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Hélène et le garçon

Chapitre 5

Inceste
Hélène et le garçon 5
Mon fils vient de me faire l’amour si bien que j’ai pris un pied terrible. Non jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir avec un homme. Je crois que je sais ce que c’est qu’un orgasme désormais. Ne parlons pas de Pierre, mon mari qui ne pense, ou plutôt, ne pensait, qu’à son plaisir du temps qu’il me faisait encore l’amour. Eric est encore sur moi et donne des petits coups de bassin qui font coulisser son membre en modelant mon intimité. Il est étonnant de vitalité, il vient d’éjaculer à deux reprises et est toujours en forme.Je sens son sperme sortir de ma chatte, aussi je le repousse pour aller faire ma toilette intime.Devant la glace, je me vois en sueur, les cheveux ébouriffés et, en me regardant, je me dis que je ne suis qu’une salope. Je suis prise de remords et, après avoir enfilé mon peignoir, je me dirige vers le balcon. Je fume une cigarette en méditant sur l’abomination que je viens de commettre quand Eric vient derrière moi, il a enfilé un short mais sa queue est toujours tendue. Incroyable ce garçon ! Il me chuchote :« Ca ne va pas maman ? »« Je crois que je viens de faire une grosse connerie ce soir ! Si quelqu’un apprend ça !»Il me masse les épaules et je sens son membre contre moi. Il me dit :« C’était génial, Hélène, et je peux te jurer que ça restera entre nous ! Je ne le dirai jamais à personne, je t’aime tant !»Il m’appelle par mon prénom ce qui me fait revenir dans la duplicité qu’il y a entre nous. Son contact me rassérène et je finis par me détendre. Il me couvre le cou avec ses bises tout en me massant les épaules, il est adorable cet amour. Et je m’abandonne …
Dans le lit nous faisons un câlin et il me souffle plusieurs fois dans l’oreille :« Je t’aime Hélène ». Je m’endors sur ces mots, bienheureuse.
Le lendemain, je me lève avant lui et après ma toilette, je décide de ne pas mettre de culotte ni de soutien-gorge juste la robe en filet que j’avais achetée le premier jour. Effectivement, c’est transparent, un voit mes tétons à travers les mailles tendues, une partie de mes fesses est à peine couverte par la résille. Je sais tout ça, mais j’ai envie d’allumer mon jeune amant. Oui, je deviens une belle garce, mais j’ai envie d’accélérer son éducation pour, également, parfaire mon propre plaisir Quand il se réveille, il replie le lit et me rejoint. Quand il me voit ainsi habillée, il veut m’enlacer, mais je lui demande d’aller se laver avant. Alors qu’il sort de la douche, je prétexte d’aller dans la salle de bain pour me coiffer. Il est nu, et son sexe au repos est quand même bien imposant. Je n’avais jamais remarqué ça auparavant, mais je n’y prêtais pas attention, c’est mon fils tout de même !Je m’empare d’une serviette pour le sécher, non sans contempler ses fesses bien agréables à regarder. J’insiste mon essuyage entre ses jambes et, bien sûr, il commence à bander. Je lui effleure la peau douce de son sexe et … le laisse là pour rejoindre le salon, où je m’assois jambes allongées sur le canapé.Il ne met pas longtemps à me rejoindre et s’agenouille près de moi pour m’embrasser.Il est fougueux et je maîtrise sa frénésie en lui tenant les épaules. Il se calme et notre baiser est devenu langoureux à présent.Il veut me peloter, mais je lui bloque la main pour lui dire :« Doucement mon chéri, soit toujours doux et patient. Je vais te faire découvrir d’autres choses que tu dois connaître pour faire plaisir à une femme. Vas-y, touche moi les pieds et masse moi les orteils… »
Il se déplace et s’exécute. Il me chatouille un peu mais c’est agréable en même temps.« Maintenant, masse moi les chevilles, voila ! C’est bien ! Caresse mes mollets et mes genoux, oui comme ça !»Ma voix se met à trembler et je chevrote :« Remonte tes mains sur mes cuisses, oui comme ça ! »Je mouille atrocement « Remonte plus haut maintenant »Je retrousse ma robe et écarte les jambes pour sentir ses mains converger vers mon intimité. Je me cambre pour relever plus ma robe. Il est surpris de ma réaction et retire ses mains brusquement. Moi, je reprends ma position et le laisse admirer le sexe d’une femme.
Je lui attrape une main et la guide pour qu’il continue à me caresser l’intérieur des cuisses, la toison, le ventre. Je prends son majeur pour le frotter sur mon clitoris en le guidant pour assurer la bonne pression et le laisse faire. Il se débrouille très bien. Je reprends son doigt pour le guider vers mon vagin et l’y introduire.« Vas à fond mon chéri ! »Je le sens me fouiller, et, je ne sais pas comment il fait, mais il trouve instantanément mes zones érogènes. Je suis tentée de le laisser faire, mais je dois reprendre le contrôle. « C’est parfait mon chéri, maintenant tu vas mettre ta bouche au lieu de ta main »Je change de position et lui, à genoux, ouvre grand les yeux devant mes jambes écartées.«Approche-toi et goûte moi avec ta langue. »Timidement, il effleure ma vulve et, rapidement emporté par mon goût et odeur, je sens sa langue littéralement tourbillonner. Elle est partout à la fois, c’est absolument génial. Il me darde même l’anus, ce que j’apprécie en relevant bien mes jambes.
