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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 21

Ce coquin de Gégé.

Travesti / Trans
On est toutes les trois subjuguées par la beauté de la petite maison de pêcheur de Gégé. Charmante petite bicoque à l’ombre d’un platane séculaire. Elle se trouve au bord du canal du midi. On entre. Tout est recouvert de bois. On se croirait dans un vieux gréement. Chaleureuse et bien équipée, on s’y sent tout de suite à l’aise. Il nous indique la salle de bain que nous prenons d’assaut.
— On fait vite... Lui dit Théna.
Effectivement, un quart d’heure plus tard, on est pomponnée et prête pour notre sortie en club. Avant de rejoindre le taxi, Gégé me coince à part des trois autres filles.
— Je t’ai déjà vu quelque part, mais ne sais plus où...
— Peut-être mon Gégé, peut-être.
— Tu es magnifique. Tu es le fantasme vivant de plein de mecs...
— Et du tien ? ?
— Non... Euh... Enfin oui. De savoir que tu as une queue offre plein de possibilités... C’est un peu difficile à dire...
— Ça va, on n’a plus de secret... Si ??
— C’est ma femme, enfin ma copine. Je lui ai toujours proposé un plan à trois, mais elle me l’a toujours refusé. Elle n’est pas lesbienne. Avec toi...
— Ça serait peut-être différent ??
— Euh... Oui.
— Dommage mon chou, on repart demain.

Il prend un air dépité en m’ouvrant la porte du 4x4.Nous voilà parties pour notre nuit de débauche. Gégé ne décroche pas un mot, pas un regard. Il se contente de faire ce que pourquoi il a été payé. Il me fait peine. Mais je ne peux et je ne veux louper cette soirée. Peut-être que nos chemins se recroiseront. Il me glisse une carte de visite avant que l’on rentre dans le club très privé. Belle initiative.Le club dispose d’un bar extérieur proposant les soirées avant-boîte. On s’installe dans un canapé en forme de fer à cheval. Un charmant serveur vient prendre les commandes. Champagne pour nous quatre.
— Joli p’tit cul. Dit Théna.
— Pas mal, mais je préfère celui de ma jolie salope. Lui répond Malika.
— Ouais, elle est hors concours...
— Et toi Adélia, t’en penses quoi.
— Moi et les mecs, pas trop mon truc. Par contre la p’tite blonde là-bas, Hummmm...
— Va l’inviter. Lui dis-je.
— Elle doit avoir 18 ans à peine.
— Et alors, s’offusqua Théna. La première fois que l’on a fait l’amour ensemble, j’en avais à peine 16.
— C’est vrai ?? Dis-je.
— Oui, et moi 23.
Le serveur revient avec la bouteille, un magnum, dans un sceau givré. Il ouvre et nous sert. On observe la faune de cet endroit. Il y a des gens de tout âge. Un couple attire mon regard. Une plantureuse créature brune d’une quarantaine d’années et surement son mec, un très jeune éphèbe. Ils me regardent et me sourient. Je fais signe à Malika, elle l’a vue aussi. Ils prennent leur verre et s’en vont s’asseoir plus loin. On parle de tout et de rien, enfin, on parle beaucoup de Théna et d’Adélia, de leur première fois. Elles nous disent que c’était sur le bateau. Théna ayant omis de fermer la porte de sa cabine, Adélia s’était immiscée à l’intérieur et l’avait rejointe sous la douche. Elles ne nous font pas de dessin sur la suite.Cela fait bientôt deux heures que nous papotons, buvons, mangeons. On se décide à rentrer dans l’antre de Sodome et Gomorrhe. Là le choc, ça sent la luxure et le sexe jusque dans la musique diffusée. Un remix de "California" de Myléne Farmer, beaucoup plus sensuel, plus érotique que l’original, comme s’il ne suffisait pas à lui-même. Des danseuses et danseurs de pool-dance se déhanchent sur leur barre au rythme langoureux de la musique. Je suis vite happée par mes trois congénères qui m’entraînent au milieu de la piste. On se trémousse en se frottant les unes aux autres. Malika m’a pris d’assaut la bouche et me caresse entre les cuisses. Popol réagit très vite. Prisent par l’ambiance, je la saisis par-dessous les fesses et la pénètre après qu’elle a remonté ma jupe.
— Ouiiiii, mon amour...
— Malika, je t’aime...
On baise, on s’aime au rythme de la douce musique. Plus rien n’existe, on ne voit plus rien, peu nous importe. On s’aime. Personne ne s’est aperçu de notre accouplement. Ils sont eux même ivres de sexe. Ça baise, ça fornique à qui mieux-mieux. Notre danse nous emmène jusqu’à un divan. Je couche ma diva sur cette couche et je lui fais l’amour passionnément. Théna, qui nous a vus nous éloigner, s’est rapprochée de nous. Je lui fais signe de venir nous rejoindre.
