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L'héritier de Protée

Chapitre 10

Orgie / Partouze
Sur Mikro Kea, une fête se prépare. D’une part, il y a l’arrivée de Vanessa. Mais en prime dans l’après-midi, un puissant offshore est venu s’amarrer au petit port de l’ile. A son bord, Paolo l’un des deux frères de Kostia. J’ai été surprise de l’attitude de Vanessa. Quand nous sommes arrivés avec l’hélicoptère, elle a chaleureusement embrassé son père, mais salué avec une certaine déférence Hélène en l’appelant «mère».
Par contre, quand Paolo a mis pied à terre, elle lui a littéralement sauté au cou. Antinea m’explique qu’il y a très longtemps, à la naissance de Vanessa, Hélène a très mal pris l’arrivée de cette nouvelle fille née des infidélités de son mari. Elle a exigé qu’elle soit éloignée de son père, et c’est son oncle qui en réalité s’est chargé d’élever Vanessa. Et le lien qui les unit va bien au-delà de la simple relation oncle-nièce.
Et moi qui pensais que les «feux de l’amour» étaient compliqués en termes d’histoires de famille !
Paolo est un grand gaillard au look beaucoup plus jeune que Kostia. Brun, musclé (immortel oblige !), un torse velu juste ce qu’il faut, une barbe courte intégrale, et un sourire charmeur qui me fait fondre littéralement. C’est lui qui au sein de la multinationale de Kostia gère l’énorme flotte de commerce de la famille, les sociétés de recherche marine, les fermes aquacoles, j’en passe et des meilleures. C’est parait-il un navigateur, nageur et plongeur hors pair pour lequel la mer n’a aucun secret.
C’est donc en leur honneur à tous deux que l’on prépare la grande terrasse pour la soirée. Et pour faire bonne mesure, Kostia et sa famille ont choisi de faire une soirée à la mode de la Grèce antique. N’ayant aucune tenue appropriée pour l’occasion, Antinea et Vanessa  m’ont invitée dans leurs appartements. Pour tout sous-vêtement, on a mis un simple cache-sexe, juste retenu par un unique cordon noué. Elles m’ont trouvé un chiton à ma taille, une sorte de longue tunique semblable aux leurs, mais nettement plus décolleté que l’original antique. Puis elles ont arrangé mes cheveux comme elles avec un espèce de chignon dans le plus pur style hellénique, que je ne saurai pas nommer. Quand nous sommes prêtes, on dirait trois sœurs.
Alex a tout de suite vu que quelque chose ne va pas. Je ne souris pas, je suis tendue, inquiète, anxieuse. Je me suis assise à côté de lui sans rien dire, le regard dans le vide.
-    Ça ne va pas Christine ?-    Si, si, ça va…
Et puis je craque, je me blottis dans ses bras.
-    Alex, je… j’ai un peu peur.-    Comment ça ? De quoi ?
Alors je lui raconte ce qu’il s’est passé. Vanessa, Antinea et moi finissions de nous préparer tout en devisant de choses et d’autres. Et vous savez comment ça se passe quand des femmes se retrouvent entre elle, çà peut facilement se mettre à parler de de cul. On était donc là toutes les trois à rire de nos expériences passées et j’ai eu le malheur de dire qu’en quelques jours je pensais avoir fait le tour de tout ce qui pouvait se pratiquer coté sexe. Antinea a rigolé en rajoutant que j’étais loin du compte. Vanessa s’est contentée de me regarder avec un drôle d’air.
-    Il y a au moins une chose que tu n’as pas essayée. Et d’ailleurs tu aurais dû commencer par là.-    Ah bon ? C’est quoi ?
Elle vient tout près de moi, poitrine contre poitrine presque au contact.
