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henriette

Chapitre 1

Lesbienne
Cet après-midi, je suis de sortie, comme tous les lundis. Normalement, je vais au cinéma voir les dernières sorties. Mon mari travaille, gagne bien sa vie, c’est pour ça que j’en profite. Je n’en profite pas pour le tromper : je l’aime trop pour ça et ensuite pourquoi je le ferais ? Nous baisons souvent, il me comble toujours, tant en quantité qu’en volume (il est bien monté). En plus, j’ai ce qu’il faut à la maison, je reste nue, le matin, quand il s’en va. Je n’ai qu’à tendre un bras pour prendre de quoi calmer mes besoins éventuels. Je n’ai que le choix : pour la maison, j’ai un gode vibrant. C’est de lui dont je me sers fréquemment. Je l’aime bien surtout quand j’ai envie comme aujourd’hui. Je commence toujours de la même façon : je caresse ma poitrine comme il sait bien le faire, mes mains descendent ensuite vers mon ventre que je caresse en appuyant. J’ai le gode dans la bouche pour le réchauffer un peu et m’imaginer que c’est ma bite préférée que je suce. J’écarte les jambes comme je le ferais s’il me baisait. Je me caresse le clitoris un bon moment. Quand mon ventre demande le maximum, j’enfile le gode dans le vagin en mettant en route les vibrations. Souvent, je fais même des aller et retour dans mon ventre. Seules les vibrations m’envoient au 7° ciel. Je me prépare pour sortir, pour aller au cinéma, donc. La bonne doit venir, je l’attends. Elle est en retard : à ma connaissance c’est la première fois. Je ne peux pas partir en laissant la maison comme elle est. J’attends donc en m’impatientant un peu. Enfin la sonnette, normalement la bonne ne sonne pas, elle a la clé. J’ouvre la porte pour me trouver en face de ce qui me semble un jeune fille bien sexy.
— Bonjour madame je suis Henriette, la fille de votre bonne. Elle est malade, elle m’a demandé de la remplacer pour aujourd’hui. Je suis prête pour vous aider. Vous savez elle vous aime beaucoup.— Bien-sûr, vous savez ce que vous devez faire ?— Oui !
Je la fais entrer, je fais une croix sur mon cinéma. Je dois rester pour indiquer certains détails. Elle enlève son manteau, sa robe, pour paraitre en petite tenue, simplement en t-shirt et string. Elle passe une blouse sur le tout. L’avoir vue presque nue me donne un coup au cœur. Elle est belle, encore plus sexy que ce que je croyais. J’ai envie qu’elle me fasse des choses, moi une véritable hétéro. Je fais exprès de la faire commencer par la chambre : le lit n’est pas fait, je crois même que j’ai laisse le gode sur la table de nuit. Si elle le voit, elle va savoir que je me masturbe. J’ai un peu honte, un peu seulement.Elle fait un tour de la pièce pour voir son travail. Bien-sûr, elle voit mon bel engin. Elle le prend dans sa main, le regarde en détail, me sourit :
— Vous devez aimer ce modèle. Paraît-il qu’il donne beaucoup de plaisir. Si j’osais… ?— Oui ?— Je vous demanderez l’autorisation de m’en servir, j’aime bien me masturber, alors là, je suis excitée !— Si vous voulez, nous pourrions le faire ensemble !— J’aimerais bien, pour une fois !
