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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille.

Chapitre 19

Erotique
Chantal dormait encore quand Marc se réveilla. Il repensa à ce qui s’était passé la veille et était content de la nouvelle étape franchie.
Chantal dormait paisiblement blottie contre lui et ne semblait nullement perturbée par ce qu’elle avait accepté la veille, il avait rapidement découvert que Chantal était bien plus « sexuelle » qu’elle ne voulait le laisser paraitre, mais il ne s’attendait pas vraiment que cela se passe aussi bien et aussi facilement.
Il espérait qu’Antoine avait eu le même succès, il n’avait pas trop de crainte sur l’issu positive de la tentative de son ami, mais ignorait le temps qu’il lui faudrait.
Était-ce le bon weekend ?
Il le saurait bientôt, Antoine lui avait promis d’envoyer un texto avant midi pour tout lui raconter.
S’il savait qu’Antoine réussirait à séduire Charlotte, il savait qu’il faudrait un peu de temps ensuite avant de la conduire vers lui et il savait surtout que là rien n’était certain.
Il avait dit à Antoine qu’il n’était pas certain de la virginité de Charlotte, mais celui-ci après avoir fait connaissance avec elle et surtout après quelques rencontres amicales, il lui avait dit qu’il était certain à quatre-vingt-dix pour cent qu’elle l’était.
Il devait donc, ce matin lui envoyer un texto pour lui dire s’il avait réussi à franchir une étape et peut-être lui confirmer ou non ses affirmations.
Il somnolait en regardant Chantal, elle était belle et il aimait la regarder dormir. Son sexe commençait même à se dresser, allait-il la laisser dormir ? Ou satisfaire ce besoin naissant ?
Il hésitait quand son téléphone émis une notification.
-    Super weekend, objectif atteint et affirmation confirmée.
Le texto d’Antoine était, clair net et précis.
-    Félicitation. Moi aussi excellent weekend et au-delà de mes espérances.
-    Tu me raconteras ?-    Oui, toi aussi ?-    Bien sûr !
Charlotte après cette « première fois » s’était blottie contre Antoine, prise entre d’étranges sensations.
Elle était heureuse, elle n’avait aucun doute là-dessus, mais était-ce raisonnable ? N’avait-elle pas commis une erreur ?
Antoine lui caressait tendrement les cheveux, il restait silencieux, ne voulant rompre le charme et affronter trop rapidement les craintes de Charlotte.
Il savait qu’il fallait lui laisser le temps d’assimiler ce qu’elle venait de faire, mais ne pas trop la laisser cogiter.
Il avait assez d’expérience pour savoir quoi faire au moment où il fallait le faire.
Pour l’instant, il était à l’étape « assimilation » et « protection ». Il restait donc silencieux, mais d’un geste rassurant caressait ses cheveux.
Ce geste avait pour ambition de la tranquilliser et de la réconforter.  Un geste pouvant être assimilé aussi bien comme celui d’un amant amoureux que celui d’un père protecteur.
Et il était un peu les deux à ce moment-là pour Charlotte.
La respiration de charlotte se fit plus régulière, elle commençait à se laisser bercer et son esprit s’engourdir. Elle ne dormait pas, elle était entre le sommeil et l’éveil, comme dans un rêve.
Elle oubliait où elle était, elle oubliait avec qui elle était, elle était simplement bien.
La caresse d’Antoine était douce et délicate, il prenait son temps et ses mouvements étaient lents.
Quand enfin il avait obtenu la relaxation voulue de Charlotte, ses doigts ne se limitèrent plus à sa seule chevelure, ils taquinèrent gentiment ses lobes d’oreilles, puis caressaient sa joue.
Charlotte laissa échapper un soupir d’aise. Il était à peine perceptible, mais Antoine était attentif.
Il savait qu’il pouvait passer à l’étape suivante.
Ses gestes étaient toujours aussi délicats et lents, sa tête se pencha vers celle de charlotte et il posa un baiser sur le bout de son nez.
Surprise, Charlotte tourna la tête vers lui, elle rencontra son regard et ils restèrent ainsi, immobiles, quelques instants, puis Antoine se rapprocha et ils s’embrassèrent.
Le contact des lèvres d’Antoine avec les siennes éveilla une agréable sensation chez Charlotte, elle les entrouvrit et Antoine profita de cette légère ouverture pour glisser sa langue dans son palais.
 La valse linguale commença sur un tempo lent, puis s’accéléra.
Antoine laissa alors ses mains découvrir à nouveau le corps de Charlotte, celle-ci ne résista pas à ses caresses.
il se retrouvait une nouvelle fois sur elle, elle ne chercha pas à le fuir, bien au contraire, il était entre ses jambes qu’elle avait spontanément écartées et elle pouvait sentir son sexe dressé qui cherchait à visiter une nouvelle fois son intimité.
Elle savait, mais le laissa faire.
Ils firent l’amour une nouvelle fois, elle eut un nouvel orgasme, bien plus fort que le précédent et quand elle ne put s’empêcher de crier son plaisir, Antoine sortit de son sexe et macula son ventre de son sperme.
Cette fois, elle n’avait pas pleuré, cette fois il avait joui.
 Ils étaient restés allongé sur le dos quelques minutes, puis Antoine se tourna vers Charlotte et posa un petit baiser sur ses lèvres.
-    Va prendre une douche, je te rejoins si tu veux ?
Lui dit-il ensuite dans le creux de l’oreille.
Elle lui répondit d’un petit sourire, puis posa ses lèvres sur celle d’Antoine pour lui offrir un chaste baiser et se leva pour se diriger vers la douche.
Antoine profita qu’il était seul pour envoyer son texto.
La réception du sms avait excité Marc, elle était donc bien vierge et Antoine avait déjà réussi à faire en sorte que cela ne soit plus que de l’histoire ancienne.
Marc s’en foutait de ne pas être le premier, ce qu’il voulait c’était de pouvoir la baiser et Antoine lui avait dit qu’il chercherait bien entendu à la sodomiser, mais qu’il n’insisterait pas, s’il voyait qu’elle n’était pas prête, Alors, il serait peut-être le premier à passer de ce côté.Avec Antoine ils avaient convenu  qu’il prendrait le temps nécessaire avant de l’aider à devenir, à son tour, son amant, il n’était pas pressé et avait confiance en son ami.
Il posa son portable, regarda son sexe, l’érection était bien franche.
Maintenant, plus d’interrogation, plus de doute possible.
Il s’approcha du lit, se glissa sous les couvertures…
Non plus de doute, le besoin était trop fort, il ne pouvait plus la laisser dormir.
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