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Héritage inattendu

Chapitre 1

Hétéro
Tous les noms et personnages ci-dessous sont fictifs. Toute ressemblance avec des faits et personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    Bonjour, moi c’est marie, une jolie brune bien proportionnée de 23 ans. L’année que je viens de passer a bouleversé mon existence. Fille unique comme ma mère, ma seule famille s’est toujours comptée sur les doigts d’une main. N’ayant jamais connu mon père, ma mère m’a élevé seule. C’est pourquoi je me suis retrouvé désœuvrée lorsqu’elle décéda d’un bête accident de la route en janvier dernier.
    Je me retrouvai ainsi sans ressources, avec pour seul héritage de ma mère sa petite maison de famille. Et c’est par un matin de printemps, me demandant encore ce qu’il allait advenir de moi, qu’on sonna à ma porte.En ouvrant je me retrouvais devant un homme, quarante ans passé, bien rondouillard, vêtu d’un costume bleu clair, chemise blanche, cravate grise et coiffé d’un chapeau.
— Bonjour madame, …— Mademoiselle— Excusez moi, je me présente, maître Gerfaut, notaire à Paris. Je voulais parler à Madame Francine Charrier. C’est bien ici ?— Malheureusement elle nous a quitté il y a maintenant 2 mois.— Vous m’en voyez navré. Vous devez être sa fille ?— Effectivement— Donc c’est avec vous que je vais m’entretenir. Puis je entrer ?— Bien sur, ne restez pas sous cette pluie.
    Il entra et nous nous asseyons dans le salon pour parler. Sa présence commençait à m’inquiéter. Il faut dire que depuis quelques mois j’accumulais les malheurs en tout genre.
— Je suppose que vous devez vous demander pourquoi je suis ici.— Oui effectivement.— C’est normal. Donc je suis mandaté par mon étude qui a été contacté par des collègues américains. Et je suis chargé de trouver des héritiers potentiels pour un héritage resté sans succession aux USA.— Ok mais je ne vois pas en quoi ça me concerne.— J’y viens. Il se trouve que la personne décédée a des origines françaises et peut-être de votre famille.— Ah bon.— Oui. Le nom de "Carson" vous dit il quelque chose ?
— Mon arrière grand-père s’appelait comme ça. Mais lui c’était Carsonne et il n’a jamais quitter la France.— Déjà ça correspond aux infos que j’ai. J’ai fait une petite enquête vous concernant, je vais vous poser des questions et vous allez corroborer les réponses.
    S’en suivi un interrogatoire assez long sur ma famille qui dura plus d’une heure. Durant lequel je remarquais que le notaire devenait tout rouge en me dévisageant furtivement de haut en bas et en s’attardant sur ma poitrine. Faut dire que vu son physique il ne devait pas tirer son coup souvent comme le confirmait l’absence d’alliance à son doigt. J’étais un peu gênée. Il faut dire que j’étais en tenu légère et je n’avais pas prévu d’avoir de la visite. Puis l’interrogatoire se termina enfin.
— Parfait ! Et bien mademoiselle il semblerait que vous soyez effectivement l’héritière de votre … arrière grand oncle.— Je ne m’y attendais pas ce matin en me levant.— Oui c’est une sacrée surprise pour vous j’imagine.— Mais au fait vous ne m’avez pas dit à quel montant s’élevait l’héritage ?— Vous m’excuserez si je n’ai pas le chiffre précis mais avec les voitures, maisons, portefeuille d’action et compte en banque, ça se monte à 8 chiffres, en dollard.
    Sous cette annonce mon sang ne fit qu’un tour. Il me le fallait. C’était la solution à tous mes problèmes. Je devais tout mettre en œuvre pour l’avoir.