-    Je te lance un défi, me fait-elle. Je ne te dis pas ce que c’est. Ce n’est pas insurmontable, mais c’est à faire. Tu peux refuser évidement…
Un défi ? Pas question de refuser ! Je jette un regard interrogateur à Antinea. En retour elle m’en adresse un qui veut dire «pourquoi pas, essaie». Je cherche dans ma tête à toute vitesse quelque chose qui me ferait peur, je ne trouve pas…
-    C’est d’accord. Je relève le défi. Mais si tu penses m’influencer avec tes phéromones, je te signale que j’ai fait en sorte d’y être insensible.
Et toc ! Tu t’attendais à çà Vanessa ? Mais sans se démonter cette dernière me fait un grand sourire.
-    Ah ? Tu crois çà ?
Elle m’embrasse. Et je disjoncte ! J’ai ressenti un frisson intense ou je reconnais la présence de ses phéromones. Elle s’est jouée en une fraction de seconde de mes défenses ! Ça n’a pas marché. Et au contraire, je ressens une furieuse envie de baiser avec elle !
-    Personne ne me résiste si je ne le veux pas, Christine.
Je suis estomaquée… Et puis je m’en fiche ! Je l’embrasse à mon tour, mon Dieu que c’est bon. D’autant qu’elle descend une de ses mains vers ma chatte. J’en frémis. Et soudain…
Je m’écarte brusquement. J’ai ressenti quelque chose d’étrange dans mon bas ventre. Mon vagin et mon anus se sont crispés. Quelque chose a changé. Je ressens une sourde angoisse. Qu’est-ce qu’elle m’a fait ?
-    Je t’ai rendu ta virginité, me dit-elle en souriant.

-    Tu es vierge ??? me demande Alex. Tu es sure ?-    Oui… J’ai cru qu’elle se fichait de moi, mais… quand j’ai voulu en avoir le cœur net, j’ai mis ma main et je… j’ai buté contre… enfin, tu vois ce que je veux dire.-    Ah oui… Ça c’est bien de Vanessa.
Il ressent mon trouble et me prend dans ses bras.
-    Tu n’es pas obligée d’accepter Christine. Je connais Vanessa depuis longtemps. C’est une fille très gentille en réalité, mais elle aime faire ce genre de petit jeu avec tous les nouveaux immortels. Il te suffit d’invoquer Protée pour que tu reviennes à ton physique de ce matin. Elle ne sera pas vexée, ni moqueuse.
Renoncer ? Jamais ! J’ai dit que je relèverai le défi, et je le relèverai. Même si je me doute à présent de ce qui va se passer.
-    Écoute, reprend–il : perdre sa virginité pour une fille, ce n’est pas une épreuve si redoutable. Il ne faut pas que tu réagisses comme si tu étais une adolescente, comme celles à qui tu faisais tes cours d’histoire. C’est une douleur brève, et d’ailleurs les filles n’ont pas toujours de ressenti douloureux. Je peux t’en parler, parce que quand j’ai vécu des vies de femme, j’ai été déflorée plusieurs fois. On en fait des tas d’histoires, mais en fait c’est peu de chose.-    Oui, oui, bien sûr, Antinea m’a dit la même chose, mais…-    Mais quoi ?-   Mais comment Vanessa a-t-elle fait ? Je veux dire, on a le pouvoir de changer d’apparence, de jouer sur nos physiques, nos facultés biologiques… Mais là, elle ne s’est pas livrée à une transformation sur elle-même, mais sur une autre personne, moi en l’occurrence !
Alex va alors me faire une révélation.
-    Vanessa, tout comme Antinea, Kostia, Protée et les immortels les plus anciens, tous ont acquis avec le temps une énorme expérience. Ils ont progressivement découverts de nombreuses facultés telles que la télépathie… ou celle de provoquer des transformations chez d’autres. C’est comme ça que Protée peut rendre ceux qui le libèrent protéiformes basiques, c’est-à-dire juste capable de modifier leur propre corps. C’est un premier niveau. Ensuite, ceux qu’on appelle du «deuxième cercle» sont ceux qui peuvent se faire subir des transformations au-delà de ce que l’espèce humaine peut produire naturellement. Et enfin, il y a ceux qu’on appelle «les fondateurs», donc essentiellement la famille de Kostia.-     Comme ses trois frères, ses deux filles, Hélène ?-    Oui ; et quelques autres très anciens eux aussi, comme Daniel le barman. Ils ont des facultés qui nous dépassent de loin. Kostia par exemple, personne ne connait ses limites…-    Et de quoi sont-ils capables ? Lancer des éclairs ? Changer les gens en crapaud ?
