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Hell's

Chapitre 1

Histoire médaillée
Zoophilie
Au retour du diner au restaurant, Michel venait de sortir de son coffre un joli carton enrubanné. C’était son quarantième anniversaire et il lui tendit la boite.
— Voilà mon cœur ! C’est pour toi… attention c’est très fragile. — Ah ! Qu’est-ce que c’est ? Tu as encore fait des folies ? Je ne voulais rien…— Tu ne pensais tout de même pas que j’allais faire l’impasse sur ton cadeau. Et je suis sûr que tu vas être ravie. Ouvre… ouvre donc.
La jolie brune secoua un peu l’emballage, mais bizarrement, ce qu’il contenait ballotait au rythme des mouvements de Claude.
— Je viens de te dire que c’était fragile…— Oh pardon !
D’un geste presque brutal, elle arracha l’adhésif qui fermait son cadeau. À peine celui-ci ouvert qu’une bouille aux yeux marron leva sa truffe vers elle. Une chance encore que la boite soit sur la table sinon, elle l’aurait laissé tomber sous l’effet de la surprise. Un adorable chiot se détendait les pattes en tremblant.
— Bon anniversaire ma chérie. — Oh Michel ! Comme il est beau ! Mon dieu comment as-tu pu avoir cette idée ? Depuis le temps que nous en parlons. Oh merci… merci mille fois merci.
La femme encore jeune et belle venait de saisir l’animal minuscule et le tenait dans ses bras. La bestiole tremblotait, mais ne cherchait nullement à fuir.
— Comment s’appelle-t-il ?— Ben… il n’a pas de nom. À toi de lui en trouver un. — Mais il est tout petit. Qu’il est mignon ! Il va devenir grand ? — Je pense oui… entre cinquante et soixante centimètres et il sera utile les soirs où je serai parti… au moins tu seras moins seule… une compagnie sympathique.— Vient mon beau, c’est un garçon non ? De quelle race ?— Un croisement de Brachet… Polonais ou Allemand, ils ne savaient pas trop ! C’est ce qu’ils m’ont dit au chenil où je suis allé le chercher. Il est juste sevré, mais il ne pouvait pas le garder plus longtemps. — Du coup, c’est lui qui se retrouve solitaire sans sa maman ?
— Elle était mal en point la pauvre. Et je crois qu’il sera bien mieux avec nous… alors tu lui trouves un nom que nous le baptisions ?
La brune avait fait deux pas vers la porte-fenêtre donnant sur leur jardin et pelouse. L’animal la tête posée sur sa poitrine se sentait déjà en sécurité et elle déposait de petits bécots sur le bout de son nez.
— Eh ! Pas tout pour lui… j’en veux aussi des bisous moi !— Jaloux va ! Tu sais bien que tu es le premier dans mon cœur Michel. Mais lui a plus besoin de moi que toi, ce soir…— Tu crois ça toi ? Regarde ! Il est des endroits qui te réclament mon ange.— Pas croyable… Monsieur dort à demi et pourtant à peine au milieu du couloir que Monsieur est déjà raide comme un piquet. Attends ! Ou mieux, viens avec nous, nous allons lui montrer sa nouvelle maison. Il va s’appeler… Hell’s ! Ça va lui aller comme un gant.— Hell’s ? Et c’est censé vouloir dire quoi ? Jamais entendu parler de cela.— Un chien d’enfer… trop beau et puis cette année c’est celle des « H » pour les noms à donner aux bêtes, je crois. — Bon ! Tu sembles bien informée. C’est bien, te voilà nommé Hell’s. Il va falloir que tu t’habitues à ton nom, mon grand. Tu ne veux pas le poser par terre ? Il est assez grand pour courir un peu dans l’herbe pendant que…— Profiteur ! Enfin, vient que je te remercie comme il se doit.
