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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 14

la famille. Ma famille.

Travesti / Trans
Émile me regarde avec tendresse. Il appelle les trois autres filles à venir se désaltérer. Il me relève et m’accompagne jusqu’à la table. On boit du champagne, on rigole. Il m’a mis à sa droite. Il me caresse la cuisse en évitant ma queue. Il me regarde avec tendresse et envie. On s’embrasse passionnément. Il me prend un téton en bouche. Dieu que c’est bon.
— Vient Vanessa, je vais faire de toi un membre de la famille.
Il se lève et le suis. Il me fait mettre à quatre pattes sur le plaid et sans préparation, sans aucune précaution, il m’encule. Il y va fort. Je sens son membre se gorger de sang. Je ferme les yeux. J’apprécie ses allés et venus au plus profond de mon séant. Je jouis sous ses coups de bite. Je me cambre pour l’accueillir au plus profond de mon être. Il ne me sert pas. Il fait ça avec amour. Il est en train de me faire sienne. Je serais sienne. L’endurance du vieux est impressionnante. Il hurle sa joie de me posséder ainsi. Je lui réponds par des cris de femme.
— OUI, Émile, C’EST TROP BON !!!!
— Je t’encule pour la première fois... Que c’est bon ma chienne, quel cul tu as. On t’a bien choisie, un cul de déesse. OUI, JE VIENS...
Il éjacule d’une force. Sa bite est intarissable. Il jouit sans discontinuer, m’inondant mes entrailles. Il tombe, inerte sur mon dos.
— Je ne pensais pas jouir autant dans ton cul. Putain que c’est bon...
— Encore, Émile...
— Pas ce soir. Vous m’avez vidé.
Je tourne mon visage et l’embrasse intensément, passionnément. L’extase à l’état pur. Il me retourne pour m’embrasser de plus belle. Suis-je devenue sa pute, son objet ? Maintenant, j’en suis sûr, je suis sa chienne. On se caresse, on se cajole. Qu’il est beau mon petit vieux. Je lèche son visage, ma langue lui appartient, nos langues jouent un balai diabolique.
— Putain, Vanessa, je n’ai jamais ressenti ça pour un mec...
— Non, Émile, si à tes yeux je dois être une femme, alors je suis ta femelle.
On s’arrête à contrecœur sous les applaudissements de l’assemblée. On se relève et on rejoint ces petits voyeurs.

