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Hélène et le garçon

Chapitre 2

Inceste
Hélène et le garçon 2
Mon fils vient de s’allonger sur sa serviette et j’ai pu apercevoir qu’il bande pour moi.Je me sens confuse et flattée à la fois, ces sentiments contradictoires me troublent un peu. L’incident est vite oublié et je me plonge dans un magazine.
Je remarque quand même qu’Eric observe un couple, apparemment des étrangers aussi âgés que moi. Ce n’est pas l’homme, portant un string, qu’il regarde, mais la femme qui fait du sein nu. Ces étrangers sont plus libérés que moi, qui ose à peine me montrer sur la plage en maillot de bain.
Mon fils ne semble pas perdre une miette de chacun des mouvements de la dame. Il semble même satisfait quand l’homme part se baigner et que la femme est sur le dos, poitrine au soleil, jambes écartées.
Je lui donne un petit coup de coude pour lui signifier d’être plus discret. Il rougit, et ouvre un livre. Et, imperceptiblement, il se remet à regarder cette femme.Je me dis ‘Mon pauvre chou ! Il n’a jamais vu des nichons ! Et là, en plus, il fixe une femme de mon âge ! Bon, ce n’est pas grave, après tout ! Au moins, il s’intéresse aux filles’.
Nous allons nous baigner, nous faisons sécher, avant d’aller déjeuner et faire quelques boutiques, non pour acheter, mais pour flâner.Nous passons devant une boutique de lingerie que j’avais déjà repérée la veille et contemple un ensemble qui me plaît bien. Et mon fils de dire :« Moi, je préfère ça ». Il désigne des dessous plutôt vintages, du genre guêpière, gaine.« C’est pour des mamies, çà ! » Dis-je en rigolant. De toutes manières, il fait trop chaud pour faire des essayages.
Le temps passe et nous retournons à la plage, un peu plus près de l’eau car le sable est brûlant.
Je lui applique la protection solaire et là, il se laisse faire surtout que j’y mets beaucoup de douceur. Je me dis que mon garçon a bien changé et qu’il commence à avoir un peu de carrure. Avant même que je ne lui propose, c’est lui qui me dit :« Allonge toi maman, je vais t’en mettre aussi. »
Il dégrafe mon soutien gorge très facilement cette fois et dégage bien mon dos et mes épaules. Sa main douce applique la crème, lentement, régulièrement. Il effleure même mon sein et se reprend pour me tartiner la taille. J’adore ça et me sens émue, je lui demande en chevrotant :« Tu peux m’en mettre sur les jambes aussi ? »
Il commence par les mollets, puis remonte vers mes cuisses que j’écarte négligemment. Mais maintenant, il va un peu haut, à la limite de mes fesses. Mon excitation est forte et je sens que ma culotte se mouille. Je lui demande, tremblante et un peu à regret, de bien vouloir s’arrêter. Cette fois, il a placé son tee-shirt entre ses cuisses et je ne peux rien voir de son sexe. Je me sens vicieuse de vouloir faire ça, vouloir voir une bite ! En tout cas, il halète plus qu’il ne respire et il est rouge de confusion. Je suis sure qu’il bande à nouveau ce salaud.
Mes bretelles sont si basses, que mon soutien gorge ne cache pas grand-chose. Et mon fiston de se retourner souvent vers mon décolleté. Je m’allonge totalement mais mes globes écrasés suscitent tout autant ses regards. Je n’ose rien lui dire.Revoilà, beaucoup plus tard, le couple d’étranger qui s’approche, ce sont des allemands à les entendre parler.Il s’installent relativement près de nous alors qu’il y a plein de place ailleurs.Lui, étale sa serviette mais ne se déshabille pas et s’en va. Quant à elle, sa robe et son soutien enlevés, elle ne porte qu’un petit triangle rose en guise de culotte. Ce n’est même pas un string, c’est plutôt un cache sexe ! Une petite chaînette lui passe entre les fesses qu’elle a bien bronzées d’ailleurs. Sa tenue est trop indécente à mon goût, voire vraiment provocatrice.
Eric est fasciné par cette belle blonde et j’en éprouve à la fois de l’étonnement et aussi, je l’avoue, un peu de jalousie. Il ne manque rien des poses lascives que la dame prend et surtout quand elle se tient en tailleur, buste droit. On ne voit pas ses yeux cachés par des lunettes opaques, mais on ne manque rien de son sexe épilé ou même de l’œillet de son anus. Eric tortille du bassin sur sa serviette, probablement à fantasmer sur cette femme.Son mari revient avec des sodas et tous deux discutent en plaisantant tout en jetant des coups d’œil dans notre direction, allant même jusqu’à nous faire un petit signe de la main.
Je glisse à mon fils :« Tu vois, tu dois être plus discret quand tu regardes une femme ! »« C’est vrai maman, mais toi aussi tu la regardes ! »
Je me rends compte alors qu’il a raison, j’avais délaissé mon magasine depuis un moment pour observer ce beau corps féminin. La vision de l’intérieur de ses cuisses me fascinait. Qu’est-ce qu’il me prend ? Je vire ma cuti à regarder une femme presque à poil ? Pris en flagrant délit, l’un et l’autre nous décidons de repartir assez rapidement au studio.
