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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 25

Travesti / Trans
Je suis réveillée par ma puce. Elle me fait des bisous appuyés sur ma verge qui se redresse. Elle est terrible, insatiable.
— Bien dormi ma chérie ?— Oui et le réveil est très agréable.— Viens, on va manger, il est 20 h 00.— Tu me laisses comme ça ? Je lui demande en montrant ma bite.— J’adore la voir se balancer entre tes cuisses, ça te donne un côté sexy... Hihihihi. Me répond-elle en me claquant une fesse.
Une fois dans le salon intérieur, il y a tout le monde, à l’exception d’Émile et Aléxia. On s’installe à table. Je suis entre Caro et David. Celui-ci me touche mon marquage. Il me dit que la cicatrisation est terminée. Le contact de sa main m’électrise. Il me sourit.
— Tu me fais envie, Vanessa. Regarde...
Je vois sa bite gonfler sous la nappe. Je la caresse du revers de la main. Elle fait un bond. Je lui souris en suçant un radis. Caro, qui a vu notre manège, m’accompagne dans mon geste.
— On s’éclipsera après manger. Dit-elle.— Pourquoi s’éclipser ? — On a une surprise pour toi.
Le repas est composé de salades, de thon mi-cuit, le tout accompagné d’un excellent champagne. Je regarde les trois triplées. Elles n’ont de cesse de me mater et de rigoler. C’est gênant. Axiana, qui s’en aperçoit, les houspille. Elle s’en retourne vers le buffet. Petit sourire de la très jeune Axiana. On finit au bar, savourant un bon café.
— Rejoins-nous dans dix minutes, à notre cabine. Me dit Caro.
Je regarde le gros fessier de la petite quadra s’éloigner. Les dix minutes sont écoulées. Je laisse la petite troupe et m’en vais rejoindre mon oncle et ma tante... LOL. Devant leur cabine, j’ai une appréhension. Que me réserve-t-il ? ? Je frappe. Caro m’ouvre.
— Viens, rentre... Ne sois pas apeurée, David est sous la douche. Chuttt...
Elle se met par terre, en position de levrette. Son mari réapparaît une serviette enroulée autour de la taille.
— Prends-la cette grosse chienne. Tu as le choix du trou.
Elle me regarde par-dessus son épaule. Elle a chaud. Sa cyprine lui coule sur les cuisses.
— Je peux prendre les deux ?
Les yeux de la belle pouliche s’éclairent.
— À toi l’honneur et enlève ton plug que je te prenne en même temps que tu baiseras ma femme.
Je me mets accroupie et empale Caro sans ménagement. Il faut être brutal avec elle, ça l’a fait partir. Pendant que je prends son épouse, David me présente sa queue, queue que j’avale jusqu’à la garde. Il souffle. Caro se défoule en imprimant le rythme. La garce, elle jouit déjà. Je change d’orifice et son sphincter cède. Elle s’affale par terre.
— Putain, ELLE ME DÉCHIRE... OUF...
David passe derrière moi et m’embroche. Je suis heureuse, mon premier Sandwich. Une Caro qui se déchaîne sur ma bite, un David me défonçant l’anus en me tenant les Hanches. Je sens que mon liquide séminal s’écoule dans le conduit de Caro. Je jouis en permanence. Je vois des étoiles scintiller. J’ai le feu au ventre, à la bite et au cul. J’ai la bouche ouverte, mais aucun son n’en sort. David décharge son jus dans mes intestins. J’éjacule dans ceux de sa traînée.
— PUTAIN, QUE C’EST BON... OUIIIIII... HAN.
Dans un dernier coup de reins, je lui balance ma fin de jouissance. On reste ainsi un bon moment. David débande et sa queue est expulsée.
— Wahou, dit David, quel cul tu as...— Je te rappelle que c’est toi qui m’as baisé le premier... Tu as été le premier à visiter mon cul.— Malika et Domi ne t’avaient pas enculé ?— Si, si, mais pas avec une bite d’homme. Lui dis-je en me penchant pour lui nettoyer le sexe.— Putain de salope...— Oui, tonton.