Je devais aller au cinéma, me voilà presque levée par une fille à laquelle je ne peux pas dire non. Moi aussi, j’ai envie qu’elle me fasse des choses immorales. Je la laisse s’approcher de moi. Elle s’arrête très près pour me regarder en face, sa langue passe sur ses lèvres. Il doit être terriblement excitée. Je tends mes bras dans lesquels elle vient se réfugier, nos bouches se touchent, nos langues jouent dans nos bouches. Je mouille sans arrêt, à croire qu’hier au soir, mon mari ne m’a, ni baisée et enculée, ni que je me suis branlée ce matin. Nos poitrines se serrent pendant que nos mains caressent tout le corps. Il me semble être un homme qui va baiser sa maîtresse. Nos lèvres sont toujours soudées. C’est Henriette, qui la première, pose sa main sous ma jupe, me caresse les cuisses, me fait écarter les jambes. Pour moi c’est plus simple, je n’ai qu’a ouvrir deux boutons d’une blouse pour ouvrir sur sa quasi nudité. Je me moque de soutien-gorge, je préfère mettre ma main sous son string. Je suis la première sur un sexe. J’éprouve une drôle d’impression d’avoir une main sur un autre sexe que le mien. Elle est plus mouillée encore que moi, enfin c’est-ce que je pense. Je trouve la partie de son corps la plus souple, la plus glissante aussi. Elle me laisse aller sur son bouton. Il est assez petit, un peu plus que le mien. Il est au moins aussi sensible et souple, même en érection, comme tout clitoris excité. Pendant que je suis occupée à la branler, elle enlève sa blouse et son soutif. Elle se donne en entier. Enfin elle me déshabille aussi. Ses lèvres cherchent mes tétons. Que de plaisirs en devenir. Dès que je la fais jouir, elle s’occupe de moi en se mettant accroupie. Je ne m’attendais pas à cette suite rapide avec sa langue. Elle lèche le petit bout de clitoris qui dépasse des lèvres. Je sursaute à chaque coup de langue un peu plus appuyé. Et soudain, sans que rien de m’en avertisse, je jouis pour la première fois avec une langue d’une autre femme. Elle se relève pour m’embrasser : je sens le gout de ma cyprine sur ses lèvres. Nous nous couchons pour mieux nous aimer. Je suis sur le dos, elle est à moitié couchée sur moi, son sein gauche contre le droit. Je sens sa douceur : ça m’excite encore. J’ai besoin de sa main sur ma chatte. J’ai besoin de ses doigts sur mon clitoris. J’ai besoin d’elle pour jouir encore au moins une autre fois. Elle doit le comprendre : sans que je dise un mot, une prière, elle pose enfin sa main entière sur la chatte. Je tends mon ventre vers elle. Elle m’embrasse encore. Je suis à elle, qu’elle me fasse ce qu’elle veut : je le supporterai toujours. Elle trouve vite le bouton, qu’elle caresse très lentement, trop lentement. Je prends sa main pour qu’elle aille plus vite. Rien à faire, elle me masturbe à sa façon : elle va plus vite quand elle en a envie. C’est enfin bon, elle a la bonne cadence. Ce n’est pas assez vite, elle accélère : mon ventre est tendu à fond vers sa main. Je suis totalement en arc quand je sens l’orgasme venir. Elle l’a senti arriver, aussi, elle me met deux doigts dans le cul. Je crie de bonheur. Elle a besoin, elle aussi, de jouir, elle m’enjambe pour me donner son sexe à lécher. Mon premier con à faire reluire avec la langue. Son goût efface tout, son odeur de fille en chaleur est là aussi. C’est tout nouveau, mais ce que c’est agréable dans ma bouche et mes narines. Je commence à passer ma langue sur sa chatte. Je ne réfléchis même plus, nous prenons notre plaisir à deux, c’est le principal. Je sens ses seins sur mon ventre, comme le sien sur ma poitrine. Qu’elle belle invention que le 69. J’adore le faire avec mon mari, là je n’ai pas de bite dans le bouche, j’ai une chatte. Le plaisir de donner du plaisir est le même. Je ne fais ce qui me passe par la tête, j’entre deux doigts dans le cul d’Henriette qui ouvre facilement l’anus. Elle doit avoir l’habitude de se faire sodomiser. Elle me le rend à sa façon, sa langue est sur l’anus, je l’entrouvre: elle y entre sa langue aussi. Je tends mon bras pour récupérer le gode que je met en route : je le rentre dans son vagin : elle réagit aussitôt. Elle gémit plus fort, elle remue dans tous les sens. Je suis contrainte d’arrêter ma langue dans le cul. À son tour, elle pousse un cri qui me semble plus fort que le mien. Un dernier orgasme nous arrête : nous sommes totalement crevées de jouissance. Nous restons enlacées un moment avant de nous relever et nous rhabiller. Nous savons bien que nous allons recommencer les jours qui viennent. Pour cela, il faut, au moins, nettoyer la chambre et ranger le gode. C’est l’affaire de 5 minutes. Elle revient demain matin, comme sa mère. C’est entendu, elle fera le ménage en arrivant et nous ferons l’amour, ensuite. Il n’est pas question que je parle de cette infidélité à mon mari : il le prendrait mal, je suppose, à moins qu’il participe, mais là, c’est à elle de décider.
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