La minuscule boule de poils trottinait près d’eux, mais Michel s’arrêta et il se saisit de sa moitié pour l’enlacer. Elle ne refusa pas le baiser qu’il quémandait, qu’il lui volait un peu aussi. Elle adorait sentir le souffle de cet homme courir dans son cou et la bestiole qui se frottait contre eux la fit frissonner plus que la normale. Mais déjà son mari avait les mains baladeuses. Elle le repoussa gentiment en lui murmurant…
— Attends ! Il faut lui trouver de quoi dormir et diner aussi…— Ne t’inquiète donc pas pour cela. Regarde dans le coffre de ma voiture… j’ai acheté sur les conseils du type du chenil, tout ce dont tu auras besoin. Croquettes, plaid et même une gamelle pour eau et nourriture.— Viens vite alors ! Installons-le confortablement et nous nous occuperons de nous… ensuite ! Tu veux bien ?
S’il voulait ? Quelle question ! Il était impatient de fêter son anniversaire de la plus belle manière qui soit. Il avait envie d’elle depuis le début du repas. Il avait toujours envie d’elle du reste en temps normal, alors ce soir plus encore que d’ordinaire. Il faut dire aussi qu’elle était sublimement vêtue. D’une jupe sombre, d’un chemisier saillant sous lequel une paire de seins se montrait sous un jour affriolant. Elle avait la grâce des femmes de la quarantaine épanouie, même si elle n’avait cet âge que depuis quelques heures. Belle, elle lui donnait ce soir une trique d’enfer.
Alors en deux temps et trois mouvements, le bébé chien avait un nid douillet, de quoi se désaltérer et des croquettes. Puis Michel avait soulevé comme un fétu de paille cette poupée pour la transporter sans coup férir sur le grand lit de leur chambre. Elle avait simplement tenu à ce que la porte reste entrouverte, une manière comme une autre d’écouter les bruits de son nouvel ami. Il n’avait pas cherché à la dissuader, sachant très bien que la contrarier ce soir desservirait ses intérêts. Sur leur couche, elle avait accepté ses assauts masculins de plus en plus ciblés. Elle avait même répondu à ceux-ci avec une fougue toute particulière.
Les chiffres rouges du réveil affichaient déjà les heures d’une journée différente, lorsque recrus de fatigue, ils s’endormirent, leurs corps nus entrelacés. Le chalet gardait ses mystères et le bois qui travaillait toujours craquait de temps en temps. Mais ils étaient habitués à ces sons familiers. Pourtant de la cuisine une respiration légère avait cette nuit des origines inaccoutumées. Hell’s aussi tentait de trouver un sommeil compliqué. Le jeune Brachet était désormais chez lui dans cette demeure inconnue. Au milieu de la nuit, Michel réveillé par une envie pressante se rendit aux toilettes.
Son passage au lavabo ne réveilla pourtant pas sa brune endormie. De retour dans les draps, le corps chaud de Claude fit grimper sa température et il se frotta contre la femme toujours au pays des songes. Son sexe en érection se colla tant et si bien au derrière de sa belle que finalement il échoua dans sa niche et lentement le mari ondula du bassin. Si elle ne dormait maintenant plus du tout, elle n’en montra rien. Lui continuait ses mouvements doux, allant et venant, laissant son vit épouser les contours souples de cette chatte investie. Elle finit par soupirer, signe de son envie aussi. Alors il l’empoigna par les hanches et se mit en devoir de la prendre plus violemment.
Plus profondément aussi, ce qui eut pour premier effet de la faire gémir. Elle ne pouvait plus faire semblant. Michel prit tout son temps cependant pour lui faire l’amour. Tout le monde sait aussi que ce genre de jeu, pour les hommes, trouve un terme dans une montée de sève impossible à juguler, un aboutissement plus ou moins long. Il se laissa aller à s’épancher en elle… elle qui mordait le drap en criant de plaisir. À nouveau le silence imparfait de la chambre les enveloppa. Pourtant Michel crut percevoir comme un murmure…
— Je… je t’aime ! Ça te fait quoi de coucher avec une vieille de quarante piges ?
Il ne répondit pas cette voix venue du fond d’un gosier qui reprenait son souffle. Il se contenta de poser sa main sur l’épaule découverte de la femme allongée là, près de lui. Il lui remonta une mèche de cheveux collée sur son front, déposa un bisou sonore sur son cou et referma les yeux. Elle ne bougeait plus du tout et il l’a cru repartie au pays de Morphée. Alors il se laissa submerger par le sommeil. Pourtant si elle ne remuait plus du tout, son esprit n’en était pas moins en alerte. Une sorte de raclement l’avait intrigué quelques secondes.