On explose tous de rire.Après une énième douche et tout ce que cela comprend, Caro me maquille et me pare des chaînettes offertes par Émile, puis passe à mes chevilles des bracelets du même métal. David me passe un bracelet-bague à chaque main. Caro me décalotte pour attacher la chaîne à mon anneau. David me pousse en avant et m’introduit un plug en or. Il est le plus lourd que j’ai porté.
— Pour notre belle salope se chienne... Dit Caro.
David me fait prendre trois pilules avec un verre de champagne, une quatrième que je dois garder sous la langue (beurk). Il m’ouvre la porte et me suit. J’ai l’étrange sensation que je ne suis pas couchée, d’être l’objet sexuel de cette famille, qui était la mienne maintenant. C’est avec émotion et appréhension que j’entre dans le salon. Il n’y a plus que Maria et Axiana. Elles sont subjuguées. Je me regarde dans le grand miroir derrière le bar. C’est vrai que je suis plus que bandante. Mon rostre est maintenu fier et droit par la chaînette qui passe par mon nombril. Je sens une main me caresser la fesse droite, c’est Émile. Il m’embrasse l’épaule.
— Adorable Vanessa. Tu es de plus en plus belle. — Merci, Émile. Et ta soirée ?— Remarquable. Adélia est d’agréable compagnie. Intelligente et cultivée. Cela m’a fait du bien. Mais parlons de toi, c’est TA soirée, enfin la Vôtre. Fit-il en claquant des mains.
La porte donnant sur l’extérieur coulisse. Elles sont là. Mes deux tigresses et ma panthère noire. Resplendissantes. Elles sont maquillées sobrement et elles ont revêtu leur toge. Elle s’avance vers moi et je suis happée par ces trois félines.
— On vous laisse les enfants. Dit Émile le regard embué.
Elles me prennent par la main et on descend dans notre cabine. Malika détache ma bite et c’est la première à me chevaucher. Théna et Aléxia nous regardent en se caressant. Aucun mot n’est échangé. C’est mes partenaires qui me grimpent tour à tour. Elles me prennent en douceur. Rien à voir avec nos parties endiablées. Là, c’est sensuel, solennel. Je sens mon jus monter, déjà ? J’ai mal aux couilles. Les baisers sont empreints d’une saveur différente, plus doux, plus... Je ne sais pas.Ce n’est pas mon sperme qui coule, mais mon jus séminal. Malika m’a reprise, suivit de sa sœur et de sa nièce. Ça sent le sexe, le foute et la cyprine. J’ai la verge gluante. Ça déborde de leur sexe. Je m’agrippe au drap. Elles changent, rechangent, c’est un balai de chattes qui s’astiquent sur ma queue. Je sens l’extase finale arrivée. Je me cambre et j’éjacule à gros bouillon. Sans se précipiter, elles reçoivent chacune leur dose. Trois ou quatre fois elle se charge leur matrice de ma semence en soupirant. Je fixe le plafond. Trois langues viennent jouer avec la mienne.
— Je vous aime...
On se câline, Je me mets à quatre pattes et je viens lécher le surplus du mélange foutre-cyprine. Un régal que je partage avec elles. Ma queue pendouille fièrement entre mes cuisses. Je sens une main me caresser la croupe. Je me retourne, c’est David. Je m’allonge la tête dans le vide. Je lui gobe les couilles.
— Hummm... J’ai été attiré par l’odeur.— Baise ma bouche... S’il te plait...