— Vous êtes beaux tous les deux... Dit-elle.
On s’embrasse. Une masse s’affale à côté de nous. Adélia vient de se joindre à nous.
— Les filles, dis-je, on se casse. Ce n’est pas un endroit pour nous.
Le sourire des filles confirme ma décision et c’est avec ma petite sangsue que l’on quitte ce lieu de débauche. Gégé, étonné de notre retour, nous ouvre la portière.
— Où dois-je vous emmener ?
— Au bateau. Lui répondis-je.
Un coup de téléphone de Gégé et la vedette nous attend. On dit au revoir à notre charmant chauffeur. On lui roule un patin dont il se souviendra longtemps.À notre arrivée, Emile est en haut de la coupée, nu, signe que sa réunion est finie. Il nous interroge sur notre retour si tôt. C’est moi qui lui réponds.
— Merci Émile, mais ce genre d’endroit n’est pas fait pour nous, pour des gens qui s’aiment et qui aiment leur famille. J’aurai aimé faire la fête, m’amuser, baiser... Mais s’en vous, impossible.
Émile, entre tristesse et joie, me prend dans ses bras.
— Merci, Vanessa, merci.
Les trois autres filles enlacent le petit vieux et l’embrassent de partout. Il ne parvient plus à bouger. Malika et moi, nous nous mettons à genoux et commençons ce que l’on fait de mieux, une fellation en tandem. Nos langues tournoient autour de la verge tendue. Tour à tour, on l’avale.
— Putain de salope, on serait mieux dans le salon...
Une fois installé sur le divan, c’est quatre bouches qui s’occupent de son corps. Théna et Adélia de sa bouche et de ses tétons. Malika et moi avons repris notre travail de sape.
— Mes chéries, vous allez me tuer... Arrêtez, stop !!!
On n’en a cure de ses suppliques. Malika lui masse les bourses. Comme la première fois, son sperme coule comme la lave d’un volcan. On appelle les filles pour le bouquet final. Malika continue à lécher les couilles, tandis que moi je le branle. Le moment fatidique arrive. Il jouit en nous insultant en grec. Des jets de foutre se perdent sur nos corps. On se bat pour récupérer l’élixir du pacha. L’orgie est bien plus bandante que dans ce club pour bobo. Je me retrouve entre les cuisses d’Emile et de me repaître de son jus à la source. Malika et les autres se sont vautrées au sol pour se lèche tout le corps.
— Gentille, Vanessa, gentille.
— Se relevant péniblement, Émile prend à part Adélia. Nous trois, on continue à nous embrasser, nous câliner. Adélia revient toute guillerette. Elle nous entraîne vers notre cabine, gardant au secret la conversation qu’elle a eue avec notre papa. Dans la cabine, c’est la cage aux oiseaux, ça piaille, ça questionne. Adélia nous arrête.
— Les filles, on a une surprise pour nous. Gégé a été dessus de notre départ impromptu. Émile l’a invité sur le bateau pour un brunch.
— Avec sa femme ? Demandais-je.
— Évidemment.
— Et quand arrivent-ils ? Poursuivis-je.
— La vedette ne devrait pas tarder...
Ce n’est que des cris, des effusions de joie. La question fut vite de nous dire comment s’habiller. Émile a été clair avec ça, il faut nous habiller classe, et moi, comme une conne, je n’ai rien à me mettre. Adélia, faisant la même taille que moi, m’entraîne dans sa cabine pendant que les filles se préparent. La cabine est étroite, propice à des attouchements sensuels. Adélia est nue, superbe créature. Je l’imite. Nos yeux ne se quittent pas. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent. Bientôt, nos langues se trouvent. Une de mes mains s’aventure entre ses cuisses. Elle soupire en relevant une jambe. Elle me prend la queue, et je fais de même.
— Tu jouis vraiment comme une femme ?
— Je... Je ne sais pas. C’est nouveau pour moi, mais je crois que s’en se rapproche.
— Bien, dit-elle en reprenant ses esprits, il faut que l’on fasse vite...
Elle me fait mettre une longue jupe fourreau rouge, avec un décolleté outrageux et un dos nu vertigineux. Je me chausse d’escarpins à talon, rouge également. Elle me tend un tanga de dentelle rouge.
— Ça fera plus sérieux, me dit-elle, et c’est cadeau, comme cela tu penseras à moi quand tu la porteras...
— Hum, ça va être ma culotte fétiche.
Elle s’habille comme moi, mais en bleu.