Alex prend un air ennuyé.
-    Désolé Christine, mais ils veulent t’en faire part eux-mêmes, c’est ce qu’ils m’ont demandé. Tu dois comprendre, c’est LEUR secret, il ne m’appartient pas, et on se doit de respecter ce qu’ils veulent.
Je boude… Je n’adresse pas la parole à Alex. Traître ! Je touche à peine au repas. Nous sommes à la même table que Paolo et deux autres couples. Il a insisté pour être à la même table que nous. Il veut tout savoir de moi, de mon vécu. Il est pourtant charmant, très gentil, très aimable, et insatiable dès que l’on parle de mer. Je le trouverai même sympathique si ce qui s’est passé tout à l’heure avec Vanessa ne m’avait pas noué l’estomac. Un peu anxieuse, j’ai un peu poussé sur le «Dons de Dionysos», et je le redis, faites pas comme moi.  
Antinea et Vanessa sont à la même table qu’Hélène et leur père. Le repas est terminé depuis un petit moment. On discute de choses et d’autres, lorsque je sens la présence des deux filles derrière moi.
-    C’est le moment Christine, me dit Vanessa. Tu es toujours décidée ?
Je me lève sans un mot. Je lui lance un regard de défi. Si elle croit que je vais me dégonfler, elle se trompe lourdement. Et puis je sens confusément que je dois gagner le respect de tous les immortels présent.
Elles me prennent chacune par une main et me conduisent devant la table du maitre des lieux. Le silence s’est fait sur la terrasse, juste troublé par de sourds grondements d’un orage lointain. Sans un mot, les deux filles prennent chacun un pan du chiton et le font glisser à mes pieds. Puis elles retirent le cache sexe me laissant nue comme un ver devant toute l’assemblée. Alors Hélène se lève. Et à son tour, les deux filles lui retirent ses vêtements avant de se dénuder elles aussi.
Je découvre avec étonnement qu’Hélène possède une queue de taille moyenne. Elle est en mode hermaphrodite ! Ainsi, c’est elle qui va me déflorer ? Je ne m’attendais pas à ça… Avec un gentil sourire, elle me prend par la main et toujours escortée par les deux sœurs, m’entraîne dans un coin de la terrasse ou a été dressé un lit de style antique. Elle s’allonge sur le dos. Son sexe s’est dressé. Il m’attend.
-    Viens Christine me dit-elle, devient une de mes filles.
Je n’hésite que quelques secondes. Je suis bien trop excitée pour refuser même si mon cœur bat à grands coups. Alors je grimpe à mon tour sur le lit, je la chevauche face à elle, et descend lentement vers sa queue. Déjà l’émotion m’a détrempé mon intimité, et c’est tout naturellement que sa queue vient au contact de ma chatte. J’ai un frémissement, je suis surprise, c’est extraordinairement sensible. Très lentement je commence à m’empaler mais je m’arrête presque aussitôt quand je viens buter sur «quelque chose».
C’est le seul moment où je vais envisager d’arrêter. Mais c’est trop bon ! Et puis les deux filles se sont positionnées à côté de moi et me caressent pour m’encourager. Mon bas ventre, mes seins, mes fesses, mes épaules, leurs mains courent sur tout mon corps. Leurs bouches me procurent de petits bisous. Hélène se joint à leurs caresses, mais elle attend… Alors je prends une respiration, et exerce une poussée vers le bas.
Je pousse un cri. Je reste la bouche ouverte, les yeux exorbités. J’ai ressenti un claquement. Une douleur vive, mais brève s’est fait sentir à l’intérieur de ma chatte. Alors, ça y est ? C’est fait ?