Das le noir qui les entourait, elle sentit comme un autre souffle, venu du côté opposé à celui qu’occupait son mari. Mais… ce ne devait pas être possible. N’écoutant que son courage elle étendit la main. Sous ses doigts une boule de poils et la truffe fraiche du minuscule Hell’s. Il recherchait lui aussi une présence et avait d’instinct trouvé sa maitresse. Par réflexe, elle saisit l’animal et le déposa près d’elle en prenant bien garde de ne pas réveiller son homme. Le chiot ne demandait rien d’autre qu’un peu de chaleur et trop heureux de sa bonne aubaine, il s’enroula en boule contre le ventre de sa patronne. Le petit matin clair les retrouva les trois réunis.
— oooOOooo —

Deux ans s’étaient écoulés depuis l’arrivée de Hell’s dans son nouveau foyer. Il était devenu un chien presque adulte et il suivait partout ses deux maitres. Pourtant la seule personne à laquelle il obéissait vraiment restait Claude. Ils faisaient tous les trois de longues balades en forêt, courant souvent devant le couple, mais revenant près de sa patronne à la moindre de ses injonctions. Il montait souvent au petit matin se coucher au pied du lit, mais Michel refusait toujours qu’il grimpe sur celui-ci. Claude ne manifestait aucun désaccord et la bête avait vite compris qu’elle ne devait contrarier ni l’un ni l’autre. Alors il passait des heures à les suivre des yeux alors qu’ils dormaient.
De temps en temps Michel ou Claude lui intimait l’ordre de sortir de la pièce et en bon garçon, il se rendait près de la porte, à l’extérieur et parfois il assistait à d’étranges ébats. De plus il reconnaissait souvent avant eux cette odeur qui caractérisait si bien ces corps à corps et depuis quelque temps, à la moindre alerte olfactive, il allait de lui-même s’étendre en dehors de la chambre. Mais il suivait quand même du regard ces mouvements du maitre qui dans des positions bizarres faisaient crier Claude. Il la voyait également se servir de la tige raide du mari, pour des succions épiques et comme les deux-là semblaient apprécier ce qu’ils se faisaient, il ne bronchait pas.
Michel de temps en temps n’était plus là, de longues journées où le jeune Brachet parcourait toute la maisonnée en cherchant le patron. Mais le soir Claude ne lui interdisait pas de monter se coucher contre elle, alors il savait aussi apprécier ces moments d’absence. Et Hell’s ce matin sentait que l’ardeur mise à se vautrer l’un sur l’autre indiquait sans doute une nouvelle période de disette à venir pour la maitresse. Il se roula en boule sur le seuil de la porte alors que Michel à genoux derrière sa femme à quatre pattes, donnait de violents coups de reins. Elle criait, se raccrochant au drap froissé, son souffle haletant.
Le Brachet pour la première fois de sa vie sentit son corps réagir à ces stimuli visuels, olfactifs et bruyants. Quelque chose en lui se métamorphosait. Son sexe se mit aussi à grandir et sortir de son fourreau. Il passa sa langue sur cette pine rouge toute neuve, tout en continuant à suivre les déhanchements des deux amants. Leur petite affaire terminée, Michel prit sa douche et chargea une valise dans le coffre de sa berline. Il embrassa sa belle sur la bouche et sa main vint aussi se perdre sur le dos de Hell’s tout frétillant d’une telle attention. Quand le véhicule gravit la légère montée vers la route, il suivait encore le maitre qui partait. Le portail les séparait définitivement en se refermant doucement. Barrière bien réelle que le Brachet n’avait pas le droit de franchir seul.
Alors tête basse, il attendit là un long moment, jusqu’à ce que Claude l’appelle.
— Hell’s ! Viens là mon beau ! Allons viens ! Papa reviendra bientôt ! Viens, nous allons nous promener. Ne sois pas triste.