Elle me sourit et me prend par la main. On va rejoindre mes deux amantes. J’ai le souffle coupé. Elles sont habillées à l’identique. Jupe sage et chemisier noir. Elles ont mis leur collier, Malika me passe le mien.Maria arrive accompagnée de Domi, habillées d’une robe qui est un appel au viol, si tant est que l’on soit attirée par les dames de 50 et 65 ans. Mais moi, je le suis. Maria nous dit d’y aller prudemment avec Gégé, en me regardant. Je lui explique notre partie à cinq dans le taxi. Étonnée, mais ravie, elle nous précède jusqu’à la coupée.La vedette se met à couple. Gégé, en galant homme, laisse sa femme le précéder. C’est une quadra, brune, de larges hanches, les yeux noirs. Une jolie poupée de 40 ans, souriante et élégamment habillée. Gégé nous la présente.
— Véronique, Véro pour les amis...
Gégé nous fait la bise et serre la main d’Emile. Ils se connaissent fort bien, Gégé lui rendant de multiples services en plus d’être son chauffeur attitré. Ils se tapent sur l’épaule et vont vers le bar.
— Whisky sans glace ?
— Oui, comme d’hab.
Véro, un peu timide, nous tend la main et remarque nos colliers. Malika lui sourit, elle lui claque un petit baiser sur les lèvres. Pour le reste de l’assemblée, on se contente d’une bise sur la joue. Elle est rouge pivoine quand Malika l’entraîne vers les deux seuls hommes de la soirée.
— Dis-moi Émile, tu m’avais caché ta nouvelle fille.
— Oui, Vanessa, une très jolie fille, aimante, et discrète. On l’a tous très vite adoptée.
— Je te comprends, mais ou vas-tu les dénicher ?
— La, ce n’est pas mon œuvre, c’est Malika qu’il faut remercier.
— Ah, je comprends mieux. Sachant ton aversion pour les mecs, je te voyais mal avec un... Mais oui, je sais où je l’ai vu... Le type que j’ai emmené chez Domi, c’est ça ???
— Oui, mon brave Gégé.
— Ah, bin, mince alors...
Véro me regarde avec un air interrogateur. Je me place face à elle et je demande à Malika de descendre ma fermeture. Ma robe se retrouve à mes pieds. Véro a le regard fixé sur mon tanga qui ne cache pas grand-chose sur mon rostre.
— Mais... Mais... Vous êtes un Homme...
Je me rapproche d’elle et enlève mon tanga.
— Non, je suis une femme, je suis devenue une "Sissy", un trans, une shemale, mais je me sens femme.
Je lui prends la main et la pose sur ma bite tendue. Elle hésite, mais finit par refermer ses doigts dessus. Théna, la petite vicieuse, s’empresse de se dévêtir. Malika L’imite. Émile prend à part Adélia pour lui dire quelque chose. Elle lui sourit et part vers la passerelle. Malika et Théna se sont accroupies et regardent Véro.
— Je... Je... Je ne peux pas.
— Mais si, tu peux. Lui dis-je en appuyant sur ses épaules.
— Viens, lui dit Malika, tu vas voir, elle jouit vraiment comme une fille.
Elle a la bouche à quelques centimètres de mon sexe. Malika lui dit de me décalotter. Sa main descend et mon gland se découvre. Elle voit mon Prince Albert. Elle me regarde, je lui souris en me pinçant les lèvres. Elle est rouge, elle a chaud, de la sueur commence à perler sur son front.
— Déshabillez là... Dis-je à mes deux complices.
Elles se relèvent et commencent l’effeuillage de Véro. Elle est bronzée intégrale. Ses seins sont lourds avec de petits tétons. Ses hanches larges sont un appel à la levrette. Sa touffe brune est très épaisse. À mon air de dégoût, Domi mais fin à notre petite entrevue.
— Viens avec moi, on va te faire toute belle.
Dépassée par les événements, Véro la suit sans dire un mot. Je demande à Gégé.
— Tu veux que je lui fasse l’amour ?
— Oui, tu sais, au lit c’est une chienne, une bouffeuse de bite.
— Elle va ramasser, t’inquiète. Lui dit Émile en pouffant de rire. Vanessa était un mec avant de devenir ma fille, n’oublie pas.
— Oui, oui. Mais saches, Vanessa, c’est une soumise, une maso, elle aime être dominée, fessée.
— Tu veux que je sois violent avec elle ?
— Pas violent, directif.
— Ok, on verra. Qui me sert un verre ?
— Que veux-tu ? Me demande Émile.
— Champagne !!!! Lui répondis-je.