Après avoir tous trinqué à la nouvelle venue dans la famille, David m’entraîne sur le lieu de l’accouplement précédent. Comme Émile, il me fait mettre en levrette. Il s’agenouille derrière moi et ce n’est pas à cela que je m’attendais. Il me fait une feuille de rose. À part celles faites par Malika et Domi, c’est la première que je reçois de la part d’un mec. Mon sphincter s’ouvre. Il m’encule avec sa langue récupérant au passage le sperme d’Émile. Il colle sa bouche sur mon petit trou (qui n’est pas si petit que ça) et aspire jusqu’à obtenir un prolapsus. Il me lèche délicatement l’intérieur de mon anus. Je regarde Émile. Il est heureux de me voir ainsi soumise et disponible. Je lui souris.David a changé de position. Il a rampé dessous moi et je sens sa queue se frayer un passage entre mes cuisses. Il veut que cela soit moi qui donne le rythme à nos ébats. Comme le ferait une femme, je saisis sa bite d’une main et la dirige vers ma chatte. Je vais le prendre comme une nana en chaleur. Je descends doucement et apprécie ce moment intense. Elle est ancrée au plus profond de mes entrailles. J’entame des mouvements lents, lui laissant le gland à l’intérieur à chaque remontée de mon bassin. David a fermé les yeux. Je me penche pour aller chercher sa bouche, sa langue.
— Humph, que tu es bonne Vanessa ! Quelle chatte tu as !
Ce compliment me transcende. Je baise un mec. Ma queue frotte sur son ventre, trop bon. Mes seins s’agacent sur ses tétons. Je jouis, il jouit. On se regarde intensément. Je sens des larmes me couler sur les joues.
— C’était bon, Vanessa... OUIIII... Salope.
Je contracte mon sphincter autour de son membre. Je monte et descends. Il exulte. Je jouis une seconde fois, mais du cul cette fois. Je suis tétanisée et plonge ma bouche dans son coup. Je le lèche, remonte au creux de son oreille.
— Merci David. Lui dis-je en suçotant son globe. C’était magique...
— Ouf, terrible... Oui, Terrible.
On reste un petit moment emboité en se paluchant à pleine bouche. Je me relève et quand je vois la dose que je lui ai lâchée sur le ventre, j’éclate de rire. Il se regarde et part, lui aussi dans un fou rire.
— Et bien, tu t’es lâchée, maintenant il faut nettoyer.
Comme une petite chienne, je m’agenouille devant son bide et suçote ma propre semence, tout en regardant dans les yeux. Il en a partout. Je n’hésite pas à récupérer son sperme sur sa queue.
— On remet ça ?
— Non, Vanessa. J’ai mon compte pour ce soir.
Il se relève et me prend dans ses bras.
— Allez, viens. On va rejoindre ta famille.
En retournant près des miens, si je puis dire ainsi, on voit Malika et Théna en train de se pourlécher entre les cuisses d’Émile, Domi et Caro se nettoyer la chatte à grand coup de langue.
— Quelle bande de pervers...
— Eh oui, Vanessa, bienvenue chez toi.
David m’embrasse dans le cou et me présente face à Émile. Il me caresse les fesses, les seins, le ventre, les cuisses, en évitant ma queue. Il me dit qu’il est cent pour cent hétéro et qu’il ne changera pas à son âge. On repart dans un fou rire communicatif.
— Vanessa, vu que tu fais partie de notre clan, va donc nous chercher le "blanc de blanc 1997" que tu as dégoté dans la cave ce matin. Cela sera un excellent petit nectar pour clore cette charmante soirée.
C’est accompagnée de Maria que je vais à la cuisine. Pendant qu’elle sort des flûtes du congélateur, j’ouvre la cave à champagne. Ce n’est pas la bouteille ramenée ce matin, mais trois bouteilles de cette liqueur des dieux. Maria me regarde en me souriant.
— Oui, je sais... Mon frère est un cachottier... Et moi une cachottière... Tous nos meilleurs crus ne sont pas dans la première salle de la cave, mais là, c’est interdit d’y aller... À moins que... Sait-on jamais.
Elle sort en me claquant les fesses. Une fois de retour à la tablée, l’ambiance s’est calmée. Émile me donne l’honneur d’ouvrir la première des bouteilles de champagne. On discute de tout et de rien, enfin quand je ne dis de rien. J’apprends qu’Émile et David sont frères (jolie famille). David ayant choisi un cursus en chirurgie esthétique et que son frère s’est donné corps et âme à la périclité de l’entreprise familiale, à savoir un empire à la tête d’une centaine de bateaux. Le père d’Émile, de Maria et de David ayant décentralisé leur entreprise, il y a cinquante ans, ils se sont retrouvés en France, à Lyon pour Émile, à Montpellier pour David. Maria les a rejoints après un triste accident de bateau qui a emporté leur mère et père, voilà vingt ans déjà. Le père de Théna a quitté Domi il y a cinq ans pour une jeune femme. Un classique dans la vie des couples actuels. Maintenant, il forme une famille heureuse et épanouie où le tabou est tabou. Chacun d’entre eux, d’entre nous, ont des rapports sexuels quand bon leur semble.Je me suis assis, assise, à ma place. Malika vient à ma droite, Théna à ma gauche. Elles me saisissent les bras et me lèvent. Elles demandent au patriarche si elles peuvent m’emprunter une heure ou deux. Émile accepte en hochant la tête. Caro nous accompagne. On se retrouve très vite à la piscine. Tout est calme, c’est reposant. Il y a juste le bruit des grillons et au loin le chahut de la ville d’Ibiza. J’embrasse Malika, vite rejoint par Théna. Caro, qui n’a pas voulu aller se baigner, s’est allongée sur un transat, les jambes reposant au sol.
— Il y en a une que je n’ai encore pas honorée...
— Non, il y en a deux. Me coupe Théna.
— Et oh, c’est ma meuf. Dit Malika.
— Tu es partageuse et tu auras ta dose. Promis ma chérie. Lui répondis-je.
On sort de l’eau. Caro regarde avec envie ma bite dressée. Je demande à Théna de s’allonger, de dos, sur le ventre de Caro. Elle voit où je veux en venir. Malika étant la plus légère, elle se place au-dessus, les pieds posés sur les jambes de Théna, qui a mis les siens sur Caro.
— Ça va Caro ?
— OUI, t’inquiète. À elles deux elle pèse moins que mon mari... Hihihi.
Je m’accroupis et je commence par un cunnilingus à la chatte du bas. Théna et Malika se pourlèchent. Je m’enivre de ces trois parfums de femmes. Elles ont toutes trois une odeur différente. Caro a une fragrance classique, Théna l’a discrète, tandis que ma panthère noire l’a animale. C’est d’ailleurs c’est l’odeur de cette belle chatte rose, formant une cicatrice entre ses cuisses d’ébène, qui a ma préférence.J’approche mon dard du sexe de Caro. Elle se pince les lèvres. J’introduis mon gland, suivi du reste de mon sexe, dans un mouvement lent mais complet. Elle ouvre la bouche, mais ne dit rien. Son ventre étant comprimé par le poids des deux filles, j’ai la sensation de prendre une jeune fille. Je ressors entièrement et refais le même mouvement.
— Ouf... Vanessa, comme tu es gros...
J’accélère mes pénétrations, elle hurle son plaisir, mais j’arrête à l’orée de sa jouissance et je me plante dans le sexe de Théna.
— Salope, j’allais jouir...
— Il en faut un peu pour tes nièces.
Je pourfends Théna et Malika en alternant de fourreau. Elles ont arrêté de s’embrasser et poussent des petits cris. Je reviens dans Caro sans la prévenir.
— AAAAHHHH... Salope, tu me déchires, PUTAINNNNN. TOP BON...
Je me régale de la voir prendre son pied, puis je vais me régaler des sucs de ma belle en lui bouffant son con. Je n’oublie pas Théna. J’alterne entre Caro et cette dernière. Malika de raidi et jouit en m’offrant une avalanche de cyprine. La deuxième à partir, c’est Théna.
— OUIIIII, QUE J’AIME TA QUEUE, TROP BOOOONNN.
Caro est la dernière. Je fais descendre les deux petites qui viennent téter les nichons de la mature. Caro hurle sous mes coups de bassin. Les flocs-flocs et les bruits de succion remplissent la nature environnante. Dans notre délire, on n’a pas entendu Maria arriver. Elle est à quatre pattes et me lèche, me suce, me gobe mes roustons. J’en peux plus et le dis. Caro me saisit les hanches et se cabre. Elle jouit dans un cri qui déchire le silence de la nuit. Je me plante au fond d’elle et la féconde avec de puissants jets. Je m’affale sur elle, on s’embrasse en essayant de reprendre notre souffle. Une fois démanché(e), la vieille prend ma queue et la gobe pour me la nettoyer. Malika et Théna s’empressent d’aller nettoyer la vulve béante de Caro. Que du bonheur.
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