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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 15

Travesti / Trans
On reprend nos esprits. Théna considère qu’elle n’a pas eu sa dose, mais que ce n’est que partie remise. Elle plonge, suivie de Malika, Caro, Maria et moi. Tous les cinq, on batifole, on s’arrose, on joue comme des gamins. Des gamines serait plus juste. Maria sort la première. Malgré sa soixantaine, elle est bien foutue. Caro lui emboite le pas et elles s’en vont rejoindre Émile. Malika vient se pendre à mon cou et m’enlace de ses jambes.
— Bon, je vous laisse les amoureux, ne traînez pas trop.
Malika me regarde amoureusement.
— Ça va ton anneau, il n’a plus l’air de te gêner ?
— Non, à vrai dire je ne le sens même plus sauf quand on joue avec.
On s’embrasse tendrement. Je lui caresse tête, les épaules, le dos, les fesses et les cuisses.
— Tu ne regrettes rien ?
— Regretter quoi. J’ai une meilleure vie que dans mon ridicule studio. Et puis j’ai la chance d’être le mec de la plus salope des négresses. AÏE...
Elle m’a mordu l’épaule. Je la jette loin de moi. À son retour en surface elle est morte de rire. Elle sort me laissant seule à mes pensées. Je m’installe sur un transat et m’allume un clope. Je repense à tout ce que je viens de vivre. L’institut et ma rencontre avec Domi. Émile et sa somptueuse villa. Ma chambre et la superbe Malika. La pose de mes implants mammaires (que je suis en train d’agacer) et de mon piercing. Caro et son chirurgien de mari. Maria et la non moins ravissante Théna. En quoi devrais-je me plaindre. En ai-je le droit ? Et je sens que cela n’est pas fini, mais je me donnerai corps et âme à ce petit vieux grec. Oui, pour l’amour de Malika, je le ferai. J’écrase mon mégot dans le cendrier et m’en vais rejoindre ma nouvelle famille.
Mon arrivée et l’occasion pour boire une nouvelle fois à ma santé. Domi n’était pas en reste. Elle est accroupie entre les jambes de David et essaie de redonner de la vigueur à son organe. Je vois la belle Malika assise à califourchon sur la ravissante Théna. Emile câlinait Caro. Maria est en train de ranger le plaid. J’accours l’aider.
— Non, non, c’est le rôle des femmes...
— Maria, s’il te plait. Lui dis-je en montrant ostensiblement ma poitrine.
— Excuse-moi Vanessa, Tu es la première que je rencontre.
— Moi aussi, et quel effet cela te fait ?
— Bizarre. Tu es belle et beau à la fois. Attirante, excitante...
— Merci Maria, c’est gentil ce que tu me dis là... Je t’excite là ?
— Oui, bon allez, tu m’aides ou tu me dragues ?
En rigolant on replie la couverture et je la porte dans un cellier qui sert de buanderie.
— Voilà, demain les femmes de ménage la laveront.
— Ah, il y a des femmes de ménage ?
— Oui, cinq. Ne t’inquiète pas. Elles sont très discrètes et fort jolies. Termine-t-elle en faisant un clin d’œil. Et excitantes... Me poursuit-elle en montrant ma bite.
La vache, il est vrai que je bande comme un cerf. Je m’approche de la sœur d’Émile et l’entoure de mes bras. Mon sexe frotte sur son ventre. Elle me dit qu’elle a envie de me sentir en elle. Sans lui répondre, je la mets sur le plan de travail en inox et lui enfourne mon sexe dans le sien. C’est bon, c’est chaud. J’y vais tendrement, lentement. Elle s’est appuyée sur ses bras m’offrant toute son intimité à ma lubricité. Je pince ses tétons, malaxe sa lourde poitrine. Son sexe coule sur mes couilles.
— Vas-y, défonce-moi... Prends-moi.
J’accélère, elle a placé ses talons dans mon dos. Sa souplesse et sa résistance m’étonnent. Elle sait y faire. Elle dit des mots incompréhensibles à mes oreilles, du grec je présume. Je la défonce, je la prends bestialement. Des "HAN" à chaque fois que ma bite vient buter sur son utérus. Elle a les yeux révulsés. Elle se cambre sous mes assauts violents. Elle jouit en même temps que moi.
— OUIIIII, C’EST BON, MARIA, JE JOUIS DANS TON VENTRE... HAN... HAN... HUMFFFF... OUIIIIII.
— OUI, REMPLIE-MOI. JE TE SENS, INONDE-MOI DE TA SEMENCE... OUIIIIII...
Je m’effondre sur elle. Elle cherche ma bouche et on s’embrasse comme deux ados. Elle cherche à reprendre son souffle, mais mon poids l’en empêche. Je me relève tout en gardant ma queue bien au chaud. Je fais de lents mouvements. Elle me regarde, étonnée.
— Tu ne débandes jamais ?
— Pas devant une jolie femme comme toi...
— Salope, tu es une grosse salope, mais j’aime te sentir en moi.
— Et qui va profiter de la salope ?
— Rhooo, on ne m’a jamais parlé comme cela !
— Il y a un début à tout, même à ton âge canonique...
On éclate de rire. Elle se relève et m’embrasse goulument. Je me déboite enfin, la libérant de ses mouvements. Elle redescend et me prend par la main pour aller rejoindre la joyeuse troupe. Étonnamment il n’y a plus que Théna, qui en nous voyant arriver, nous tend deux flûtes.