Sans hésiter, il plonge son sexe dans ma gorge et me tient la tête à deux mains. Il y va fort, l’habitude des rapports qu’il a avec sa femme, surement. Les bruits de gazouillis que fait sa bite dans ma gorge sont obscènes. Je sens que quelqu’un me chevauche à nouveau. C’est Malika, ses deux copines viennent me titiller les tétons. La jouissance est instantanée, fulgurante. Malika se déchaine et jouit dans des râles indéfinissables. David accélère et passe ma luette, il est dans ma gorge. Je pensais vomir, mais non. J’essaie de respirer par le nez. J’y arrive que lorsqu’il ressort un peu. Malika est en transe quand elle sent mon jus l’inonder de nouveau. David se plante au fond et décharge en cascade sa semence. Je ne peux qu’accepter ce liquide. Il se déverse en moi. Repu, il se retire. Je lui lèche la queue.
— T’es qu’une putain de chienne, Vanessa. Une chienne que l’on aime.
Fatigué et à bout de force, je m’endors avec Malika sur moi et les deux autres à mes côtés.Il est 10 h 00. Je suis réveillée par Émile. Il rigole de me voir avec Malika encore sur moi. Il me susurre à l’oreille de prendre une bonne douche, d’enlever mes parures et de venir le rejoindre dans sa cabine. Je m’extirpe des bras de Malika et je vais faire mes ablutions. Petit collier remis, je vais voir mon papa. Je toque à sa porte.
— Entre...
Une fois à l’intérieur, il me demande si ça s’est bien passé. Je lui dis que oui, que chacune avait reçu plus que leur dose. Il me sourit et demande de m’asseoir.
— Voilà, j’ai une faveur à te demander...— Tu ce que tu voudras.— Laisse-moi parler. Voilà, Gégé veut te voir ce soir pour quelque chose de particulier. Il veut te voir baiser sa femme, Véro. T’en sens-tu capable.— Et pourquoi moi ?— C’est elle qui te réclame. Elle n’en revient pas comment tu l’as baisé, comment tu as joui. Avec tous les services qu’il me rend, je lui dois bien ça...— Ce n’est pas si terrible que ça...— Ce n’est pas tout, tu connais les penchants SM de Maria ?— Oui, elle me l’a avoué...— Bien, elle t’accompagnera. Le rendez-vous a été fixé à 20 h 00 à notre maison de Carnon. Maria y a aménagé une pièce pour y dresser, punir ses "soumises". Alors, tu es d’accord ?— Je ne peux rien refuser à mon Papoune... Lui dis-je en l’embrassant.— Bien va voir Maria pour que vous vous mettiez d’accord. Merci ma puce.
Malika, Théna et Aléxia n’émergent qu’à 11 h 00. Elles déjeunent toutes les trois et s’en vont se recoucher. Ce qui me laisse libre pour recharger les batteries. Je croise David.
— Ce soir j’ai une soirée, tu penses que...— Oui, je suis au courant, ne t’inquiète pas, tu en as pour deux à trois jours. Ah, au fait, tu as déchiré le cul de mon épouse...— Tu m’excuseras auprès d’elle...— T’es folle. Elle a adoré... HAHAHAHA. Elle se repose.
Il s’en va après m’avoir flatté la queue, ce qui me fait gémir.Je rejoins Maria dans sa cabine. Elle m’explique qu’elle tient à ce que je l’accompagne, qu’il est de coutume que l’on soit toujours deux dans nos sorties extérieures. Je lui fais remarquer que ce n’est pas vraiment un lieu étranger. Elle me tire la langue. Elle rajoute qu’elle a droit de s’amuser un peu et qu’elle veut m’initier à certains rites de la famille, que je comprendrais plus tard ?Je vais me reposer plage avant. Il y fait chaud. Le soleil est à son zénith. Je m’enduis de monoï et me laisse tomber sur un transat.Maria vient me sortir de ma torpeur. Je vais prendre une douche, remets mon collier et le gros plug offert par David. Le poids de cet objet, qui doit dépasser le kilo, me fait faire une drôle de démarche. Je m’habille d’un mini short en jean et d’un tee-shirt blanc. 19 h 00, c’est Domi qui nous y conduit, elle repart aussi sec chercher Gégé et sa compagne. L’arrivée à la somptueuse villa est des plus calmes, Gégé et Véro doivent arriver à 20 h 00. Maria m’entraîne à travers le patio, on passe devant la piscine puis on arrive à un petit cabanon. Maria l’ouvre.