Emile, en bon patron, fait signe à une des trois mousses. On est servi et on déguste notre breuvage des dieux. Domi réapparaît avec, à sa suite, une Véro nouvelle, le sexe entièrement épilé. Je m’approche d’elle, lui passe le dos de la main sur son pubis, dérape sur sa hanche et m’égare sur son sillon culiez.
— Beau travaille, Domi, beau travail.
À ces paroles, Emile éclate de rire. Je tourne autour de ma proie, la frôle, lui caresse le dos.
— Tu es belle... Lui susurrerais-je à l’oreille.
Elle n’ose pas parler. Je me place face à elle et je saisis sa nuque et l’attire à moi. Nos bouches se touchent, nos langues se trouvent. Elle a un mouvement de recul.
— Je n’ai jamais fait ça avec une fille. Me dit-elle.
— Je ne suis pas une fille comme les autres. Lui dis-je en lui remettant une main sur mon sexe. Laisse-toi aller, je vais te baiser comme la petite femelle soumise que tu es.
Elle a un regard pour Gégé qui lui sourit. Elle retourne la tête vers moi. Je discerne un visage apeuré. Je la force à se mettre à genoux.
— Lèche-moi, j’ai dit lèche-moi, pas suce-moi !!!
Sa langue sort de sa cachette et c’est avec envie et soumission qu’elle me lèche la bite, de haut en bas et de bas en haut. Cette caresse me transporte dans le monde de la jouissance. Je tremble de partout. Mes mains sur sa tête, elle ne peut pas arrêter sa caresse. Malika s’est mise accroupie derrière Véro.
— Tu vois, elle jouit comme une femme jouirait du clito. Vas-y, tu vas l’emmener au paradis. Dit-elle en palpant les seins de Véro.
Elle insiste sur mon frein, mon anneau, mon méat. Elle se laisse diriger. Malika lui prend les mains et les met sur mes seins. Petit mouvement, mais elle se laisse faire. Elle me tire les tétons, joue avec mes piercings. Je feule de plaisir en appuyant sur sa nuque, l’amenant sur mes couilles. Je lève une jambe et c’est l’extase. Elle me regarde impressionner par la puissance de mon orgasme. Elle jouit aussi se repaissant de mon jus séminal qui perle. La belle Malika lui torturant ses mamelons d’une main, de l’autre lui triturant son clito. Je la relève et la place en levrette sur un profond fauteuil. Quel cul, large et imposant, bref, accueillant. Je lui dis de mettre ses jambes de part et d’autre du fauteuil, sur les accoudoirs. Je lui balance deux fessées sur ses larges globes.
— Humph, oui. Fait-elle doucement.
— T’aimes ça ?
— Oui... Han.
Je viens de lui remettre une série. Malika s’installe sur le dossier et écarte au maximum ses cuisses. Véro a un mouvement de recul. La belle panthère lui bloque la tête.
— Mange-moi grosse cochonne...
— Non, je n’ai jamais fait ça...
— Y’a un début à tout, dis-je en lui remettant une volée.
— Han, Humph... Oui...
Je présente mon gland sur ses lèvres intimes et pousse d’un coup d’un seul. Mon pubis vient claquer sur ses fesses. Je sens une langue titiller mes couilles. C’est la petite Théna qui passe de mon scrotum à la chatte de Véro. Elle qui n’a jamais eu de relation saphique, elle va être servie. Je plante mes ongles dans la masse adipeuse de ses hanches et la ramone comme un, oups, une forcenée. On transpire, on hurle.
— Comme cela tu n’aimes pas les filles ?
— Humm, humm...
Elle ne peut me répondre, elle a la bouche engluée dans le sexe de Malika. Je la fesse violemment et je veux changer de trou. Elle ne veut pas. Mais Théna sait y faire. Elle lui lèche son cul et l’encule avec un, puis deux doigts.
— Non, pas par là... Tu es trop gros...
Théna insiste en faisant des cercles, lui détendant son sphincter. Véro n’en peut plus. J’approche ma queue de son petit anneau et pousse fort. Mon gland peine à renter, mais il rentre. Je vais à fond et ressors pour mieux la pénétrer. Elle hurle.
— BANDE DE TARÉES... HUMPH...
Malika replace sa bouche sur sa chatte, son clitoris. Théna lui bouffe son minou. Elle commence à prendre plaisir, elle vient à la rencontre de ma bite. La cavalerie est lâchée. Je la bourre de plus en plus vite. Je jouis en continu. Quand je sens le point de non-retour atteint, je préviens Malika qui me cède sa place. J’introduis ma bite au plus profond de la gorge de Véro et lui lâche la purée. Vu la quantité que je lui mets, elle ne peut pas tout avaler. Malika et Théna se chargent du surplus. C’est à bout de souffle que la laisse récupérer. Je retourne au bar chancelante. Tout le monde est nu.
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