Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 38 J'aime
  • 1 Commentaire

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille.

Chapitre 24

Erotique
Charlotte sort de la cabine de douche, prend une serviette et commence à se sécher le corps. Antoine frappe à la porte de la salle de bain et entre sans attendre de réponse. Il est, lui aussi, entièrement nu. Elle le regarde, un sourire se dessine sur son visage. Elle est heureuse.
Elle n’a jamais trouvé les hommes de son âge intéressants, mais jamais elle n’aurait imaginé tomber amoureuse d’un homme qui pourrait être son père et même son grand-père. Oui, elle en était certaine, elle l’aimait et elle n’avait aucun doute le concernant, il l’aimait aussi.
Ses certitudes étaient basées sur des évidences. Déjà, elle ne se serait jamais donnée à une personne qu’elle n’aimait pas et elle n’aurait jamais pu prendre de plaisir avec un homme pour qui elle n’éprouvait rien. Et elle prenait énormément de plaisir avec lui. Ensuite, elle savait que les hommes ne réagissent pas comme les femmes, elle sait très bien qu’un homme peut faire l’amour à une femme sans pour autant l’aimer. Mais Antoine est différent, elle ne l’a jamais vu, par exemple, draguer sa mère et pourtant, elle est belle.
Beaucoup d’hommes tournent autour de sa mère, elle voit bien les regards qui se tournent vers elle, surtout depuis que son père n’est plus là. Les hommes savent qu’une veuve ressent souvent un sentiment de solitude quand cela arrive, elle se sente perdue et ont peur de se retrouver seule et c’est là que les hommes en profitent.
Marc, par exemple, qui était pourtant le grand ami de son père, n’arrête pas de tourner autour d’elle. Charlotte le voit bien et elle sait aussi que ce n’est pas le seul. Mais Antoine, il s’est tout de suite montré serviable et sympathique avec sa mère, mais jamais il n’a cherché à la séduire. Charlotte sait qu’elle ressemble à sa mère, mais sait aussi qu’elle fait moins « femme » qu’elle. Elle n’a pas le charme de sa mère et pourtant, Antoine qui aurait pu faire comme la majorité des hommes, c’est-à-dire à profiter de la solitude ressentie par Chantal pour essayer de la séduire, n’a rien tenté… et comme charlotte, finalement, il s’est laissé prendre au piège… terrible et merveilleux piège ; celui de l’amour.
 Charlotte n’en était pas persuadée, ce n’était pas une sensation, mais tout simplement une certitude. Elle savait qu’il l’aimait et elle savait aussi que cet amour était fragile. Elle était jeune, novice et n’avait jamais connu d’autre homme avant lui. Elle avait tout à apprendre et ne savais pas comment se comporter avec un homme. Bien entendu, il la guidait, l’aidait à s’épanouir et à devenir enfin une femme… mais n’allait-il pas s’en lasser ?
D’ailleurs, sa mère semblait l’apprécier beaucoup, n’allait-elle pas, elle aussi, avoir envie de lui ? N’allait-elle pas devenir sa rivale ? Si cela arrivait un jour, Charlotte savait qu’elle ne pourrait pas lutter et elle avait terriblement peur.
Antoine avait attendu que Charlotte sorte de la douche pour entrer dans la salle de bain. Il ne voulait pas la rejoindre dans la cabine, pour lui faire l’amour sous l’eau chaude et fumante. Il adore pourtant le faire, mais là, il voulait simplement profiter de la vision de ce corps.
A peine fut-il dans la salle de bain, qu’il prit la serviette des mains de Charlotte pour la sécher. Mais rapidement, il posa ses mains sur les épaules de sa maitresse et d’une légère pression lui fit comprendre de s’agenouiller. La première fois qu’il avait fait ce geste, elle n’avait pas vraiment compris ce qu’il voulait, mais cette fois, sans rien dire et surtout sans résistance, elle se mit à la hauteur de son sexe et le goba. Elle était élève attentive et apprenait vite. On voyait qu’elle avait bonne volonté et surtout envie de bien faire.
Pendant qu’elle le suçait, il la regardait s’activer, mais pensait à tout autre chose ; comment allait-il la conduire dans les bras de Marc ?Il voyait bien qu’elle lui était dévouée corps et âmes, mais jusqu’où ? Se glisserait-elle dans le lit de Marc simplement pour faire plaisir à Antoine ? Il n’en était pas certain.
Bien entendu, en amenant discrètement le sujet, il pourrait la tester,  évaluer sa soumission et étalonner son amour pour lui, mais il sait aussi que si elle le fait sans contrainte, sans qu’elle ne sache que cela vient de lui, elle lui serait ensuite encore plus redevable.
Il avait déjà commencé à semer la petite graine qui pourrait germer dans son esprit et enfin laisser fleurir le chemin qu’il compte lui faire prendre. Il a toujours préféré les novices, les vierges à déniaiser aux femmes expérimentées, mais l’air de rien, sans trop se découvrir, il a laissé entendre le contraire.
 Des petites phrases anodines, des situations un peu confuse, il a doucement commencé son travail de défrichage. Il paierait cher pour faire un petit tour dans les pensées de Charlotte, mais il pense qu’il a réussi à semer le doute dans sa tête. Il lui parlait souvent de son âge et de l’écart qu’ils avaient… il le faisait en prenant l’air de s’en désoler et en s’excusant de cet état, ce qui avait, bien entendu à chaque fois l’effet voulu. En effet, elle le rassurait et lui disait l’amour qu’elle lui portait.
Il lui disait que l’ingénue finirait par s’ennuyer avec un homme  expérimenté, une femme, disait-il, doit être une femme du monde au salon quand il y a des invités, mais elle aime être maitresse quand elle est avec celui qu’elle aime.
-    Une femme, se fait soumise face à son homme au lit, mais en fait c’est elle qui guide le débat.
En laissant croire qu’elle se lasserait de ne pas en savoir autant que lui voire plus, il lui faisait comprendre que son inexpérience pouvait être un handicap pour leur relation et même origine de leur séparation qu’il pensait inévitable. Elle lui jurait le contraire, mais savait qu’elle n’était pas à la hauteur de ses espérances. Elle trouvait qu’il était même trop généreux et patient avec la fille si naïve qu’elle était.
Elle n’avait pas encore pris la décision de prendre un autre professeur qu’Antoine pour se montrer justement à la hauteur de ses espérances, mais elle en prenait le chemin. Doucement, mais surement.
Quand cela sera acquis, il lui suffira de lui mettre dans la tête que Marc serait un excellent candidat. Il a énormément d’expérience et il pourrait lui apprendre énormément. Elle savait déjà que c’était un homme qui aimait les femmes, sans vouloir s’attacher à une seule, Antoine n’aurait qu’à lui faire comprendre discrètement que c’est l’homme idéal pour devenir son professeur. Et tout cela, bien entendu sans qu’elle ne se rende compte que c’est lui, Antoine, qui la pousse dans les bras de Marc.
A genoux devant lui, elle le suçait et lui, lui caressait les cheveux en souriant.
Elle était déjà à lui et bientôt elle ne serait que sa « chose » !
Diffuse en direct !
Regarder son live