— Putain, Maria, c’est le temple de la luxure !— Hihihi, oui, mais ce n’est rien comparé à celui d’Ibiza... Hihihi...
C’est une vaste pièce de vingt mètres par huit (à vue de nez). Deux croix de Saint-André à droite, une poutre de gymnastique recouverte d’une épaisse couche de néoprène en face de l’entrée, un immense lit à droite, il me semble que c’est un matelas d’eau. Derrière ce lit, trois grandes armoires. Les murs et le sol sont recouverts d’une épaisse moquette rouge, le plafond étant peint en noir.Seuls les endroits où sont posées la poutre et les croix sont recouverts d’un revêtement en moleskine. Cela me fait froid dans le dos, malgré la chaleur qui y règne. Maria se saisit d’une télécommande et la lumière fut. Lumière savamment tamisée et dirigée. Des statues grecques à chaque angle.Maria s’avance vers une des armoires. Elle en sort un mini-short en cuir rouge, un tee-shirt en filet.
— Ta tenue pour ce soir. Cela doit t’aller. Tu gardes ton "bouchon"— Oui... Pourquoi ?— Attends alors, ce shorty t’ira mieux.
C’est le même mini-short mais avec une ouverture sur l’arrière en plus de celle du devant. Je m’assoie sur le lit et vue la réaction du matelas, c’est bien de l’eau qu’il contient. Je passe la "tenue" qui m’a donné la belle vieille Maria. Le mini-short me va comme un gant. Très confortable puisqu’il est recouvert d’une espèce de velours à l’intérieur. Ma bite est à l’air libre et mon arrière-train est accessible. Que dire du tee-shirt. Deux ouvertures pour mes jolis seins (que j’aime de plus en plus) et il s’arrête juste au-dessus de mon nombril.
— Il faut mieux que tu enlèves ton collier, tu risques de l’abîmer.— Je me sens nue sans lui...— C’est gentil, me dit Maria, je crois qu’Émile sera ravi de l’apprendre. Tiens, prends celui-là...
Elle me tend un gros collier de cuir noir. Je fronce les sourcils. Penaude, elle fouille dans l’armoire et en ressort un rouge, plus "élégant".
— Rhooo, tu deviens coquette même dans tes tenues de salopes !— Quand on reçoit, Émile m’a toujours dit qu’il fallait être impeccable... Lui dis-je en penchant la tête pour qu’elle puisse me serrer le collier. Dis-moi, Maria, est-ce que Domi sera avec nous ?— Ce n’est pas prévu, mais tu as une idée en tête, non ?— Bin oui, pour faire de Véro l’esclave soumise de Gégé, je pensais la piercer et la marquer. Qu’en penses-tu ?— Tu n’es qu’une salope de perverse et je dois dire que tu me plais de plus en plus. Me répond-elle en prenant son portable.
Elle téléphone à Domi, qui se réjouit à mon idée, mais elle doit passer à l’institut pour y prendre du matériel. Ils ne seront là qu’à 20 h 30.
— Bien cela nous laisse le temps de tout préparer.
Maria se met à poil et enfile une robe de cuir rouge qui lui moule toutes ses formes. J’en bande. Elle me dit de préparer le fauteuil de notre invité, elle va préparer la poutre de notre suppliciée. Je comprends vite ce qu’elle veut dire par préparer. Elle passe des sangles dans tous les passants prévus à cet effet. J’en fais de même. Le fauteuil est identique à ceux du salon de Domi, mais recouvert de Moleskine rouge. Il possède quatre roulettes auto-freinées, ce qui me permet de déplacer ce siège à ma guise. Je le place aux pieds de la future soumise. Très bon choix me dit Maria.
20 h 30. Domi ouvre la porte.
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