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Hélène et le garçon

Chapitre 4

Inceste
Hélène et le garçon 4
Je porte sous ma robe les dessous coquins que mon fils m’a offerts. Si j’ai accepté de les enfiler c’est aussi pour me lancer un défi, vouloir m’affranchir de mon mari qui vit sa vie avec une autre femme, du moins je le suppose comme il ne me touche plus et passe plus de temps avec son assistante qu’avec moi.Eric, mon fils, quant à lui, fait tout pour que je sois heureuse et radieuse.
Nous marchons un peu sur la promenade de bord de mer et je me sens regardée par tous les hommes. Je sens bien que ma poitrine attire leur regard. La situation devient de plus en plus gênante et pour me rassurer, je m’agrippe au bras d’Eric et lui propose d’aller au restaurant dès à présent.
Il choisit un établissement un peu chic, en tout cas très discret. Il y a une alcôve pour certaines tables et comme nous arrivons tôt, c’est ce que nous choisissons.Le repas est excellent et nous parlons beaucoup tous les deux. Il est tout autre et semble plus à l’aise qu’il y a peu de temps. Ca me rassure !Nous en arrivons à parler de son père, de mes soupçons et de mon manque de rapports. Immédiatement, je m’en veux d’avoir trop parlé.Il me saisit la main et me dit :« Je m’en doutais, mais pense à autre chose, on est en vacances ! »Pour changer de sujet, je lui demande :« Dis moi, cette femme que tu regardais sur la plage, c’est ton genre ? Tu préfères les vieilles aux jeunes ? »Timidement, il répond en bredouillant :« Ce n’est pas les ‘vieilles’ comme tu dis, j’aime juste les femmes qui te ressemblent, en réalité … c’est toi que j’aime ! »Je lui esquisse un sourire et pose mon autre main sur la sienne en lui disant :« Tu es gentil mon amour, mais ça ne se fait pas entre mère et fils, on appelle ça de l’inceste. Bon maintenant, on rentre ? »
Lui me fixe intensément au point que j’en suis troublée, je prends mon sac à main et me relève sans oser le regarder.Au sortir du restaurant, il me prend la main et nous marchons ainsi jusqu’au studio. Un vent frais s’engage sous ma robe et me caresse les fesses. J’ai l’impression d’être nue. Ca m’émoustille un peu. J’en mouillerai presque…
Au studio, dans la salle de bain, je quitte mes sous-vêtements pour enfiler ma nouvelle robe de nuit. Après ma toilette, je regagne le lit, mais Eric est toujours sur son ordinateur à trier ses images. Après un moment, alors que je suis presque endormie, je le sens près de moi. Je me dis ‘Bon sang, il ne va pas faire comme la nuit dernière !’.Il m’enlace, mais surtout je sens très nettement sa raideur contre ma fesse. Imperceptiblement il se met à onduler du bassin et sa verge frotte sur le haut de ma cuisse. Il recommence, comme la veille, à se frotter contre moi. Il ne faut pas que ça devienne une habitude !
Mais je ne dis rien, je trouve cela excitant de sentir cette chose en contact avec ma peau.
Sa respiration s’accélère progressivement, ainsi que ses mouvements. J’ai envie de hurler d’arrêter ça tout de suite, mais mes sens réagissent différemment. Je bouge le bassin et me positionne pour mieux profiter de sa longueur dans mon sillon fessier. Il ne doit pas en revenir d’être en contact direct avec ma raie.Et puis tans pis ! Je me laisse aller à poser une main sur sa fesse pour lui imprimer un rythme plus lent, mais aussi plus fort, plus appuyé. Il a pleinement compris que je l’encourage et halète dans mon cou, en me murmurant :« Oh maman, je t’aime, je t’aime ! ».Je ne réponds pas et prends conscience que je viens de commettre une chose désormais irréparable. Pourquoi ai-je fait ça ? Mais mon corps réagit autrement et apprécie cette vigueur si près de mon intimité. Je mouille comme pas possible et en glissant ma main entre nos corps, je m’empare de son objet. C’est impressionnant ce que je touche là. Je n’arrive pas à en faire le tour et préfère coulisser mes doigts sur la hampe. Comme il est dur ! Comme c’est doux !C’en est trop ! Je me retourne, fais mettre Eric sur le dos, lui enlève le slip d’un geste prompt.
Je m’agenouille entre ses jambes ouvertes et admire, dans la clarté de la lune, les dimensions de son sexe tendu. Il est vraiment imposant ! Je n’en ai jamais vu un pareil ! Celui de mon mari parait ridiculement petit à coté du sien. Oh bien sûr, il doit y avoir plus grand ou plus gros, mais là, il y a vraiment de quoi se faire plaisir ! C’est un menhir ! Il est vivant, palpite, il demande à être saisi. Ce que je j’entreprends de faire !