— Et cet héritage je pourrais l’avoir quand ?— Et bien j’ai un délai de 4 mois pour rechercher d’autres héritiers potentiels. Ensuite on ira aux USA voire les responsables de l’agence qui nous ont contactés pour finaliser le tout.— Et on y est obligé ? pour le délai et les recherches ?— Ah oui. Passer outre le délai serait hors la loi et ne pas faire les recherches serait contraires à l’éthique.— OK pour le délai. Mais pour les recherches ? Si, je ne sais pas moi, je vous donnais un petit quelque chose … Vous ne pourriez pas faire semblant de les faire. — Ecoutez mademoiselle, en tant que notaire je suis assermenté. Mes comptes sons tous contrôlés ainsi que mes déplacements professionnels. Je ne me peux pas me le permettre. D’autant que c’est risqué pour moi. Je pourrais me faire radier par le conseil de l’ordre.
    On dit que 2 choses font marcher le monde : l’argent et le cul. Pour la 1ère ça semble foutu. Alors je vais tenter la 2ème. Etant donné qu’il rougit à vu d’œil ça ne devrait pas être très difficile. Je commençais donc à lui prendre la main et à lui faire du pied.
— En fait je pensais à quelque chose de plus … intime.— Vous me porter de l’intérêt et j’en suis flatté. Mais ce n’est pas juste un coup comme ça vite fait qui suffira à contrebalancer les risques.— Dites moi ce que vous voulez alors.— Vous ne lâchez pas l’affaire vous ?— Non jamais.— Bon … Vous savez je suis un homme seul. Et je m’étais dit qu’on pourrait se voire … disons une fois par semaine, jusqu’à la clôture de l’affaire. Et puis une fois à Los Angeles, pour l’hôtel, une chambre avec un grand lit devrait suffire. On fera ça tous les soirs.— Quand vous dites se voire …— Ah c’est le rapport, la totale, avec fellation, pénétration et sodomie. Après c’est vous qui voyez. Qu’en pensez-vous ?Ce gros cochon a bien compris l’avantage qu’il pouvait en retirer. Mais j’étais bien décidé à aller jusqu’au bout. Quitte à vraiment donner de ma personne.— Ok ça me va— Parfait. Vous m’attendez ici je vais chercher quelque chose dans ma voiture.— Dépêche toi j’ai hâte.
    Et il parti à sa voiture fouilla dans une valise et en sortie une boite de capote. Comme quoi il voulait vraiment en profiter. Je le fis s’assoir sur le divan, mis de la musique et commençai un strip-tease sensuel qui a failli faire exploser sa braguette tellement elle était tendue. Il ne me lâchait pas du regard. Du coup, je commençai à me frotter les fesses contre sa braguette. En me retournant je vis qu’il avait retiré veste et cravate et qu’il était en train de défaire les boutons de sa chemise. Il me tira par la main, déboutonna sa braguette, sorti sa queue et plaqua mon visage dessus. Je me mis alors en mode « femme amoureuse – esclave sexuelle » et lui tailla la meilleur pipe qu’il ait jamais eu (selon lui). Après tout il fallait bien le satisfaire totalement si je voulais qu’il fasse ce que je voulais. Il sorti un préservatif, l’enfila, m’empoigna par les hanches et m’empala violement sur sa queue. Avec ses mains sur mes fesses pour me tenir, il me donnait la cadence. Du coup après je lui glissai à l’oreille : « ya ma chambre à coté » et, à ma grande surprise, il me souleva comme un rien, son sexe encore dans le mien et continua à me limer sur mon lit. Sa vigueur à la besogne était surprenante pour un gros lard. Je voulu en savoir plus.
— Et bien quelle vigueur ! T’es plutôt costaud. — 10 ans d’haltérophilie dans ma jeunesse. Même si j’ai grossis, j’ai quand même de beaux restes.— Oui, j’avais peur que tu sois qu’un gros porc qui s’essouffle au bout de 2 minutes, mais visiblement, je pense qu’on va bien s’amuser.— Et oui je suis encore très vert malgré mon poids.
    Il me retourna pour se finir dans mon rectum avec un râle d’animal sauvage et s’écroula sur le lit à coté de moi en pétant 3 lattes de sommier au passage.