Le Brachet revint sans se presser vers sa maitresse. Elle était en jogging et la laisse dans sa main indiquait que la promenade se profilait à l’horizon. Il la sentait un peu abattue aussi et il vint donc se frotter contre ses jambes.
— Tu es un bon chien. Nous allons en forêt. Alors si nous rencontrons un autre ami à toi, tu n’aboies pas, tu ne cours pas après les demoiselles non plus ! Compris ? Sinon… Je te passe la laisse ! Allez, c’est parti !
Le sentier autour du lac, il l’avait fait des centaines de fois tous les trois, voire parfois avec l’un des deux seuls. Hell’s avait toujours une foulée plus rapide que les deux époux et marchaient quelques mètres devant eux. Il fit de même alors que Claude se trouvait seule avec lui. La balade fut longue, mais il la sentait toujours un peu tendue, sans doute que le patron lui manquait. Après la promenade, il se retrouva seul dans le jardin. Mais au bout d’une longue attente, elle sortit et se rendit sur le ponton. Quand elle se dévêtit, il sut qu’ils allaient se baigner. L’eau… Hell’s l’adorait aussi !
Sans aucun préambule, elle plongea depuis le plancher du ponton et dans un élan spontané, le chien sauta aussi dans la nappe bleue. Elle nageait bien, vite, mais il n’eut pas de grands efforts à fournir pour la rattraper. La baignade dura une bonne heure et de temps en temps de ses petites mains, elle lui envoyait une giclée d’eau. Lui donnait un coup de gueule et s’éloignait ! Un jeu bien innocent pour deux amis qui s’estimaient et s’aimaient bien sûr. Il la vit au bout de longues minutes reprendre la direction de la berge. Il fut sur celle-ci avant elle. Et il s’ébrouait déjà avant qu’elle ne s’entortille dans son immense drap en éponge.
— Arrête, je me suis séchée ! Va te secouer plus loin, allez ! File !
La récréation venait donc de prendre fin. Le soir elle le passa sur son canapé. Un lieu où il ne devait sous aucun prétexte monter. Michel et Claude ne voulaient pas et ils restaient intransigeants sur cela. Oh ! Il avait bien tenté au début de transgresser cette loi, mais il avait été durement tancé et il avait vite renoncé. Quand elle avait répondu au téléphone, il avait saisi que le patron était au bout du fil. Elle lui murmurait des gentillesses et il avait rapidement perçu les odeurs qu’elle secrétait. Celles de l’amour, celles des envies diurnes ou nocturnes. Il s’était éloigné pour se coucher à quelques pas. Du reste, elle ne s’était pas rhabillée, se contenant de la serviette.
— Je t’aime Michel. Tu me manques déjà.—… mais à moi aussi ma belle !— Je voudrais que tu sois là, nous ferions l’amour. J’en ai encore envie. C’était bien ce matin, mais… tu sais nous nous sommes baignés, Hell’s et moi. Je suis encore nue. —… Humm ! Je voudrais te tripoter partout, venir m’enfoncer en toi !— Tu me ferais quoi ? Oui ! Dis-le-moi encore. Oui ! J’adore quand tu me parles comme ça… oh ! Oui, je la prendrais dans ma bouche, oui ! Ce n’est que partie remise… tu sais quand tu rentreras nous rattraperons le temps perdu.—… il ne se rattrape jamais, tu le sais bien. Ici il fait une de ces chaleurs !— Il va faire de l’orage, chez nous c’est lourd ! Je n’arrive pas, même après avoir nagé dans le lac, à retrouver un peu de fraicheur. Hell’s sent l’orage et il grogne et à cet âge-là… ça doit commencer à avoir des envies ?— Quoi ? Tu n’es pas un peu fou ? Bien sûr que non ! Et puis tu as peut-être raison, c’est un homme aussi après tout… enfin un mâle… mais je n’aime que le mien.— J’espère bien ! Mais je ne serais pas jaloux, pas du chien toujours… un jour tu me montreras ?— Quoi ? Tu deviens pervers sur tes veux jours ? Tu m’imagines avec… Hell’s ? Ça ne va pas dans ta tête ?— Ben… si ! Et j’aimerais voir ça un jour… un vieux fantasme de mec…— Tu serais moins fier si un jour ça arrivait ! J’en suis certaine.