Je le presse, le caresse délicatement, le fais rouler entre mes mains, taquine le gland.Toutes mes pulsions sexuelles se cristallisent sur ce phallus tendu ! Je tiens là l’objet de mes rêves et de mes obsessions. C’est magnifique. Et mon Eric qui se tortille sous mes caresses. « Oh, maman ! Maman ! »Je me sens comme une chatte en chaleur, je remonte à hauteur de son oreille pour lui susurrer dans un souffle :« Hélène, appelle moi Hélène !»Il est encore plus surpris quand je dépose une bise sur ses lèvres.
Je me remets entre ses jambes pour bien prendre son sexe gonflé à deux mains et je me mets à le branler, à le caresser. Toujours dans ma folie, j’ouvre grand les lèvres et engobe son gland. Je commence à peine à le pomper qu’il se cambre en se crispant et envoie de nombreux jets dans ma bouche.Je n’arrive pas à tout accepter et recueille les dernières giclées dans ma main. J’avale lentement sa semence, me lèche les doigts et finis de le nettoyer totalement avec la langue. « Oh mam… Hélène ! »Je ne laisse pas finir sa phase et me lève pour aller me rincer la bouche.Devant la glace, je me dis que je suis une sacrée salope, je viens de sucer mon propre fils, tellement je suis en manque ! J’ai éprouvé un réel plaisir en faisant cela, mais je suis à présent tiraillée par la culpabilité.Je retourne me coucher et voilà qu’à peine allongée dans le lit, il me saute dessus littéralement, il m’écrase, cherche à m’embrasser et je sens sa bite toujours aussi dure sur mon bas ventre. Je le repousse fermement et lui dis :« Mais enfin Eric, calme toi ! Si tu es doux avec moi, je serai gentille avec toi ».Ces mots l’ont calmé d’un coup. Il reprend sa place et je lui saisis la main pour la poser sur mon sein. Mais il serre au point de me faire mal.« Doucement ! Sois doux avec une femme, je vais te montrer ! »Et de m’effleurer le mamelon avec sa paume à me faire frémir. Je sens mes seins durcir et mes tétons s’ériger à chaque passage de la main que je guide. Je la ramène vers mon cou, mon oreille, ma nuque. « Maman, euh Hélène, je veux t’embrasser, tu m’autorises ? »«Euh oui, tu veux que je t’apprenne ? »Je pose mes lèvres sur les siennes et viens chercher sa langue. Il apprend très vite à répondre et j’ai des frissons partout de ce baiser, comme pour la première fois. Après de longues secondes, je lui souffle :« Enlève ma chemise de nuit !»Il est un peu maladroit, mais je l’aide à me découvrir. Il est totalement subjugué de voir enfin ma poitrine, il porte sa main dessus et me caresse agréablement cette fois. Quant à moi, j’ai mis ma main entre ses jambes et lui frôle les testicules. Je n’ignore pas son membre encore tendu à l’extrême. Quelle vigueur il a !« Suce moi les tétons, oui comme ça ! Passe ta langue ! Tète comme un bébé, oui c’est bien ! Caresse moi !». Je mouille atrocement, comme c’est bon !Je quitte ma culotte et il jette un coup d’œil ébahi sur ma toison, mais il n’a pas le temps d’admirer que je le tire à moi afin qu’il vienne entre mes jambes écartées. Son sexe impatient bute sur mon périnée. Je l’enjoins à m’embrasser à nouveau pendant que je le guide vers mon antre ouvert. Ca y est ! Il entre en moi ! Il s’enfonce, me perfore et bute sur mon utérus tellement il est long.« Moins profond, mon chéri ! Oh, tu es si grand ! Vas-y lentement au début, après fais ce que tu veux ! »Il y va lentement et les mouvements de bassin que je fais, associés à mes mains sur ses fesses, permettent de trouver le rythme qui me convient. Il apprend vraiment vite et s’adapte à mes besoins.Il m’embrasse et je le sens bien coulisser en moi. Il me pistonne de plus en plus vite et je sens monter la fièvre de l’orgasme, je veux que ça dure longtemps, mais mon corps est impatient et je me mets à soupirer, à geindre, à hurler. Surpris, mon fils s’arrête mais d’une pression sur ses fesses, il comprend qu’il doit poursuivre. Je suis chavirée, explosée, déchirée, une bite énorme me pourfend. J’en veux… Oui, j’en veux encore ! J’éclate alors du plus grand orgasme de ma vie. Non, jamais je n’ai joui comme ça ! Lui à giclé dans mes profondeurs en même temps ou presque. Il veut se retirer mais je le maintiens en moi et l’attire pour un autre baiser.
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