Le soir, nous retournons nous promener en ville, non sans nous arrêter à nouveau devant le magasin de lingerie et Eric revient sur ses commentaires quant aux dessous que, moi, je trouve d’une autre époque bien que réalisés avec des beaux tissus. De toute façon, il me faut acheter un nouveau soutien gorge avec la culotte assortie. Nous entrons alors dans le magasin. Avec les conseils de mon fils, je prends un ensemble blanc en dentelle que je trouve un peu coquin à mon goût. La culotte laisse voir une bonne partie de mes fesses, le soutien gorge est bien décolleté, mais tout compte fait ça me dit bien de changer de style.
Nous flânons un peu, bras dessus bras dessous, et finissons à la pizzeria où un petit pichet de Chianti a suffi à nous rendre gais.
De retour à la maison, Eric me demande, un peu confus, si je ne veux pas essayer mes nouveaux sous-vêtements, ce à quoi je réponds :« Non pas ce soir, on verra ça demain».
Je vais me coucher, m’endors rapidement et fais un rêve érotique …‘Je suis sur un bateau, appuyée au bastingage et un homme sacrément viril se tient derrière moi et m’enlace dans ses bras. Il est en train de me faire l’amour sauvagement et je le laisse faire …’Je me réveille, la culotte trempée, mais surtout, je sens quelque chose de dur et chaud sur ma cuisse. C’est Eric, ou plutôt son sexe qui ondule sur ma jambe. Je suis toujours dans ma rêverie et dans mon demi sommeil, mais je peux apprécier que, ce qui est collé à moi, est de très bonne taille et dur comme du bois. Je fais semblant de dormir, soupire et bouge un peu, mais c’est pour mieux augmenter la pression sur son membre. Il me tient le bassin et souffle dans mon dos :« Oh maman, maman, maman, je t’aime ! »
Je suis abasourdie par ce que j’entends. Je ne bouge plus, je suis tétanisée. Je sens qu’il se redresse et qu’il relève ma chemise de nuit et un craquement me fait dire qu’il l’a déchirée maladroitement. Je ne bouge toujours pas alors qu’il glisse son nez dans mon entrejambe tout en se branlant à la folie. Il est en train de renifler ma culotte et, mes odeurs de plaisir toutes récentes doivent le stimuler.Je n’ose pas bouger, j’ai honte d’avoir mouillé dans mon rêve.
Il se relève et se colle à moi. Tout à coup, je ressens, et entends même, claquer de longues et puissantes giclées chaudes sur ma jambe. Je fais semblant de me réveiller.« Eric, qu’est-ce que tu fais ? »« Oh maman, c’est génial ! C’est la première fois ! » Il dit cela avec plein de bonheur dans la voix.« La première fois, que quoi ? »« Maman, que j’ai du sperme ! »Il m’annonce avec triomphe sa première éjaculation et, surprise de cette révélation, j’ai du mal à le réprimander de ce qu’il vient de faire.« Va chercher une serviette pour essuyer tout ça ! »
Il se lève, et va dans la salle de bain se nettoyer, alors, il me vient l’idée folle de récupérer sa semence qui est en train de couler sur ma jambe. J’ose porter mes doigts enduits jusqu’à mes narines pour y sentir cette odeur si caractéristique de jus d’homme. Et, prise d’une irrésistible envie, j’ouvre les lèvres et du bout de la langue me mets à lécher, avaler et lécher encore !
Je n’aimais pas le goût du sperme de mon mari, mais là, je me régale de cette liqueur de jouvence.Il revient et m’essuie maladroitement, puis se blottit contre moi.« Oh maman ! Comme je suis heureux »« Laisse moi dormir maintenant … » Lui dis-je, en lui tournant le dos.
Si lui s’endort rapidement, moi je suis totalement troublée et n’arrive pas à trouver le sommeil. J’ai le goût de son sperme encore dans la bouche, je repasse tous les évènements dans ma tête plusieurs fois. Suis-je salope à apprécier ses caresses sur la plage. Quelle mère je fais de lécher son jus. Suis-je tant en manque de rapports que j’en sois au point de mater entre les jambes de cette femme sur la plage ? Je me remémore, toutefois, le baiser échangé avec mon amie Laure et le trouble que j’avais ressenti quand nos langues se mêlaient.Et puis, mon fils est il un pervers ou simplement curieux de découvrir le sexe ? Comment se fait-il qu’il éjacule aujourd’hui pour la première fois ? Mille questions se bousculent dans mon esprit et c’est avec la main dans la culotte à me caresser que je finis quand même par m’endormir.Au petit matin, je suis réveillée avant lui et je fume une cigarette sur le balcon quand il vient me rejoindre. Je sens son regard sur mes fesses. Et, bon sang ! Je ne peux m’empêcher, en me retournant, de regarder son slip déformé par son sexe mi-bandé. J’en suis impressionnée et me ressaisit rapidement. Il est gai comme un pinson et me fait la bise avec joie. Il a changé depuis cette nuit, il n’est plus aussi taciturne et semble même, être sûr de lui. Il doit se considérer, désormais, devenu un homme.Je lui dis :« Va te laver, mon chéri, après, nous devons discuter … »
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