Au bout du fil Michel avait éclaté de rire. Mais Claude elle ne souriait plus du tout. Comment son mari pouvait-il imaginer une chose pareille ? Tous les mêmes ces sales types et pourtant… celui-là, elle l’avait dans la peau depuis pas mal de temps déjà. Ils avaient encore échangé quelques banalités puis il avait raccroché. Dehors, le ciel de Gerardmer s’était embrasé et de longs éclairs s’étiolaient en craquements sinistres. Le Brachet peureux se blottissait contre les jambes de sa maitresse. Elle lui cajola le dos, en l’encourageant pour le rassurer.
— Allons ne crains rien ! Tu ne risques rien, ici nous sommes à l’abri. Si tu savais ce que le patron aimerait que tu fasses, non ! Que nous fassions toi et moi. Mais tu es mon gamin hein ? Tu vas être sage et moi aussi. Oui tu es beau…
Le chien pourtant ne semblait pas rassuré. Claude prit un livre et se leva pour regagner l’étage et sa chambre. Puisque la télévision ne fonctionnerait pas avec l’orage qui illuminait les cieux, autant se coucher et lire un peu. C’était vrai que dehors, le vent s’associait aux violents bruits du tonnerre. Il ne devait pas faire bon se promener là-dessous. Mais dans le chalet, les volets clos, tout était comme une île, une oasis au centre de la tempête. Seule la moiteur de l’air ambiant lui rappelait que les Dieux se déchaînaient dans une partie de quilles mémorable.
La semaine sans Michel était toujours une épreuve pour Claude. La présence de son compagnon à quatre pattes ne changeait rien à l’affaire. Cette première nuit s’avérait déjà être un supplice. L’orage n’arrangeait rien et sa lecture fut interrompue par une coupure de courant pour couronner le tout. Elle rangea son livre et s’endormit presque tristement. La lumière revenue la réveilla alors que le cadran de l’horloge sur la table de nuit indiquait deux heures du matin. Hell’s remua une oreille, grogna un peu et se lova encore plus contre elle. Apparemment les éclairs avaient cessé à l’extérieur.
Elle tenta vainement de le repousser, mais de guerre lasse, elle finit par abdiquer. La bête couchée contre elle lui apportait une chaleur dont elle se serait bien passée. Avant de se rendormir, elle songea un long moment à ces gestes, ces câlins qu’elle et Michel se prodigueraient s’il était là. Fatalement les images de ces scènes d’un genre osé allumèrent en elle un feu sacré. Son ventre s’enflammait et contre elle la présence moite de l’animal ne résolvait pas son problème. Claude se plaqua la main entre les cuisses et remua insensiblement celles-ci. Chaque mouvement la réchauffait davantage et elle se mit à gémir sourdement. Elle avait envie de faire l’amour.
Hell’s ne bronchait pas d’un poil. Il sentait cette odeur qui d’ordinaire le faisait partir vers la porte. Mais c’était quand le patron était là. Et cette fois, il ne fit pas un geste pour quitter sa place. Sa maitresse s’était simplement éloignée un peu de lui, et étendue sur le dos, elle laissa une de ses mains monter et descendre entre ses longues jambes. Ce qu’il sentait avait le don de l’énerver aussi, mais il jugea plus malin de ne pas se faire remarquer. La brune gigotait tellement que le drap sous lequel son corps se cachait se trouva repoussé au pied du lit. Il l’entendait gémir, petites plaintes qui venaient de sa gorge.

