplement la bise, mais en se collant un peu à elle. Ses mamelons étaient durs sous la soie de son chemisier. Il n’y avait pas d’amour dans son esprit mais seulement une intense curiosité sexuelle. Marc l’invita à rentrer et à visiter son appartement. Hélène avait mis une jupe classique mais courte. Son chemisier de soie était tendu par ses seins. Marc pris bien le temps de la détailler des pieds à la tête. Tandis qu’elle passait devant lui, il ne put s’empêcher de lui caresser les fesses. Hélène eut un gloussement de plaisir. Son rire était coloré d’un troublant désir.
A l’intérieur de son appartement, dans son salon, ils s’assirent presque en vis-à-vis, souhaitant deviser des choses de l’amour, tandis que leurs regards caressaient le corps de l’autre. Marc s’était assis, presque allongé, sur le fauteuil de cuir, les jambes ostensiblement écartée. Le regard d’Hélène fut irrésistiblement attiré par son entrejambe, recherchant anxieusement la marque visible d’un trouble. Effectivement, une bosse sans équivoque déformait le tissus, au niveau de la braguette.
Le regard d’hélène, presque timide, restait rivé sur ce sexe.
C’est alors qu’elle écarta doucement les cuisses, symétrique de Marc. Et, dans le même temps, elle releva doucement sa jupe. Troublée de son audace, elle croisa le regard de Marc, qui acquiesça d’un sourire. Doucement, elle acheva de soulever sa jupe, puis, oucement, elle entrepris d’abaisser son slip. Enfin, elle écarta les cuisses, sa vulve rose, semblait une fleur rose. La prenant à contre-pieds, Marc, pourtant bouillonnant, continua à lui parler des choses bannales et tout à fait sans rapport ave la scène qu’ils vivaient.
Cette apparence de froideur eut pour effet de la troubler encore plus, comme si elle s’était trompé sur ses intentions...Mais, bientôt, Marc, à son tour, se mit à ôter son pantalon, puis son slip. Sa bitte était comme un gros pieu de chair. Hélène eut un petit cri gêné et troublé. S’asseyant près d’elle, Marc colla le plat de sa main sur le sexe d’hélène. Elle gémit, bouche ouverte, alors qu’il commençait à la caresser doucement. Puis il pris la main de sa partenaire et posa sur sa queue. Elles n’était pas particulièrement longue, mais grosse. Doucement elle enserra le manche. Sa largeur était elle qu’elle en faisait difficilement le tour de ses doigts. Doucement elle fit coulisser sa main le long du pieux dressé. A son tour il lui mis l’index, puis un autre doigt, puis encre un autre, élargissant de son mieux l’orifice.
Soudain, elle n’y tint plus et se leva. Elle se mit à dégraffer son chemisier puis à enlever son soutien-gorge. Elle prit le contrôle de la situation et lui intima d’enlever le reste de ses vêtements. En parlant elle se dressa nue devant lui, la poitrine dressée vers l’avant.
Touts deux nus, il se rapprochèrent l’un de l’autre, et s’embrassère à pleine bouche. Brutalement Hélène se détacha de lui et se campa contre le mur, arc-boutée vers le mur, elle lui supplia : ’Prends-moi !’. Marc, à son tour, s’approcha, et tenant sa queue à la main il entrepris de lui caresser la raie de son gland. Hélène quant à elle, essayait à coups de reins de provoquer une pénétration. Malgré son intense désir, elle fut surprie par la soudaineté de sa prénétraion. D’un seul coup il la prit par les hanches et s’enfonça en elle. Elle ne put retenir un cri. Revenue à elle elle commença à donner des coup de reins afin qu’il s’enfonce davantage en lui. La large queue de Marc lui écartait les lèvres comme jamais encore.
Touranat la tête, la bouche ouverte, Hélène, dans un demi-râle, lui dit : ’C’est bon, j’aime ta queue’. Plus grand qu’elle, Marc la souleva de ses hanches, accrochée par sa queue, tandis que de ses mains il lui plotait les seins, serrent entre ses doigts les mamelons durcis...
Penadant qu’elle me racontait cette histoire, vieille de la veille, je ressentait une jalousie et une souffrance brûlante. Cependant je ressentais en même temps que l’humiliation, un sourd plaisir que je ne connaissais pas. Je bandais tandis qu’elle parlait...
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