Je transpire énormément et j’ai du mal à reprendre mon rôle d’éducatrice. « Allonge toi par terre maintenant, je vais t’apprendre encore autre chose ! »Je lui enlève son short avant de m’asseoir sur son visage puis de me pencher vers son membre tendu qui palpite d’impatience. Nous sommes en soixante-neuf et sa langue est à nouveau en activité alors que je suis en contemplation devant ce beau phallus. Je le décalotte doucement avant d’en lécher le gland. Mon clitoris est mordillé, sa langue me pénètre, glisse sur mon périnée. Ce jeune homme est un as, jamais je n’avais été léchée ainsi ! J’ouvre la bouche et engobe ce gros bout violet. Je passe ma langue et pompe en le masturbant. Quand je sens qu’il monte trop, j’arrête tout pour lui dire :« Attends encore, tu dois savoir tenir longtemps ! »Mais, en vérité, c’est moi qui ne tiens plus ! Je me relève et me retourne pour le chevaucher. J’écarte mes grandes lèvres et descends lentement sur son pieu. J’apprécie chaque millimètre de cette progression déchirante. Je m’accroupie jusqu’à la pénétration maximale et même avec toute ma lubrification, je le sens me déchirer les parois. Et je m’active pour le faire glisser en moi. Eric ne bouge pas et se laisse masturber par mon étroitesse. Mon rythme s’accélère progressivement pour finir en une chevauchée rapide et en quelques minutes, j’atteins l’orgasme. Moins puissant que le précédent, mais encore une fois merveilleux. Il a su se retenir et pour le remercier, je m’empresse de le sucer jusqu’à recevoir ses jets. Cette fois, j’arrive à tout contenir dans ma bouche. Je me redresse et en le regardant fièrement, j’avale toute sa semence avec plaisir.Nous nous relevons un peu chancelants. Après nous être changés, nous allons à la plage. Je vois au loin le couple d’étrangers, mais je n’ai pas envie de m’approcher d’eux, je crois qu’Eric et moi avons eu notre dose de rêves et de fantasmes ces dernières heures. En réalité, je crois que veux garder mon fils pour moi et que ça m’embête si il se fait allumer par la blonde. A un moment, il me pose la main sur les fesses et me les palpe. Je le repousse en disant :« Non, Eric ! Ne fais pas ça devant tout le monde ! Notre relation doit rester discrète, tu comprends ? »« Bien sûr, Maman … Hélène … Je t’aime !» Me chuchote-t-il à l’oreille.Il m’appelle par mon prénom, il se prend bien au jeu, le coquin. Nous sommes comme des amants, désormais. La chaleur du soleil, le bruit de la mer et surtout sa présence, me bercent dans l’indolence. Je me sens bien, plus coupable du tout. J’aimerais que ça puisse durer indéfiniment. Je suis libérée de tant d’années de frustration que je respire de bonheur.
Plus tard, nous faisons quelques courses et je fais un détour à la pharmacie pendant qu’il se choisit un livre à la librairie.Ce soir, je n’ai pas envie d’aller au restaurant,. Je souhaite faire un dîner en tête à tête, mon fils et moi, rien qu’à deux. A peine rentrés au studio, Eric me serre dans ses bras et je le laisse m’embrasser, sa langue est agile, il est devenu pro, pas de doute. Ses mains me caressent partout avec douceur, il a vite appris. Et moi, je me mets à mouiller, surtout quand il se baisse et écarte ma culotte pour y glisser ses doigts. Comme il est habile dans ses manipulations ! Jamais aucun homme ne m’avait fouillée ainsi. Toujours debout dans l’entrée, adossée à la porte, les jambes écartées, je le laisse glisser dans mon vagin. Je ne sais pas si c’est deux ou trois doigts ou même plus qu’il a en moi tellement ils s’activent dans mon intimité. Il coulissent, tournent. Sont tantôt lents, tantôt rapides.Je tremble sur mes jambes, je n’en peux plus de retenir cette vague qui monte en moi, je jette ma tête en arrière pour me mettre à hurler de plaisir. Eric sait maintenant ce qu’est un orgasme féminin et ralentit les mouvements de sa main alors que suis encore toute en spasmes. Ma transe finit par se calmer et je suis encore toute moite quand il m’enlace à nouveau pour m’embrasser. Je suis obligée de le repousser un peu pour reprendre ma respiration. Je le serre fort contre moi et lui glisse à l’oreille :« Tu es formidable mon chéri ! Tu sais si bien t’y prendre, tu es très doué ! Mieux que …»J’ai failli dire ‘ton père’, mais il a quand même compris et se redresse, tout fier.« Merci maman, tu es gentille, tu m’apprendras encore des choses ? ».J’hésite à répondre, car, poussée par le vice, j’ai moi-même envie de découvrir d’autres perversités sexuelles à donner et, surtout, à recevoir.
« Bien sûr mon amour. Et toi aussi … ».J’ai une idée derrière la tête …
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