oooOOooo —
Apparemment, elle n’avait pas mal quelque part, non ! C’était comme si Michel la touchait, mais pourtant… il était bien loin. La femme s’était à nouveau retournée et ses mains maintenant frôlaient la tête de l’animal pelotonné à ses côtés. Elle avait encore reculé et le souffle de Hell’s parcourait son dos, voire même le début de la raie de ses fesses. Les gémissements se faisaient plus présents, plus forts aussi. Et elle se frottait désormais contre les babines du chien qui ne semblait même pas réagir. Pourtant si elle avait pu, dans le noir voir sous le ventre de la bestiole…
La pine de Hell’s s’était gonflée de désir et sa langue passait doucement entre les fesses de sa patronne. Un instant, surprise par cette chose râpeuse et humide qui la touchait, elle accentua seulement ses mouvements. Elle se rendait compte de l’énormité de ce qu’elle était en train de faire, mais son désir était le plus fort. Les paroles de son mari aussi remontaient en vague à son esprit. Involontairement elle ouvrit plus largement les jambes et la tête de l’animal descendit plus bas sur le sexe féminin en feu. Ce léchage ne fit qu’accentuer les envies de la brune et c’est elle seule qui appuya sur le crâne du Brachet.
Comment la main libre de Claude se retrouva-t-elle sur cette bite rouge qui bandait sous le ventre du chien ? Elle se fichait éperdument de le savoir, alors que deux doigts malhabiles, elle en faisait le tour. Le diamètre ne semblait pas énorme, mais la longueur… et elle repoussa le fourreau tout en tenant l’engin dans le creux de sa paume. Le cabot ne cessait plus de téter la fente qui elle aussi bavait. Dans la chambre des bruits inouïs se faisaient entendre. Et elle osa. Claude venait de se redresser pour arquer son dos et sa joue se posa sur le flanc de l’animal. Il ne fit rien, ne manifestant aucun mouvement pour s’enfuir. Non ! Bien au contraire.
Sur ses doigts elle sentait qu’un liquide coulait sans cesse. Elle approcha ses lèvres de la pine qu’elle tenait. D’abord sa langue vint furtivement passer sur cette hampe bizarre. Le sperme de Hell’s se mélangeait à sa salive. Un instant elle crut qu’elle allait avoir un haut-le-cœur. Mais pas du tout ! Alors elle recommença un second passage sur cette drôle de tige. Le chien fit un geste immuable, celui d’avancer le bassin comme Michel l’aurait fait. Elle eut la nette impression que ce mâle-là voulait plus encore que ce simple effleurement
Gagnée par une sorte de transe elle se mit en devoir de sucer la bite comme s’il s’agissait de celle de son mari. Aux mêmes gestes les mêmes effets et les babines qui s’appesantissaient sur sa chatte persistaient à ouvrir les grandes lèvres. Mais elle ne put pas retenir la bête. Celle-ci maintenant voulait sa pitance ! Hell’s avait senti qu’elle s’offrait et il lâcha le triangle de la femme pour la pousser du museau. Il essayait de la faire mettre en position de saillie. Elle prit peur. Une peur viscérale, une peur incontrôlée.
— Hell’s arrête ! Va te coucher vilain garçon.
Le Brachet stoppa tout élan et sa queue battit l’air. Il ne jouait plus ! Ses babines retroussées, il émettait une sorte de grognement assez brutal.
— Va te coucher ! Allez descend de mon lit !
Le chien semblait avoir compris et la queue entre les pattes, il sauta au sol et s’éloigna la tête basse vers le couloir. Il reprit la place des grands soirs. Mais son maitre n’était toujours pas rentré pour finir le travail que Claude avait commencé. Il grogna une fois encore et posa son museau sur le parquet. La brune avait allumé la lampe et elle changeait les draps trempés.
— Regarde-moi un peu ce que tu as fait… papa ne serait pas content s’il savait que tu voulais… Oui ! Bon, nous ne lui dirons rien. Ce sera notre secret à tous les deux.
Elle riait de sa blague. Bien entendu qu’il ne saurait pas, tout comme elle pouvait être sûre que son complice d’un moment saurait aussi tenir sa langue. Et puis pour se donner bonne conscience, elle se disait que c’était seulement un jeu, un jeu sans importance. Pourtant elle songeait qu’elle ne devait pas être très futée pour avoir fait cela. Et dire qu’en plus elle avait apprécié le sperme de Hell’s… pratiquement autant que celui de son mari. Elle vit le Brachet, qui les yeux ronds, se tenait penaud, couché sur le sol. Elle regretta un peu de n’avoir pas osé aller plus loin…
— oooOOooo —
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