— Bon bah je crois que je ne vais pas faire trop de zèle dans mes recherches. Alors on se voit quand ?— La nuit de samedi à dimanche chaque semaine ça te va ? on dinera au resto avant ?— Genre soirée romantique ? excellente idée.— Pendant un moment j’ai eu peur de « subir » mais finalement je vais apprécier. — Encore heureux. Bon aller je me rhabille. On se voit samedi.
    Durant 4 mois, on s’est vu tous les weekends. Il arrive tous les samedis vers 18h, on s’embrasse, je me change pour sortir en mettant une belle robe de soirée, on dinne dans un resto chic, on rentre s’envoyer en l’air chez moi et il repart le lendemain après une grasse matinée coquine.    A la suite de ça, on est parti pour L.A. Une fois arrivé à l’hôtel, après avoir inauguré le lit de la chambre, on a visité la ville « by night ». Le lendemain, rendez vous à la dite agence. Après examen des pièces transmises, j’appris que mon amant avait effectivement rempli sa part de boulot. Il ne me restait plus qu’à vendre les 3 maisons et 7 voitures, puis retourner en France. Heureusement ce fut assez rapide vu que les prix de vente étaient assez bas pour que ça parte vite. Au grand désarroi de mon notaire chéri car ça écourtait notre séjour et diminuait d’autant le nombre de nuits crapuleuses durant lesquelles il me pilonnait joyeusement avec ardeur.    Une fois le virement de plusieurs millions fait, nous sommes de retour à Paris. Je m‘apprêtais à repartir chez moi par le train quant il me prit par la main.
— Avons-nous une chance de nous revoir ?— Je ne sais pas. Après tout notre accord est terminé.— Je sais mais je dois avouer que j’y ai pris gout.
    Ecoute, j’ai maintenant plein de chose à faire chez moi. Si on doit effectivement se revoir c’est moi qui t’appellerai. Pas l’inverse.
— Ok, je te laisse. Bon voyage alors.
    Je senti des trémolos dans sa voix. C’est à croire qu’il était tombé amoureux. Mais j’avais plein de chose à faire : rénover la maison familiale, offrir une vrai pierre tombale à ma mère, régler mes dettes, …. Bref je n’allais pas m’ennuyer.Toutefois, au bout de quelques semaines, je m’aperçu qu’il me manquait un truc. Je me faisais grave chier le samedi soir. Finalement il me manquait aussi le gros joufflu. Car, même avec son physique ingrat, il était quand même très vigoureux et performant. Du coup après quelques semaines, j’entrepris de le rappeler.
— Maitre gerfaut à l’appareil.— Bonjour ici c’est marie Charrier, la fameuse héritière des USA. Vous vous rappelez ?— Comment oublier … mais on se tutoyait avant non ? Etant donné nos relations.— C’est vrai. J’ai dans l’idée d’acheter un appartement sur Paris et je me demandais si tu pourrais m’aider pour les formalités ?— Oui c’est possible.— Parfait ça nous donnera l’occasion de … nous revoir.— AHHHH ! avec plaisir.— J’arrive sur Paris lundi prochain, pour toute la semaine.— OK bah ne réserve pas d’hôtel. Tu viens à la maison.— J’y comptais bien. Je dois avouer que notre … relation me manquait.
    Durant cette semaine, on fini par trouver un appartement « de luxe » sur les champs Elysées. Je le choisis suffisamment grand pour y vivre à 2 très confortablement avec plusieurs chambres aménageables. Il avait compris le message.    Aujourd’hui, après 6 mois de vie commune, Je suis comblée. Notre vie est heureuse. Mon homme à maigri (faut dire que le sport en chambre presque tous les soirs ça aide). Mais aujourd’hui c’est moi qui vais grossir. Faut dire qu’avec notre libido, la conséquence c’est qu’on va devoir préparer une autre chambre pour un Gerfaut Junior. Il n’en sait encore rien mais je lui offre le test de grossesse et son résultat pour son anniversaire. Je sais déjà comment on va fêter l’événement. Va falloir changer des lattes de sommier. Va y avoir de la casse.
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