Hélène pose ses mains sur mes hanches, m’attire vers elle. Je ferme les yeux, je m’abandonne. La sensation est hallucinante. Ma "jeune" chatte s’ouvre pour la première fois sous la pression d’un sexe masculin. Quoique de taille moyenne, j’ai l’impression que la queue d’Hélène a des dimensions gigantesques. J’ai la sensation d’être déchirée. Je suis tellement serrée ! Jamais au cours de ma longue vie à venir je ne ressentirai des sensations aussi intenses que ce moment-là.
Je me laisse aller, je ferme les yeux. Je resterai volontiers immobile, mais Hélène m’impose son rythme. Elle est entièrement en moi, elle ondule du bassin, son sexe coulisse dans ma chatte me provoquant des sensations d’autant plus intenses que les deux sœurs poursuivent leurs caresses. Les ondes de chaleur commencent à irradier, les frémissements se font plus intenses, plus rapprochés, mon vagin se crispe spasmodiquement. J’explose !
Mon cri a résonné sur la terrasse. Pendant de longues secondes, je jouis intensément. Je reviens lentement sur terre. Hélène s’est immobilisée, mais elle reprend ses mouvements, m’arrachant des petits cris de plaisir. Et puis je la vois faire un signe à l’assistance, et une queue en érection se présente à quelques centimètres de mon visage. D’autres hommes, d’autres femmes se sont levés à leur tour.
C’était donc çà l’épreuve ! Ma défloration n’en était que les prémices. La véritable épreuve commence maintenant : un gang-bang. Je prends en bouche le sexe qui s’est présenté. Je sens Hélène se crisper et jouir à son tour. Elle me libère, se redresse, va rejoindre son mari, des traces de sang sur sa queue. Vanessa et Antinea m’allongent sur le lit. L’homme que je suçais vient se positionner entre mes jambes. Un autre le remplace dans ma bouche. A moins que ce soit une femme ? La plupart se sont muées en hermaphrodite.
Pendant une durée qui m’échappe, je ne suis plus qu’un jouet sexuel. Les bites se succèdent, dans ma bouche, dans mon vagin, dans mon petit cul à présent tellement sensible ! Je frémis, je tremble, je frissonne. Quelques femmes me présentent leurs chattes que je lèche jusqu’à leur jouissance. Tous vont jouir sur moi ou en moi les uns après les autres pendant que j’enchaine mes propres orgasmes. Paolo tiens à passer le dernier. Durant tout ce temps, les deux sœurs vont me caresser pour accélérer mes jouissances, caresser mes tortionnaires pour les faire jouir au plus tôt.
Et puis après un temps indéterminé cela cesse. Les assistants sont retournés à leurs places, certains se caressant encore. Les deux sœurs m’aident à me redresser, à m’asseoir sur le bord du lit. De mes orifices s’échappe le trop plein de leurs jouissances mélangées à des traces rouges. Tout tourne autour de moi. Je suis couverte de sperme et de liqueur vaginale. J’en ai partout : le visage, les seins, le ventre, les cuisses, mes zones intimes, mes cheveux… J’ai dû en avaler des litres. Ma vue est brouillée, tant par ce que je viens de vivre que par le sperme qui s’écoule en partie sur mes yeux. C’est à peine si je me rends compte que l’orage qui menaçait est à présent au-dessus de nous et que les grondements et le vent qui se lève annoncent la pluie toute proche. Dans mon état d’ivresse je réalise que seules trois personnes n’ont pas joui de moi : Kostia et ses deux filles.
Je sursaute quand j’entends la voix de ce dernier retentir au-dessus de moi et que sa main se pose sur mon épaule.
-    Écoutez moi tous ! dit-il d’un ton ferme. Ici et maintenant, moi Zeus, dieu parmi les dieux, je déclare que Jacques Gautier présent ici sous le nom de Christine est digne des immortels et peut dès cet instant rejoindre le deuxième cercle, car telle est ma volonté !
Applaudissements.
Il a dit Zeus ?
Un coup de tonnerre éclate au-dessus de la résidence. Je m’évanouis.
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