— Papou (Émile) a un peu trop bu, Malika est partie le coucher avec Domi. Caro et David sont partis faire un tour dehors. On peut continuer la soirée.
Le retour de ma chérie et de Domi se fait sous les rires tonitruants de celles-ci. Elles nous disent qu’Émile s’était effondré comme une masse et qu’il ronflait déjà.
— Allez, on boit un coup ? Lance Malika.
— Je vais allez prendre une douche. Dit Maria en montrant son entrejambe.
Effectivement, mon sperme coule sur l’intérieur de ses cuisses. Malika se met à genou et le lui lèche.
— AHHH, la salope...
— Ça, c’est la semence de ma nana.
Elle relève et m’embrasse. Le goût ne me dérange plus. Lors de mon "entraînement" à Montpellier, j’y ai souvent goûté en nettoyant l’anus de ma belle.
— Il te reste des forces ? M’interroge-t-elle.
— Attend un peu, vous allez me tuer.
— Parce qu’il y en a une qui voudrait bien te boire.
— Quoi ? Une pipe ?
— Oui, Théna est une experte, encore mieux que nous toutes.
— Je ne dois pas la baiser alors ?
— Si, mais avec elle, finition buccale obligatoire.
— Tu me laisses une demi-heure et on Verra l’état de Popol.
On rejoint les trois autres filles. On sirote nos verres avec délectation. Malika a pris à part Théna et lui à glisser quelques mots à l’oreille. Elles se sont assises à côté de moi en tenant leur verre d’une main, de l’autre elles me caressent les seins et agacent mes tétons.
— Je la verrais bien avec deux anneaux aux seins. Pas toi ? Questionne Théna.
— Oui, répond Domi, c’est prévu, j’ai emmené mon matériel, mais avant il faut l’avis de David.
— Euh... J’ai le droit de dire quelque chose...
— Non. C’est le désire d’Émile. As-tu oublié que tu as signé un contrat ? Tu veux que je lui annonce ton refus ?
— Non, non, ça va... Pfft...
— Écoute, je me ferais poser les mêmes. Me rassure Malika.
— Moi aussi. Dit Théna.
— Et bien, demain j’ai du boulot. Six piercings, rien que ça.
Une main s’égare sur ma queue. Je baisse les yeux, c’est une petite main blanche. Je regarde ma voisine, elle l’admire en se pinçant les lèvres. Elle relève les yeux, je lui dis de venir se mettre à califourchon. Elle n’hésite pas une seconde, mais je la stoppe quand elle veut se la mettre.
— Pas de suite, lui dis-je, continue tes caresses, je ne suis pas encore à mon maximum.
Malika s’est assise derrière elle et lui pelote les seins et lui lèche le cou. On se fait des baisers aux saveurs de champagne. C’est exquis, divin, je suis le plus heureux des trans-sexuel. Mon sexe a bientôt retrouvé toute sa vigueur. Je la saisis par les hanches et la lève. D’une main elle saisit mon sexe et le dirige vers son antre et de l’autre elle me serre l’épaule. Son sexe est chaud, brûlant et trempé. Je la force à me prendre à fond. Ça y est, elle y est et ne bouge plus. On joue avec nos langues dans un baiser obscène. Nos salives se mélanges et coulent sur nos poitrines.
— Tu l’as voulu, tu l’as, mais c’est toi qui travailles.
— T’inquiète, je vais me défoncer sur ta bite, mais laisse-moi le temps de m’habituer à ce monstre.
Elle me regarde droit dans les yeux, la bouche ouverte.
— PUTAIN, DIEU QUELLE EST BONNE...
— Prend moi.
Elle accélère légèrement, elle doit se mettre pratiquement debout pour faire renter à nouveau mon phallus. Des "HAN" ou des "HUMFFF" accompagnent chaque descente. Elle mouille autant que Malika, ça coule sur mes couilles et entre mes cuisses. Les "flocs-flocs" se font plus rapprochés. L’odeur de sa cyprine vient caresser mes narines, c’est excitant. Elle hurle maintenant.
— OUI, OUI, JE JOUIS. OUIIIII...
Je me contrôle bien mieux maintenant et je vais suivre les conseils de Malika, mais je la laisse prendre son pied. Ses cris m’arrachent les tympans. Malika, d’une main lui triture les tétons et de l’autre lui pince le clito. Théna a fermé les yeux et s’est penchée en arrière, sa tête reposant sur l’épaule de son amie. Je mets des coups de bassin avec rage, violence.
— SALOPE, qu’elle est bonne ta queue VANESSAAAAA...
— Théna, je ne tiens plus, je vais venir...
C’est le signal qu’elle attendait. Elle se jette entre mes cuisses, me lave la bite et la gobe en gorge profonde. Aucun haut-le-cœur, seules des larmes perlent. Dix allers-retours ont raison de moi. Je lui plaque la tête à fond et décharge ma semence en deux jets puissants, les suivants étant moins forts. Elle déglutit, se régale.Elle me regarde avec ma queue toujours profondément enfoncée. Je lui lâche la tête et elle remonte lentement en aspirant. Elle récupère le maximum, ferme la bouche et se relève. Une tape sur la cuisse de Malika, qui comprend et vient pour le partage final. C’est à trois langues que l’on se partage ce précieux nectar.
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